1925 in-12, 193pp., br. Paris Renaissance du livre (c.1925),
Reference : 2578
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S.l., 1788 in-8, 43 pp., dérelié.
Il est juste que le Tiers ait un nombre de députés égal à celui des deux premiers ordres. Il doit être libre de choisir ses députés aux Etats provinciaux. Puisque le roi veut réformer la nation en convoquant les Etats Généraux, il paraît normal de réformer les états particuliers des provinces.
Versailles, Imprimerie du Roi, département de la guerre, [1774]; in-folio, titre, 67 pp., en feuilles, cousu, manque de papier sur la page de titre, avec perte de lettres à l'adresse. Défraichi. Manque à la page de titre.
Créés par l'Ordonnnance du 4 août 1771, les régiments provinciaux succédaient aux milices permanentes (ordonnance de juillet 1726). Leur courte durée d'existence (ils furent supprimés en 1791) n'empêcha pas la multiplication des règlements organisant leur compositon et leur activité. Notre ordonnance, la troisième depuis 1771, prévoit 105 bataillons formant 48 régiments, dont 10 à 3 bataillons, 37 à 2 bataillons et 1 à 1 bataillon. Chaque bataillon reste à 710 hommes avec une formation en 8 compagnies. Il y aura encore trois ordonnance sur le sujet en 1775, puis 1778. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
In-4, broché, sans couverture, 30, (1) f. blanc, bandeau gravé. Amiens, Jean Baptiste Caron, 1789.
Edition originale de cette requête adressée au roi, pour donner suite aux délibérations de la ville de Montdidier. Suivant l'exemple du Dauphiné, la Picardie divisée en trois bailliages (Montdidier, Péronne et Roye) souhaite remplacer l'assemblée des pays d'Etats par des Etats Provinciaux. "L'établissement d'Etats provinciaux, dont la composition plus sage et plus égale que celle des Pays d'Etat (...) en un mot d'Etats provinciaux semblables à ceux que la bonté du roi vient d'établir en Dauphiné en conservant toute la gradation établie dans l'organisation des administrations provinciales" (p. 13).Cette délibération fut prise à la suite d'un discours de Cousin de Beaumesnil, procureur du roi à la ville, discours qui occupe 23 pages. En fin, liste exhaustive de tous les députés par profession et par corporation.(Cf. Victor de Beauvillé, Histoire de la ville de Montdidier, III, p. 330).(Conlon, 'Siècle des Lumières', 89:3933. Labarre, VI, 280. Macqueron, II, p. 191, n°8169).Très bon exemplaire.
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, , 1757. In-12 de VI-138 pp., veau havane marbré, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Deuxième édition en partie originale, remaniée et augmentée, la première sous ce titre. L'édition originale, également anonyme, parut en 1750 sous le titre Mémoire concernant l'utilité des États provinciaux relativement à l'autorité royale, aux finances, au bonheur, & à l'avantage des peuples, attribuée à tort par Barbier à l'abbé Constantin de la Verdière.Le texte est précédé de Lettre à M. de S.C. où Mirabeau précise être l'auteur de la version de 1750. Il sera réédité l'année suivante (1758) en guise de tome IV de L'Ami des hommes sous le titre Précis de l'organisation ou Mémoire sur les États provinciaux. « Les États provinciaux sont tout à l'avantage du peuple - particulièrement en ce qui concerne l'administration fiscale, et du roi - beaucoup mieux servi et obéi dans les pays d'état que dans les pays d'élection - et les moyens d'exécution en sont très faciles. Mais la monarchie « féodale » est la seule qui puisse être solide. C'est seulement dans l'introduction de cet ouvrage que l'on commence à sentir l'influence de Quesnay. En effet, Mirabeau n'a pas encore abandonné cette distinction des ordres de l'Etat, dont le système physiocratique sera la négation implicite ».INED, 3203 ; Henri Ripert, Le Marquis de Mirabeau, ses théories politiques et économiques. Thèse - 1901 ; manque à Kress et Einaudi.
À Paris, de l'Imprimerie Royale, 1778 in-4, 6 pp.