Paris, Henri Béziat, sd, in-12 broché, 220 pp. Etat d'usage.
Reference : 15776
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A Amsterdam, sans nom, 1787. 3 volumes in-12 de VIII-358-[2];[4]-354-[2]; [4]-386 pages, demi-veau brun à coins, dos lisses ornés de filets dorés, pièces de titre et tomaison orange brûlée.
Joli recueil de contes et de nouvelles par Imbert, Gaudin, Mayer, Florian, Poinsinet de Sivry, Saurin, etc. Tampon répété au trois volumes: Roland Couvreu.
Lausanne, André Gonin, 1950. In-4 (27x34. 7) en feuilles sous emboîtage.
Illustré par Georges Dessouslavy de 73 lithographies originales. Toutes les pierres ont été poncées après tirage. Tiré à 130 exemplaires numérotés signés par l’illustrateur et l’éditeur, sur vélin pur fil du Marais. Les contes sont les suivants : “Un coeur simple”, “La légende de Saint Julien l’hospitalier” et “Hérodias”. Cette édition a été entreprise au printemps 1945, elle a été achevée en novembre 1950. L’impression de chacun des contes dans un nuance différente, a été voulue par l’artiste pour être adaptée à l’illustration et au caractère particulier de chaque récit.
Paris, Urbain Canel, 1825. 6 vol. in-12 de 290-[2] + 290-[2] + 336 p. + 352-[2] + 326-[2] + 331-[2]. Plein veau vert, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés et fleurons à froid, plats encadrés d’un filet doré et d’une roulette à froid, tranches marbréea. Dos uniformément passés, très rares rousseurs, pour le reste en belle condition.
Illustré d’un frontispice gravé d’après Devéria dans chaque volume. Contes et nouvelles romantiques d’inspiration orientale.
Paris, L. Carteret, 1927. In-4 broché de [4]-VIII-101-[2] pages, couverture illustrée, rempliée.
Illustré de 4 planches hors-texte en couleurs, et de nombreux bandeaux, lettrines et culs-de-lampe en couleurs de Maurice Ray. Edition originale au tirage limité à 650 exemplaires numérotés, celui-ci un des 500 sur papier vélin de Rives (105). Les Contes indiens de Stéphane Mallarmé furent écrits sans doute en 1893, à la demande de son amie Méry Laurent ; elle avait apprécié les Contes et légendes de l'Inde ancienne, publiés par Mary Summer en 1878, mais n'en goûtait guère le style ; elle les confia donc à Mallarmé pour qu'il en donne sa version. (...) Mallarmé entreprend un tout autre travail, celui d'un transfert littéraire qui ne serait pas la traduction de récits étrangers en langue française mais leur version en manière mallarméenne. (Jean-Pierre Dhainault). - Très bel exemplaire. Carteret IV, 261.
Paris, de l’imprimerie de Didot jeune, an VI (1798). 2 volumes petits in-12 de 157-[2]; 152 pages, plein maroquin vert à grain long, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés, roulette dorée bordée de double filet doré en encadrement des plats, coupes décorées, filet doré aux chasses, page de garde lavande (à moins que cela ne soit parme), tranches dorées. La reliure, selon nos indicateurs, serait de Bozérian (Jean-Claude, alias L’aîné).
Les deux pages décrivant l’estampe «figurant» au début de chacun des volumes sont une supercherie: elles décrivent une image inexistante, mais qui naît dans l’esprit du lecteur, d’une rare efficacité! Edition augmentée de plusieurs chapitres et de plusieurs contes. Les frères Goncourt dans Une Maison d’artiste ont appelé Le Soupé : "un roman qui a toute la charmante désinvolture d’un style aujourd’hui perdu". L’édition est élégamment imprimée sur un beau papier vélin. Ravissant exemplaire dans une jolie reliure en maroquin vert de Bozérian. Des bibliothèques de G. de Pixerécourt (cat. 1839, n° 833), du comte H. De la Bédoyère (cat. 1862, n°1095), d’Edouard Rahir (cat. 1937, V, n° 1663), et de Jean François Chaponnière, avec leurs ex-libris. Etiquette du libraire Pierre Berès. Somme toute, une vraie provenance! Barbier, IV, 525; Quérard, I, 763.