In-12, broché (dos défr.), 218 p., qqs lég. rouss., portrait frontispice. Paris, Hachette, 1889.
Reference : 13191
Édition originale. Bonne source biographique, par un proche de Thiers à partir de 1870, plusieurs fois député puis sénateur.
Librairie Hatchuel, Livres anciens et rares
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Mazereau et Cie / Dentu 1867 in12. 1867. Broché. Discours prononcés au corps législatif par M. Thiers - Mexique (1864). Question romaine (1865). Les libertés nécessaires (1866). Agriculture (1866). Affaires d'Allemagne (1866) - Avec une lettre adressée aux éditeurs par M. le Comte de Flavigny
couverture ternie frottée rousseurs sur tranche intérieur globalement propre
P., Paulin, Lheureux et Cie, 1859. In-4, reliure époque demi-chagrin bordeaux, sur onglets, dos à 4 nerfs, auteur et titre dorés, [2] f. (titre, faux-titre), 66 cartes gravées montées sur onglet (1 carte se détache légèrement) dont 2 rehaussées en couleurs (20 et 21), certaines doubles.
Les titre et faux-titre de format in-folio on été montés horizontalement. L'exemplaire offre de grandes marges latérales. Bel exemplaire présentant des cartes d'une grande fraicheur. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
P., Paulin, Lheureux et Cie, 1851. In-8, demi-veau vert foncé de l'ép., dos lisse orné de filets dorés, super-libris en pied du dos E.-P. Lévy, XLVIII et 144 pp.
Belle condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
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Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 8 août 1833 (Planche n°301) - Œuvre : Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image :Hauteur: 22.5cm x Largeur: 12cm - Titre en bas au centre : « Mr. THIERS. » ; légende plus bas au centre : « Ainsi appellé [appelé] parcequ’il [parce qu’il] ne fait pas la moitié d’un grand homme. » ; indications : en ht à gche : « Caricature (Journal) N°144. », en ht à dte : « Pl. 301. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6 » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur]Inscription - Sur le socle : « 1/3 » (un tiers)
iconographie:Le titre est un jeu de mot entre le nom « Thiers » et le substantif « tiers », en référence à la petite taille du ministre du commerce et des travaux publics. La pl. représente Thiers en statue de bronze, vêtu à la manière de Napoléon (tricorne, grandes bottes, longue vue) et adoptant l’attitude de l’empereur (il insère la main gche sur le devant de son veston). La pl. évoque la récente installation de la statue de Napoléon sur la colonne Vendôme (représenté en petit caporal, la statue fut exécutée par Charles Émile Seurre, et fut placée au sommet de la colonne le 28 juillet 1833, en présence de Louis-Philippe. Elle avait été enlevée précédemment sous la Restauration) et plaisante sur l’idée que ce n’est pas une statue de Napoléon mais une statue de Thiers qui se trouve au sommet de la colonne. Seulement, l’explication de la pl. précise que les accessoires dont est pourvu Thiers ne sont pas les vrais attributs de Napoléon : il ne s’agit pas des bottes de Marengo mais des bottes de gendarme, le tricorne n’est pas celui d’Austerlitz mais un chapeau de garde municipal. La redingote n’est pas celle de Wagram mais celle d’un agent de police. Il ne s’agit pas de l’épée des Pyramides mais d’une épée de sergent de ville. Enfin, « la lunette qu’il tient à la main n’est pas celle qui se posa sur les clochers de Moscou, c’est la lorgnette dont se sert M. Thiers pour rapprocher de lui les tibias des danseuses de l’Opéra ; enfin les projectiles qui sont groupés à ses pieds, ne sont pas des boulets de Montereau ni de Champaubert, ce sont de simples poires de Saint-Cloud. » (in explication).Personnage représenté: Thiers, AdolpheAuguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €