‎DIB (Mohammed).‎
‎O Vive.‎

‎Paris Sindbad, coll. "Bibliothèque arabe" 1987 1 vol. broché in-8, broché, couv. à rabats, 133 pp. Edition originale avec un envoi autographe signé de l'auteur "Pour vous, Nathalie Sarraute, en vive admiration, cette [O Vive] (et en souvenir d'une ancienne rencontre à Los Angeles)". Très bon état.‎

Reference : 107990
ISBN : 2727401442


‎‎

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M. Henri Vignes
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‎[Imprimerie G. Rousseaux] - ‎ ‎Capitaine BERNARD Commandant des F.F.I. de Meaux‎

Reference : 60148

(1944)

‎[Affiche originale : ] Forces Françaises de l'Intérieur. Appel à la Population. Meldois. L'heure de la libération a enfin sonné. La Ville de Meaux est aux mains des F.F.I., mais la guerre n'est pas terminée. Nous faisons appel aux sentiments de patriotisme que vous avez manifestés pendant 4 ans. Il faut que tout se passe dans l'ordre et la discipline, notre salut est à ce prix. Tout désordre, tout pillage, toute vengeance personnelle ne pourraient que compromettre l'oeuvre à laquelle nous avons fait le sacrifice de notre vie. Nous ne le tolérerons pas. Par contre, nous prenons l'engagement que la justice implacable suivra son cours. Ceux qui ont aidé les ennemis de notre Patrie, ceux qui sont responsables de la mort ou de l'arrestation de nos compatriotes seront punis. Les femmes et les hommes à qui nous confions l'administration de votre ville ont fait leurs preuves. Tous ont risqué leur existence pour la cause sacrée que nous défendons. Faites-leur confiance, aidez-les, serrez les rangs autour des F.F.I.Vive Meaux, Vive le Général de Gaulle ! Vivent les Alliés, Vive la France immortelle !‎

‎1 afficge format 45 x 55,5 cm, Imprimerie G. Rousseaux, Meaux, s.d. [1944 ]. Rappel du titre complet : [Affiche originale : ] Forces Françaises de l'Intérieur. Appel à la Population. Meldois. L'heure de la libération a enfin sonné. La Ville de Meaux est aux mains des F.F.I., mais la guerre n'est pas terminée. Nous faisons appel aux sentiments de patriotisme que vous avez manifestés pendant 4 ans. Il faut que tout se passe dans l'ordre et la discipline, notre salut est à ce prix. Tout désordre, tout pillage, toute vengeance personnelle ne pourraient que compromettre l'oeuvre à laquelle nous avons fait le sacrifice de notre vie. Nous ne le tolérerons pas. Par contre, nous prenons l'engagement que la justice implacable suivra son cours. Ceux qui ont aidé les ennemis de notre Patrie, ceux qui sont responsables de la mort ou de l'arrestation de nos compatriotes seront punis. Les femmes et les hommes à qui nous confions l'administration de votre ville ont fait leurs preuves. Tous ont risqué leur existence pour la cause sacrée que nous défendons. Faites-leur confiance, aidez-les, serrez les rangs autour des F.F.I.Vive Meaux, Vive le Général de Gaulle ! Vivent les Alliés, Vive la France immortelle !‎


‎Bon état pour cette rare affiche témoignant de la Libération de Meaux, ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎GALIMAND (Lucien), ancien député. ex-officier des Forces Françaises Libres et de l'état-major F.F.I.‎

Reference : 26663

(1948)

‎Vive Pétain, Vive de Gaulle !‎

‎ Editions de la Couronne, 1948, pt in-8°, 260 pp, broché, non coupé, bon état (Coll. Documents politiques). Peu courant‎


‎"Avec “Vive Pétain, Vive de Gaulle”, Lucien Galimand tente, "à l’occasion de quelques souvenirs précis, d’apporter [s]on témoignage dans un procès confus, celui de la France" (p. 239). Il décrit, de façon plus ou moins chronologique, "ce qu’il a vu, ressenti" (p. 7) durant les années de guerre et retrace son parcours qui le mène de Vichy à Londres. Engagé volontaire, le député de Dieppe assiste impuissant à la débâcle française en 1940. Il explique les raisons de la défaite par un mauvais armement, une mauvaise préparation et des mauvaises manoeuvres. Le parlementaire rejoint Vichy et participe aux séances de l’Assemblée nationale. Il prend part au vote accordant les pleins pouvoirs à Pétain. Démobilisé, Lucien Galimand regagne la Normandie... occupée par les Allemands et bombardée par les Britanniques. Il redoute alors le jugement de ses concitoyens : "Bien que je ne me sentisse aucune responsabilité personnelle dans la débâcle, j’avais l’impression de porter, puisque parlementaire, une petite part des responsabilités du régime" (p. 108). Rapidement, Galimand entre dans la Résistance. Arrêté, alors qu'il tentait de rejoindre la France libre via l'Espagne, il est interné au camp de Miranda de Ebro. Libéré, l'auteur gagne l’Angleterre et décrit ses missions au sein des services secrets." (Étienne Marie-Orléach, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 1939-1945) — Par Lucien Galimand (1904-1982), député de la Seine-Inférieure de 1936 à 1942. – "Après la signature de l'armistice, Lucien Galimand entre dans la Résistance. Dès 1941, il organise l'infiltration d'agents dans les services du gouvernement de Vichy, ainsi que dans les services allemands. Recherché activement par la Gestapo, il quitte la France en novembre 1942. Après six mois de captivité en Espagne, il arrive en Angleterre et participe, auprès du colonel Passy, puis à l'état-major du général Koenig, à l'activité des organismes d'unification et de commandement de la Résistance. Il est notamment chargé d'établir les plans d'interruption des communications en vue du débarquement allié. Son activité pendant la guerre lui vaut d'être décoré de la Croix de Guerre 1939-1945 avec six citations, de la Médaille de la Résistance, de la Cross Member of British Empire et d'être promu officier de la Légion d'honneur. (...) Lucien Galimand a publié deux études historiques “Vive Pétain, vive de Gaulle” (1948) et “Origines et déviation du gaullisme” (1950)." (Dictionnaire des parlementaires français de 1940 à 1958) ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎Roubaud, Benjamin (dit Benjamin) ‎

Reference : 25265

‎Le père si tendre avait promis (bis) / De fair’ égorger nos amis (bis) / Mais son coup a manqué / Grâce à nos bons jurés. / Dansons la Carmagnole, / Vive le son, vive le son / Dansons la Carmagnole / Vive le son du Canon.- Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 6 février 1834 LA CARICATURE (JOURNAL)/(N°170)(Planche n°358-359) - Œuvre : Hauteur: 35.5cmx Largeur: 53cm - Image : Hauteur: 29cm x Largeur: 47.5cm - Titre en bas au centre : « Le père si tendre avait promis (bis) // De fair’ égorger nos amis (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos bons jurés. // Dansons la Carmagnole, // Vive le son, vive le son // Dansons la Carmagnole // Vive le son du Canon. » ; indications : en ht à gche : « La caricature (Journal) N°170 », en ht à dte : « Pl. 358 et 359. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Litho. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Inscription - Sur les bâtiments à l'arrière-plan : « COUR D’ASSISES » et « PALAIS DE JUSTICE ». Un des patriotes tient un mât dont le sommet est couronné par un bonnet phrygien, et auquel est accrochée une pancarte portant la mention « Declaration [déclaration] // DU // jury // non // ils ne sont // pas coupables ». Le surnom emblématique de ce procès (« conspiration // de la poele a [poële à] frire ») est inscrit sur une feuille à terre, que les patriotes ne tarderont certainement pas à piétiner. Sur les affiches collées sur le mur à gche : « L’ENRAGE », « Un scandale », « LE [ ?] », « FAUSSAIRE », « scandale », et d’autres titres et inscriptions, illisibles.La foule, composee d’ouvriers, de gardes nationaux, d’etudiants, de journa- listes, danse la farandole autour du Palais de Justice. Philippon bat la mesure devant le Charivari ; a gauche, Persil s’enfuit mais on a attache une poele a frire a la queue de sa robe.‎


‎iconographie:Célébration de l’acquittement des suspects dans la conspiration dite de la poële à frire, et de manière générale, expression de joie face aux diverses relaxes prononcées par la justice dans des affaires de conspiration montées de toutes pièces, d’après la presse d’opposition, par le gouvernement. La scène de la pl. prend place devant le palais de justice, alors que vient d’être rendu le verdict de l’affaire dite de la poële à frire. A gche, deux patriotes jettent par la fenêtre les pièces à conviction, déversées du grand sac du « COMPLOT » : s’y trouvent un fusil, une bouteille, une feuille (sur laquelle l’inscription est illisible), divers ustensiles, un parapluie… Sous la fenêtre, Persil s’enfuit à toutes jambes, en rasant les murs. Mais il n’est pas assez rapide puisqu’un homme est occupé à lui faire une farce en accrochant une poële au bas de sa robe de juge. Il tient sous le bras l’ « acte [d’] // accusation ». C’est la farandole formée par les patriotes en train de fêter la fin heureuse du procès que Persil fuit. Les parties dte et médiane de la composition sont occupées par la représentation de la ronde d’hommes se tenant la main et chantant la chanson formant le titre de la pl. Narguant Persil, au premier plan à gche se trouvent la figure de "La Caricature" (fou portant un bonnet à plumes et grelots et un vêtement à grelots) dansant au son du tintamarre joué par la figure du "Charivari" avec des ustensiles de cuisine. Le titre est teinté d’une note républicaine très prononcée, puisqu’il reprend les premières paroles du chant révolutionnaire La Carmagnole. Les paroles du premier couplet (qui sont, dans le chant original : « Madam’ Veto avait promis (bis) // De faire égorger tout Paris (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos canonniers ») sont adaptées à la situation contemporaine. En revanche, le refrain qui leur fait suite est inchangé, puisqu’il est repris tel quel. Peut-être ce complot dit de la poële à frire fait-il référence au procès des vingt-sept, dont les accusés furent en définitive acquittés.Personnage représenté:Persil, Jean-Charles ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR150.00 (€150.00 )

‎FRANC-NOHAIN.‎

Reference : 1349858

‎Vive la France !‎

‎S.l., Collège de 'pataphysique, CXXX [2003], in-8, br., 94 pp., non coupé. (M.31) ‎


‎Édition originale.Un des 11 japon exécutoire de tête, numérotés de 1 à 11."Le Collège de 'Pataphysique a retrouvé et publie - enfin ! - Vive la France !, la trilogie à grand spectacle de Franc-Nohain qui, après avoir été censurée par Madame la République troisième du nom, avait disparu durant un siècle.Écrite par le jeune Franc-Nohain pour constituer le deuxième spectacle du théâtre des Pantins, après Ubu roi, Vive la France ! fut jouée une fois, à guichets fermés, le 29 mars 1898, après avoir été interdite. La Censure avait certainement perçu l'extrême (im)pertinence de cette opérette pour marionnettes où Dieu en personne arrive en France escorté de l'Ange exterminateur afin d'examiner s'il est judicieux que son Fils, né juif, comme on le sait, prenne la nationalité française. Or on était en pleine affaire Dreyfus, alors que l'acquittement d'Esterhazy, "J'accuse" et le procès Zola venaient de mettre le feu aux poudres...Le théâtre des Pantins était un théâtre de marionnettes animé par Alfred Jarry, le compositeur Claude Terrasse (qui avait installé la salle de son atelier, au 6, rue Ballu), Franc-Nohain, le poète André-Ferdinand Hérold, les peintres Pierre Bonnard, Édouard Vuillard, Félix Vallotton et quelques autres. Il fonctionna trois mois, non sans succès, mais fut anéanti par l'interdiction de Vive la France ! C'est dans les archives de Claude Terrasse qu'a été retrouvée la copie manuscrite sur laquelle est fondée notre édition.L'ouvrage comporte en outre une étude de Philippe Cathé qui retrouva l'œuvre : il décrit la création avortée de la pièce, en s'appuyant sur la correspondance de Franc-Nohain et des articles de l'époque. Une lettre de Barbara Pascarel retrace l'aventure d'une citation qui fit couler beaucoup d'encre ; c'est en effet au deuxième acte de Vive la France ! que "Madame", qui devait s'y connaître, affirme, après Fargue et Gide : "Les capitaines vainqueurs ont une odeur forte."Le tout est préfacé par François Caradec, Régent de notre Collège, grand connaisseur de ce groupement littéraire et éditeur des Poèmes amorphes de Franc-Nohain chez Jean-Jacques Pauvert, en 1969." (Thierry Foulc).L'ouvrage a été épuisé dans la semaine suivant sa parution. ‎

Librairie HURET - Paris
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Phone number : 33 01 40 50 15 40

EUR500.00 (€500.00 )

‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847)- Desperet ou Desperret, Auguste‎

Reference : 25192

(1833)

‎Voyage... vive le rrrroi 1833 - Lithographie, Coloriée -Voyage de la pensée immuable à travers les populations empressées 1-‎

‎ 1833 Planche HT double ,d'une suite de 3, parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 24 octobre 1833 (324-325) • Hauteur: 35.8cmxLargeur: 52.2cmDimensions - Image :Hauteur: 29.4cm xLargeur: 44.8cm.Dimension de la feuille hauteur 346 mm x longueur 522 mm.Description: Titre en ht à dte : « VOYAGE » ; légendes, en bas, de gche à dte: « De ses bienfaits chez nous tout parle : // Que le jour de la paix vienne, et // Notre bonheur sera fait par le // Grand Roâ que chante Viennet. », « Vive le rrrrroî ! Vive le rouâ ! vive le roâ ! Vive l’roué ! viv’ le roué ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°155. », en ht au centre : « Pl. 324 et 325. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie Vero Dodat » [éditeur], « Lith. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « J. J G. invt A D. » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Sur les marches de l’escalier menant au trône, un premier tapis portant des inscriptions : de bas en ht : « PROGRAM […] [PROGRAMME] », « NON // INTERVENTIO […] [INTERVENTION] », « DISSOLUTION // DES GARDES // NATIONAL […] [NATIONALES] », « NATIONALITE // POLONAISE », « ETAT DE // SIEGE // DE PARIS », « MISE EN // LIBE // RTE [LIBERTÉ] de // LA DUCHES […] [DUCHESSE] // [DE BERRY] ». Un second tapis sur le côté : « RESURRECTION // DE L’EDIT DE 1666. », « POURSUITE // DES AMIS // DU PEUPLE », « assommeurs // payés », « PROCES // AUX // JOURNAUX »Description iconographique:Pl. n°1 et 2 du "Voyage de la pensée immuable à travers les populations empressées". Cf. pl. n°3 et 4 (pl. 326-327 du numéro 156) et pl. n°5 et 6 (pl. 328-329 du numéro 157). Représentation de l’accueil réservé au roi par les populations de Lisieux et Evreux, lors de sa visite dans ces villes, en 1833 (Louis-Philippe a effectué un voyage en Normadie du 26 août au 12 septembre. Il s’est notamment rendu à Évreux, Lisieux, Falaise, Granville, Saint-Lô, Cherbourg, Bayeux, Caen, Rouen, Louviers, Le Havre). A gche se trouve le trône royal, au sommet de plusieurs marches. Ses pieds de devant sont sculptés en forme de tête de d’Argout, muni d’une trompe d’éléphant. Les accoudoirs sont sculptés en forme de seringues à clystère, et le dossier est marqué du mongramme de Louis-Philippe (« LP » entrecroisés). Au-dessus du dossier est posé une couronne surmontée d’un lampadaire tenu par Soult et Guizot ( ?). Derrière le trône se trouve un monumental arc de triomphe portant le nom des deux villes accueillantes (« EVREUX. » et « LISIEUX. »). Une frise décorative est composée d’une fleur de lys, d’une seringue à clystère, d’une poire entourée de fleur de lys et d’un coq. Dessous, un bas-relief d’un parapluie croisant une arme, et par-dessus un chapeau portant la cocarde tricolore. Dessous, une poignée de mains. Sur la base de l’arc, un motif de coffre fermé d’un cadenas, et en dessous, des sacs d’écus (« 1,000. »). Devant l’arc de triomphe, au premier plan, Viennet chevauchant un âne. Il tient une lyre en forme de poire entre les mains, porte une redingote dont le dos est marqué de l’inscription « IMPOPULARITE // MEPRIS ». Derrière lui, sur la selle est accroché un rouleau de son « EPÎTRE » surmonté d’un livre. Enfin, une petite plume d’écrivain est accrochée à sa chaussure. Tous ces éléments sont une référence à son ouvrage Epître aux mules de Don Miguel. Au second plan, des membres de la population acclament le roi : « les Constituées et les tamerlans, jusqu’aux femmes idolâtres de la royauté qu’elles ont élevé sur le pavois. » (des femmes vêtues en habit traditionnel). Au centre, au premier plan, des militaires se tiennent bien droit et portent leurs fusils devant eux. L’un, petit, tient un sabre sur le côté. Un autre, grand et peu élégant, derrière le groupe, tient le drapeau tricolore. A l’arrière-plan, une maison à la fenêtre de laquelle sèche du linge.Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Viennet, Jean Pons Guillaume; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron‎


‎Personnages représentés:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Viennet, Jean Pons Guillaume; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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