Paris Jouaust. Librairie des Bibliophiles 1890 In-12 Bradel demi-maroquin bordeaux à coins
Reference : 009166
Edition illustrée tirée à petit nombre, avec une notice et des notes par Auguste Vitu. Frontispice de L. Leloir gravé à l'eau-forte par Champollion. Vignettes et cul de lampes dans le texte. Un des 25 exemplaires numérotés sur chine avec une double épreuve du frontispice, celui-ci augmenté d'une gravure hors texte supplémentaire. >> Reliure de Champs - Stroobants : bradel demi-maroquin bordeaux à coins, encadrement et lettre or au dos lisse, tête dorée, couverture et dos conservés. Très bon 0
Librairie-Galerie Emmanuel Hutin
Emmanuel Hutin
5 rue d'Argenson
75008 Paris
France
01 42 66 38 10
Prix nets. Port en recommandé à la charge du client. Règlement par chèque ou virement. Expédition après réception du paiement.
1929 Couverture souple Paris, éditions de la nouvelle revue française, Gallimard, 1929. 2 volumes in-12, brochés, couverture en deux couleurs, papier cristal de protection d'origine, coiffes inférieures légèrement émoussées. 171(2) pages ; 89(2) pages. Pour l'école des femmes, un des 1200 exemplaires numérotés sur papier Vélin pur fll Lafuma-Navarre (n°700) ; pour Robert, un des 1000 exemplaires numérotés sur papier Vélin pur fll Lafuma-Navarre (n°111). Très bon état intérieur. Bons exemplaires de cette édition originale.
Très bon
Stéréotype d'Herhan 1805 in16. 1805. Relié. l'école des maris les facheux école es femmes la critique de l'école des femmes l'impromptu de Versailles la princesse d'Elide le mariage forcé
Etat correct couverture frottée tache coin sup. droit en début de livre
PLON. 1920. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 445 Pages - Frontispice en noir et blanc - Un tampon sur la page de titre. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Sommaire : Sganarelle - Don garcie de Navarre - L'école des maris - Les facheux - L'école des femmes - La critique de l'école des femmes.... Classification Dewey : 792-Théâtre
1946 1946. Tirage argentique de l’époque. Un coin frotté. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard.
1946 1946. Tirage argentique de l’époque. GRAND TIRAGE ARGENTIQUE DE L'ÉPOQUE. Portrait de Dominique Blanchar capturé par Brassaï dans les coulisses du Théâtre de l'Athénée lors des préparatifs pour L'École des femmes. Tampon du photographe au dos : "BRASSAÏ / 61, rue du Faubrd St-Jacques / PARIS XIVe / TÉLÉPH : PORT-ROYAL 23-41" En 1936, Louis Jouvet, directeur du théâtre de l'Athénée, crée l'une des premières adaptations modernes de L'École des femmes. S'il nourrissait depuis près de 14 ans le projet de monter la pièce de Molière, Jouvet butait sur les décors : intervient Christian Bérard, qui dessine, en plus de costumes d'un style nouveau un décor mobile mécanique permettant de diviser l'espace scénique en deux lieux différents. C'est dans un premier temps Madeleine Ozeray qui interprète le rôle principal. Mais en 1946, Louis Jouvet repère Dominique dite "Minou" Blanchar, à laquelle il confie le rôle de l'Agnès. Elle l'endossera jusqu'à la mort du metteur en scène (qui lui continuera de jouer Arnolphe) en août 1951. Avec 675 représentations entre 1936 et 1951, la mise en scène accède rapidement au statut de mythe. En 2001-2003, le Théâtre de l'Athénée confiera à Jacques Lasalle la réalisation d'une mise en scène "hommage" de L'École des femmes reprenant le décor de Bérard.