Paris, J'ai lu , 1972; in-12, 443 pp., br.
Reference : 201309639
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Reference : 226851
Paris, J. Chéreau, s.d. (1763), estampe in-folio oblongue (30 x 42 cm), en feuille, sous verre, passepartout et baguettes de bois modernes (44 x 55 cm).
Belle estampe en couleurs, présentant le titre en miroir dans la marge supérieure : Vue du feu de l'Opéra.Il s'agit d'une représentation du grand incendie qui détruisit le 6 avril 1763 la salle de l'Académie royale de musique (nom officiel de l'Opéra de Paris), sis dans le complexe du Palais-Royal. À la suite, la ville de Paris, qui était responsable de la maison de l'opéra, décida de construire un nouveau théâtre, sur un site un peu plus à l'Est : il fut inauguré le 20 janvier 1770 (et sera à son tour détruit par le feu en 1781).Au CCF, exemplaires signalés seulement à la BnF (soit chez Chéreau, soit chez Basset).
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Bâle-Genève-Lyon, H. Georg, 1889; 2 vol. in-4, 188 pp. ; XI pp., et 23 planches en chromolithographie, brochés sous chemise demi-toile brune de l'éditeur, dos cassés.
Le colonel Rudolf Schmidt (1832-1898) était directeur de la Fabrique fédérale d'armes suisse, sise à Berne. C'est lui l'inventeur avec Eduard Rubin du système Schmidt-Rubin, qui équipa l'armée fédérale en armes individuelles jusqu'en 1959.Il avait déjà commis un excellent ouvrage de référence, Les Armes à feu portatives, leur origine et leur développement historique et technique jusqu'à nos jours (traduction française en 1877, originale allemande en 1875 : Die Handfeuerwaffen, ihre Entstehung und technisch-historische Entwicklung bis zur Gegenwart).On joint : Les Nouvelles armes à feu portatives (...). Supplément 1891, contenant la description des nouveaux fusiles de la France, de l'Autriche, de l'Allemagne, de l'Italie, de la Suisse, etc., avec 7 planches chromolithographiées. Bâle-Genève-Lyon, H. Georg, 1891, in-4, demi-toile brune de l'éditeur, plat supérieur illustré d'une figure en couleurs, [2] ff. n. ch. (titre, avant-propos), 54 pp., avec 7 planches sur 6 feuillets hors texte (chiffrées 24-30, la dernière double).
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Georges Specht, photographe/cinématrographe de la Croisière Noire puis de la Croisière Jaune - Expédition Citroën
Reference : 005936
Cette photographie est un tirage original de l'époque pour Georges Specht, photographe de la deuxième expédition Citroën dite la Croisière Noire, qui se déroula en 1924-1925. Il provient directement des héritiers. C'est un tirage argentique en très bel état. Le numéro indiqué correspond au numéro d'ordre dans la prise des photos. Plus de 3800 photos furent prises lors de l'expédition (voir le fonds Haardt conservé au Musée du Quai Branly). N°447 - A Niamey - des cavaliers Djerma à la réception - 24 novembre 1924 Photographie : 80*136mm Carton : 250*200mm Titrée à l'encre : « Une étrange réminiscence des croisades sous les tropiques : Djermas en costumes de parade ». Ces cavaliers sont une étrange évocation, inattendue sous les tropiques, de notre moyen âge : « les traces des Croisades se retrouvent encore dans la région du Niger : à Niamey, à Dosso, les Djermas s'affublent, les jours de parade, d'oripeaux dont la forme rappelle les cottes de maille et le heaume des chevaliers de Saint Louis » (L'Illustration, n°4311). Cette photographie a été publiée dans L'Illustration du 17 octobre 1925, n°4311, page 414. Elle y est titrée « Les guerriers moyenâgeux Djermas de la région du Niger et du Tchad ». La photo est jointe à la photo n°2194, contrecollée sur le même carton. Photo suivante : N°2194 - Le feu à la brousse aux environs de Yalinga - 20 février 1925 Photographie : 80*102mm Carton : 250*200mm Titrée à l'encre : « Un feu de brousse aux environs de Yalinga (Oubangui-Chari) ». Cette photographie a été publiée dans L'Illustration du 17 octobre 1925, n°4311, page 413. Elle y est titrée « Une émouvante péripétie des chasses de la mission : le feu de brousse ».
Edinburgh, Edita Vilo, 1976; petit in-4, 171 pp., bibliographie, nbses ill. in-t., bradel rouge sous jaquette illustrée Jaquette un peu jaunie. (reliure de l'éditeur).
Paris, J. Corréard, 1845; in-4, 96 pp., demi-basane Bradel à coins, couverture imprimée conservée (reliure moderne amateur).
La première édition est de 1841 et ne comprenait que 69 pp. Il s'agit de la première monographie historique de l'archiviste-paléographe Ludovic Lalanne (1815-1898), qui n'occupa - et très tardivement - qu'une seule fonction de bibliothécaire (à l'Institut). L'ouvrage valut à l'auteur une lettre de félicitations du prince Louis-Napoléon alors prisonnier à Ham, et aussi plusieurs objections émanant du général Favé et de Reinaud. En tout cas, l'ouvrage ne dirima pas la question : la formule du feu grégeois byzantin était un secret militaire très jalousement gardé et compartimenté, à tel point qu'elle est aujourd'hui entièrement perdue. Aussi sa composition exacte reste t-elle purement spéculative avec des hypothèses incluant des mélanges de résine de pin, de naphte, d'oxyde de calcium (chaux vive), de soufre ou du salpêtre. D'autant que les informations disponibles sur le feu grégeois sont exclusivement indirectes et basées sur des références dans les manuels militaires byzantins, ainsi que sur des sources historiques secondaires comme le texte d'Anne Comnène ou les chroniqueurs occidentaux, qui constataient mais ne comprenaient guère le phénomène.Vicaire IV, 943.
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