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LADAME Dr
PROCES CRIMINEL DE LA DERNIERE SORCIERE, BRULEE A GENEVE LE 6 AVRIL 1652
Le Progrès Médical - A. Delahaye et E. Lecrosnier. 1888. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. Plaquette de 52 pages. Etiquette de code sur le dos. Tampon de bibliothèque en page de titre.. . . . Classification Dewey : 133.4-Magie, sorcellerie, démonologie
Reference : RO40173585
'Bibliothèque diabolique', Collection Bourneville. Publié d'après des documents inédits et originaux conservés aux Archives de Genève (N° 3465). Par le Dr Ladame, Visiteur honoraire de la Maison cantonale des aliénés. Classification Dewey : 133.4-Magie, sorcellerie, démonologie
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Procès criminel de la dernière sorcière brulée à Genève le 6 avril 1652. Bibliothèque diabolique (collection Bourneville)
Paris, aux bureaux du Progès médical, A. Delahaye, 1888, in-8, XII-52 pp, Demi-chagrin rouge postérieur, dos lisse avec titre doré, couvertures d'origine conservées, Édition originale. Retranscription de la procédure judiciaire menée contre Michée Chauderon, conservée aux Archives d'état de Genève. Michée Chauderon, savoyarde âgée de 50 ans environ, est l'une des rares victimes de la grande chasse aux sorcières dont le nom est passé à la postérité ; en effet, les pièces des procès de sorciers étaient en général brûlées avec le corps des criminels, tout comme leur état civil et leurs possessions. Son cas est également exceptionnel car il s'agit de la toute dernière sorcière condamnée à Genève. Sa procédure criminelle, conservée dans une enveloppe portant le n° 3465, est quant à elle typique des procès en sorcellerie : Michée Chauderon est arrêtée et jetée dans les prisons de la cité, après avoir été accusée d'empoisonnement par deux jeunes filles de son village ; elle subit un interrogatoire et l'examen médical destiné à rechercher, sur son corps, la marque du diable ; les chirurgiens la trouvent "trois doigts sous la mamelle droite" après y avoir enfoncé une aiguille longue d'un grand doigt sans qu'elle n'éprouve de douleur et sans écoulement de sang. Elle est menée dans la chambre de la question, où elle subit l'épreuve de l'estrapade à plusieurs reprises, jusqu'à produire les aveux. Elle est ainsi condamnée à être pendue, étranglée puis brûlée place Plainpalais le 6 avril 1652. Bel exemplaire, une trace de brûlure touchant les dix premières pages (couverture, faux-titre, page de titre et préface). Caillet II, 5944. Dorbon, n° 2429. Couverture rigide
Bon XII-52 pp
Procès criminel de la dernière sorcière brulée à Genève le 6 avril 1652. Bibliothèque diabolique (collection Bourneville)
Paris, aux bureaux du Progès médical, A. Delahaye, 1888, in-8, XII-52 pp, Broché, couverture imprimée en rouge et noir de l'éditeur, Édition originale. Retranscription de la procédure judiciaire menée contre Michée Chauderon, conservée aux Archives d'état de Genève. Michée Chauderon, savoyarde âgée de 50 ans environ, est l'une des rares victimes de la grande chasse aux sorcières dont le nom est passé à la postérité ; en effet, les pièces des procès de sorciers étaient en général brûlées avec le corps des criminels, tout comme leur état civil et leurs possessions. Son cas est également exceptionnel car il s'agit de la toute dernière sorcière condamnée à Genève. Sa procédure criminelle, conservée dans une enveloppe portant le n° 3465, est quant à elle typique des procès en sorcellerie : Michée Chauderon est arrêtée et jetée dans les prisons de la cité, après avoir été accusée d'empoisonnement par deux jeunes filles de son village ; elle subit un interrogatoire et l'examen médical destiné à rechercher, sur son corps, la marque du diable ; les chirurgiens la trouvent "trois doigts sous la mamelle droite" après y avoir enfoncé une aiguille longue d'un grand doigt sans qu'elle n'éprouve de douleur et sans écoulement de sang. Elle est menée dans la chambre de la question, où elle subit l'épreuve de l'estrapade à plusieurs reprises, jusqu'à produire les aveux. Elle est ainsi condamnée à être pendue, étranglée puis brûlée place Plainpalais le 6 avril 1652. Exemplaire justifié à la main : n° 25. En partie non coupé. Dos passé. Caillet II, 5944. Dorbon, n° 2429. Couverture rigide
Bon XII-52 pp.
