relié - 14,5x21 - 232 pp - 1934 - librairie PLON, Paris.édition " histoire de l'art".NOMBREUSES GRAVURES DANS LE TEXTE.
Reference : 1307
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Le Vicomte de Turenne, dont le nom complet était Henri de La Tour d'Auvergne, Vicomte de Turenne, était un général français du XVIIe siècle, largement considéré comme l'un des plus grands tacticiens militaires de l'histoire française. Voici un aperçu de sa vie et de sa carrière : Naissance et Famille : Henri de La Tour d'Auvergne est né le 11 septembre 1611 à Sedan, une ville située dans la principauté de Sedan, qui faisait alors partie des territoires de l'empire espagnol. Il est issu de la noblesse française et était le fils du duc de Bouillon et de la princesse Élisabeth de Nassau, une descendante de Guillaume d'Orange-Nassau. Début de Carrière : Turenne a commencé sa carrière militaire à un jeune âge en participant à la guerre de Trente Ans, un conflit qui a dévasté l'Europe au XVIIe siècle. Il a servi sous les ordres du cardinal de Richelieu et du roi Louis XIII. Carrière sous Louis XIV : Turenne a continué de servir sous le règne de Louis XIV. Il est devenu l'un des généraux les plus talentueux et les plus respectés de l'armée française. Il a dirigé les troupes françaises dans de nombreuses batailles majeures de la guerre de Hollande (1672-1678), notamment la bataille de Turckheim (1675) et la bataille de Sinsheim (1674), remportées par les forces françaises. Conversion au Catholicisme : Turenne est né dans une famille calviniste, mais il a finalement converti au catholicisme en 1668 pour des raisons politiques. Cette conversion lui a permis de conserver son poste et de continuer à servir le roi Louis XIV. Mort en Campagne : Turenne est mort tragiquement sur le champ de bataille en 1675, lors de la bataille de Salzbach (également connue sous le nom de bataille de Turckheim), en Alsace, pendant la guerre de Hollande. Une boulet de canon l'a tué instantanément. Sa mort a été une perte majeure pour l'armée française, et le roi Louis XIV a exprimé sa grande tristesse à la nouvelle de son décès. Héritage : Le Vicomte de Turenne est souvent considéré comme l'un des plus grands généraux de l'histoire française. Il est respecté pour ses compétences tactiques, sa capacité à manœuvrer sur le champ de bataille et sa discipline militaire. Sa mort prématurée a été une perte immense pour la France, et il est commémoré dans l'histoire militaire française comme une figure légendaire. Le Vicomte de Turenne reste une figure emblématique de la France du XVIIe siècle, et son héritage en tant que grand général est toujours célébré aujourd'hui. 8 planches de médailles en taille douce dans le texte. complet deux tomes en un vol in-12, 170x100, relié pleine basane époque, accrocs, solide, frais, 316, 220pp + catalogue des livres. Paris, La Haye, Jean Neaulme, MDCCXXXVIII ref/25/7/8
[1663] Lettre diplomatique dans laquelle Turenne, anticipant sur les événements à venir, préconise le rapide rapatriement dun ambassadeur. Il serait préférable, pense-t-il, …que vous hastiés sil vous plait ce vaisseau de la Rochelle partir afin que cet anbassadeur puisse revenir prontement en cas ou les choses quil proposera succedent comme il espere et je ne doute pas que vous voiés tres bien la conséquence de la diligence du retour avant que les flottes anglaises et hollandaises se mettent en mer…Turenne, mort au champ dhonneur en 1675, connut un statut particulier parmi les plus prestigieux chefs militaires ayant servi la France. Frédéric II, Voltaire, Napoléon, Clausewitz lui rendirent hommage. Le général Weygand, de lAcadémie française, écrivit en 1926 sa biographie : « Un courage moral et une fermeté de caractère exceptionnelle. Or, léquilibre entre les talents et le caractère est justement […] ce qui fait les grands généraux »Turenne combattit presque toute sa vie aux côtés du Grand Condé les ennemis héréditaires de la France, LEspagne, lAngleterre et la Hollande. La plus grande conflagration du XVIIe siècle fut la Guerre de Hollande menée par Louis XIV de 1672 à 1678-79, pendant laquelle Turenne périt au combat. Les flottes anglaises et hollandaises furent défaites par Duquesne. Le traité de Nimègue y mit une fin définitive. De 1661 à 1665, les relations franco-britanniques devinrent compliquées par la restauration de Charles II Stuart sur son trône dAngleterre. La diplomatie officielle de la France fut alors doublée par une diplomatie officieuse confiée à Turenne qui possédait toute la confiance de Charles Stuart ; il contribua ainsi à dissiper les malentendus des deux côtés de la Manche, put mener à bien le mariage de Monsieur (frère du roi) avec Henriette dAngleterre sa cousine, négocia avec habileté le rachat de Dunkerque par la France aux Anglais, etc.
0 Ensemble de 2 lettres manuscrites et une carte signées par le Marquis de Turenne (2 lettres de format: 180mm x 135mm, et une carte de de format: 140mm x 90mm)), adressées à M. Neyre?. Henri-Amédée Sosthène-Paul, hérita du château de Montarnaud en 1893 et du titre de Marquis de Turenne en 1905, il fut ministre plénipotentiaire au Japon et Consul général de France à Québec (1890-1894). Il est le frère de Gabriel Louis, comte de Turenne d'Aynac, Coupvray 1843 - Paris 1907, officier et voyageur français
Très bon Pas de couverture Signé par l'auteur
Flammarion, 1940, pt in-8°, 258 pp, broché, bon état (Coll. Les Grands Cœurs)
En 1929, le général Weygand contribue à une série d'ouvrages consacrés aux "Grands Cœurs" de l'histoire de France (éditions Flammarion) et ce, en rédigeant un livre sur le maréchal de Turenne. Pour l'auteur, il s'agit d'un chef militaire remarquable qui fait référence pour les officiers du moment, en particulier Foch par qui, si on en croit la dédicace, le général Weygand a appréhendé l'influence majeure de ce contemporain de Louis XIII et de Louis XIV. Dans cet ouvrage, on voit le jeune héritier de la maison de Bouillon rentrer au service du royaume de France dès son plus jeune âge et gravir les échelons au rythme des campagnes, d'abord à la tête d'une compagnie, puis d'un régiment avant de se voir confier une armée. Il deviendra un grand tacticien et participera aux grandes évolutions dans la conduite de la guerre au cours de cette période charnière de l'histoire militaire. — "Depuis les Commentaires de César, on sait que les grands hommes de guerre manient souvent la plume comme l'épée. Ce livre !e prouve une fois de plus. Sans aucune affectation ni recherche de style, sans rien qui vise à l'effet, il se révèle comme l'œuvre d'un maître. Il est difficile de mieux saisir et de mieux présenter Turenne. Le libérateur de Varsovie nous le montre sous tous ses aspects, stratège de premier ordre, dont la réflexion et l'expérience grandissent sans cesse le génie, diplomate, quand il le faut, très grand seigneur, malgré sa gaucherie et sa simplicité d'allure, homme profondément bon et d'une haute valeur morale. Il n'a garde d'oublier le chrétien, et le récit de la conversion du grand homme est un des meilleurs endroits du livre. Louis XIV en eut si grande joie, qu'il voulait dépêcher de suite un coursier pour en porter la nouvelle au pape Clément IX. Le pape, de son côté, songea un instant à faire de Turenne un cardinal. Si le héros s'y fut prêté, la chose était faite. Mais il préféra rester à la tête des armées de. Louis XIV... En véritable historien, le général Weygand s'efface entièrement derrière Turenne et le laisse seul apparaître. Mais, sans qu'il le veuille, quelques réflexions, quelques remarques jetées çà et là, trahissent le grand chef, l'homme qui sait observer, prévoir, commander, le patriote soucieux de l'avenir d'un pays, dont il est lui-même une gloire. Ce n'est pas là un des moindres mérites de son ouvrage." (Th. Malley, Revue d'histoire de l'Église de France, 1929) — "D'une très sûre documentation." (Annales sedanaises)
Amsterdam et Leipzig, Arkstée et Merkus, 1771; 3 (sur 4) vol. petits in-8, veau fauve moucheté, dos lisses cloisonnés et fleuronnés, pièces de titre et de tomaison, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches marbrées (reliure de l'époque). Accroc en coiffe inférieure du vol. II, coins abîmés.
Nouvelle édition, en petit format, de cette excellente et spectaculaire biographie, réputée pour la qualité de ses détails, même si elle se concentre surtout sur la vie militaire du héros. Elle était d'abord parue en deux volumes in-4 en 1735. Né en Ecosse, précepteur dans la maison de Bouillon, et converti par les soins de Fénelon en 1709, le jacobite Andrew Michael Ramsay (1693-1743) s'intéressa à cet autre converti célèbre que fut le glorieux Turenne, illustration militaire du siècle précédent. Son travail fut exceptionnellement soigneux pour le genre biographique tel qu'il était pratiqué à l'époque : il recueillit le plus possible de sources primaires sur Turenne (lettres du Maréchal, mémoires du duc d'York, etc.), utilisa les monographies déjà parues (Frémont d'Ablancourt, Langlade), utilisa même le manuscrit de Raguenet (dont l'ouvrage ne sortit qu'après le sien, en 1738), enfin recueillit les témoignages oraux des survivants, ce qui montre un souci méthodologique encore peu répandu. I. [5] ff. n. ch. (titre, dédicace, avertissement), 345 pp., avec 6 planches hors texte (un frontispice et 5 plans en dépliant), ainsi que 3 vignettes en-tête gravées par Schley ou Yver d'après Bernard.II. Titre, 355 pp., [17] pp. n. ch. de table des matières des volumes I & II, avec 7 planches hors texte (un portrait-frontispice gravé par Schley d'après Meissonnier et 6 cartes dépliantes), ainsi que 3 vignettes en-tête.III. Preuves de l'Histoire du vicomte de Turenne. Première partie contenant les Mémoires du vicomte écrits de sa propre main : [2] ff. n. ch., 351 pp.Manque le volume IV qui contient le reste des preuves, mais l'Histoire est complète ainsi que le texte de Turenne.SHF, Bourgeois & André, 1908. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT