s.d. [1925]. 6 pp. in 8° à l’italienne, sur papier rose, quelques rousseurs.
Reference : AMA-153
«Dans le vieux jardin familial, délicieusement pittoresque avec ses massifs de «Bengales» et de fuschias, son mur croulant verdi de mousse…»On joint: Lettre autographe signée, 12 février 1925. 2 p. in 12.
Librairie Les Amazones
Mme Chantal Bigot
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3 pp. in 8°.
Conte, ou souvenir d’enfance? «Mon Pépé, à moi, ‘était pas un pépé comme les autres… On le vénérait; mais ses quatre-vingts ans étant plus candides que mes dix ans de gâchelette délurée, il n’y avait plus que moi pour le prendre au sérieux. Pépé était propriétaire d’un village d’abeilles sis au bout du vergé… — Dis, Pépé, est-ce que les abeilles qui logent dans les chaumières te paient aussi cherde loyer que celles qui demeurent au château de cristal?» Mais à cause de la sécheresse les abeilles meurent. «Mon Pépé eut donc une idée. Le vin ne manquait pas cette année-là… Et les abeilles de Pépé s’arrêtaient de mourir, et tout le jour on les voyait danser de folles rondes…» L’enfant les imite… se fait piquer…
s.d. [1922]. 2 pp. in 4°, sur papier quadrillé.
«Les abeilles sont pour moi un mythe, et il me plait qu’elles le demeurent…»On joint:- Epreuves corrigées.- Lettre autographe signée à Edmond Alphandéry, 6 septembre 1922. 2 pp. in 8°. Elle demande des épreuves.
s.d. 3 pp. in folio.
«O les avettes blondes et noires! O les diligentes, habiles et parfois cruelles petites commères à la robe zébrée d’ambre et de jais! Oui, elles éveillent en moi un étrange et mélancolique souvenir…»On joint: 2 lettres autographes signées (enveloppes) et 2 cartes postales autographes signées, à Alphandéry. 1923-1924
3 pp. in 8°,
Méditation amère sur les abeilles sauvages victimes des hommes. «… Hélas! les travailleuses ont en vain fuit les hommes; je ne rencontre ce bel été que rayons dévastés, autour des abeilles agonisantes… Quand donc la douceur habitera-t-elle le cœur des hommes?»On joint: Lettre autographe signée à Edmond Alphandéry, septembre 1923 (cachet de la poste), 1 p. in 8°. Et carte de visite autographe signée, 3 janvier 1924 (cachet de la poste).
2 pp. in folio.
«J’ai cru longtemps que les abeilles logeaient dans les serrures. La faute en est à un charmant album de Timotée Trimm où j’apppris à lire…»On joint: 3 lettres autographe signées à Edmond Alphandéry. 1922-1924.