Ed. du Seuil, 1998. In-8 cartonnage éditeur. Photographies prises à Paris entre le 6 mai et le 2 juin 1968. Préface de Christian Caujolle. On joint le carton d'invitation au vernissage de l'exposition consacrée au livre et 3 diapositives de photos de Dityvon. E.O. Très bel envoi autographe de Dityvon.
Reference : L3312
la Librairie Les Autodidactes
M. Léon Aichelbaum
53, Rue du Cardinal-Lemoine
75005 Paris
France
01 43 26 95 18
Tous nos prix sont nets. Envois à le charge du destinataire. Pour Paris, Les réservations par téléphone ne pourront excéder 48 heures. Tous nos ouvrages sont garantis complets et en bon état, sauf indication contraire. Nous vous prions de nous excuser de ne pouvoir répondre aux demandes d'ouvrages déjà vendus. Vos règlements effectués par chèques en devises ou en euros hors France devront être majorés de 15 euros. <br />
au bureau du journal. 1964. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 186 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: l'anthropologie rituelle des Tupinamba; Masques modernes et mythes grecs; Raymond Roussel ou les impressions d'une double vue ... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Bureaux des études. 1915. In-8. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 591 pages - plats et contre plats jaspés - titre et année dorés sur le dos.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue fondée en 1856 par des Pères de la compagnie de Jésus - Sommaire : Charles Péguy et la thèse de l'espérance - la politique allemande - Bossuet et la guerre - l'aide au Canada à la France - impressions de guerre - la nouvelle théosophie - Jeanne d'Arc allemande la pucelle d'Orléans de Schiller - les mites - printemps de Londres 1915 - l'induction contre le miracle - l'unique - germanisme et kultur - dixmude. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
AU BUREAU DE LA REVUE. 1928. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. paginé de 306 à 320 - nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - texte sur plusieurs colonnes. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers
Sommaire : Chapuis, vainqueur de Versailles-Paris, dans la cote des jardies / comment Cazenave, capitaine de la section Paloise, a amené son équipe au championnat de France de rugby / les impressions de Borotra, retour de son expédition autour du monde... Classification Dewey : 796.1-Sports divers
Au bureau du journal. 1952. In-Plano. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages augmentées de quelques gravures en noir et blanc dans texte.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
Sommaire: Le premier congrès de la fédération des amicales et le 3ème banquet annuel ont connu un vif succès, impressions d'un jeune hôtelier rouergat en stage en Angleterre... Classification Dewey : 70.1-Journaux
Paris, , 1871. Manuscrit petit in-4 broché (19 x 26 cm) de 61-(2) ff. à 29 lignes en belle page.
Récit manuscrit inédit de la Semaine sanglante daté 26 juin 1871 signé par le docteur Alfred Collineau, membre de l’éphémère Ligue d'union républicaine des droits de Paris (LUR) fondée en avril 1871 pour tenter une médiation et une conciliation entre les Communards et les Versaillais. Le siège se trouvait rue Béranger dans le IIIe arrondissement de Paris dont Collineau était le médecin inspecteur des écoles communales. « À la nouvelle de l’entrée de l’armée régulière dans Paris, fidèles à la mission conciliatrice qu’is s’étaient, dès le principe, imposée les membres de La Ligue de l’Union Républicaine des Droits de Paris, se pressèrent à son siège social rue Béranger n°3 où avait été établi dès la fondation un comité de permanence. Un certain nombre d’entre eux y séjournèrent presque sans désemparer jusqu’à l’issue du combat. J’étais de ceux-là ».Tandis que s’avancent avec les Versaillais les jours les plus terribles de la Commune de Paris, la Ligue entend conserver son rôle de conciliateur malgré les ultimes tentatives des Fédérés : «Mardi 23 mai. On se sépara sans rien conclure de précis. Je me trompe : la démarche des membres du Comité central de la Garde nationale n’avait d’autre but que de rallier au mouvement insurrectionnel la Ligue et ses adhérents. Elle avait donc échoué. Le Comité eut la sagesse de ne pas se laisser entraîner dans ses aventures et la fermeté de s’en tenir strictement au programme nettement défini que la Ligue s’était assigné ». Alors que Paris s’embrase et sombre dans la folie meurtrière, quelques communards veulent témoigner une dernière fois de leur idéal « La commune n’est plus les membres sont dispersés… l’Hôtel de ville va sauter… on y fait entrer du pétrole en abondance… on incendiera d’autres monuments - Lesquels lui demanda-t-on Tout ! répondit-il désespéré… Je vous en conjure citoyens, ne jetez pas sur les ouvriers de Paris, la responsabilité de pareils crimes. Je ne parle pas pour moi je suis membre du Comité Central. Je serai fusillé. J’y suis prêt et je suis homme à commander le feu. Je parle pour nos malheureux frères qui ont été indignement égarés et trompés… il y a dans nos rangs mille prussiens… Si vous croyez pouvoir parvenir jusqu’à Thiers, essayez-le - Comment parvenir jusqu’à M. Thiers ? (…). Collineau d’ajouter : «Avant tout il fallait mettre un frein à ce délire de destruction ».Précieux document inédit sur la Commune de Paris qui montre le rare point de vue d’un membre de la Ligue d'union républicaine des droits de Paris fondée entre autres par le jeune Clemenceau avec Bonvalet (ex-maire du 3e arrondissement) ainsi qu'une réunion d'anciens maires dont les noms apparaissent au bas d'un certificat retranscrit par l'auteur assurant de son plein dévouement lors de ces "sept jours" ; son témoignage est sinon en tout point anonyme, les différents protagonistes n'étant nommés que par leurs initiales. Le docteur Alfred Collineau (1832-1894?) auteur par ailleurs de nombreuses brochures médicales publia en 1872 une Enquête sur la conduite des médecins allemands pendant la guerre de 1870-1871 et une Lettre à mes concitoyens (de Loire atlantique) pour affirmer ses convictions républicaines : « Quelque restreint qu’ait dû rester le champ de notre action, n’est-il pas bon qu’il se soit rencontré mêlé à tous les déchaînements de la force en groupes d’hommes n’ayant d’autres armes que le droit et d’autre drapeau que la liberté ? ».Le Quillec, 2851 (pour la Ligue d'Union Républicaine des Droits de Paris).