‎JANMOT Louis (Lyon 1814 - 1892).-‎
‎L'Ame, poème.-‎

‎Lyon. Aimé Vingtrinier. 1854. In-12 (108 x 177mm) broché, sans couverture, tiré d'un recueil factice, 2ff., 107, 1 pages. Des rousseurs sinon bon état. Rare.‎

Reference : ORD-5354


‎Peintre mystique, condisciple d'Ozanam au Collège Royal de Lyon, il participe à l'atelier de Bonnefond, puis à ceux d'Ingres et d'Orsel. Une de ses oeuvres Fleur des champs attire l'attention de Baudelaire au salon de 1845. Le texte que nous présentons accompagne, sans la décrire, la série de 18 tableaux intitulée Le Poème de l'âme terminée la même année, en 1854, suite d'un mysticisme et d'une étrange poésie bien décrits par Théophile Gautier, mais qui n'obtint aucun succès à l'Exposition Universelle de 1855, malgré l'avis de Delacroix. (Renseignements tirés de Bénézit, VI, 33). ‎

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‎JANMONT (Louis).-‎

Reference : 38879

‎L'Ame. Poème.‎

‎ Lyon, Vingtrinier, 1854, petit in 8° relié demi-chagrin aubergine, dos à faux nerfs orné de doubles filets dorées et de filets pointillées, plat supérieur de couverture conservé, 109 pages ; quelques petites rousseurs éparses ; menus frottis. ‎


‎Charmant exemplaire de cerarissime ouvrage. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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‎NORVINS (M. de) ‎

Reference : 1304

‎L'immortalité de l'âme, poème en quatre chants. ‎

‎P., Ladvocat, 1822. In 8 demi-basane fauve, 424 pp. ‎


‎Religions naturelles des barbares, mythologique, chrétienne.‎

Phone number : 0616976289

EUR105.00 (€105.00 )

‎DE SCIBOR RYLSKI, Comtesse ; DENTU, Edouard‎

Reference : 44505

(1872)

‎Mystérieuse correspondance d'une jeune femme exaltée avec l'éditeur Edouard Dentu [ 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est (sic) votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎

‎3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"‎


‎Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...‎

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EUR280.00 (€280.00 )

‎Collectif‎

Reference : RO10022965

(1989)

‎L'oeil n° 407 - Un homme de culture pour une culture de l'homme, propos de Jacques Oudot, recueillis par Gérard Bonnevay, Les collections du Musée des Beaux Arts : quelques jalons pour un portrait par Philippe Durey, Le poème de l'ame de Janmot‎

‎Nouvelle Sedo S.A.. Juin 1989. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 93 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 700-LES ARTS‎


‎Sommaire : Un homme de culture pour une culture de l'homme, propos de Jacques Oudot, recueillis par Gérard Bonnevay, Les collections du Musée des Beaux Arts : quelques jalons pour un portrait par Philippe Durey, Le poème de l'ame de Janmot par Elisabeth Hardouin Fugier Classification Dewey : 700-LES ARTS‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110059444

(1921)

‎MERCURE DE FRANCE N° 559 - TOME CLI - La Pologne a-t-elle son art ? par Jean Topass, L'Ame Noire, la femme chez les Primitifs Centre Africains par le Docteur Louis Huot, Automne doux, poème par Léon Moussinac, L'assiette de Faïence, nouvelle par Hubert‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1 octobre 1921. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 288.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La Pologne a-t-elle son art ? par Jean Topass, L'Ame Noire, la femme chez les Primitifs Centre Africains par le Docteur Louis Huot, Automne doux, poème par Léon Moussinac, L'assiette de Faïence, nouvelle par Hubert Krains, La transmutation de la sociologie par Georges Matisse, De la nécessité d'une discipline poétique par Georges Chennevière Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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