Paris, Gallimard (" Haute Enfance "), 2004. in-12, 128 pages, broche, couverture illustree.
Reference : 12527
Tres bel exemplaire. [CL-5] De la Pologne à Paris, les souvenirs de Sabine de Muralt sont un bel hommage filial à son père, l'historien Carl J. Burckhardt.
Librairie Pique-Puces
Alix Geysels
07 80 01 72 79
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Albin michel 2001 14 5cmx22 5cmx1 7cm. 2001. Broché. 203 pages. Tout le monde fait l'amour.Même Maud même trop. Même Gertrude même mal. Même pas. Clara ne le fait même pas. Clara : Mais comment font les autres ? Tout le monde fait l'amour est le premier roman (d'amour) de la journaliste Pascale Clark Bon Etat
A Paris, chez Didot, 1755. 2 volumes grand in-12 de [4]-542-[2] et [4]-569-[1]pages, plein veau moucheté brun, dos à nerfs ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison bodreaux, tranches rouge.
La genèse du dictionnaire ici présenté est relatée dans l’Avertissement placé en début d’ouvrage : "Ce n’était dans son origine que le répertoire d’un homme de lettres qui se trouvant engagé, par le cours de ses études, à traiter quantité de matières différentes, jettait par écrit les mots obscurs ou douteux, à mesure qu’il avait l’occasion de les éclaircir & ne se proposait que de la facilité de les retrouver au besoin, pour son propre usage…lorsque le hasard lui fit tomber entre les mains le Dictionnaire anglais de Thomas Dyche". Et je cite l'excellent site dicopathe.com: "Pour établir son manuel lexique l’abbé PRÉVOST va donc se servir de ce dictionnaire comme base de travail. D’un côté il va l’enrichir de mots et d’expressions mais, de l’autre, il remarque que “pour le rendre utile, il fallait le réduire à de justes bornes” et il retaille en conséquence l’ensemble pour en faire un ouvrage synthétique, commode et “portatif”. Les mots usuels dont le sens est connu de tous et qui ne prêtent pas à débat ou à interprétation sont absents de l’ouvrage, ce qui justifie cette partie du sous-titre : “dont la signification n’est pas familière à tout le monde”. En revanche, par souci de place et de simplification, ne figure dans cette version aucune indication de prononciation et d’étymologie. Seule l’origine linguistique (gr. pour grec, lat. pour latin, etc.) est parfois indiquée. Subjectif par essence et n’ambitionnant pas d’être exhaustif, ce dictionnaire-lexique renferme, à côté de mots rares et anciens, du vocabulaire technique (marine, industrie, élevage, etc.), comme des termes de médecine, de fauconnerie, d’héraldique ou encore d’astronomie. On y trouve également des mots d’origine “provinciale” et étrangère." Coupe et coins un peu frottés.
1802 Toulouse, Bellegarrigie, Paris, Leclere, 1802 (An X); in-12, pleine basane époque, dos lisse orné; (4), xxiii, 271,(3)pp. Etiquette de “Gille Libraire et M(archan)d Papetier vis-à-vis le Collège Royal à Bourges“, contrecollée à l'intérieur du 2ème plat de la reliure. Edition originale.
Ouvrage attibué à J.E.A. Gosselin par Barbier, mais l'auteur n'aurait été agé que de 15 ans ( cf. Bibliothèque de Toulouse). Quelques traces de mouillure, petit manque à la coiffe inférieure. (CO1)
A PARIS. CHEZ CLAUDE-ANTOINE JOMBERT, FILS AINE, LIBRAIRE. 1773. IN-8 (13,2 X 20 X 3,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE X + (2) ET 460 PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS A CINQ NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE, TRANCHES ROUGES. ILLUSTRE DE 5 PLANCHES REPLIEES HORS-TEXTE. PREMIERE EDITION DE CET OUVRAGE PARU LA MEME ANNEE CHEZ MOSSY A MARSEILLE, ET EGALEMENT CHEZ VINCENT ET JOMBERT A PARIS. IL MANQUE UN FEUILLET DE GARDE, QUELQUES DEFAUTS EXTERIEURS, SINON BON EXEMPLAIRE COLLATIONNE, COMPLET.
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".