‎Spoelberch de Lovenjoul (Vicomte Charles de).‎
‎L.A.S. à un confrère.‎

‎4p., 18 × 11,3, à son chiffre, Bruxelles, 1er août 1895. Au sujet d’une archive musicale… Spoelberch de Lovenjoul constitua une imposante bibliothèque des écrivains du XIXe siècle dont il était spécialiste (Balzac notamment), qu’il légua à l’Institut de France en 1905. Votre aimable proposition me touche beaucoup et je vous suis on ne peut plus obligé d’avoir songé à moi dans cette circonstance. Mais ces documents si intéressants ne rentrent pas dans le cadre de mes recherches et je vous conseille bien vivement si la famille de Mayerbeer ne les désirait pas, de les proposer à M. Nuitter le bibliothécaire de l’Opéra. C’est dans cette bibliothèque que leur place est marquée, me semble-t-il, à côté de tant de souvenirs précieux de tous les librettistes et de tous les grands musiciens dont les chefs-d’œuvre ont paru sur cette grande scène. P.S. Peut-être cela intéresserait-il aussi M. Gaston Calmann Lévy, le plus jeune des trois frères à la tête de cette maison de librairie. Il s’occupe beaucoup de musique et rassemble certains documents et certaines partitions.‎

Reference : 21208


‎‎

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J.-F. Fourcade - Livres anciens et modernes.
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‎BOURRELY, Marius‎

Reference : 63977

(1841)

‎[ 3 lettres autographes signées adressées à Melchior Barthès : ] 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎

‎3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎


‎3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR375.00 (€375.00 )

‎DES CARS Guy‎

Reference : 84188

(1941)

‎Lettre autographe datée et signée adressée à un confrère journaliste et écrivain : "... si cette satanée politique ne bouchait pas toutes les pages ! ...".."‎

‎S.n., Nice 11 Août1941, 21,5x27,5cm, une page recto verso.‎


‎Lettre autographe datée et signée de Guy Des Cars (34 lignes à l'encre bleue depuis Nice, à en-tête du journal l'Alerte, hebdomadaire de la rénovation française) à un confrère écrivain à propos de son ouvrage bientôt terminé mais aussi de l'omniprésence de la politique dans la presse au détriment d'autres sujets, notamment littéraires. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Guy Des Cars sort enfin de son mutisme épistolaire après avoir été malade: "... je me suis installé dans un vieux mas provençal, rôti par le soleil à Cagnes-sur-mer..." afin de faire savoir que son prochain ouvrage sera bientôt achevé: "... je vis là en ermite et mets la dernière main à un nouveau livre, un roman..." Il reconnait être redevable des critiques favorables, dont celles de son correspondant, dans le succès rencontré par son "Officier sans nom"et ne manquera de faire de même lorsqu'il donnera une critique de l'ouvrage de son confrère romancier . En tant que critique littéraire, ildéplore le fait que les articles liés à la politique occupent une grande partie des quotidiens, laissant peu de place aux articles culturels :"... si cette satanée politique ne bouchait pas toutes les pages ! ...", c'est pourquoi il se réjouit d'une prochaine opportunité : "... nous avons d'ailleurs le projet d'augmentation du nombre de pages de l'Alerte... à ce moment nous passerons en vrac, romans et nouvelles..." Enfin, le père de"L'officier sans nom"remercie son confrère tout en raillant son côté un peu bougon: "... Et surtout ne faites pas les gros yeux derrière vos lunettes. Cà ne vous va pas..." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR150.00 (€150.00 )

‎VALERY Paul‎

Reference : 84195

(1942)

‎Lettre autographe datée et signée adressée à un confrère écrivain et journaliste à propos de renseignements fournis pour écrire un article dans le Figaro : "... par les temps qui court, il y en a tellement par le fond qu'on peut supporter mes pauvres rafiots à la surface du Figaro"‎

‎S.n., Château de Montrozier à Gages (Aveyron) 18 Mai 1942, 13,5x21cm, une page recto verso.‎


‎Lettre autographe datée et signée de Paul Valéry adressée à un confrère écrivain et journaliste (33 lignes à l'encre noire sur une page recto-verso depuis le château de Montrozier dans l'Aveyron) à propos notamment d'articles et de leurs rétributions pécuniaires. Une précision manuscrite au crayon bleu concernant le paiement reglé de l'article rédigé par Paul Valéry, trace de pliure inhérente à la mise sous pli.. La lettre est à en-tête du château de Montrozier dans l'Aveyron où séjourna le poète sétois à l'invitation de ses amis Robert et Yvonne de Billy. Paul Valéry remercie : "son cher confrère"de lui avoir fourni des informations : "... je pense être bientôt éclairé sur tous nos points obscurs.." pour matière à rédiger un article. Puis il passe aux formalités financières et évoque les surprises de son voyage : "... mon voyage a pris la tournure imprévue d'une tournée. Après Lyon, j'ai été à Sète, à Rodez, et ce sera jeudi à Limoges..." Enfin, il demande à son correspondant de le tenir au courant des éventuelles conséquences de son précédent article : "... si les choses humaines excitent des réctions quelconques, j'aimerais assez en être informé..." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR350.00 (€350.00 )

‎DOUCET, Camille ; MONVAL, Georges ; DELPIT, Albert‎

Reference : 65128

(1885)

‎[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée de l'écrivain Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ] ‎

‎[ 3 L.A.S. adressées à Mlle Simone Arnaud Delage ] Lettre autographe signée de Camille Doucet, de l'Académie Française, 1 page à en-tête de l'Institut de France sous enveloppe marquée "Académie Française", datée du 25 mai 1885 : "Mademoiselle et chère confrère, Rien de plus touchant et de plus dramatique que votre Roche "Mengan", j'en suis encore tout ému & je m'empresse de joindre mes très sincères compliments aux remerciements que je vous dois pour votre bon et gracieux souvenir" ; Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, datée du 12 février 1883, 1 page sous enveloppe : "Mademoiselle, J'ai l'honneur de vous informer que, dans sa séance du 8 février, le Comité d'Administration du Théâtre Français a pris connaissance du rapport fait par la Commission d'examen sur votre comédie : "Mademoiselle du Vigean". J'ai en même temps le plaisir de vous annoncer que le Comité, s'associant aux conclusions de ce rapport, a réservé votre ouvrage pour l'envoyer devant le Comité de Lecture" ; Lettre autographe signée d'Albert Delpit, 4 pages sous enveloppe : "Mademoiselle, j'irai vous voir demain. [ ... ] Il est fort possible que je ne sois pas libre à 4 h ; mais plus tard. Et j'ai besoin de vous voir car j'ai des conseils importants à vous donner sur Jane Grey. Voulez-vous que nous admettions ceci ? Si vous ne receviez rien de moi, demain avant midi, c'est que j'irai rue St Pétersbourg [ ... ] ‎


‎Ensemble de 3 lettres autographes signées adressées à la future Mme Copin-Albancelli, par Camille Doucet, Georges Monval et Albert Delpit.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR295.00 (€295.00 )

‎CORAN (Charles), poète français (1814-1901). ‎

Reference : HCLM67

‎Lettre autographe signée à un confrère. Boulogne sur Seine, 6 Février 1887. 1 p. et demie in-8. ‎

‎Belle lettre. Il remercie son « généreux confrère » pour l’envoi de son ouvrage « Votre souvenir me va au cœur et m’apporte un régal d’esprit. Il faut être vieux, infirme, oublié, pour sentir comme elle le mérite une pareille surprise. Je vous dois déjà deux belles soirées. Le voilà installé sur ma table le joli petit livre ; après vous avoir lu et relu page par page, je vous reprendrai souvent au hasard, pour tromper les heures de soucis. Vous m’appelez un vrai poète, je vous retourne le mot flatteur, accompagné de mes hommages à l’imagination fraiche et sobre qui vous distingue si fort des bizarres d’aujourd’hui… ». Il poursuit en lui précisant qu’il travaille sur une nouvelle édition de ses trois volumes " Poésies" (paru en 1884, incluant I. Onyx. Rimes galantes. II. Élégances. Dernières élégances. III. Sous les rides. Mélanges.). « Ceux que je vous ai adressés n’étaient que victimes de l’imprimeur, je me suis aperçu, à les relire trop tard, qu’ils abondaient de répliques nécessitant des corrections supplémentaires. Il m’a fallu le courage de me revoir encore et de me décider à d’autres tracas. Je pense mettre en librairie au mois de juin… ». ‎


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