LIBRAIRIE HACHETTE - Collection HISTOIRE DU CONSULAT ET DE L EMPIRE - 1945 - Broché à couverture illustrée. 140 x 225 mm. 348 p. non coupées.
Reference : 4620
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PUF, 1964, pt in-8°, 363 pp, 10 cartes, sources et biblio, tableaux chronologiques, cart. illustré de l'éditeur, soulignures crayon sur 23 pp, bon état (Coll. Nouvelle Clio)
"A la mort de Trajan (117), l'empire romain paraît avoir atteint son plein développement. Cet empereur a soumis la Dacie et stabilisé la frontière en Mésopotamie. Les guerres civiles qui ont troublé le premier siècle semblent conjurées... Hadrien et Antonin travaillent à établir la paix intérieure par de sages mesures et la pax romana est réalisée. Cependant ce n'est qu'une trompeuse apparence. Les causes qui vont donner lieu à la crise qui s'ouvre sous le règne de Marc-Aurèle sont nombreuses : fragilité de l'équilibre péniblement établi entre la force du limes et la pression des Barbares, entre les recettes et les dépenses de l'Etat, entre la production et la consommation, entre les campagnes et les villes, entre l'autorité du Sénat et le pouvoir impérial. De fait les guerres civiles vont reprendre au IIIe siècle. L'anarchie intérieure qui en est la conséquence va augmenter la crise économique, en sorte que l'empire sera menacé de dislocation. Le règne de Dioclétien (284-305) arrête pour un temps la crise. Cet empereur veut restaurer l'empire, mais les événements modifient ses réformes et donnent naissance à la monarchie héréditaire avec Constantin qui établit un gouvernement qui se veut chrétien. La succession des souverains devient plus normale. Par contre les intrigues de cour succèdent à l'anarchie militaire et la lutte contre les chrétiens fait place aux querelles de ceux-ci entre eux ; les problèmes économiques se modifient par l'institution du colonat et du patronat ; les Barbares s'installent d'abord pacifiquement dans l'empire et créent ainsi un problème intérieur inquiétant. Et surtout l'empire est disloqué. Tandis que la partie occidentale succombe sous le poids des invasions barbares, la partie orientale, sous le gouvernement de Constantinople, la nouvelle Rome, jouit d'une paix relative qui lui permet de se développer normalement grâce à ses structures politiques, à sa richesse et à la puissance de l'État. Sa faiblesse lui vient de la désaffection de plus en plus grande des provinces orientales : Syrie, Palestine et Egypte. Mais c'est toujours l'empire romain qui continue. Pour l'auteur, la crise s'étend du règne de Marc-Aurèle à la mort d'Anastase (518). La restauration, amorcée par Justin Ier, sera l'œuvre de son neveu Justinien. (...) M. Rémondon expose les faits et leurs conséquences dans une étude nécessairement concentrée en raison des multiples questions traitées, mais il le fait avec une grande clarté que soulignent les titres et les sous-titres et le recours fréquent aux sources. Il était difficile de faire mieux et nous ne pouvons que le féliciter de sa réussite." (Raymond Janin, Revue des études byzantines, 1965)
PUF, 1970, pt in-8°, 363 pp, 10 cartes, biblio, qqs soulignures crayon, cart. éditeur lég. abîmé, état correct (Coll. Nouvelle Clio)
"A la mort de Trajan (117), l'empire romain paraît avoir atteint son plein développement. Cet empereur a soumis la Dacie et stabilisé la frontière en Mésopotamie. Les guerres civiles qui ont troublé le premier siècle semblent conjurées... Hadrien et Antonin travaillent à établir la paix intérieure par de sages mesures et la pax romana est réalisée. Cependant ce n'est qu'une trompeuse apparence. Les causes qui vont donner lieu à la crise qui s'ouvre sous le règne de Marc-Aurèle sont nombreuses : fragilité de l'équilibre péniblement établi entre la force du limes et la pression des Barbares, entre les recettes et les dépenses de l'Etat, entre la production et la consommation, entre les campagnes et les villes, entre l'autorité du Sénat et le pouvoir impérial. De fait les guerres civiles vont reprendre au IIIe siècle. L'anarchie intérieure qui en est la conséquence va augmenter la crise économique, en sorte que l'empire sera menacé de dislocation. Le règne de Dioclétien (284-305) arrête pour un temps la crise. Cet empereur veut restaurer l'empire, mais les événements modifient ses réformes et donnent naissance à la monarchie héréditaire avec Constantin qui établit un gouvernement qui se veut chrétien. La succession des souverains devient plus normale. Par contre les intrigues de cour succèdent à l'anarchie militaire et la lutte contre les chrétiens fait place aux querelles de ceux-ci entre eux ; les problèmes économiques se modifient par l'institution du colonat et du patronat ; les Barbares s'installent d'abord pacifiquement dans l'empire et créent ainsi un problème intérieur inquiétant. Et surtout l'empire est disloqué. Tandis que la partie occidentale succombe sous le poids des invasions barbares, la partie orientale, sous le gouvernement de Constantinople, la nouvelle Rome, jouit d'une paix relative qui lui permet de se développer normalement grâce à ses structures politiques, à sa richesse et à la puissance de l'État. Sa faiblesse lui vient de la désaffection de plus en plus grande des provinces orientales : Syrie, Palestine et Egypte. Mais c'est toujours l'empire romain qui continue. Pour l'auteur, la crise s'étend du règne de Marc-Aurèle à la mort d'Anastase (518). La restauration, amorcée par Justin Ier, sera l'œuvre de son neveu Justinien. (...) M. Rémondon expose les faits et leurs conséquences dans une étude nécessairement concentrée en raison des multiples questions traitées, mais il le fait avec une grande clarté que soulignent les titres et les sous-titres et le recours fréquent aux sources. Il était difficile de faire mieux et nous ne pouvons que le féliciter de sa réussite." (Raymond Janin, Revue des études byzantines, 1965)
Points Hoistoire In-12° , brochés 313 et 252 pages , cartes et plans bon ensemble , deux volumes vendus non séparéments .
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AU BUREAU DU JOURNAL. 15 JUILLET 1932. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 129 à 256.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : René BENJAMIN. Charles Maurras, ce fils de la Mer. I. Charles BENOIST de l’institut. Ce que pourrait faire la Monarchie. II. Pierre LAFUE. La Dernière crise de l'Empire allemand. Abbé de VËRI. Le Cardinal de Rohan et l’Affaire du Collier. Journal inédit, publié par Jehan de Witte. Jack LONDON. La Petite Dame de la Grande Maison ( roman). IV.LES IDÉES & LES FAITSLectures, par Henri MassisLA VIE A .L’ÉTRANGER. — Saint-Brice : Les Palirtbdies de Lausanne.LES LETTRES. — André Rousseaux : Fin de saison,LA VIE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE. — Firmin Bacconnier : Une explication de la crise mondiale.CHRONIQUE DE LA QUINZAINE. — Abel Manouvriez : Me Henri Gêraud. — Lucien Dubech : Le Théâtre : L’École des Bourgeois, à la Comédie-Française. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, Librairie Hachette, 1949. Réédition. Coll. "Histoire du Consulat et de l'Empire", vol. 10. In-8 broché, couverture ill., 348 p. Bon état.