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[LITTERATURE] - SANVITALE (Francesca) -
Le fils de l'empire.
Paris, Fayard , 1996; in-8, 531 pp., broché, couverture illustr. Exemplaire bibliothèque avec tampon.
Reference : 201104490
Exemplaire bibliothèque avec tampon.
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LE FILS DE L'EMPIRE. ROMAN.
FAYARD. 1996. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais. 531 pages. Premier plat illustré en couleurs. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 850-Littératures italienne, roumaine, rhéto-romane
Traduit de l'italien par Nathalie Bauer. Classification Dewey : 850-Littératures italienne, roumaine, rhéto-romane
[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)
Costumes anglais du Temps de la Révolution et du Premier Empire, 1795-1806. Vingt-cinq eaux-fortes. de M. GUILLAUMOT Fils, Coloriées avec le plus grand soin.
Paris, Librairie Centrale des Beaux-Arts, A. Lévy, Editeur, 13 rue Lafayette (Près l'Opéra), 1879,1 volume in-folio de 380x280 mm environ, 1f.blanc, faux-titre, titre, 25 planches, 1f.blanc, demi chagrin à coins bleu marine, dos à nerfs portant titres dorés, orné de caissons dorés, tranche de tête dorée, gardes marbrées. Premier plat complètement détaché, intérieur propre. Complet des 25 eaux-fortes, montées sur onglet.
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"Les fils de Philippe-Egalité pendant la Terreur (Collection ""Mémoires et souvenirs sur la révolution et l'Empire"")"
Perrin. 1907. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 306 pages.Portrait de Louis-Philippe d'Orléan-Egalité en oir et blanc, en frontispice. Titre, auteur, fleuron, filets et date en doré au dos.. . . . Classification Dewey : 944.05-Premier Empire, 1804-1815
"Collection ""Mémoires et souvenirs sur la révolution et l'Empire"". Classification Dewey : 944.05-Premier Empire, 1804-1815"
