LE TRIPODE ED
Reference : SVBLIVCN-9782370551740
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782370551740
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M. Alexandre Bachmann
Passage du Rond Point 4
1205 Genève
Switzerland
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COLLECTIF, LA NOUVELLE REVUE FRANCAISE. PAUL CLAUDEL, ANDRE CHAMSON, PAUL VALERY, JULES ROMAINS, ANDRE GIDE, RAMON FERNANDEZ, JEAN PREVOST, BORIS DE SCHLOEZER, ALBERT THIBAUDET, MARCEL ARLAND, AUTRES
Reference : 25562
"La Nouvelle Revue Francaise, N° 266, novembre 1935 . Contient entre autres : Le Livre d'Esther, par P. Claudel. Le Pouvoir des mots, par A. Chamson. Notion générale de l'Art, par P. Valéry. Univers d'Edmond Maillecottin, par J. Romains. Feuillets, par A. Gide. Les Carnets de ""Crime et Châtiment"" , par Boris de Schloezer. Sur le conflit italo-éthiopien, par R. Fernandez. Le Mémorial de Saint-Hélène et nous, par J. Prévost""Paris, N.R.F., 1935. Contient également : Les Carnets de ""Crime et Chatiment"", par Boris de Schloezer (12 p.). Le mémorial de Sainte-Hélène et nous, par Jean Prévost (3 p.). remarques sur le conflit italo-éthiopien, par Ramon Fernandez (6 ).) ""Un Français en Europe"", de Maurice Martin du gard, par Henri Pourrat (2 p.)...1 fascicule in-8, broché. Edition originale, La Nouvelle Revue Francaise, N° 266, novembre 1935 . Contient entre autres : Le Livre d'Esther, par P. Claudel. Le Pouvoir des mots, par A. Chamson. Notion générale de l'Art, par P. Valéry. Univers d'Edmond Maillecottin, par J. Romains. Feuillets, par A. Gide. Les Carnets de ""Crime et Châtiment"" , par Boris de Schloezer. Sur le conflit italo-éthiopien, par R. Fernandez. Le Mémorial de Saint-Hélène et nous, par J. Prévost"
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Hachette, 1961, fort in/4, 574 pages, reliure éditeur pleine toile grise, plat illustré, étui illustré de l'éditeur. Les carnets du major Thompson illustrées par Lorjou - Vacances à tous prix illustrées par Yves Brayer - Un certain monsieur Blot illustrées par Bernard Buffet.
Paris, Augustin Challamel, 1909; volume in-8,broche, 396 p:premiere edition,dos tres abime traces de scotch,couvertures ill.effrangées,a relier,texte frais
carnets de notes du capitaine de frégate russe Sémenoff qui débutent sur la défaite de la Russie le 28 mai 1905 lors de la bataille de Tsoushima, point de départ du nouvel ordre mondial avec l'avènement du Japon comme grande puissance. ce sont les premières pages de ce carnet que nous présente le commandant de Balincourt Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
5 vol. in-12 reliure éditeur plein cuir brun sous rhodoid, , Bibliothèque de la Pléiade, NRF Gallimard, introduction par Pierre Pascal (pour tous les livres), 1954, 1955, 1952, 1956 et 1953, 1272pp. , XXIX-1342 pp., XXI-1262 pp., XXVI-1128 pp. et XX-1364 pp. Titres complets : Crime et châtiment - Le Journal de Raskolnikov ; Les Carnets de Crime et châtiment - Souvenirs de la maion des morts ; Les Démons - Carnets des démons - Les pauvres gens ; Les frères Karamazov - Les Carnets des frères Karamazov - Niétotchka Niezvanov ; L'adolescent - Les nuits blanches - Le sous-sol - Le Joueur - L'éternel mari ; L'idiot - Les carnets de l'Idiot ; Humiliés et offensés
Très bon état. Prix pour l'ensemble. Non-séparable.
France-Empire, 1977, fort gr. in-8°, 611 pp, broché, couv. à rabats, bon état
Les Carnets secrets d'Aristide Corre (Dagore pour la Cagoule). — La Cagoule ! Mystérieuse cagoule. Si mystérleuse qu’aujourd’hui encore, devant l’absence d’archives, de documents officiels (Ia plupart des dossiers de police et d’instruction ont été pillés ou simplement épurés pendant Ia Seconde Guerre mondiale par d’anciens Cagoulards) et surtout devant le truquage des pièces fournies aux divers interrogatoires d’avant-procès, devant les faux témoignages, les repentirs, les aveux extorqués et repris, les alibis fabriqués, les dénonciations, les soutiens politiques et militaires, journalistes, écrivains, historiens, en sont à s’interroger sur Ia réalité de ses actions de commando ou de plastiquage, l‘organisation interne du mouvement, son financement, son armement, ses relations avec les facismes italien, espagnol, allemand... La Cagoule – organisation secrète d’action révolutionnaire – fondée en 1936 par des membres dissidents de l’Action française, deçus et irrités par « le manque de combativité » du vieux mouvement royaliste et nationaliste, devant Ia « montée et les dangers » du Front Populaire et du communisme, avait son chroniqueur quotidien et, jusqu’à Ia pubIication de ce livre, chacun l’ignorait. Les Carnets d’Aristide Corre (Dagore pour Ia Cagoule) contiennent Ia plupart des secrets de I’organisation terroriste. Comment imaginer que celul, sans qui sans doute, le fondateur Eugène Deloncle, n’aurait rien entrepris, alt pu commettre l’imprudence de confier chaque jour à des cahiers : notations, réflexions, commentaires, informations concernant les crimes et les objectifs de la Cagoule. Assurément, nul homme n’aurait été plus mal choisi pour occuper le poste de chef du Deuxième Bureau, chargé du renseignement et de Ia mise en place des actions de l’organisation. Ce besoin d’écrire – noir sur blanc – qul est refusé à tout agent secret, Dagore allait se montrer incapable de le réprimer et, lorsque le policier Jobard perquisitionnera chez lui, les carnets reliés – racontant tout ou presque tout – seront là, bien rangés à quelques centimètres du bout de son nez, sur les rayons de la bibliothèque. II est vrai que Ia police a des excuses de ne pas avoir poussé plus loin ses investigations, elle venait de trouver chez Dagore une grande liste d'« abonnés » de I’O.S.A.R., ce qui permit, indicateurs infiltrés aidant, de mettre pratiquement fin à l’organisation. C’est par hasard que Christian Bernadac a retrouvé les précieux carnets secrets d’Aristide Corre et a décidé de les publier et de les présenter en les commentant. La vie d’Aristide Corre, telle qu’iI Ia raconte sans rien cacher ni de son action, ni de ses amours, est un document humain qul révèle un personnage hors série... — "En poursuivant des recherches sur les camps de concentration, le journaliste Christian Bernadac fut amené à rencontrer, en 1969, le père Joseph Fily, déporté à Dachau et ancien Cagoulard. Ce dernier lui communiqua les carnets d'Aristide Corre, qu'il avait en dépôt depuis 1942. Aristide Corre, dit Dagore, fut le chef du 2e Bureau de la Cagoule. Ami d'enfance d'Eugène Deloncle, il le suivit à l'Action Française, puis dans la constitution de l'organisation clandestine qui devait renverser le régime honni par l'extrême-droite. Recherché par la police française, Dagore se réfugia à Saint-Sébastien en octobre 1937 et il vécut en exil en Espagne jusqu'à la défaite de 1940. Engagé dans la Résistance, contrairement à ses amis Deloncle, Filliol et Darnand, il fut fusillé à la prison du Cherche-Midi le 31 mars 1942, sous la fausse identité de Claude Meunier, ce qui explique qu'à la Libération la police le recherchait toujours. Bernadac vient de publier ces carnets sous la forme de larges extraits annotés qui, au-delà des renseignements fournis sur l'Organisation Secrète d'Action Révolutionnaire, apportent une meilleure compréhension de la psychologie des principaux Cagoulards, tels que Deloncle, Filliol, Jeantet, sans oublier l'auteur méconnu, écrivain manqué qui mêle l'introspection à la conspiration. Il peut paraître surprenant de voir le responsable du 2e Bureau d'une organisation clandestine tenir régulièrement un journal dans lequel il consigne des notations parfois détaillées sur les réunions auxquelles il a participé ou sur les projets de "coups" à monter, même si elles apparaissent sous une forme qui n'est pas toujours très claire pour le non- initié. C'est ce qui fait l'intérêt de cette publication originale qui nous permet de mieux connaître le milieu Cagoulard, à défaut de tout savoir sur le "Complot" et ses prolongements. Aristide Corre signale souvent qu'il ne peut encore noter dans son journal ce qu'il a vu ou entendu le jour même, mais il y revient à coup sûr les jours suivants avec des précisions de plus en plus nettes, qu'il s'agisse du trafic d'armes, de la suppression de traîtres et d'ennemis ou de la constitution de dépôts d'armes et de munitions dans la région parisienne. Il écrit plus librement après son exil en Espagne, certes, mais sa situation d'isolement et de dépendance le préoccupe de plus en plus, au détriment des notations politico-militaires, qu'elles concernent la situation française ou la guerre civile. C'est pourquoi le lecteur reste souvent sur sa faim, à moins qu'il n'apprécie l'étalage des états d'âme et des phantasmes de l'auteur. La lecture de ces carnets apporte la confirmation que la Côte d'Azur a constitué pour la Cagoule un secteur important, que ce soit pour le trafic d'armes ou pour les contacts avec les services spéciaux italiens. Joseph Darnand est intimement lié à ces deux affaires et son nom revient souvent sous la plume de Dagore." (Jean-Louis Panicacci, Cahiers de la Méditerranée, 1977)