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DUTOURD (Jean).
La Fin des Peaux-Rouges.
Ed. Gallimard, 1964. In-8 br. E.O. 1/75 ex. num. sur Pur fil, après 25 Hollande.
Reference : 12216
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5 book(s) with the same title
La fin des Peaux-Rouges
Gallimard Paris 1964. E.O. en S.P. Envoi autographe signé « Pour Pol Vandromme, avec les compliment de Sitting Bull ». Broché in-12, couverture poussiéreuse et dos jauni, intérieur frais
La fin des peaux rouges.
Gallimard Paris 1964. E.O. L’un des 75 ex. sur Pur fil, deuxième papier. Très belle reliure in-8 plein maroquin noir, dos à 5 nerfs richement orné et très légèrement éclairci, tête dorée, couvertures conservées (reliure attribuée à Lavaux)
La Fin des Peaux-Rouges
Couverture souple imprimée.
Paris Gallimard 1964 202 pp. In-12 carré. Broché. Très bel état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE LIMITÉE à 130 exemplaires numérotés. Celui-ci un des XXX exemplaires hors-commerce sur "parcheminé de couleurs" (vert pâle).Exemplaire spécialement imprimé pour son fils Frédéric Dutourd avec un ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ DE L'AUTEUR : "Mon second moi, mon petit gasparin, mon Fecréol, mon Théodore (avant l'opération!), mon disciple préféré et mon meilleur ami" .
La Fin des Peaux-Rouges.
Paris, Gallimard, 1964. In-12 (196 x 130 mm), 202 pp, 2 ff. n. ch. Broché, non rogné, dos légèrement foncé.
Édition originale, un des 30 exemplaires hors commerce réservés à l’auteur spécialement imprimé sur papier vert pâle pour André et Simone Maurois. Il est enrichi d’un très bel envoi autographe «pour André et Simone Maurois, ces petits contes à emporter à Essendiéras et à lire aux moments perdus. Avec ma tendre et filiale affection, Jean Dutourd». Propriété de famille de Simone Maurois, née de Caillavet, le château d’Esssendiéras était devenu la résidence secondaire du couple à la manière du Nohant de George Sand. Le lieu inspira à André Maurois les romans Climats et L’Instinct du bonheur. Émouvant témoignage d’une amitié sans âge. Le style et l’esprit anticonformiste de Jean Dutourd (Paris, 1920-Paris, 2011), capable de passer de l’étude érudite à l’aphorisme mordant, avaient certainement attiré l’attention d’André Maurois. Bien que d’une génération différente (Maurois est né en 1885), les deux hommes nouèrent une amitié forte, d’ordre quasiment filial, dont témoigne la correspondance croisée conservée à la bibliothèque de l’Institut. Philippe Bouvard évoque dans ses Carnets mondains, non sans ironie, les «promenades dominicales et familiales» du jeune écrivain emmenant dans son auto le «noble vieillard». Jean Dutourd rendra hommage à son aîné dans une préface à la réédition d’À la recherche de Marcel Proust(1985) : «André Maurois non seulement connaissait tout, mais encore il comprenait tout.» Il n’eut pas le loisir de croiser son mentor à l’Académie française: il fut élu en 1978, quelques années après la mort de son ami et illustre prédécesseur. Notons cependant qu’il succéda à l’économiste Jacques Rueff qui avait été reçu en son temps par un certain André Maurois… Bulletin des éditions Gallimard joint. Bel exemplaire sur papier de couleur.
La fin des Peaux-rouges
éd. Gallimard 1964 in-12 br., J.D. s’insurge contre la orale des contes traditionnels et décide de les réécrire à sa manière considérant que toute vérité est bonne à dire aux enfants. Édition originale sur vélin de Hollande van Gelder (tirage de tête)
