‎PIROTTE (Jean-Claude)‎
‎SI LA POESIE VIENT.‎

‎ Paris, Tschann, 1992. Un dépliant de vergé vert tendre, 190 x 105 mm. Vœux pour 1993 de la librairie Tschann. Le poème de Pirotte compte 13 lignes. Peu fréquent. ‎

Reference : 10313


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‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎VAUDOYER, Jean-Louis‎

Reference : 63957

(1929)

‎[ Manuscrit autographe signé d'un article sur Théodore Aubanel ] Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".‎

‎Manuscrit autographe signé de 2 pages format 25 x21 cm, s.d. [1929 ] : Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".‎


‎Beau manuscrit autographe signé de Jean-Louis Vaudoyer de son bel article consacré au grand poète du Félibrige, Théodore Aubanel (1829-1886). Il y évoque notamment la figure de Jenny Manivet dite "Zani", premier amour du poète avignonnais. On joint une carte postale ancienne du monument de Théodore Aubanel à Avignon.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR250.00 (€250.00 )

‎Keller A. & Collectif‎

Reference : RO80250378

(1902)

‎Le Tutu, n°82 (14 octobre 1902) : Encore les congrégations / Méfiance / Salle de rédaction / Ce qui vient de la flûte / Le quart d'heure de Rabelais / Ô poésie / Souvenirs et regrets /...‎

‎Imprimerie spéciale du Tutu. 1902. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pages 1167 à 1174. Nombreuses illustrations monochromes dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Encore les congrégations / Méfiance / Salle de rédaction / Ce qui vient de la flûte / Le quart d'heure de Rabelais / Ô poésie / Souvenirs et regrets /... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Bonnard Abel‎

Reference : 100068123

(1906)

‎Les familiers - nouvelle édition - cet ouvrage vient d'obtenir le prix national de poésie 1906‎

‎Société française d'imprimerie et de librairie 1906 in12. 1906. Relié.‎


‎EDITION autour de 1906 Très Bon Etat de conservation dorure sur tranche de tête relié depuis l'édition originale couverture d'origine conservée intérieur propre uniformément jauni reliure en très bonne condition‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR57.00 (€57.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110024043

(1844)

‎EXTRAIT DE LA REVUE PITTORESQUE - MUSEE LITTERAIRE ILLUSTRE PAR LES PREMIERS ARTISTES. TOME 2 - LIVRAISON N° 3. CECILE OU UNE FEMME HEUREUSE PAR EUGENE SUE. LE BIEN VIENT EN DORMANT (POESIE) PAR GIRAULT. KERNOK LE CORSAIRE PAR EUGENE SUE.‎

‎PARIS, 37 RUE NEUVE-SAINTE-AUGUSTIN. 1844. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 62 à 104. Illustrée de nombreuses gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎


‎ Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎

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