‎BOISMENU (Pierre)‎
‎Sur le point de savoir‎

‎Bordeaux, 1993, William Blake & Co édit., édition originale, 67p, br., 15 X 24 cm, titre offset 2 coul ; ISBN : 2-905810-98-X‎

Reference : 703


‎ex. neuf, remise de 5% sur le prix neuf pour toute commande de ce titre auprès de la librairie Art & Arts.‎

€24.40 (€24.40 )
Bookseller's contact details

Librairie Art et Arts
Mme Annie Eytier
15, rue Maubec - BP 4
33037 BORDEAUX cedex Bordeaux
France

art.et.arts@wanadoo.fr

09 61 45 05 25

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Others cards
Others
Sale conditions

Envoi des ouvrages par port recommandé, après réception de leur règlement, sur facture proforma incluant les frais de port. Assurance à la charge du client. Cartes bancaires acceptées. Pour l'étranger, règlement en euro demandé.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎COLLECTIF‎

Reference : R110053440

(1964)

‎COURRIER DES CHERCHEURS ET DES CURIEUX N° 40 - sur le prénom Azeline, sur le point de savoir si Paris a été attaqué par les V1 ou les V2 pendant la dernière guerre, sur le lien unissant les Turennes aux Nassau, sur la famille de Gourlay, sur le tréma‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. AVRIL 1964. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 98 à 127.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Supplément du n°172 de Miroir de l'Histoire. Sommaire : sur le prénom Azeline, sur le point de savoir si Paris a été attaqué par les V1 ou les V2 pendant la dernière guerre, sur le lien unissant les Turennes aux Nassau, sur la famille de Gourlay, sur le tréma de bienvenüe, sur le baron de Closen-Hydenbourg, sur Marie-Anne, infante d'Espagne, .. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎CHAUVELOT (Charles-Philibert).‎

Reference : 46404660

(1845)

‎Notice historique sur le flottage des bois en trains, ou Solution du point de savoir si Jean Rouvet en fut le véritable inventeur.‎

‎Paris, Ledoyen, Paris, Ledoyenaoût 1845 ; in-12, bradel, demi-chagrin havane, non rogné. (Reliure moderne) 62 pp.ÉDITION ORIGINALE. Ce petit livre est EXCESSIVEMENT RARE. Charles Chauvelot est né en 1798 à Auxerre dans une famille de juristes. Il a connu une longue carrière d’avocat au barreau de Paris. En 1844, à l’occasion d’un procès dans lequel Charles Chauvelot avait défendu avec succès la communauté des marchands de bois pour l’approvisionnement de Paris, il eut connaissance de l’ouvrage sur le flottage dans lequel Frédéric Moreau contestait à Jean Rouvet la paternité de l’invention du flottage en trains sur l’Yonne et la Seine. Selon Moreau, le véritable inventeur du flottage serait un certain Charles Leconte. Cette publication fait “la démonstration la plus irréfragable que Rouvet fut, en 1549, le véritable inventeur du flottage des bois en trains sur la Seine et ses affluents.” Selon une notice biographique sur Chauvelot donnée par M. De Vaucher, l’initiateur officieux de cette publication serait Dupin, alors procureur général à la Cour de cassation.Et c’est avec raison “et par l’effet d’une justice marquée au coin du tact et du discernement le plus esquis, que l’honorable M. Dupin aîné lui a fait élever, en 1828, une statue en bronze sur le pont de la ville de Clamecy...” Le livre de F. Moreau sur le flottage en trains avait paru en 1843. - Lorenz I, 509.‎


Librairie du Manoir de Pron - Montigny sur Canne

Phone number : 03 86 50 05 22

EUR800.00 (€800.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎BOURDEL CHARLES‎

Reference : R240084758

(1903)

‎LA SCIENCE ET LA PHILOSOPHIE - La connaissance scientifique - classification des sciences - la philosophie des sciences les grandes hypothèses scientifiques - critique du savoir scientifique au point de vue théorique etc.‎

‎ARMAND COLIN. 1903. In-12. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 198 pages - contre plats jaspés - coins légèrement frottés - titre + auteur + filets dorés sur pièce de titre marron - ex libris de la bibliothèque maurice boucher sur le 1er contre plat.. . . . Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES‎


‎La connaissance scientifique - classification des sciences - la philosophie des sciences les grandes hypothèses scientifiques - critique du savoir scientifique au point de vue théorique - critique du savoir scientifique au point de vue pratique. Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎SICARD MARIE- GILLIS ALAIN- PARADAS CHRISTOPHE- ..‎

Reference : RO20261961

(2018)

‎Traversees - Journees d'automne 23, 24, 25 novembre 2018- le passage point d'inflexion de la traversee, traverser le temps de l'instant a la perennite, je passe sans le savoir, un cri traverse le silence, la peinture traverse t elle les apparences, ...‎

‎SOCIETE FRANCAISE DE PSYCHOPATHOLOGIE DE L'EXPRESSION ET D'ART THERAPIE. 2018. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 166 PAGES illustrées en couleur. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎SOMMAIRE : le passage point d'inflexion de la traversee, traverser le temps de l'instant a la perennite, je passe sans le savoir, un cri traverse le silence, la peinture traverse t elle les apparences, traversee: de l'intention a l'oeuvre, chemin de traverse d'un ecrivain en devenir, pollock ou la trace de la traversee, le cantique de gabriel/le ou la traversee du semblant, montaigne: un peintre du passage, notes sur the passing de bill viola, la traversee du vide: l'art therapie comme un pont, la traversee de l'impossible, le dramatherapeuthe passeur un medium malleable, atelier d'art therapie aupres d'enfants places en maison d'enfants a caractere social, du non savoir a la demeure, la repetition du geste habite, entrer dans le processus de creation a l'adolescence quel risque ?, .... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !