‎WALET (Paul).-‎
‎Carnet de fond.‎

‎ La Madeleine, Bimédia, et Office Régional de la Culture et de l'Education Permanente (O.R.C.E.P.), 1990, grand in 8° carré relié pleine toile noire illustrée de l'éditeur, jaquette rhodoïd imprimée (fanée avec petits manques), 39 illustrations photographies. ‎

Reference : 42775


‎ ...................... Photos sur demande ..........................‎

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‎Paul Walet‎

Reference : 79391

ISBN : 2950272029

‎Carnet de fond‎

‎O.R.C.E.P. 1990‎


‎Petit in4, carre, cartonnage toile editeur avec une photo en noir et blanc contrecollee en premiere de couverture, 1990, sous rhodoid en mauvais etat presentant un dos jauni et plusieurs manques, livre bon etat d'usage, coins un peu frottes, tranches tres legerement salies, interieur tres propre avec 39 photos en noir et blanc, Bimedia / Office regional de la culture et de l'education permanente (O.R.C.E.P.)‎

Phone number : 01 424 545 79

EUR18.00 (€18.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO40041500

(1968)

‎Second souffle N°18, 2e trimestre 1968- responsabilites par pierre volait- le ski de fond (suite) par philippe berthe- chronique sportive du 2e trimestre 1968- calendrier federal 1968- calendrier regional de l'ile de france- carnet de la f.f.s.h.p.,...‎

‎ORGANE OFFICIEL DE LA FEDERATION SPORTIVE DES HANDICAPES PHYSIQUES DE FRANCE. 2e trim 1968. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. 19 pages. Quelques illustrations, dans le texte, en noir et blanc. Texte sur deux colonnes. Couverture: Au congres de la federation nationale des plus grands invalides de guerre: Me CLERC commente l'assaut entre MORIN et PRESTAT.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Trimestriel. SOMMAIRE : responsabilites par pierre volait- le ski de fond (suite) par philippe berthe- chronique sportive du 2e trimestre 1968- calendrier federal 1968- calendrier regional de l'ile de france- carnet de la f.f.s.h.p.,.... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO40041502

(1969)

‎Second souffle N°21, avril 1969- le ski de fond (suite) par philippe berthe- un mouvement en marche vers un objectif de vie? le g.p.i.h.- chronique sportive du 1er trimestre 1969- les jeux internationaux de kerpape- le carnet de la f.f.s.h.p. petites ...‎

‎ORGANE OFFICIEL DE LA FEDERATION FRANCAISE DE SPORTS POUR HANDICAPES PHYSIQUES. 1969. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. 20 pages. Quelques illustrations, dans le texte, en noir et blanc. Texte sur deux colonnes. Couverture: Nicole LE MOEL (amputee femorale) championne du combine alpin 1969 - Guy BERTRAND (aveugle) meilleurs temps de l'equipe vitctorieuse du relais de ski nordique.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Trimestriel. SOMMAIRE : le ski de fond (suite) par philippe berthe- un mouvement en marche vers un objectif de vie? le g.p.i.h.- chronique sportive du 1er trimestre 1969- les jeux internationaux de kerpape- le carnet de la f.f.s.h.p. petites annonces- a l'ecoute de nos commissions nationales sportives,.... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

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