France loisirs. 1981. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 410 pages.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO40028000
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Tradition Magazine. 2004. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 74 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en monochrome dans le texte.. . . . Classification Dewey : 944.051-Histoire de Napoléon 1er
Sommaire : Le service de santé de la révolution au 1er Empire 1792-1815 - Napoléon et le service de santé, son organisation, ses uniformes, ses médecins - Le service de santé sous la Révolution 1792-1799 - Le service de santé sous le Consulat 1799-1804 - Le service de santé sous l'Empire 1804-1815 - Le service de santé de la garde impériale - Organigrammes du service de santé - Les grandes figures du service de santé - Tableau des officiers de santé tués sous l'Empire - Les uniformes du service de santé - Lexique du service de santé - Quand Monsieur Larrey opère - Sources et bibliographie Classification Dewey : 944.051-Histoire de Napoléon 1er
[s.n.] - Service Central de l'Ingénieur en Chef Compagnie des Chemins de fer de l'Est ; SAUVAGE ; DIETZ, David
Reference : 56071
(1870)
Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) : I : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces
Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) [ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces
Klincksieck, 1996, gr. in-8°, 536 pp, broché, couv. illustrée, bon état
Dans ce livre documenté et foisonnant, Lucien Sabah nous dévoile ses recherches sur le rôle de la franc-maçonnerie pendant la guerre entre 1940 et 1944. Le Service des Sociétés Secrètes fut la police politique que Vichy déchaîna contre les Francs-Maçons, mais aussi contre les démocrates qui ne sa résignaient pas à accepter la défaite de 1940. Les coups que ce service de basse police, si tant est qu'il y eut une « haute police » sous Vichy, a porté à Ia Résistance furent assez rudes pour que la Gestapo en fit son allié dans la lutte que les Nazis entreprirent pour imposer leur joug en France. L'organisation de ce service, Issu des plus mauvais groupes de la Cagoule ou de l'Action Française, voire de le Maçonnerie elle-même pour quelques individualités, son fonctionnement, ses résultats, sont un exemple de ce qu'une dictature peut faire faire à des militants qui n'ont plus de mesure politique ou humaine. Surtout on note une concertation entre les polices politiques que Vichy créa : Police des Questions Juives, Police anticommuniste, Police des Sociétés Secrètes, dont les cadres sont issus de la Cagoule. Il y a unité de conception, unité d'emploi, il y a ici l'illustration de ce que Vichy entendait faire supporter aux Français. Ce travail qui commence par un rappel de ce que fut le réaction sous la IIIe République, débouche sur la lutte contre la Maçonnerie proprement dite, mais aussi sur la mort des époux Basch, le Synarchie, la lutte de Vichy contre l'Église, ou du moins certains de ses membres, etc. On trouve encore la jurisprudence que Vichy voulut imposer pour exclure de la communauté nationale des Français qui croyaient dans l'avenir de leur pays et comment, finalement, par un amalgame curieux, Vichy rapprocha gaullistes, maçons, chrétiens, démocrates, juifs et communistes. — "L'anti-maçonnisme est une tradition française, qui a traverse tout le XIXe siècle. Des le mois d'août 1940, elle devint une des composantes de l'idéologie de l'Etat français et un des moyens de la prise en mains des Français. C'est cette histoire que M. Sabah a reconstituée en dépouillant les archives du ministère de l'Intérieur, bribes des papiers du service des Sociétés secrètes de Vichy et surtout procès-verbaux établis par la police, après la Libération. II en résulte un livre, parfois difficile à lire, mais passionnant. 1) Le service des Sociétés secrètes a été institue au cours de l'été 1940, et confié à Bernard Faÿ. (...) L'activité du service ne fut pas négligeable. (...) 2) Ce programme fut doublé d'une véritable opération de police politique, dont la révélation est l'apport le plus original de ce livre. Le service des Sociétés secrètes est doublé, à partir de décembre 1941, d'un service de renseignements maçonniques. Son institution avait été justifiée par la nécessité d'appliquer la loi du 13 août 1940 sur les Sociétés secrètes, en pourchassant les faux déclarants. Ce n'était pas une police parallèle, mais un vrai service de la Préfecture de police, à Paris, qui lui fournit des fonctionnaires, entre 20 et 40 selon le moment. (...) Très vite le dérapage fut sensible. En août 1941, par exemple, Labat transmettait a Vichy des fiches et sur des agents allemands et sur des gaullistes et des communistes (p. 150). Bien des ministres rêvèrent de contrôler un tel appareil, comme Darlan ou Laval. 3) A cet égard, l'apport du livre est important. La politique anti-maçonnique résulte d'une décision volontaire de Pétain : "J'ai créé une police spéciale qui a pour mission de briser la résistance que l'abus des prescriptions légales, la bureaucratie ou l'activité des Sociétés secrètes peuvent faire naître contre la reconstruction nationale", déclara-t-il dans un discours, le 12 août 1941. Quant à Bernard Faÿ, il avait noté ce mot du maréchal: "La Franc-Maçonnerie est le principal responsable de nos malheurs actuels" (p. 56). La marche du service n'échappa point a Pétain. Les fonds secrets venaient du cabinet, remis par le général Laure, la liaison était assurée par le chef du cabinet, Dumoulin de La Barthète, ou par son adjoint Demay. Pétain suivait "personnellement l'exécution de ses instructions concernant les Francs-Maçons" (p. 59). C'était son confident, le Dr Menetrel, qui recevait les dénonciations regroupées par le service anti-maçonnique..." (Jacques Valette, Guerres mondiales et conflits contemporains, 2001) — Lucien Sabah nous dévoile ses recherches sur le rôle de la franc-maçonnerie pendant la guerre entre 1940 et 1944. Il s’était déjà intéressé au rôle de la franc-maçonnerie en Algérie. Après sa thèse d'Etat sur la franc-maçonnerie à Oran, Lucien a poursuivi ses recherches et ses trois ouvrages universitaires forment un tout. Il est également l’auteur d’un ouvrage sur la Synarchie. Pendant la guerre, la franc-maçonnerie est en ligne de mire de la police de Vichy, comme les juifs, les communistes et les résistants. Pétain, avec son double jeu, a trompé les Français, nous dit Lucien Sabah. Il a entraîné le pays dans son sillage jusqu’aux ravages que l’on connaît. En servant l’occupant, il a desservi la défense de la France et détruit une partie de l’âme française... Le général Giraud participe à la fondation de la Cagoule militaire, issue de l’Action Française. Il est arrêté par les Allemands et s’évade avec l’appui du deuxième bureau. Début 1945, il envoie une émissaire négocier avec la Gestapo pour créer des Maquis « gris » afin de lutter contre le rétablissement de la démocratie en France ! Schueller, beau-père de Bettancourt, était le financier de la Cagoule. Michel de Camaret, membre de la cagoule, secrétaire de Méténier – un des responsables du C.I.E (Centre d’Information et d’Etudes, police politique de Vichy) –, voulant se mettre à la disposition de la Gestapo, est poursuivi pour le meurtre du jeune Gazelle au Cendre (village près de Clermont-Ferrand). Il collabore puis deviendra cadre du Front National. Le cousin du Maréchal Leclerc était dans la Milice. Quant au lieutenant-colonel de Lattre de Tassigny, de l’état-major du général Weygand, il était l’agent de liaison du ministre de l’Intérieur, Frot, avec l’Action Française le 6 février 1934 ! Un autre ancien de la Cagoule, Jean Filliol, impliqué dans le massacre d'Oradour sur Glane, mènera une carrière honorable chez L'Oréal-Espagne, après la guerre... Finalement, la République dût au comte François de La Rocque de Severac (1885-1946) d’être sauvée. En effet, le 6 février 1934, les Croix-de-Feu du colonel de la Rocque obliquent de route pour ne pas attaquer le Palais-Bourbon. Militaire (lieutenant-colonel), président des Croix-de-Feu issu des anciens combattants de la Grande Guerre, puis du parti social français, premier parti de masse de la droite française, il entra en résistance et fonda un réseau. Arrêté, déporté, il s’était opposé à l’occupation allemande. Selon son biographe, M. Bourdrel, il aurait appartenu à la franc-maçonnerie. La Cagoule a donné naissance aux polices parallèles de Vichy.
N° 1 de 1972 - grand in-8 broché - revue illustrée
assez bon état assez bon
New York, American Telephone and Telegraph Company, 1979. 8vo. Original full green cloth. The entire volume 43, nr. 2 of ""The Bell System Technical Journal"". Library stamp to pasted down front free end-paper. Minor bumping to extremities. A nice and clean copy. [Entire volume: pp. 809-1367].
First edition of the first description of Bell System's Traffic Service Position System (TSPS). It was designed by Bell Labs in Columbus, Ohio to replace traditional cord switchboards. Research at Bell Systems was aimed at finding ways to reduce operator labor which at that time was was the largest expenditure when operating a telephone network. ""A new cordless operator position was designed to illustrate how this operator service might be implemented. Trials at New York Telephone Co. demonstrated the feasibility of both the customer dialing of the prefix and the efficiency of the new operator's position. After the trial, a development was started to add such positions, by then known as the ""Traffic Service Position"" [...]. It was an example of the electronic art forcing out the old electromechanical art with many vested interest. The collection of trunks, a ferreed switching network, an SPC, and the positions formed a system called the ""Traffic Service Position System"". Being the first, it was called the ""No. 1 TSPS"". (Chapuis,, 100 Years of Telephone Switching (1878-1978), 1982, p. 170).Articles contained in the Traffic Service Position System No. 1-issue:1. Staehler, R.E." Hayward, W.S. Jr. Traffic Service Position System No. 1: Recent Developments, An Overview. Pp. 1109-1118.2. Bauman, S.M. DiPietro, R.S. Jaeger, R.J. Jr. Remote Trunk Arrangement: Overall Description and Operational Characteristics. Pp. 1119-1135.3. Brune, W.L. Piereth, R.J. Weygand, A.G. Remote Trunk Arrangement and Position Subsystem No. 2: Transmission and Signaling Considerations. Pp. 1137-1165.4. Bulfer, A.F. Gibbons, W.E. Hackett, J.A.Remote Trunk Arrangement: Hardware and Software Implementation. Pp. 1167-1205.5. Berger, M. Dalby, J.C. Jr. Ransom, V.L. Prell, E.M. Automated Coin Toll Service: Overall Description and Operational Characteristics. Pp. 1207-1223.6. Clark, G.T. Streisand, K. Larson, D.H. Station Signaling and Announcement Subsystem: Hardware for Automated Coin Toll Service. Pp. 1225-1249.7. Ahmari, R. Hsu, J.C. Potter, R.L. Reed, S.C.Automated Coin Toll Service: Software. Pp. 1251-1290.8. Youngs, E.A. Bushnell, W.J. Barone-Wing, A. Automated Coin Toll Service: Human Factors Studies. Pp. 1291-1305.9. Stanaway, J.J. Jr. Victor, J.J. Welsch, R.J. Pp. Software Development Tools. Pp. 1307-1333.10. Delatore, J.P. VanHaften, D. Weber, L.A. System Verification and Evaluation Procedures. Pp. 1335-1346.11. Riddell, G. Swanson, C.R. Steinbrenner, R.T. Operator Training Facilities. Pp. 1347-1357.