Cercle d'art 1963 in4. 1963. Reliure pleine toile + emboitage rigide illustré. 247 pages. Très Bon Etat du livre (dos insolé) emboitage légèrement usagé
Reference : 159834
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Armand Colin, "Ames et Visages" 1932 1 vol. broché petit in-8, broché, 211 pp. Couverture passée en bordure, sinon bon état général.
La Colombe, coll. "La Colombelle" n° 2 1947 1 vol. broché in-12, broché, 122 pp. Un des exemplaires numérotés sur vélin. Excellent état, non coupé.
Gustave Havard, Editeur, collection "Les Contemporains", deuxième série, 58, Paris, 1856. In-12, broché, 95 pp. Lettre à Jules Janin, par Eugène de Mirecourt - Eugène Delacroix.
Portrait gravé de Delacroix en frontispice et lettre autographe en fac-similé dépliant. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Plon-Edition d'Histoire et D'Art Deux volumes non séparés 97 et 98 pages,In-12°, brochés, rousseurs marginales superficielles et belle intégrité mécanique.
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13 septembre 1852, 12,2x19cm, une feuille.
Longue lettre autographe signée de l'archéologue et conservateur des antiques du musée du Louvre, Adrien de Longpérier, à un journaliste, 4 pages sur une feuille rempliée. Dans cette passionnante lettre sur Eugène Delacroix, le conservateur des antiquités égyptiennes Longpérier fustige un journaliste, auteur d'une dure critique du plafond du peintre à la galerie d'Apollon du Louvre : "mais quand il s'agit seulement d'un plafond, fait pour une galerie roccoco, quand du reste j'ai reconnu que cet ouvrage produit un excellent effet décoratif que le ton général est parfaitement adapté à la place et qu'outre cela le tableau contient un certain noombre de détails traités avec un véritable talent, je ne vois pas la nécessité d'aller attaquer très vivement très rudement non seulement l'oeuvre mais encore la personne de l'artiste". Delacroix avait réalisé composition intitulée Apollon terrassant Pythonpour la galerie construite sous Louis XIV et nouvellement restaurée sous la seconde République. En pleine querelle des romantiques, Longpérier cite également Jean-Auguste Dominique Ingres, auteur lui-même d'un plafond au Louvre (L'apothéose d'Homère) : "Comme vous avez l'imprudence de mettre le plafond d'Homère en parallèle avec celui d'Apollon, vous n'eussiez pas pu empêcher que, dans la discussion, on ne s'en prit à votre vénérable ami. Croyez vous que si Ingres, qui aime si peu la discussion, vous eu su un bien grand gréde ces horizons que vous lui eussiez procurés ? [...] Imaginez-vous que vous ayez fait le sacrifice d'une somme assez considérable pour fonder un journal, et que je vous apporte un article violent contre M. Ingres ? (Je dis : imaginez, car je suis, moi, un admirateur de M. Ingres et n'ai en aucune manière envie de le critiquer) [...] Iriez-vous donner aide à celui qui voudrait le combattre ?".Ingres, peintre représentant l'école classique avait sa préférence, à la différence de Delacroix le romantique, dont il n'apprécie pas le style mais reconnaît malgré tout les qualités humaines :"J'ai reconnu que c'est un homme très doux, très poli, fort instruit et fort modeste [...] Je parle de l'homme ; quant à ses oeuvres, elles sont plus ou moins bonnes. Il y en a même de fort mauvaises" . Longpérier parle longuement des travaux de restauration au Louvre menés par l'architecte Félix Duban, qui supervisait la rénovation de la galerie d'Apollon et d'autres chantiers majeurs : " Je verrais avec grand plaisir que vous fissiez sentir le mérite de la restauration de la galerie d'Apollon, de la façade du jardin de l'infante, de la façade d'Henri IV sur le quai et du plafond de la Salle des sept cheminées décoré, avec tout de goût, de figures peintes. Le public, dirigé par des journalistes peu instruits, a critiqué bien à tort l'emploi de ces grandes figures si harmonieusement colorées". - Photos sur www.Edition-originale.com -