‎LUCAS-DUBRETON Jean‎
‎Madrid‎

‎Fayard, Paris 1962, 12x19cm, broché.‎

Reference : 31530


‎Edition originale, un des ex du service de presse. Envoi de l'auteur à son ami Alfred Porché. Bel exemplaire, un ex-dono au stylo bille en tête de la première garde. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎Bessière (Bernard)‎

Reference : 20403

ISBN : 2213031223

‎Histoire de Madrid. ‎

‎ Fayard, 1996. Broché au format 15.5 X 23.5, couverture contre pliée glacée ill. contre plats ill. (cartes), 378 pp., glossaire, Chronologie, index des lieux et monuments, 75 vignettes en noir in text. Très bon état à neuf. ‎


‎Du Siècle d'or à la Movida, de Cervantes à Pedro Almodóvar, Madrid n'a cessé d'attirer les âmes éprises d'idéal et de démesure.C'est en 1561 que Philippe II fit sa capitale de ce gros bourg poussiéreux doté d'une citadelle maure. Dès lors, le destin de Madrid se confond avec celui des dynasties qui s'y sont succédé. Le Madrid des Habsbourg, capitale des Deux-Mondes, à laquelle une pléiade de peintres et d'écrivains donne un prestige universel. Le Madrid des Bourbons, qui lie l'Espagne à la France par un pacte de famille. Puis les heures noires de l'invasion napoléonienne, fixées pour l'éternité par Goya. Une fois le roi intrus chassé, un roi désiré _ puis détesté _ retourne dans la Villa y Corte. En 1860, une gigantesque opération d'urbanisme est mise en chantier, l'ensanche, qui ne s'achève véritablement qu'au seuil de notre siècle. Les élections municipales de 1931 mettent fin à la monarchie, mais bientôt la guerre civile fait de Madrid le symbole d'une lutte désespérée. La longue nuit franquiste s'abat sur l'Espagne avec son lot de frustrations et de censures tandis que toreros et footballeurs deviennent les nouvelles idoles.A la mort de Franco, il était difficile d'imaginer que Madrid deviendrait en si peu de temps la capitale d'un des pays les plus décentralisés d'Europe. Sans aucun doute la Movida madrilena est l'enfant naturel et insolent de la démocratie retrouvée.Je vivais dans un quartierde Madrid, avec des cloches,Avec des horloges, avec des arbres.De là j'apercevaisL'âpre visage de la Castille tel unocéan de cuir [...].Et un matin, tout fut en flammesEt un matin, les brasiersSortirent de terreDévorant les êtres humains.Et à partir de là ce fut le feu,Ce fut la poudre, ce fut le sang.Pablo Neruda, 1936Madrid rappelle cet aphorisme d'Epictète: Tu feras grandir ta ville non pas en élevant les toits de ses demeures, mais en élevant l'âme de ses habitants. Ramón Gómez de la Serna, 1951Madrid me mata.(Madrid me tue [de plaisir].)graffiti du Madrid de la Movida,années 1980Madrid me mata [Madrid me tue], cela veut dire elle me vainc, elle me déborde. Madrid est universelle. C'est une ville ouverte, dans laquelle il y a de la place pour tout le monde et pourtant le Madrilène n'achève jamais son intégration dans l'univers, il vit sa ville comme si elle était le monde.Enrique Tierno Galvan, mai 1985La démocratie n'a pas éveillé Madrid, mais elle a sonné la fin de son cauchemar. Le cauchemar est mort, ce sont maintenant les rêves qui vivent.Antonio Gómez Rufo, 1986Bernard Bessière, professeur à l'université de Toulouse-Le Mirail, ancien membre de la Casa Velazquez de Madrid, a notamment publié Le Défi espagnol (La Manufacture, en collaboration avec Bartolomé Bennassar), La Culture espagnole (L'Harmattan) et Vingt Ans de création espagnole (Nathan). N'hésitez jamais à nous joindre directement. Réponse immédiate pour d'autres titres non répertoriés sur LRB . Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 30 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques ( fractionnement possible) et virement acceptés. Nous accompagnons toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse pour vos propositions de ventes ( chiffrages et partages) .‎

Artlink - Saint-Haon-le-Vieux

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‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10081144

(1903)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 3144 - Gravures: la course Paris-Madrid, l'accident de Libourne, les débris de la voiture de M.Loraine-Barrow et le corps du mécanicien par L.Sabattier - une fete au pavillon des muses - la course Paris-Madrid, les deux‎

‎Au bureau du journal. 30 mai 1903. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 358 à 371 - avec couverture et pages publicitaires.. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Gravures: la course Paris-Madrid, l'accident de Libourne, les débris de la voiture de M.Loraine-Barrow et le corps du mécanicien par L.Sabattier - une fete au pavillon des muses - la course Paris-Madrid, les deux accidents d'Angouleme - la course Paris-Madrid: l'accident de M.Marcel Renault à Couhe-Verac (Vienne) - sur la route de Versailles pour voir le départ de la course Paris-Madrid par Scott - la course Paris-Madrid, les vainqueurs à Bordeaux / Articles: les petites faiblesses par Michel Corday - un coin de pesage à chantilly le jour du derby par Odette - un fruit exotique devenu populaire: la banane Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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EUR49.50 (€49.50 )

‎BROCHET Olivier (et autres) ‎

Reference : QWA-18656

‎Livre d'or des Poilus de Madrid - A la rencontre des 57 Français de Madrid morts pendant la Grande Guerre ‎

‎Lycée Français de Madrid / Ambassade de France, 2019, gr. in-8 rel. cart. (20,5 x 25), 155 p., très bon état. ‎


‎Ce livre accompagne un projet, porté depuis trois années par Estelle Paré Fernandez, professeur de lettres, et Stéphane Estrade, professeur d'histoire-géographie, qui avait pour but de retracer la vie des combattants français madrilènes dont on trouve une plaque commémorative à l’entrée du Lycée français de Madrid. Ces vies ont été compilées au sein d’un livre d’or, qui retrace l’histoire de ces 57 Français de Madrid morts pendant la Grande Guerre. Le travail biographique a engagé de nombreux acteurs : élèves du LFM du CM2 à la terminale, professeurs, membres du personnel et parents d’élèves. Voir le sommaire sur photos jointes. ‎

Librairie de la Garenne - Clichy-la-Garenne

Phone number : 01 42 70 11 98

EUR25.00 (€25.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO60104817

(1990)

‎VIA LIBRE, N° 317, AÑO XXVII, JUNIO 1990 (Sumario: ACTUALIDAD Madrid, Lisboa y Burdeos reclaman un eje de alta velocidad. Finalizados los estudios sobre la línea de alta velocidad Madrid-Barcelona. Abierto el concurso sobre la línea Madrid-Barajas...)‎

‎Renfe. 1990. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 66pages. Illustré de nombreuses photos en noir et blanc et en couleur.. . . . Classification Dewey : 460-Langues espagnole et portugaise‎


‎Sumario: ACTUALIDAD Madrid, Lisboa y Burdeos reclaman un eje de alta velocidad. Finalizados los estudios sobre la línea de alta velocidad Madrid-Barcelona. Abierto el concurso sobre la línea Madrid-Barajas. A finales del 90 funcionará el “by-pass” de Venta de Baños. Breves INTERNACIONAL La SNCF construirá 14 nuevas líneas de alta velocidad. La banca reafirma su confianza en el Túnel del Canal. Breves. EMPRESAS GEC-Alsthom no respalda las declaraciones de Santos. Convensa, 25 años a pie de vía. Breves. DOSSIER TRANSPORTE DE VEHICULCOS Se aumentarán los centros de distribución de cargas. Renfe incrementa el tráfico. Tafesa y Semat, propietarias de las plataformas. Coches en tren, una alianza obligada. TECNOLOGIA Protección del medio ambiente: se aconseja la participación pública en la elección de los trazados. Pasillos ae intercomunicación para el Transmancha. Breves MODELISMO Jesús Garrido construye sus maquetas artesanalmente. Las tiendas de modelismo. Taller. HISTORIA Ferrocarriles de Vía Estrecha (y II). POR TODA LA RED Cinco opciones de la ATF para este verano. Galicia tiene su propia compañía ferroviaria. Avisos. Jubilaciones. Estampas de ayer. VIAJES Rotterdam, como en casa. CULTURA Exposiciones de pintura. El ferrocarril sublimado. Los trenes turísticos. Libros. Concurso Vía Libre. Classification Dewey : 460-Langues espagnole et portugaise‎

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