Colmar, Jérome Do Bentzinger, 2001; in-8, 174 pp., broché, couverture illustr.
Reference : 200616434
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Librairie De Firmin-Didot Et Cie Paris 1895 In-8 ( 235 X 160 mm ) de VIII-400 pages + atlas de 25 planches, demi-basane racinée à coins, dos à nerfs orné de fers à cheval doré dans les caissons, pièce de titre de maroquin chocolat ( Reliure signée J. VITOZ, Rennes ). 37 figures dans le texte et 25 planches de 176 photographies hors-texte avec légendes en regard. Très bel exemplaire, agréablement relié.
Boulland & Urbain Canel Paris 1930 In-16 ( 150 X 96 mm ) de 300 pages, broché sous couverture imprimée illustrée. Quelques rousseurs claires, bon exemplaire, non rogné.
Editions Maloine Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1995 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur blanc, illustré d'une photographie en couleurs pleine page représentant 2 cavaliers dans l'Ouest américain grand In-8 1 vol. - 163 pages
139 illustrations en noir et blanc, figures et photographies 1ere traduction en français, 1995 Contents, Chapitres : Préface, remerciements, introduction - Le style western - Le déplacement - La conformation - Les races de chevaux western - La tenue et le harnachement western - Le travail de base - Le travail du jeune cheval - La consolidation des bases - L'équitation western de haut niveau - Les épreuves de compétition western - Annexes, glossaire, adresses utiles - L'équitation western est une équitation qui s'est développée dans l'Ouest des États-Unis au XIXe siècle (à partir de la Conquête de l'Ouest). Historiquement, elle était avant tout une équitation de travail pratiquée sur les ranchs par les cow-boys. Elle est aussi désormais une équitation de loisir et de compétition. Elle a pour origine principale l'équitation espagnole, à laquelle s'ajoute l'influence anglo-saxonne. Elle est aussi appelée « équitation américaine », mais cette dénomination est contestée. Surtout pratiquée aux États-Unis, l'équitation western l'est aussi en Europe, par des cavaliers cherchant une approche du cheval différente de celle de l'équitation dite classique ou « à l'anglaise ». La monte américaine permet un contrôle absolu du cheval, à condition que le cavalier ait fait de ce dernier un partenaire et collaborateur obéissant, en basant la relation exclusivement sur la confiance. Cest un très long apprentissage qui doit aboutir à une totale entente entre le cavalier et sa monture. Le cheval de monte western ne doit pas constamment être soutenu. Il marche d'une manière souple et naturelle, le cavalier lui, est assis d'une manière passive et épouse les mouvements du cheval avec ses hanches. Il utilise les aides du bassin, des mollets ou de la main uniquement lorsqu'il veut obtenir quelque chose du cheval. L'équitation western se distingue par un matériel très spécifique, notamment une selle spécialisée possédant une corne à l'avant, dans laquelle le cavalier est bien assis et soutenu. Les mors portent des branches, et les éperons sont à tige longue et molettes. La monte à une main fait également partie des finalités de cette équitation. L'équitation western se pratique généralement avec des races de chevaux américaines, comme le Quarter Horse, l'Appaloosa ou encore le Paint Horse. (source : Wikipedia) cartonnage à peine jauni, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre, initiales de l'ancien propriétaire à l'intérieur du plat supérieur
A Paris, chez Leneveu, 1857 in-8, XV-283 pp., 11 planches dépliantes, broché. Dos abîmé. Rousseurs. La planche 3-4, montée sur onglet est difficilement ouvrable, du à un surplus de colle. Il n'y a pas de planche 5 mais 2 planches sont numérotées 6. Envoi.
Mennessier de La Lance, I, 347. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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P., Leblanc, 1837, in-8°, 112 pp, broché, couv. papier muette de l'époque, qqs rousseurs, bon état
Essai peu courant composé par Louis-Charles Pellier (1767-1846). Ce dernier avait été écuyer du duc d’Enghien, à qui il sauva la vie, et professeur à l’École impériale d’équitation de la ville de Paris. Cet ouvrage fut entrepris sur les conseils du comte de Thermes pour concourir à la place de professeur de l’École royale et militaire de Saint-Cyr. Divisé en quatre leçons, il débute par un Avant-propos contenant quelques observations faites en 1815 sur la décadence de l'art de l'Equitation. L’auteur, qui pensait « qu’une pratique raisonnée et suivie (était) infiniment préférable à une théorie », propose les principes essentiels de l’équitation. L'ouvrage de Louis-Charles Pellier est beaucoup moins élémentaire que son titre ne le laisse supposer, car il mène son élève jusqu'aux airs assez compliqués de la vieille équitation française et de l'Ecole de Versailles dont ce respectable écuyer fut à peu près le dernier représentant. Ecuyer et professeur d'équitation, il était fils de Louis Pellier, qui avait été Ecuyer de la Grande Ecurie du Roi Louis XV et élève de son père et du Comte d'Abzac. A la Révolution, il émigra puis rentra en France et devint professeur à l'Ecole Impériale d'Equitation de la ville de Paris... En 1822, il fut replacé au Manège royal de Paris où il demeura jusqu'à la suppression de cet établissement.