Alger, Charlot, [1943]. In-8 broché, 239 pp. Edition en partie originale : exemplaire numéroté sur papier vélin.
Reference : 549406
Edition en partie originale, pour sa majeure partie reprenant les " Interviews imaginaires " parus la même année. On trouve cependant la mention "édition originale " sur la 4e de couverture. Dos passé avec petite tache d'eau mais bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Librairie Le Trait d'Union
Mme Catherine Pierrang
168A Avenue Pierre Brossolette
10000 Troyes
France
contact@librairieletraitdunion.fr
+33 (0)3 25 71 67 98
Conditions de vente conformes aux usages du SLAM - Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne et de la LILA - Ligue Internationale de la Librairie Ancienne.
[Claude Viallat ] - Pierre André Benoit / Claude Viallat [PAB]
Reference : DMI-1433
(2005)
Pierre André Benoit, Attendu nulle part, poème accompagné de peintures originales de Claude Viallat, Rivières — Nîmes, septembre 2005, couverture blanche imprimée à rabats, en feuilles, 6 double f., 18,5x18,2cm, papier cristal + emboîtage bleu de l'éditeur. VIII exemplaires. Signé au crayon gris par Claude Viallat au colophon. Édition originale et unique. Il s'agit du 276e livre édité par les Éditions de Rivières initiées par Jean-Paul Martin, petit cousin de Pierre André Benoit, en 2002, dans la continuité des éditions PAB, et le 2e des 13 réalisés par l'artiste nîmois Claude Viallat pour Rivières sur des textes de Pierre André Benoit, Michel Butor, Claude Minière, Gaston Puel, Christian Skimao et Bernard Teulon-Nouailles, entre 2005 et 2011. Le poème de Pierre André Benoit est empreint du nihilisme et du désespoir de solitude caractéristiques de sa poésie intime : "Attendu nulle part nulle part retenu seul s'en aller hélas vers l'inconnu du rien qui lentement tue Le temps si court la faim si grande dire moins pour dire plus dire mal pour dire mieux" Claude Viallat est intervenu directement dans le livre, en regard du poème de PAB, en peignant sur trois feuillets, dont un double- feuillet central, les fameuses empreintes en forme d'éponge, signature de l'artiste depuis 40 ans et marque de sa renommée internationale. On le sait, au sujet, qu’il place au second plan, l’artiste préfère le motif, la répétition et le procédé, révolutionnant ainsi la peinture et son support traditionnel. Le peintre est d'ailleurs à l'origine de nombreux livres d'artistes à tirages très limités dans lesquels il explore ces variations du motif répété, mais aussi des empègues tauromachiques ou des filets. Celui-ci, imprimé à seulement 8 exemplaires et peint 8 fois, est de la plus grande rareté car un nombre infime d'exemplaires a circulé. Il s'agit du dernier exemplaire disponible à Rivières. Il est en parfait état de conservation.
30 mai 1865 | 13.70 x 21.10 cm | une page sur un feuillet
Lettre autographe signée de Charles Baudelaire adressée à Narcisse Ancelle, rédigée à l'encre noire sur un feuillet de papier bleu. Pliures inhérentes à l'envoi, trois infimes petits trous sans atteinte au texte. Cette lettre a été retranscrite dans les Oeuvres complètesvolume 11 publiées en 1949 parL. Conard. Emouvante missive bruxelloise adressée au célèbre notaire familial devenu en 1844 le conseil judicaire de Charles chargé de gérer sa rente et ses dettes exponentielles. Une relation complexe s'établit entre le poète et son tuteur, mêlant nécessité et défiance, mais témoignant néanmoins d'un véritable respect mutuel entre les deux hommes. Cette correspondance, dépourvue de l'affectivité des lettres à sa mère ou des circonvolutions dans ses échanges avec les créanciers, constitue une des plus précieuses sources biographiques du poète. En effet, la dépendance financière de Baudelaire le contraint à une très grande transparence avec son tuteur et chacune de ses lettres à Ancelle résume admirablement ses pérégrinations. Ainsi, cette lettre évoque-t-elle le terrible enlisement du poète en Belgique et son retour sans cesse reporté à Paris: . Lorsqu'il écrit, Baudelaire est encore à Bruxelles à l'Hôtel du Grand Miroir, «28 rue de la Montagne» (mais il ne faut pas écrire le nom de l'hôtel, sinon les lettres ne lui parviennent pas directement), où il se meurt d'ennui, de maladie et de rancur contre un pays dans lequel, innocemment, il croyait trouver la gloire. Cette annonce de départ imminent pour Paris,"Deux ou trois jours après votre réponse je partirai", fait écho à toutes les promesses similaires que le poète adresse depuis près d'un an à ces correspondants. Celle-ci sera avortée, comme toutes les autres car, comme il l'avoue à Ancelle un quelques mois plus tôt, Paris lui «fait une peur de chien». Ce n'est qu'en août 1865 qu'il accomplira un ultime et court séjour en France avant son apoplexie fatale. Son retour, "Je suis très attendu à Paris et à Honfleur"était pourtant motivé par une raison impérieuse: négocier avec un éditeur, grâce à l'intervention de Manet, la publication de son recueil de réflexions sur ses contemporains qu'il a déjà intitulé «mon cur mis à nu» et dont le manuscrit est en partie chez sa mère à Honfleur. Nouvel échec, l'uvre ne paraîtra qu'en 1897, 30 ans après la mort de Baudelaire. Mais c'est sans doute la référenceaux «deux grands tableaux [qu'il veut] expédier à Honfleur», qui donne tout son sel à cette lettre. Baudelaire évoque en effet sa volonté de rapatrier des peintures de sa collection déposés chez divers prêteurs ou restaurateurs, et dont il avait déjà envoyé une liste à Ancelle quelques mois plus tôt. Parmi ceux-ci, quels sont ceux qu'il voulait ramener à sa mère? Le portrait de son père, le Boilly, le Manet, un Constantin Guys? Il n'est fait aucune mention dans les autres lettres de ce transport artistique et du «reste» auquel seront joints les tableaux. Cette volonté d'"expédier à Honfleur" ses biens précieux,témoigne pourtant du désir du poète affaibli de s'installer définitivement dans la «maison-bijou» de sa mère à Honfleur, ilot de sérénité dans lequel Baudelaire rêve d'une paisible retraite où tout ne serait à nouveau «qu'ordre et beauté,luxe, calme et volupté». Il y retournera en effet, paralysé et muet, mais pour une dernière année d'agonie après sa crise syphilitique. L'hôtel du Grand Miroir, quant à lui, restera sa dernière véritable demeure comme cela sera noté le mardi 3 avril 1866, sur le registre des entrants à la Clinique Saint-Jean : « Nom et prénoms : Baudelaire Charles. « Domicile : France et rue de la Montagne, 28. « Profession : homme de lettres. « Maladie : apoplexie. » Belle lettre à celui qui fut à la fois le persécuteur et le protecteur de Baudelaire. Il accompagna le poète jusqu'à sa mort, avant de devenir l'éxécuteur testamentaire de la famille. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Beijing Information. 1983. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 30 pages agrafées - nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Le secrétaire général Hu Yaobang est attendu au Japon - l'entrevue Mao-Staline mémoires d'un vétéran de la diplomatie chinoise - proteger la faune et la flore un dossier sur les réserves naturelles en Chine - relations sino-américaines un courant néfaste - la Grenade : les suites de l'invasion américaine - la démilitarisation de l'espace - le travail de protection - un zoologiste acharné. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
PARIS MATCH. 26 décembre 1959. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 86 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Cet homme vous dit : du flair, et vous faites fortune, Une garde d'honneur pour Annete Emily : la famille Chaplin par rang d'age, Ce but de Marche, ils l'ont tant attendu qu'ils en oublient de faire leurs photos, Sous l'oeil de Louis Philippe, Diane amoureuse, Aujourd'hui je deviens reine Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
[Ponthieu, Le Normant, Dentu, Cosson, Méquignon] - LE JOYAND, Claude François ; SARRAN, Jean-Raimond-Pascal ; DONNADIEU, Gabriel ; LA MENNAIS, Félicité de ; HALLER, Charles-Louis de ; [ LAMENNAIS ]
Reference : 64200
(1821)
Recueil de 5 titres en 1 vol. in-8 reliure demi-basane marron : Pétition concernant la nécessité et les moyens d'effacer toute différence et toute distinction politiques entre les propriétés patrimoniales, adressée à la Chambre des Députés (par Le Joyand). Paris, Ponthieu, 1821, 53 p. [ Suivi de : ] De la nécessité et de la légalité de demandes en indemnité à raison des biens vendus par l’Etat, et de toutes les autres réclamations légitimes à poursuivre par toutes voies et contre qui de droit, au nom d’émigrés ou autres Français dépossédés (par Sarran), Paris, Le Normant, 1821, 319 p. [ Suivi de : ] Développement de la proposition de M. Le Général Donnadieu dans le comité secret du 11 avril 1821, tendant à ce qu’il soit fait une adresse à sa majesté pour la supplier de bien vouloir choisir un autre ministère, attendu que celui actuel est capable et anti-français (par Donnadieu), Paris, J. G. Dentu, 1821, 28 p. [ Suivi de : ] Quelques réflexions sur la censure et sur l’Université (par Lamennais), Paris, Cosson, s.d. [1821], 15 p. [Suivi de : ] Lettre de M. Charles-Louis de Haller, membre du Conseil souverain de Berne à sa famille, pour lui déclarer son retour à l'Église catholique, apostolique et romaine, Deuxième édition, Paris, Méquignon, 1821, 46 p.
Intéressant recueil de 5 titres peu communs publiés sous la Restauration, dont 4 en édition originale. Etat satisfaisant (reliure frottée avec accrocs en mors, première page de titre anciennement restaurée, bon état par ailleurs). Le second titre est signé par Sarran.