Larousse. sans date. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 254p. Nombreuses gravures noir et blanc in texte.. . . . Classification Dewey : 700-LES ARTS
Reference : ROD0030991
Simples entretiens à l'usage de la jeunesse. + table des gravures. Classification Dewey : 700-LES ARTS
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Rudhardt (Ch.), Schipman (Jean), Duvillé (D.), Berger (Richard), Grand'Aigle (H.), Belville (Eugène)
Reference : 5075
Paris, Laurens, [circa 1935]. Un volume in-8 demi toile brune à coins, titre doré, ex-libris sur page de garde. Ouvrage réunissant : Ch. Rudhardt, L'Art de la Peinture, Lois, Métier, Pratique. Paris, Laurens, s.d., 98 pp. + 8 pl. hors-texte. Jean Schipman, L'Art de peindre au couteau. Paris, Laurens, 1935, 64 pp. + 4 pl. dont 2 en couleurs. D. Duvillé, L'Art de concevoir et réaliser l'annonce et l'affiche. Paris, Laurens, 1937, 72 pp., nombreuses illustrations, 2 pl. en couleurs. Richard Berger, La Gravure sur linoléum. Paris, Laurens, 1937, 64 pp., nombreuses illustrations in-texte. H. Grand'Aigle, Les Cent petits métiers du dessin. Paris, Laurens, 1937, 68 pp. Eugène Belville, La Corne et l'ivoire. Paris, Laurens, s.d., 67 pp., nombreuses illustrations. Bel exemplaire.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Skira éditeur, 1947. In/4 cartonnage éditeur, illustrations en noir in-texte et en couleur contrecollées, 155 pages. Premier volume des essais de Psychologie de l’art.
Le musée a imposé une relation nouvelle avec l'œuvre d'art. C'est un phénomène récent, qui date de la période de la Renaissance et qui n'existe qu'en Europe. Cette relation nouvelle délivre les œuvres de leur fonction, ce que Malraux appelle une métamorphose. Un crucifix n'est plus d'abord un crucifix, un portrait n'est plus un portrait de quelqu'un ; l'œuvre d'art avait toujours été une image. Or, pour le musée, il n'y a plus ni vénération, ni ressemblance, ni imagination, décor ou possession, mais des images qui diffèrent des choses et qui se trouvent confrontées en tant que telles. Pour Malraux, l'homme recrée le monde face à Dieu, et conquiert par l'art le sens de sa vie contre l'oubli et la mort. Un musée est un résultat de hasards, c'est un possible mutilé. Le voyage d'art repose sur la mémoire optique qui n'est pas infaillible. Mais aujourd'hui, grâce à la photographie, il est possible d'avoir à disposition les œuvres de toutes les civilisations. Il devient donc possible de confronter toutes les œuvres...
Albert Skira Editeur, Paris, 1950. In/4 broché, couverture rempliée. 246 pages, 8 ff. n. ch. Troisième volume des Essais de psychologie de l’Art, imprimé sur les presses des Maîtres-Imprimeurs Draeger Frères. Très nombreuses reproductions en noir, celles en couleurs tirées à part et contrecollées.
Le musée a imposé une relation nouvelle avec l'œuvre d'art. C'est un phénomène récent, qui date de la période de la Renaissance et qui n'existe qu'en Europe. Cette relation nouvelle délivre les œuvres de leur fonction, ce que Malraux appelle une métamorphose. Un crucifix n'est plus d'abord un crucifix, un portrait n'est plus un portrait de quelqu'un ; l'œuvre d'art avait toujours été une image. Or, pour le musée, il n'y a plus ni vénération, ni ressemblance, ni imagination, décor ou possession, mais des images qui diffèrent des choses et qui se trouvent confrontées en tant que telles. Pour Malraux, l'homme recrée le monde face à Dieu, et conquiert par l'art le sens de sa vie contre l'oubli et la mort. Un musée est un résultat de hasards, c'est un possible mutilé. Le voyage d'art repose sur la mémoire optique qui n'est pas infaillible. Mais aujourd'hui, grâce à la photographie, il est possible d'avoir à disposition les œuvres de toutes les civilisations. Il devient donc possible de confronter toutes les œuvres...
Citadelles & Mazenod, 1994, nouvelle édition revue et augmentée par Jea-Pierre Corteggiani, Alessandro Roccati, deuxième titre de la collection : "L'art et les grandes civilisations" in folio, reliure éditeur et jaquette en couleurs, étui en couleurs de l'éditeur, 622 pages. Illustrations en couleurs. Préface de Nicolas Grimal.
"Les premières manifestations artistiques de l'activité humaine en Egypte remontent aux temps les plus reculés de l'histoire et sont à l'origine d'un art dont nous pouvons suivre sans interruption l'évolution pendant plus de quatre millénaires, jusqu'à l'ultime floraison copte au seuil de l'art chrétien.Au cours de sa longue histoire, l'Egypte a produit les plus grands architectes et bâtisseurs de l'Antiquité, ainsi que d'admirables sculpteurs et peintres, dont les oeuvres maîtresses révèlent un esprit et une richesse d'invention, une sensibilité et une maîtrise qui forcent notre admiration. En inventant et fixant des règles esthétiques qui allaient du schéma le plus simplifié à la déformation la plus savante du corps humain, de la stylisation la plus rigide à l'expression la plus réaliste, les Egyptiens ont créé le premier langage esthétique cohérent de l'histoire de l'art.Aujourd'hui, il suffit d'évoquer l'exceptionnelle durée de cette civilisation, ses monuments enfouis dans les sables et redécouverts depuis deux siècles, les marques qu'elle imprima si fortement sur les civilisations qui lui succédèrent à travers l'Occident... Aussitôt, revivent temples et tombes, masques funéraires et obélisques, sphinx et pyramides, qui déroulent leur long cortège au long du Nil puissant et fertile.L'éditeur propose une édition profondément remaniée de cet ouvrage fondamental qui connaît un succès constant tant auprès des spécialistes de l'art égyptien que de l'amateur ou du voyageur. Grâce à l'iconographie très largement complétée, c'est toute cette civilisation qui revit, dans son éclat et sa diversité."
Skira éditeur, 1948. In/4 cartonnage éditeur, illustrations en noir in-texte et en couleur contrecollées, 155 pages. Deuxiéme volume des essais de Psychologie de l’art.
"Le musée a imposé une relation nouvelle avec l'oeuvre d'art. C'est un phénomène récent, qui date de la période de la Renaissance et qui n'existe qu'en Europe. Cette relation nouvelle délivre les œuvres de leur fonction, ce que Malraux appelle une métamorphose. Un crucifix n'est plus d'abord un crucifix, un portrait n'est plus un portrait de quelqu'un ; l'œuvre d'art avait toujours été une image. Or, pour le musée, il n'y a plus ni vénération, ni ressemblance, ni imagination, décor ou possession, mais des images qui diffèrent des choses et qui se trouvent confrontées en tant que telles. Pour Malraux, l'homme recrée le monde face à Dieu, et conquiert par l'art le sens de sa vie contre l'oubli et la mort. Un musée est un résultat de hasards, c'est un possible mutilé. Le voyage d'art repose sur la mémoire optique qui n'est pas infaillible. Mais aujourd'hui, grâce à la photographie, il est possible d'avoir à disposition les œuvres de toutes les civilisations. Il devient donc possible de confronter toutes les œuvres..."