Les guides Arthaud, 1993, in8, bon état, 326 pages.
Reference : 3050
Librairie des deux frères
M. Emmanuel Gonzalez
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P., Editions du Centre Georges Pompidou, 1986, in-4°, 767 pp, 810 illustrations en noir et en couleurs, biographies, glossaire, Who's Who viennois, biblio, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état. Edition originale
Une exposition marquante du Musée national d'art moderne du Centre Pompidou, « Vienne, naissance d’un siècle, 1880-1938 ». Les temps étaient alors à la célébration inquiète des fins de siècle, à l’interrogation perturbée sur la vitalité artistique d’époques plus troublées. La vieille Europe centrale et tout particulièrement la « double monarchie » – l’Empire austro-hongrois – suscitaient une fascination effervescente. — Table : Sissi ou la vulnérabilité (E.M. Cioran) ; Le flambeau d'Ewald (Claudio Magris) ; La Vienne de Freud (Bruno Bettelheim) ; Une modernité sceptique (Jean Clair) ; Entre rêve et réalité (Robert Waissenberger) ; De la scène publique à l'espace privé (Carl E. Schorske) ; La mort dans la peinture autrichienne (Werner Hoffmann) ; Hans Makart (Werner Hoffmann) ; Anton Romako (Gerbert Frodl) ; Les rêveurs dionysiaques (William Mc Grath) ; Les mécènes de la Sécession (Bernard Michel) ; Gustav Klimt (Werner Hoffmann) ; Otto Wagner. De la ″libre reconnaissance″ à l'art de construire (Peter Haiko) ; La ville blanche ″au Steinhof″ à Vienne. Architecture et maladie mentale (Peter Haiko, Harald Leupold-Löwenthal, Mara Reissberger) ; Adolf Loos et le ″Kulturgefälle″ est-ouest (Eduard Sekler) ; La Wiener Werkstätte 1903-1913. le paradis terrestre et le chemin de la ruine (Peter Vergo) ; L' âge d'or du graphisme viennois (Michael Pabst) ; La voie industrielle (Karl Mang) ; La mise en scène de théâtre (Wolfgang Greisenegger) ; Richard Teschner marionnettiste (Jarmila Weissenböck) ; La naissance de la théorie de l'art (Günter Metken) ; Souvenirs de collaborationa avec Ernst Kris (Ernst Gombrich) ; Sociologie et utopie d'un art autonome (Michael Pollak) ; Egon Schiele (Jane Kallir) ; La Vienne d'Arnold Schönberg (Jane Kallir) ; Arnold Schönberg et Richard Gerstl (Jane Kallir) ; Oscar Kokoschka (Serge Sabarsky) ; Choix de lettres (Oskar Kokoschka) ; Les maisons de Loos ou l'espace en projet (Françoise Very) ; La maison de Wittgenstein (Bernhard Leitner) ; Passe-impasse et manque (Pierre Boulez) ; Paul Poiret à Vienne, Emilie Flöge à Paris (Wolfgang Georg Fischer) ; La Sécession et Auguste Rodin, 1897-1905 (Daniele Gutmann) ; Les années parisiennes d'Adolf Loos, 1922-1928 (Yvonne Brunhammer) ; Politique communale à Vienne la rouge (Wolfgang Maderthaner) ; L' utopie construite. Le logement à Vienne la rouge, 1919-1934 (Sokratis Dimitriou) ; L' Ecole des arts appliqués du musée autrichien d'art et d'industrie (Gabriele Koller) ; Une modernité optimiste : la voie abstraite (Dieter Bogner) ; Cinéma : le chemin de Vienne (William Karl Guerin) ; La fin d'une république : les années trente (Michel Cullin) ; Enst Jünger, Alfred Kubin : extraits de correspondance (Henri Plard) ; Fugue de la mort (Paul Celan).
Cologne, Könemann, 1999 in-4°, 452 pp, nombreuses illustrations en noir et en couleurs, photographies de Achim Bednorz et Gerald Zugmann, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état
Une bible. L'histoire de l'art à Vienne : des Romains à notre époque, avec une attention particulière au Vienne baroque, à "l'ère des boulevards", au Vienne de 1900, ainsi qu'à la scène artistique d'aujourd'hui. Rolf Toman revient, époque par époque, sur les différents mouvements qui ont marqué de leur empreinte l’art et l’architecture viennois. Largement illustré, l’ouvrage met l’eau à la bouche. Le livre fait en outre la part belle à Gustav Klimt, mais aussi aux œuvres sculpturales. — Métropole artistique, Vienne fait partie des villes les plus visitées d'Europe. Célèbre pour sa musique et son théâtre et riche en chefs-d'œuvre plastiques et architecturaux, la capitale autrichienne concentre ses trésors en un espace très réduit. À l'exception des palais du Belvédère et de Schönbrunn, ils se situent pour l'essentiel dans le quartier historique du Ier arrondissement. L'ancien centre-ville s'offre au regard tel un musée à ciel ouvert. Edifices romans, gothiques, baroques, rococo et classiques côtoient les diverses expressions de l'historicisme et de l'Art nouveau, sans oublier l'architecture contemporaine. La principale mesure d'urbanisme du XIX siècle fut la destruction des vieux remparts qui étouffaient depuis longtemps la ville plus qu'ils ne la protégeaient. Elle permit l'édification de la somptueuse Ringstrasse et accéléra l'expansion de la cité en cercles concentriques. Quand les contours tant architecturaux que sociologiques de l'ancienne Vienne vinrent à s'estomper, la dynamique urbaine et démographique de la seconde moitié du XIXe siècle se traduisit par un bouillonnement culturel, du tournant du siècle à la fin de la monarchie danubienne en 1918. La "Vienne 1900", où se heurtèrent avec violence songe et réalité, où Sigmund Freud écrivit son Interprétation des rêves et élabora la théorie et la pratique de la psychanalyse, composa l'un des chapitres les plus palpitants de l'histoire artistique et culturelle européenne. Les époques phares de l'art viennois sont successivement la période baroque et ses célèbres architectes Johann Bernhard Fischer von Erlach et Johann Lucas von Hildebrandt, l'ère du Ring avec les somptueuses constructions de l'historicisme, et enfin la Vienne des années 1900 à 1918. Otto Wagner, Josef Hoffmann et Adolf Loos s'y sont illustrés comme architectes, Gustav Klimt, Oskar Kokoschka et Egon Schiele comme peintres d'exception. En raison de leur importance, ces époques occupent la plus grande partie de l'ouvrage. Elles sont encadrées par deux chapitres : celui concernant l'architecture et les arts plastiques au Moyen Age et celui couvrant la période de 1945 à nos jours. Le texte traite essentiellement de la peinture, de la sculpture et de l'architecture, sans oublier de livrer un éclairage historique, politique et culturel plus général. Deux tiers des photographies ont été réalisés spécialement pour cet ouvrage. Il s'agit surtout de nombreuses vues d'intérieurs – y compris de palais habituellement fermés au public – qui ont fait l'objet d'une préparation et d'un travail des plus attentifs.
A LYON , ET SE VENDENT A VIENNE CHEZ CLAUDE BAUDRAND SOUS LES HALLES , 1659 reliure d'epoque plein veau dos lisse , decoré piece titre verte , bon etat , a noter que la table des matiere est manuscrite d'epoque ray W5
Une des premières histoires de la ville de Vienne, en Dauphiné, par le célèbre historien dauphinois (et viennois) Nicolas Chorier.Alors qu'il vivait encore à Vienne, Nicolas Chorier se consacra à l'histoire de sa province natale. Il annonça la publication d'une histoire du Dauphiné, par un prospectus paru en 1654. Tout en travaillant à cet ouvrage, il s'intéressa aux antiquités de sa ville natale et fit paraître ses Recherches sur les antiquités de la ville de Vienne, en 1658. Chorier se proposait de faire le même travail pour les principales cités du Dauphiné, ce qui explique que le titre de son ouvrage porte : Première partie de la topographie historique des principales villes du Dauphiné. Il n'a pas poursuivi son dessein et seul cet ouvrage a été publié. Cette première partie est donc la seule et unique qui ait paru. Enfin, revenant à son grand projet annoncé, le premier tome de l'Histoire générale de Dauphiné sortit des presses de Jean Nicolas à Grenoble en 1661.Nicolas Chorier lui-même parle plusieurs fois de son ouvrage dans ses Mémoires écrits en latin. Nous nous appuyons sur la traduction publiée par F. Crozet en 1868 à Grenoble (pp. 62-63) :« J'avais appliqué mon esprit à l'investigation des monuments antiques de Vienne dans les décombres et les ruines. Car Jean Le Lièvre n'avait certainement pas livré ce qu'il avait promis sous ce titre, dans un livre publié depuis plus de trente ans [Histoire de l'antiquité et de la saincteté de la cité de Vienne en la Gaule celtique, Vienne, Poyet, 1623]. C'était un homme de bien, mais qui n'avait pas de talent ni de sciences dans ce genre de littérature. Dans le cours de cette année, qui était l'an 1657, j'achevai cet ouvrage difficile, mais très agréable, et il vit le jour à la fin de l'année. Je démontrai que Vienne était la patrie de Claudien, poète très élégant. Je montrai le premier ce que signifiaient, dans les anciennes inscriptions de monuments sépulcraux, ces mots sub ascia dedicare, et je mis à jour beaucoup d'autres choses d'une profonde érudition. Je n'eus pas à me repentir de cette production de mes études, elle donna de l'éclat à l'histoire du Dauphiné. »Le premier auteur à consacrer une longue étude à Nicolas Chorier et à son œuvre est Jules Ollivier, dans les Mélanges biographiques et bibliographiques relatifs à l'histoire littéraire du Dauphiné, parus en 1837 : Histoire de la vie et des ouvrages de Nicolas Chorier (pp. 1-50). Il porte ce jugement sur l'ouvrage de Chorier (p. 4) : Après avoir rappelé qu'il n'existait alors que deux histoires de Vienne relatives aux archevêques, « Chorier consacra ses recherches à l'origine et à la description des monuments antiques de cette ville. Cet ouvrage, dans lequel on eût désiré que l'auteur eût déployé une critique plus rationnelle et des appréciations archéologiques plus saines, est, à tout prendre, un recueil d'inscriptions antiques et de descriptions, d'autant plus précieux que le temps a fait disparaître la plupart des monuments dont l'auteur a consacré le souvenir, et ce n'est pas avec assez de justice que l'ont jugé quelques écrivains modernes. » Il donne ensuite une bibliographie des différentes éditions des Recherches.Edition originaleL'édition originale est :Recherches du Sieur Chorier sur les Antiquitez de la ville de Vienne, métropole des Allobroges, capitale de l'empire romain dans les Gaules, des deux Royaumes de Bourgogne et présentement du Dauphiné. Première partie de la topographie historique des principales villes du Dauphiné.Lyon; Vienne, Claude Baudrand, 1658, in-12, 4 ff. n. chiff.- 71 pp. - 504 pp.- 2 ff. n. chiff. (Errata).Une description plus précise de l'exemplaire de la BM de Lyon :(1-1bl-6-)71 (- 1bl) - 504 (i.e. 514 la pagination sautant de 504 à 495-3-3bl) p. sign. A4, A-C12, A-X12, Y8 , 12°, 135 mm.Gallica en propose une version numérique (voir exemplaire) :L'ouvrage contient :- Titre (pas de faux titre)- Dédicace au consuls de Vienne (4 pp. non chiffrées).- Avis Au lecteur, de Nicolas Chorier (2 pp.). Il indique que cet ouvrage n'est que la première partie d'une série de descriptions des principales villes du Dauphiné, qui doit prendre place dans l'histoire générale du Dauphiné qu'il est en train d'écrire.- Dissertations (pp. 1-59), qui sont des extraits de l'Histoire du Dauphiné à paraître.- Tesmoignages des anciens autheurs, Touchant la ville de Vienne (pp. 60-71). Recueil de textes d'auteurs anciens traitant de la ville de Vienne.- Les 5 livres occupent les pages 1 à 504. Une erreur de pagination fait que les pages 505 à 514 sont numérotées 495 à 504. Contrairement à ce que l'on pourrait comprendre, cette histoire couvre toute la période jusqu'à Louis XIII et pas seulement l'antiquité au sens strict. Une attention particulière est portée aux monuments anciens et modernes et aux inscriptions antiques, dont le texte est donné dans l'ouvrage.- Errata (3 pp. non chiffrées).Les 71 pages de Dissertations et Témoignages semblent manquer dans certains exemplaires (BM Lyon, BMG).Edition de 1659Il s'agit de l'édition de l'exemplaire présenté dans cette page.Dans cette édition de 1659, seule la date a été changée et la dédicace aux Consuls de Vienne a été supprimée. D'après Jules Ollivier, cette dédicace n'a été supprimée que dans quelques exemplaires, au moyen d'un faux titre. Il précise, contre l'avis de N.-F. Cochard, que cette édition est en tout point identique à l'édition de 1658 et ne peut donc être considérée comme une deuxième édition. La comparaison entre l'exemplaire de l'édition de 1658, numérisé par la BNF, et cet exemplaire donne raison à Jules Ollivier. Elles sont en tous points identiques, à la date près. Même les erreurs d'impressions et l'erreur de pagination n'ont pas été corrigées.
Belfond, 1984, in-8°, 296 pp, index des ouvrages cités, index des personnes citées, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. L'épopée napoléonienne)
Soumis au grandiose programme de redéfinir la carte de l'Europe après la chute de Napoléon, le Congrès de Vienne rassembla, de l'automne 1814 au printemps 1815, souverains et diplomates. Dès les premières semaines, les convoitises des vainqueurs de la France créèrent de telles difficultés aux négociateurs, que le vieux prince de Ligne put s'exclamer : Le Congrès ne marche pas, mais il danse ! En effet, on dansait beaucoup à Vienne. Valses et polonaises se succédaient, au cours de fêtes plus fastueuses ou plus divertissantes les unes que les autres, tandis que les aventures galantes des jolies femmes, et de quelques princes entreprenants, faisaient jaser la ville. D'un prodigieux foisonnement de personnages illustres, émergent les figures du tsar Alexandre de Russie, de l'empereur François d'Autriche, des rois de Prusse, de Danemark, de Bavière et de Wurtemberg, les travaux étant menés par les plénipotentiaires des grandes puissances, notamment Metternich, Castlereagh et Talleyrand. Ce dernier nous apparaît, ici, sous un aspect bien différent de celui qu'a popularisé sa légende. L'auteur – qui a eu accès à de nombreux documents inédits – fait revivre les plus riches et les plus secrètes heures du Congrès, dont il dresse l'exact bilan politique. L'oeuvre accomplie à Vienne était fragile. Aujourd'hui, l'Europe des Nations a fait oublier l'Europe des Princes.
Paris, Firmin Didot, 1828 - chez l'auteur, 1833 - chez les principaux libraires de Vienne, grenoble, Lyon, Paris, 1854, 3 br. 3 volumes in-8, f.t., titre, X-495-(4) pp., f.t., titre, VII-374-(6) et f.t., titre, frontispice, 535-(2) pp., ex-libris du chanoine Contagnet (volumes 1 et 2), envoi autographe signé des filles de l'auteur (volume 3), rousseurs éparses (volume 1) ;
Rare réunion de ces trois ouvrages que l'on trouve toujours isolément." Contient une notice sur l'Allobrogie, dont Vienne était la capitale et qui résista logtemps aux romains; la traduction annotée d'une histoire inédite de Vienne, sous les douze Césars, par Trebonius Rufi, sénateur et ancien dumvir de ladite ville; une chronique des Gaules jusqu'en l'an 438 de l'ère chrétienne, date de l'entrée des bourguignons dans Vienne."
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