Broché - 15x20 - 118 pp - 1927 - B. ARTAUD, Grenoble - Illustrations dans le texte.
Reference : 364
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1861 - Paris, Pagnerre, 1861. In-12, XII-298 pages ; des rousseurs, reliure demi chagrin tabac,dos à nerfs, envoi autographe AUTEUR ,bon état.
(Représentant du peuple aux Assemblées constituante et législative) Armand Barbès, condamné à mort en 1839 pour tentative d’insurrection et amnistié par Louis-Philippe, est envoyé au Mont-Saint-Michel le 17 juillet 1839 avec trois autres condamnés dont Martin-Bernard, qui laissera un récit détaillé de son séjour. Blanqui et cinq autres insurgés les rejoignent le 6 février 1840.Les détenus luttent dès leur arrivée contre les rigueurs de l’isolement cellulaire, se parlant par les croisées, les conduits de cheminée et à travers les parois et contactant aussi les habitants du Mont. Barbès, Martin-Bernard et Delsade réussissent à ouvrir les portes de leurs chambres pour se réunir. Découverts en avril 1841, ils sont sanctionnés par un premier emprisonnement dans les loges du Mont. L’administration fait alors équiper leurs cellules du Petit et du Grand Exil de doubles grilles, pour empêcher les prisonniers de s’approcher des croisées. Dans la nuit du 10 au 11 février 1842, Barbès, Blanqui et quelques autres tentent de s’évader, par temps de brouillard, à l’aide d’une corde de draps noués. Barbès descend le premier mais se blesse en tombant et fait échouer la tentative. Tous sont à nouveau enfermés dans les loges où Barbès contracte cette fois la phtisie. Toute la presse d’opposition condamne le régime cellulaire et les doubles grilles.edition of this 'prison-literature' classic: during the trial following his imprisonment together with Blanqui et Barbès for taking part in the Seasons-Uprising ('l'insurrection dite des Saisons') Bernard refused to defend himself in the Chamber of Peers (Chambre des Pairs) calling his opponents ''my enemies, not my judges'' which resulted in his deportation to Mont-Saint-Michel. .
Rouen , Jacques Hérault, 1868, 14x22cm, broché, 37p. Une planche en noir représentant les médailles de Saint-Michel. Bon état général.
1901 Direction de France-Album, mai 1901- In-8, (21x14 cm), format à litalienne, reliure déditeur, 16 feuillets, 32 pages non paginées, sans date, 1 à 4 dessins en noir et blanc par planche
En 1852, Firmin Gillot invente le procédé de la paniconographie - aussi dénommée «gillotage»ou zincographie photomécanique, - pour laquelle il prend un brevet.
Paris, Propriété de l'Auteur, sd, circa 1940, in-12, Demi-parchemin à coins, titre à l'encre noire manuscrite., 224 pages. Couverture conservée. Une photographie du Mont Saint-Michel vu du ciel, par la Compagnie Aérienne Française, a été montée sur onglet en regard de la page de titre. Bon état.
Avranches Tribouillard 1825 -in-12 broché un volume, broché in-douze (paperback in-12) (11 x 18,2 cm), recouvert d'une fausse couverture d'attente d'époque couleur vieux-rose, titre manuscrit au dos à l'encre brune, dos fendu avec léger manque de papier, toutes tranches non rognées, les cahiers restent solidement cousus, imprimé sur beau papier vergé chiffon, orné d'un frontispice gravé sur bois en noir représentant le Mont Saint-Michel au dos de la page de titre, IV + 175 pages, 1823 Avranches Tribouillard Editeur,
La notice sur le Mont-St-Michel occupe les pages 1 à 104. La notice sur Tombelaine occupe les pages 105 à 116. La notice sur Avranches occupe les pages 117 à 175 (fin). Le mont Saint-Michel est situé dans le « pays » de l'Avranchin. C'est un îlot rocheux à lest de lembouchure du Couesnon, lequel se jette dans la Manche. À l'origine, il était connu sous l'appellation de mont Tombe. Il devait y avoir deux oratoires, l'un dédié à saint Symphorien, l'autre à saint Étienne, édifiés par des ermites aux VIe et VIIe siècles, ainsi que le rapporte la Revelatio ecclesiae sancti Michaelis archangeli in Monte Tumba. À la suite de cette première christianisation du mont Tombe, est érigé un oratoire en lhonneur de larchange saint Michel en 708 (709 pour la dédicace), comme l'indiquent les Annales du Mont-Saint-Michel rédigées au début du XIIe siècle. Aubert, évêque d'Avranches, installe sur le site une communauté de douze chanoines pour servir le sanctuaire et accueillir les pèlerins. C'est à cette époque que le mont accueillit, à l'est du rocher, les premiers villageois qui fuyaient les raids vikings. À partir de l'an 710 et pendant tout le Moyen Âge, le mont fut couramment surnommé par les clercs « mont Saint-Michel au péril de la mer » (Mons Sancti Michaeli in periculo mari). En 867, le traité de Compiègne attribue le Cotentin, ainsi que l'Avranchin (bien que ça ne soit pas clairement stipulé), au roi de Bretagne, Salomon. L'Avranchin, tout comme le Cotentin, ne faisaient donc pas partie du territoire normand concédé au chef viking Rollon en 911. Le mont Saint-Michel restait breton, bien que toujours attaché au diocèse d'Avranches, lui-même dans l'antique province ecclésiastique de Rouen, dont la ville principale était aussi devenue capitale de la nouvelle Normandie. Il l'était encore en 933 lorsque Guillaume Ier de Normandie, "dit Guillaume Longue Épée", obtint du roi de France un agrandissement notable de son territoire, avec le Cotentin et l'Avranchin, jusqu'alors contrôlés par les Bretons. Richard Ier de Normandie, fils de Guillaume Longue Épée, eut à cur de poursuivre luvre de réforme monastique de son père et il ordonna aux chanoines à qui le Mont avait été confié de renoncer à leur vie dissolue ou de quitter les lieux. Tous partirent sauf un, Durand, qui se réforma par amour pour l'archange. C'est ainsi que s'y établirent en 966 des bénédictins issus de différentes abbayes telles, sans doute, Saint-Taurin d'Évreux et Saint-Wandrille. Les pèlerinages sont attestés depuis le IXe siècle.........Note : Frontispice gravé sur bois en face de la p. 1......RARE EXEMPLAIRE.......en bon état (good condition). bon état