‎[LITTERATURE] - BUCK (Pearl) - ‎
‎La mere. ‎

‎Paris, Collection supersociété nouvelle des editions gp, 1958; in-8, 255 pp., cartonnage de l'éditeur.‎

Reference : 201709206


‎.‎

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‎GERARD, Louis-Philippe.‎

Reference : LCS-186387

‎Le Comte de Valmont, ou les Égarements de la raison. Une source précieuse des Liaisons dangereuses reliée à l’époque au chiffre couronné de l’Impératrice de Russie, Marie Feodorovna, mère des Tsars Alexandre Ier et Nicolas Ier.‎

‎L’édition est ornée d'un frontispice gravé en taille-douce par Dieudonné Bassompierre et d'une vignette aux armes de la reine Marie-Antoinette. Paris, Liège, Anne-Catherine Bassompierre, 1778. 5 volumes in-8. Collationné complet. Demi-maroquin rouge à coins, dos lisses ornés en long de roulettes dorées, chiffre couronné en tête, tranches vertes. Reliure de l’époque. 177 x 105 mm.‎


‎L’un des modèles des Liaisons dangereusesrelié à l’époque au chiffre de Maria Féodorovna (1759-1828), grande duchesse, puis Impératrice de Russie. «L’abbé Gérard (1737-1813) a transposé dans la société aristocratique et catholique française les problèmes de psychologie et de morale familiales qui faisaient la matière des romans de Richardson et de Rousseau ; il y a ajouté les problèmes de la vie publique » (H. Coulet, Le Roman jusqu’à la Révolution). Le Comte de Valmont, œuvre du Chanoine Gérard (1737-1813), connut un immense succès. Les égarements personnels dans lesquels était tombé l’auteur avant de devenir prêtre paraissent lui avoir donné l’idée de cet excellent ouvrage qu’il publia d’abord en 3 volumes in-12, et qui aujourd’hui en a 5. Le Comte de Valmont a eu plus de quinze éditions. L’auteur «y montre dans une fiction les écarts d’un jeune homme entraîné par ses passions et par des sociétés pernicieuses, et y établit les preuves qui ramènent tôt ou tard à la religion un esprit droit et un cœur vertueux ». «Au royaume de la littérature en prose de l’époque c’est l’abbé Philippe-Louis Gérard qui réconciliait le mieux le monde du devoir et celui du plaisir. Le bon abbé écrivit un roman épistolaire qui allait être réédité à plusieurs reprises jusqu’à la fin du siècle. Le titre même de l’ouvrage, «Le Comte de Valmont, ou les égarements de la raison», évoquait celui du roman scandaleusement grivois de Crébillon, «Les Egarements du cœur et de l’esprit»; et nous voyons rétrospectivement que Valmont, le héros du roman, préfigurait par son nom et son caractère, le protagoniste essentiel du chef-d’œuvre de Laclos. Le roman de l’abbé nous raconte la rédemption d’un aristocrate roué. Celui-ci a retrouvé la foi en la seule vraie religion grâce à une épouse dont la vertu est indiscutable. Ce roman émoustilla les lecteurs de Gérard grâce à une série de longues notes figurant au bas des lettres. Elles s’intitulent «notes sur l’adultère», «sur tout engagement irrégulier», «notes sur les lieux de débauche», «sur le jeu» … en même temps, l’abbé avait inséré d’édifiants passages sur «l’amour de Dieu», «les devoirs des pères de famille» et «la dignité de l’homme» » (Otis Fellows). Philippe-Louis Gérard fit ses études au collège Louis le Grand sous les jésuites. «Après 1789 l’abbé Gérard fut témoin des excès de la révolution, et eut sa part des persécutions de ces temps troublés; il resta longtemps en prison. Rendu à la liberté, il alla passer dans la retraite le reste de sa vie, occupé de la culture des lettres ». L’édition est ornée d'un frontispice gravé en taille-douce par Dieudonné Bassompierre et d'une vignette aux armes de la reine Marie-Antoinette. Très bel exemplaire au chiffre de Maria Feodorovna (1759-1828), grande-duchesse puis Impératrice de Russie. Née princesse Dorothée-Sophie-Augusta de Wurtemberg, nièce de Frédéric le Grand, elle épousa en octobre 1776 Paul, fils de la grande Catherine. Il monta sur le trône à la mort de sa mère, le 17 novembre 1796. Sa haine de la Révolution française fut telle qu’il interdit l’importation de tout livre français. ‎

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‎PALISSY, Bernard.‎

Reference : LCS-18343

‎Discours admirables, de la nature des eaux et fonteines, tant naturelles qu’artificielles, des metaux, des sels & salines, des pierres, des terres, du feu & des emaux. Avec plvsievrs avtres excellens fecrets des chofes naturelles. Plvs vn traité de la marne, fort vtile & neceffaire, pour ceux qui fe mellent de l'agriculture. Le tovt dressé par dialogve, esquels font introduits la théorique & la practique. Par M. Bernard Palissy, inuenteur des ruftiques figulines du Roy, & de la Royne fa mere. A treshavt, et trespvissant fleur le fire Anthoine de Ponts, Cheualier des ordres du Roy, Capitaine des cents gentils-hommes, & confeiller tresfidele de fa maiefté. Édition originale des "Discours naturalistes" de Bernard Palissy.‎

‎Un grand livre de science au XVIe siècle. A Paris, Chez Martin le Ieune, à l'enfeigne du Serpent, deuant le college de Cambray, 1580. In-8 de (8) ff., 361 pp., (23) pp. de table. Marge ext. du f. de titre restaurée sans atteinte au texte. Plein maroquin rouge janséniste, dos à nerfs, double filet or sur les coupes, tranches dorées. Reliure signée de Trautz-Bauzonnet. 156 x 106 mm.‎


‎« Edition originale d’une pièce aussi intéressante que rare». (Brunet, supplément, VIII, 133). B.n.F., En Français dans le texte, n°72; Neville, Historical chemical Library, 2006, p. 250; Duveen, Bibliotheca alchemica et chemica, p. 446 : "A book of great importance in the history of chemistry and science generally. Extremely rare." Un grand livre de science au XVIe siècle. Figure exemplaire de l'autodidacte, Bernard Palissy (1510-1590) prône l'observation et les vertus de la méthode expérimentale. Palissy, « L'un des hommes de génie dont s'honore la France », naquit vers le commencement du XVIe siècle au village de la Capelle-Biron, dans le diocèse d'Agen. Remarquable hydraulicien et génial céramiste, Palissy conçut des grottes mystérieuses peuplées de personnages ou d'animaux en céramique où l'eau circulait en animant sans doute ce qu'il appelait ses "rustiques figulines". Le connétable lui fit alors décerner par Catherine de Médicis le titre d'" Inventeur des rustiques figulines du Roy et de la Royne sa mere ". Le premier livre de Palissy parut en 1563. La position privilégiée qu'il occupait dans une habitation royale lui valut, le 24 août 1572, d'être épargné au milieu des massacres de la Saint-Barthélemy. De même qu'Ambroise Paré, il n'échappa à cette horrible boucherie que parce qu'il était au Louvre, où le protégeait l'inviolable majesté et peut-être aussi l'égoïsme craintif du roi. Huguenot ardent, il meurt à la Bastille octogénaire et misérable, refusant d'abjurer. Le second ouvrage de Palissy, beaucoup plus considérable que le premier, a pour titre: Discours admirables de la nature des eaux et fontaines, tant naturelles qu'artificielles, etc.; 1 volume in-8, à Paris, chez Martin le jeune, à l'enseigne du Serpent, devant le collège de Cambray, 1580. Ce livre est dédié au sire de Pont, un de ses anciens protecteurs. L'ordre y fait place à l'irrégularité que l'on remarque dans le volume précédent. Les théories y sont bien coordonnées, à l'exception du Traité de l'art de la terre, où Palissy raconte ses infatigables efforts pour découvrir l'émail. Les onze traités qui composent ce deuxième ouvrage fournissent le meilleur aperçu des travaux scientifiques auxquels il s'est livré ; ils se trouvent rangés dans l'ordre suivant : 1° Des eaux, des fleuves, fontaines, puits, citernes, estangs, marez et autres eaux douces ; de leur origine, bonté ; mauvaiseté et aultres qualitez ; avec le moyen de faire des fontaines en tout lieu ; 2° De l'alchimie, des métaux, de leur génération et nature ; 3° De l'or potable ; 4° Du mithridat ; 5° Des glaces ; 6° Des diverses sortes de sels végétatifs ou génératifs et soustenans les formes, en la génération de ces corps terrestres, de leur nature et merveilleux effets; 7° Du sel commun, la manière de le faire, avec la description des marez salants ; 8° Des pierres tant communes que précieuses ; des causes de leur génération ; des diverses formes, couleurs, pesanteur, dureté, transparence et autres qualités d'icelles ; 9° Des diverses sortes d'argilles, natures et effets d'icelles ; 10° De l'art de terre, de son utilité, des émaux et du feu ; 10° De la marne et de son utilité, avec le moyen de la connaistre et en trouver en toute province. Le présent recueil de onze traités aborde l'alchimie, qu'il raille avec esprit et l'hydrologie, où il formule une véritable théorie des sources. Agronome, il défend l'usage de la marne (une roche sédimentaire) pour bonifier les terres et proteste contre le déboisement. Géologue avant la lettre, il étudie aussi les fossiles, devinant au surplus qu'il y a des espèces éteintes "des quelles n'en voyons plus". Ce livre, qui traite de l'origine des fontaines, de la formation des pierres et des coquilles fossiles, les moyens d'assainir les eaux, l'utilité des marnes dans l'agriculture, est, selon l'appréciation de Duveen: "Extremely rare and a book of great importance in the history of chemistry and science generally". Mais le livre reste surtout célèbre pour la description de ses recherches sur la céramique émaillée. Pour y parvenir, Palissy connut seize années de sacrifices et de peine inouïes, allant jusqu'à bruler ses meubles pour assurer la chauffe de ses fourneaux. Les puissants s'intéressèrent aussitôt à sa découverte et le connétable Anne de Montmorency lui demanda de construire une grotte près de son château. « Les progrès des sciences physiques s'étant manifestés d'une heureuse manière au commencement du XVIIIe siècle, le nom de Palissy fut acclamé par Buffon, Fontenelle, Jussieu et l'ensemble des premiers naturalistes, qui le reconnurent comme le précurseur de leurs idées ». Précieux exemplaire de cette édition originale rare. La rareté des Discours admirables se trouve déjà signalée par Brunet, confirmée par Duveen qui la qualifiait d'"extrêmement rare" et qui rappelle que Ferguson ne trouva un exemplaire que "at last, after long, long waiting and watching".‎

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‎LA SERRE, J. Puget de‎

Reference : LCS-11094

‎Histoire curieuse de tout ce qui s’est passé à l’entrée de la Reyne Mère du Roy tres chrestien dans les villes des Pays Bas. Par le Sr de la Serre Historiographe de France. Entrée royale de Marie de Médicis en exil au Pays-Bas‎

‎Rare édition originale de cette Entrée royale issue de l’imprimerie plantinienne d’Anvers. Précieux exemplaire conservé dans sa première reliure en vélin souple de l’époque. Anvers, Imprimerie Plantinienne de Balthasar Moretus, 1632. In-folio de (1) f.bl., (5) ff. y compris 2 frontispices gravés, 74 pp. et 3 planches gravées à pleine page, (1) f., (1) f.bl. Qq. très légères piqûres sur les ff. prel., 1 planche rognée plus court. Relié en plein vélin souple de l’époque, traces de liens, dos lisse, non rogné. Reliure de l’époque. 311 x 218 mm.‎


‎Rare édition originale de ce superbe livre de fête illustrant l’entrée de Marie de Médicis dans les villes de Mons, Anvers et Bruxelles. Mennessier de la Lance, Essai de Bibliographie hippique, 453 ; Lipperheide 2661 ; Landwehr, Splendid Ceremonies, 84. Inconnu de Brunet. « Ce fut 6 mois après la Journée des dupes, le 18 juillet 1631, que Marie de Médicis, battue par Richelieu, s’échappa de Compiègne, et prit le chemin de la Hollande, dans le dessein de se retirer auprès de son gendre Charles Ier d’Angleterre. Elle ne devait plus revenir en France ; elle resta dans les Pays-Bas et en Hollande, d’où elle ne cessa de travailler contre Louis XIII et contre son ministre. » (Picot, Catalogue Rothschild, n°2281). La reine, accompagnée de l’archiduchesse Isabelle, demanda à visiter lors de son séjour la célèbre imprimerie de Plantin à Anvers. Balthasar Moretus, le petit-fils de Christophe Plantin, qui dirigeait alors la presse, avait préparé une petite plaquette de 4 pages pour commémorer la visite de la reine. Les pp. 60-63 du présent ouvrage reproduisent la très jolie brochure qu’il présenta alors à la reine. « Her visit to Plantin’s printing work is narrated on pp. 59-64.” (Landwehr) L’illustration, superbe, fortement inspirée de Rubens, se compose de deux frontispices et de 3 planches gravées à pleine page. « Ouvrage curieux et rare. Le 1er frontispice, gravé par Cornelius Galle, représente la Reine recevant dans ses bras l’Infante Isabelle-Claire-Eugénie, fille de Philippe II d’Espagne, habillée en religieuse. Elle avait adopté ce costume depuis la mort de son mari l’Archiduc Albert en 1621. Le 2e contient les portraits élégamment disposés de Marie de Médicis et de ses 5 enfants. Les 3 planches gravées par A. Paulus représentent les entrées de la Reine à Mons, à Bruxelles et à Anvers. Les 2 premières représentent des carrosses et des cortèges de cavaliers, le 3e est exclusivement maritime.» (Mennessier de la Lance). Superbe et rare livre de fêtes commandé par le roi Charles Ier d’Angleterre en l’honneur de sa belle-mère, Marie de Médicis, reine de France, qui s’exila aux Pays-Bas en novembre 1630. Très bel exemplaire, particulièrement grand de marges car non rogné, conservé dans sa première reliure en vélin souple de l’époque.‎

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‎TAILHADE Laurent‎

Reference : 5702

‎LETTRES À SA MÈRE (1874-1891). Introduction, notes et index par Pierre Dufay.‎

‎René Van den Berg & Louis Enlart, éditeurs. 1926. Grand in-8° broché. Couverture rempliée. XXXIX + 209 pages. Portraits photographiques hors texte de Laurent Tailhade et de sa mère. Une lettre en fac-simile. E.O. 1/900 sur alfa.‎


‎Très propre.‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR40.00 (€40.00 )

‎BANVILLE (Théodore)‎

Reference : 3372

(1869)

‎Né à Moulins. 1823-1891. Poète, dramaturge et critique littéraire. Ami de Victor Hugo, de Charles Baudelaire et Théophile Gautier. Romantique et parnassien, Banville a été un auteur respecté et admiré de ses contemporains. Son recueil « Odes funambulesques » publié chez Poulet-Malassis, en 1857, peu de temps avant la parution des Fleurs du Mal chez le même éditeur, lui apporta une consécration. M.A.S. « Théodore de Banville » titré « A ma Mère » et daté « le 16 février 1869 ». 1 page grand in-folio.‎

‎ 16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT. ‎


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