‎[REVUE ] - SINNIGER (Michel), DRAEGER - ‎
‎N° UN. ‎

‎Paris, Revue édité par l'association de l'élégance Masculine Française, 1958; in-4, 60 pp., broché, couverture illustr. Avril 1958 - bel état - très belles photos.‎

Reference : 200602877


‎Avril 1958 - bel état - très belles photos.‎

€46.00 (€46.00 )
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‎[Première édition illustrée par Picasso. L'artiste a enrichi le texte de 4 cartalégraphies originales à pleine page [1966], représentant des masques telluriques.Un des 60 exemplaires sur Rives, signés par Picasso et PAB (n° 12).Exemplaire enrichi d'un autre tirage de la première des 4 cartalégraphies, sur vélin de Rives : elle est ici signée exceptionnellement au crayon gras par Picasso.Très bel exemplaire, conservé dans un délicat emboîtage à fenêtre et rabats de Julie Nadot.De la bibliothèque R. & B. Loliée (ex-libris et vente, 2016, n° 168).] - ‎ ‎CHAR (René) - PICASSO (Pablo)‎

Reference : 28434

(1967)

‎Les Transparents‎

‎ Alès, PAB, (mars) 1967. 1 vol. (260 x 335 mm) de 34 p. et [2] f. En feuilles, couverture à rabats, sous emboîtage signé de Julie Nadot. Première édition illustrée par Picasso. L’artiste a enrichi le texte de 4 « cartalégraphies » originales à pleine page [1966], représentant des masques telluriques. Un des 60 exemplaires sur Rives, signés par Picasso et PAB (n° 12). Exemplaire enrichi d’un autre tirage de la première des 4 cartalégraphies, sur vélin de Rives : elle est ici exceptionnellement signée au crayon gras par Picasso. ‎


‎L’édition PAB est la dernière qui sera donnée des Transparents, qui ont fait l’objet de nombreuses rééditions depuis leur première parution en 1949, au Mercure de France. Avant Picasso, Louis Fernandez, Vieira da Silva, Nicolas de Staël s’y étaient risqués. Les Transparents, aux yeux de Char, étaient les personnages de son enfance, peu à peu disparus du paysage rural : jusqu’à dix-sept personnages – tous des hommes – se trouveront décrits dans les différentes éditions que donnera Char : Toquebiol, Joseph Puissantseigneur, Laurent de Venasque, Crillon le brave, Odin le Roc, Raymond de Ridet, entre autres, formeront cette curieuse et respectée cohorte de figures d’errants. Picasso en donnera ici quatre saisissants portraits, par un procédé nouveau pour lui mais qu’il avait vu utiliser par Georges Braque avec PAB : « Un carton plan ou ondulé, souple ou plus rigide, est découpé, déchiré, incisé ou gratté par l’artiste, puis fixé par l’imprimeur sur un support à la hauteur typographique, finalement encré et tiré » (Coron, Le Fruit donné, p. 39). La cartalégraphie constitue un développement de la gravure sur celluloïd, déjà pratiquée par Picasso avec PAB. Grâce à la cartalégraphie, PAB imprima huit livres de Braque, dont Dans vos jardins fut le premier en 1959. Après Picasso, ce fut au tour de Joan Miró d’être conquis en 1975 ; il réalisa cinq découpes : trois furent employées dans Pour 1971. Très bel exemplaire, conservé dans un délicat emboîtage à fenêtre et rabats de Julie Nadot. ‎

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EUR8,000.00 (€8,000.00 )

‎[Cette épreuve originale est issue de la collection Sirot-Angel, du nom de l'un des premiers collectionneurs français de clichés et tirages photographiques. Elle est l'oeuvre de Henri Martinie, qui réalise entre 1920 et 1940 un ensemble exceptionnel de portraits d'écrivains français et étrangers en visite à Paris.] - ‎ ‎[ÉLUARD] MARTINIE (Henri) ‎

Reference : 28508

(1925)

‎Portrait photographique‎

‎ 1 tirage argentique en noir (15 x 22 cm), sous passe-partout. Tampon « Collection Sirot-Angel » au dos. Beau et célèbre portrait de Paul Éluard, vers 1930. ‎


‎Cette épreuve originale est issue de la collection Sirot-Angel, du nom de l’un des premiers collectionneurs français de clichés et tirages photographiques. « La carrière d’Henri Martinie, né en Corrèze en 1885, s’illustre particulièrement dans le domaine littéraire. Dans son studio parisien de la rue de Penthièvre, il réalise entre 1920 et 1940 un ensemble exceptionnel de portraits d’écrivains français et étrangers en visite à Paris, parmi lesquels Philippe Soupault, Georges Bernanos, Jean Cocteau, James Joyce, Francis Scott Fitzgerald ou Paul Éluard. Le Studio Martinie travaille par ailleurs régulièrement à l’Assemblée nationale où il bénéficie d’un emplacement réservé, réalisant en série de très nombreux portraits des députés et ce, jusqu’aux années 1950. Henri Martinie décède à Paris en 1965. L’ensemble de sa production – près de 15.000 négatifs – a été acquis par l’Agence Roger-Viollet en 1968 » (notice du site Roger-Viollet). Une variante (de profil) de ce portrait a été reproduit dans le catalogue Les Livres surréalistes de la librairie José Corti (1932), dans lequel le nom du photographe est annoncé comme « Ph. Martinie » et non Henri. ‎

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EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎[Précieux et émouvant exemplaire de Max-Pol Fouchet : ils se rencontrent à Alger, au sortir du lycée, en 1932 ; " deux adolescents passionnés, c'est miracle, qui réclament " le droit d'aimer sans mesure " les Lettres et les femmes. Camus lui volera sa fiancée, Simone Hié, en 1934, qu'il épousera en juin de la même année. ] - ‎ ‎CAMUS (Albert)‎

Reference : 28670

(1936)

‎Révolte dans les Asturies‎

‎ À Alger, pour les amis du théâtre du travail, [mai 1936]. 1 vol. (140 x 200 mm) de 1 f et 25 f. Broché. Édition originale. Tirage unique [à 500 exemplaires] sur papier vergé. ‎


‎Il s'agit de l'exemplaire de Max-Pol Fouchet. Le théâtre a toujours été la grande affaire de la vie de Camus. Lorsqu'est créée, par la cellule communiste de Mustapha, la troupe du Théâtre du Travail en 1935, Albert Camus propose d'en devenir l'animateur. En quelques mois furent créés et joués Le Temps du mépris, Les Bas-fonds, Prométhée enchaîné et La Femme silencieuse. Révolte dans les Asturies connaîtra un sort plus chaotique, mais déterminant. Le sujet - une insurrection de mineurs réprimée en 1934 par le gouvernement espagnol - inspire Camus et ses ami(e)s : deux professeurs du lycée d'Alger, Bourgeois et Poignant, et Jeanne Sicard, qui en seront les principaux rédacteurs. « Quant au titre, il fut l'objet de discussions sans fin. Nous hésitâmes longtemps entre La Neige et La Vie brève. Nous finîmes par nous rallier à celui de Révolte dans les Asturies par lassitude » (Jeanne-Paule Sicard, lettre à Francine Camus). Mais le maire d'Alger, Augustin Rozis - élu en 1935, il enverra à Daladier un télégramme, refusant d'accueillir des réfugiés espagnols républicains - interdit la représentation. Afin de couvrir les frais engagés, le groupe décide de faire publier la pièce et Camus se tourne alors vers un jeune éditeur en devenir, ancien condisciple de lycée, Edmond Charlot. Ce dernier, poussé par Jean Grenier, vient tout juste de fonder sa maison d'édition. Il n'a pour l'heure ni local ni argent, mais trouve un accord avec un petit imprimeur et publie cet essai de création collective « pour les amis du Théâtre du Travail », qu'il signe de ses initiales e.c. 500 exemplaires de Révolte dans les Asturies sont ainsi imprimés en mai 1936. Rapidement épuisée, cette première édition encourage le jeune protégé Edmond Charlot à monter son commerce. Albert Camus, quant à lui, a déjà commencé la rédaction de certains essais de L'Envers et l'Endroit et quelques lignes des nouvelles de Noces, que Charlot publiera en 1939 et 1937. Émouvant exemplaire, celui de Max-Pol Fouchet : les deux hommes se rencontrent tôt, très tôt, à Alger. Au sortir du lycée Hoche, en 1930, Fouchet et Camus se côtoient aux Jeunesses socialistes. Grands adolescents, exigeants, contestataires, assoiffés d'absolu et de justice, ils voient tous les jours le spectacle d'Arabes méprisés, bafoués, - ils trouvent leurs idéaux, leur raison de vivre et de lutter dans les livres, dont ils font une consommation avide. À Alger, « dans cette ville pauvre en structures intellectuelles », deux adolescents passionnés, c'est miracle, qui réclament « le droit d'aimer sans mesure » (Fouchet, Un jour, je m'en souviens). L'un des textes les plus anciens de Camus, Beriha ou le rêveur, est publié dans Sud, vers 1932, et Fouchet en fera une critique, à laquelle Camus répondra, en toute amitié. Camus est alors secrétaire de la section algérienne du Mouvement Amsterdam-Pleyel et, avec Louis Bénisti, Jean de Maisonseul, Claude de Fréminville, Max-Pol Fouchet et Louis Miquel, ils forment une bande de jeunes garçons attirés par les lettres, le soleil et... les jeunes femmes. Les deux hommes se fâcheront pour ce motif : Max-Pol Fouchet est en couple, et même fiancé, avec Simone Hié, une starlette algéroise de bonne famille, hélas toxicomane. Mais Camus, en 1933, lui ravit l'accorte fiancée, l'épouse et lui consacre, l'année suivante, Le livre de Mélusine, son seul conte. Il s'en séparera très vite, avant de faire la connaissance d'une autre femme fatale, Christiane Galindo. Mais le mal est fait et Fouchet et Camus resteront brouillés plusieurs années. Néanmoins, comme en témoigne cet exemplaire, Fouchet suivra toujours l'itinéraire de son ancien ami. Ils se retrouveront après-guerre, et les deux hommes, par dédicaces interposées, s'échangeront leurs livres. Le 13 janvier 1960, neuf jours après la mort d'Albert Camus, Lectures pour tous s'ouvre exceptionnellement sur le visage grave et ému de Max- Pol Fouchet, dont la chronique clôt habituellement l'émission. Le fond est noir et, la voix nouée, Fouchet commence ainsi son éloge de Camus, long de treize minutes : « Je sais que quelque chose en ce monde a du sens, et c'est l'homme, car il est le seul à chercher à en avoir. » L'écrivain qui nous a laissé ces lignes, vous le savez, est mort, c'est Albert Camus (...) Chacun a ses souvenirs de Camus, j'ai les miens et il me semble que je le vois ce soir, devant moi, à une époque où il n'était pas encore Albert Camus, mais où il se préparait à le devenir. C'était vers 1932, nous étions jeunes et nous avions l'habitude d'aller nous promener sur les chemins qui surplombent la baie d'Alger. Il y avait un chemin que Camus aimait particulièrement, c'était celui de la Bouzaréah. » Max-Pol Fouchet aura toujours conservé de cette époque l'exemplaire de Révolte des les Asturies, qu'il complète d'une petite étiquette qu'il plaça au dos muet du volume. Comme un besoin de s'y replonger de temps à autres et de ne jamais le perdre de vue. La couverture, abîmée par les multiples déménagements de Fouchet, a été très habilement restaurée. ‎

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‎[Beau document témoin d'un peintre sur un autre.] - ‎ ‎MASSON (André)‎

Reference : 28690

(1946)

‎« Éloge de Paul Klee » ‎

‎ S.l., Mai 1946. 9 pages en 5 f. (180 x 275 mm) pliés et encartés les uns dans les autres, encre bleue et noire. Manuscrit autographe signé de l’article d’André Masson paru dans la revue Fontaine, n° 53 de juin 1946. Masson a titré en grandes capitales le titre et rédigé la première partie à l’encre noire et le reste du texte à l’encre bleue. ‎


‎Poète de l’abstraction, fasciné par la lumière des pays lointains et la magie de la nature, Paul Klee (1879 - 1940) est autant un peintre de talent qu’un grand aquarelliste. Né à en Suisse, près de Berne, il s’installe en 1898 en Allemagne et entreprend des études d’art, à Munich : c’est dans cette ville que le postimpressionnisme le touche de plein fouet et qu’il découvre à l’occasion d’une exposition Vincent Van Gogh et Paul Cézanne. C’est un choc. Il fait ensuite la connaissance des membres du Blau Reiter, emmenés par Vassily Kandinsky et participe, en 1912, il participe à la deuxième exposition du groupe, exclusivement composée d’œuvres graphiques. Grâce à son ami designer, urbaniste et architecte Walter Gropius, Paul Klee commence à enseigner en 1921 au sein du Bauhaus l’art abstrait pendant dix ans, en développant une approche singulière de la couleur. Considéré comme juif par les nazis, rangé dans la catégorie des peintres dégénérés, il doit fuir l’Allemagne et meurt au début de la Seconde Guerre mondiale. André Masson et Paul Klee sont tous les deux désignés par André Breton comme des artistes ayant des grandes qualités dans son Manifeste surréaliste (1924), mais le mouvement surréaliste n’a pas joué de rôle dans leur rapprochement. Il n’existe aucune trace d’une quelconque rencontre, mais il semble impensable que les deux artistes ne se soient pas connus. Masson découvre l’œuvre de Klee en 1922, avant la formation du mouvement. Il travaille dans l’atelier de la rue Blomet à Paris, avec Joan Miró, à qui il fait partager sa découverte : « Je suis surtout reconnaissant à André Masson de m’avoir fait découvrir la peinture de Paul Klee. Un jour qu’il me montrait des planches dans un de ses albums… J’ai été subjugué ! Je me suis précipité dans la seule galerie parisienne qui exposait ses gouaches et aquarelles. À partir de ce jour, mon travail a pris une toute autre tournure, il est devenu surréaliste, si l’on peut dire. Ma rencontre avec l’œuvre de Klee a été l’événement le plus important de ma vie. Grâce à son influence, ma peinture s’est libérée de toutes les contraintes terrestres. Klee m’a permis de comprendre qu’une simple tache, une spirale, voire un point, pouvait constituer le sujet d’un tableau, au même titre qu’un visage, un paysage ou un monument… ». L’« Éloge de Paul Klee » répond à l’essai critique « Paul Klee, ou la passivité » de René Renne et Claude Serbanne paru l’année précédente dans les Cahiers du Sud. En faisant l’éloge de Klee, Masson projette ses idées : l’émancipation des valeurs conventionnelles et l’emploi de techniques originales tirant parti de résultats accidentels et utilise le terme « infinir », car il décèle dans l’oeuvre de Klee une conception particulière du temps et comprend que son œuvre possède une énergie constamment dynamique en perpétuelle transformation. Le manuscrit est signé et daté « André Masson (mai 1946) » ; quelques ratures et ajouts ainsi qu’une mention au crayon de couleur vert de mise en forme du texte. ‎

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‎SEMPÉ (Jean Jacques)‎

Reference : 28721

(1965)

‎Monsieur Lambert‎

‎ Bel exemplaire dans son cartonnage avec le gaufrage de Monsieur Lambert au dernier plat. Paris, Denoël, (10 avril) 1965. 1 vol. (180 x 230 mm) de 58 p. et [2] f. Cartonnage illustré de l’éditeur. Édition originale - tout premier et rare tirage d’avril. Exemplaire poinçonné du service de presse. Envoi signé : « Pour Max-Pol Fouchet, Sempé ». ‎


‎Depuis Le Petit Nicolas qu’il crée en 1959 avec son copain René Goscinny, Jean-Jacques Sempé publiera quasiment un album par an. Son premier, Rien n’est simple (1961), avait donné le ton. Il crée ensuite son Monsieur Lambert, un employé de bureau qui échappe par le rêve à sa médiocre condition : tous les jours, il déjeune Chez Picard, un petit restaurant de quartier parisien où se réunissent les employés de bureau à midi pour y discuter football, politique, sexe et bureau. Un Monsieur Tout-le-monde qui se raconte en playboy et s’invente des passions. Un archétype, l’un des préférés de Sempé, croqué sans méchanceté : « C’est l’absurdité des gens, les pauvres, un peu démunis à tous points de vue. Des braves gens qui, grâce à Monsieur Lambert, réussissent à se mentir à eux-mêmes, à s’inventer des histoires d’amour merveilleuses et à le faire croire aux autres », confiait-il au Monde en 1984. Fort de ce succès, Françoise Giroud l’invite à L’Express, où il donnera pendant dix ans chaque semaine ses dessins. Sa carrière est alors définitivement lancée, jusqu’aux unes du New Yorker (il en donnera près d’une centaine !), à partir de 1978. Sa première pour le journal américain dessine un employé de bureau prêt à s’envoler depuis la fenêtre de sa tour, au milieu de la mégapole américaine. Bel exemplaire dans son cartonnage avec le gaufrage de Monsieur Lambert au dernier plat. Rare avec envoi d’époque. ‎

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