‎ABOUT PHILIPPE‎
‎PAR AMOUR POUR ELLE‎

‎EDITIONS DES REMPARTS. 1975. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 224 pages.. . . . Classification Dewey : 843.085-Le roman sentimental‎

Reference : RO30029028


‎Collection Mirabelle. Classification Dewey : 843.085-Le roman sentimental‎

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‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎VOISENON (Claude-Henri de Fusée, Abbé du Jard, Abbé de)‎

Reference : 002618

(1879)

‎Contes. Tant mieux pour elle. Le Sultan Misapouf. La Navette d'amour ‎

‎Paris, Isidore Liseux, 1879 ‎


‎Petit in-12 (155 x 101 mm), XII - 207 pp - (1) pp. Table, demi-maroquin bleu marine, coins, dos à cinq nerfs orné, tête dorée, non rogné (reliure signée Lanscelin). Contient trois contes : "Tant mieux pour elle, conte plaisant", "Le Sultan Misapouf et la Princesse Grisemine, ou les métamorphoses", et "La Navette d'amour", précédés d'une Notice par Alcide Bonneau. (quelques défauts sur les coins, rousseurs). // Small 12o (155 x 101 mm), XII - 207 pp - (1) pp. Table, dark blue three-quarter morocco, spine tooled raised on five bands, top edge gilt, uncut (binding signed Lanscelin). Contains three tales : "Tant mieux pour elle, conte plaisant", "Le Sultan Misapouf et la Princesse Grisemine, ou les métamorphoses", and "La Navette d'amour". In introduction : a Notice by Alcide Bonneau. ‎

Phone number : 01 43 59 28 11

EUR300.00 (€300.00 )

‎Carlos Martinez, Michel Szkaradek, D. Cellura‎

Reference : R110385595

(1977)

‎Détective n° 1595 - Elle paie avec son corps le tueur de son mari par Carlos Martinez, Le sadique a la voiture jaune par Michel Szkaradek, Parricide par amour pour sa mère par Dominique Cellura, Elle castre son amant après une nuit d'amour par Francis‎

‎Editions nuit et jour. 3 mars 1977. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Elle paie avec son corps le tueur de son mari par Carlos Martinez, Le sadique a la voiture jaune par Michel Szkaradek, Parricide par amour pour sa mère par Dominique Cellura, Elle castre son amant après une nuit d'amour par Francis Duriez Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎[POESIE, BIBLIOPHILIE] - VERLAINE - ‎

Reference : 202203036

‎Oeuvres poétiques en 6 volumes: vers de jeunesse poemes saturniens fetes galantes, la bonne chanson/ romances sans paroles, sagesse, jadis et naguere, amour parallelement bonheur, chansons pour elle liturgie intimes odes en son honneur élégies dans les limbes, chair dedicaes epigrammes, invectives poesies diverses. ‎

‎Paris, André Vial , 1948; in-8, br. Les 6 volumes. Aux fortes originales de : Marianne Clouzot, Roger Ferrero, Berthommé Saint-André, Perraudin, Schem, Raoul Serres en 6 volumes sous (3 boitages) numéroté 1700 exemplaire n°1149, tres bel état contient :vers de jeunesse poemes saturniens fetes galantes, la bonne chanson/ romances sans paroles, sagesse, jadis et naguere, amour parallelement bonheur, chansons pour elle liturgie intimes odes en son honneur élégies dans les limbes, chair dedicaes epigrammes, invectives poesies diverses.‎


‎Aux fortes originales de : Marianne Clouzot, Roger Ferrero, Berthommé Saint-André, Perraudin, Schem, Raoul Serres en 6 volumes sous (3 boitages) numéroté 1700 exemplaire n°1149, tres bel état contient :vers de jeunesse poemes saturniens fetes galantes, la bonne chanson/ romances sans paroles, sagesse, jadis et naguere, amour parallelement bonheur, chansons pour elle liturgie intimes odes en son honneur élégies dans les limbes, chair dedicaes epigrammes, invectives poesies diverses.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR130.00 (€130.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086795

(1981)

‎PARIS MATCH N° 1663 - Caroline et Roberto : ils ne cachent même plus qu'ils sont de plus en plus épris, Patricia Empain : par amour pour son mari, elle a choisi de ne plus voir son père, Henri Troyat ne retournera jamais a Moscou pour ne pas abimer‎

‎PARIS MATCH. 10 avril 1981. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 154 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Caroline et Roberto : ils ne cachent même plus qu'ils sont de plus en plus épris, Patricia Empain : par amour pour son mari, elle a choisi de ne plus voir son père, Henri Troyat ne retournera jamais a Moscou pour ne pas abimer sa Russie intérieure par Philippe Bouvard, Victoria Principal : l'héroine de Dallas a renoncé pour faire carrière a sa vie de patachon Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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