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[REVUE ] - SINNIGER (Michel), DRAEGER -
N° UN.
Paris, Revue édité par l'association de l'élégance Masculine Française, 1958; in-4, 60 pp., broché, couverture illustr. Avril 1958 - bel état - très belles photos.
Reference : 200602877
Avril 1958 - bel état - très belles photos.
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5 book(s) with the same title
LES POURQUOI EN IMAGES
Un ouvrage de 207 pages, format 165 x 190 mm, illustré, broché couverture couleurs, publié en 2012, Kéro, bon état
150 questions que vous vous êtes toujours posées sans jamais avoir eu la réponse
Phone number : 04 74 33 45 19
LE CERCLE BLEU DES MATARESE
Un ouvrage de 508 pages, format 155 x 240 mm, broché couverture couleurs, publié en 1983, Editions Robert Laffont, bon état
Roman traduit de l'américain par Michel Courtois-Fourcy
Phone number : 04 74 33 45 19
Laurent-Charles Féraud, peintre et témoin de la conquête de l'Algérie
Editions Monelle Hayot, 2010, in-4 rel. toile (25,5 x 25), 111 p., avant-propos de Nora Lafi, riche iconographie (photos, reproductions, fac-similés…), jaquette, état de neuf.
L.-C. Féraud (1829-1888), érudit militaire qui fut interprète dans l'armée d'Afrique, a réalisé des carnets de voyage à l'aquarelle dans l'Algérie des années 1850 à 1870 et à Tripoli au cours des années 1870 : paysages, portraits, scènes de genre ou intimiste, etc. Présentation d'une sélection de ces oeuvres. Jadis militaires et marins se devaient de maîtriser l'aquarelle, technique topographique indispensable en cas de conflit. Leurs périples n'étaient pas des voyages d'agrément mais des missions. Bien après la prise d'Alger en 1830, l'Armée d'Afrique avait la mission d'approcher les populations de l'arrière-pays dont la Kabylie, dans une optique de paix et d'adhésion à la "Pax Gallica". L'Armée d'Afrique a dans ce but, besoin d'hommes connaissant l'arabe et le berbère, c'est le cas de Féraud, interprète de l'armée qui sera plus tard consul à Tripoli puis ministre plénipotentiaire à Tanger. Les aquarelles qu'il rapporte sont emplies de touchants témoignages, d'une grande qualité artistique... paysages, portraits, caricatures, scènes de genre ou intimistes, les carnets de route de Féraud montrent la vie de tous les jours entre combats et palabres. Féraud accompagne les troupes, observe avec son oeil d'artiste, dessine et peint sur le vif les paysages, les caractères humains, la fière allure des Berbères, drapés dans leur gandhoura. Il donne vie aux scènes d'assaut et croque dans ses caricatures la morgue de certains colons ou le gros ventre des planqués. Voir le sommaire sur photos jointes.
Poésies d'Anacréon nouvellement traduites et accompagnées d'une préface par Maurice Albert
Jouaust / Librairie des Bibliophiles, 1885, in-12 br. (16,5 x 14), XXXI-177 p., coll. "Bijou", exemplaire sur Hollande de Van Gelder (après les 50 sur Chine), compositions d'Emile Lévy gravées à l'eau-forte par Champollion, dessins de Giacomelli gravés sur bois par Rouget, exemplaire à toutes marges, couverture un peu passée, intérieur frais, bon état.
Anacréon, poète grec du VIe siècle avant Jésus-Christ, s’est immortalisé par ses poésies. Avec une simplicité extrême et une grâce enjouée, Anacréon y chante non la passion, à la manière de ses devanciers, les poètes de Lesbos, mais les jeux de l’amour, les caprices du désir, les plaisirs qui passent. Cette douceur exquise, cet abandon aux plaisirs tels qu’ils se présentent font d’Anacréon le plus ionien des poètes grecs. Son génie aisé lui valut un très grand nombre d’imitateurs. Voir le sommaire sur photos jointes.
Odyssée d'Afrique - Le Sergent Blandan
Limoges, Marc Barbou, 1886, gr. in-8 rel. percal. grise (16 x 25,5), 143 p., coll. "Les leçons du patriotisme", ill. in-t., plat sup. joliment illustré, tranches dorées, ex-libris, bon état.
Récit hagiographique de l'épopée du sergent Jean Pierre Hippolyte Blandan à Boufarik. Le 11 avril 1842, alors qu'il conduit un détachement d'une vingtaine d'hommes pour porter le courrier du camp d'Erlon à Boufarik à la redoute de Beni Mered (camp de Blida), sa troupe est attaquée par un groupe de trois cents cavaliers arabes. Refusant de déposer les armes devant cet ennemi supérieur en nombre et bien que grièvement blessé, il exhorte ses soldats à résister. Les secours, alertés par le bruit de la bataille entendu depuis Boufarik, ne trouveront que cinq fusiliers survivants. Le sergent Blandan meurt de ses blessures à l'hôpital de Boufarik le 12 avril 1842, à l'âge de 23 ans.
