‎REYBAUD Mme Charles‎
‎LES DEUX MARGUERITE‎

‎Paris, Librairie Hachette, 1867, in-12 demi-chagrin, dos à 4 nerfs, lettres dorées, filets et fleurons dorés, 343 pp. 2eme ed. Etat correct.‎

Reference : 2901


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LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT

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‎MME REYBAUD CHARLES‎

Reference : R110066261

(1846)

‎EXTRAIT DE L'ECHO DES FEUILLETONS - RECUEIL DE NOUVELLES, CONTES, ANECDOTES, EPISODES, ETC - Sixième année. Les deux marguerite par Mme Charles Reybaud‎

‎CHEZ LES EDITEURS. 1846. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 363 à 424. Une gravure en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils‎


‎Extrait de la presse contemporaine, par MM. J-B. Fellens et L.-P. Dufour. Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎MONNIOT Victorine‎

Reference : 19890

(1878)

‎LE JOURNAL DE MARGUERITE, ou Les deux années préparatoires à la première communion : Tome I et II + MARGUERITE A VINGT ANS, suite et fin du Journal de Marguerite : Tome I et II‎

‎ Paris Bourguet-Calas 1878 in-18 pleine percale 4 volumes, reliure pleine percale vieux rose in-dix-huit Editeur (editor hard-back percale in-18) (17,5 x 11 cm), dos long (spine without raised bands), décoration or , titre frappé or avec double filets or, tomaison frappée or en pied, fleuron aor au centre du dos, double filet or en tête et en pied, plats décorés à froid et or, mors et coins ornés d'un double filet à froid, lettres ex-libris or : M. C. à l'angle supérieur droit, toutes tranches lisses(all edges smooth), orné de 40 gravures hors-texte en noir, 396 + 380 + 318 + 306 pages, sans date (1878 et 1879) Paris : Bourguet-Calas et Cie Editeur,‎


‎Le Journal de Marguerite est un roman publié sous la forme d'un journal intime par la Française Victorine Monniot (1824-1880) en 1858. Il traite du voyage que fit une petite fille d'une dizaine d'années à la suite de la nomination de son père au poste de gouverneur de Pondichéry, une partie importante de la relation ayant lieu à l'île Bourbon, aujourd'hui La Réunion. uvre très autobiographique, elle est pétrie d'une morale chrétienne qui fit son succès dans les institutions d'enseignement religieux et les couvents français jusqu'au début du XXe siècle. Quoi qu'il en soit, elle popularisa le personnage de Marguerite Guyon, qui réapparut ensuite à plusieurs reprises dans l'uvre de l'auteur, et notamment dans Marguerite a vingt ans, la suite du premier Journal de Marguerite........Collection : Bibliothèque des jeunes filles D. S. G........Édition : 22e édition pour le Journal de Marguerite et 16ème Edition pour Marguerite à vingt ans ....................RARE EDITION ILLUSTREE.......en trés bon état (very good condition). trés bon état ‎

Phone number : 06 81 28 61 70

EUR120.00 (€120.00 )

‎COLLECTIF.‎

Reference : RO10048093

(1850)

‎Le musée des familles - lecture du soir - deuxième série - livraisons n°11 et 12 - Spectacle en famille - Marguerite ou il ne faut pas courir deux lièvres à la fois, comédie proverbe dédiée à Mme G-t-D-s, suite.‎

‎Bureau de l'administration, rue Saint Roch 37,Paris.. décembre 1850. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. pages environ, illustrées de gravures noir et blanc dans le texte. Paginées de 81 à 96.. . . . Classification Dewey : 70.4415-La famille / Semaine et musée des familles‎


‎Spectacle en famille - Marguerite ou il ne faut pas courir deux lièvres à la fois, comédie proverbe dédiée à Mme G-t-D-s, suite avec gravure dans le texte de MArguerite et d'autres gravures dans le texte. Chronique du mois - Salon de 1850: Les anecdotes du vestibule - Pourquoi Ingres n'expose plus avec gravure dans le texte d'une vue de Bruges par Justin Ouvrié. Bruges - jubilé du Saint Sang - cours de Colart - rébus et énigmes avec rébus dans le texte. Classification Dewey : 70.4415-La famille / Semaine et musée des familles‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎MONNIOT Mlle V. ‎

Reference : 99921662

(1872)

‎Le journal de Marguerite ou les deux années préparatoires à la première communion. Marguerite à vingt ans, suite et fin du journal de Marguerite ‎

‎ Nouvelle Maison Perisse frères Nouvelle Maison Perisse frères, 1872 - 1873. 4 tomes reliés en deux volumes In-8 demi-chagrin marron, dos à nerfs soulignés de filets dorés et caissons très ornés, toutes tranches dorées. 396 + 380 + 292 + 283 pages. Illustrations. Bon état. ‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

Phone number : 05 65 42 95 21

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