Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. 344 pages.
Reference : 147135
Livre. Editions Arthème Fayard (Collection : Les livres nouveaux), 1909.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
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9 lettres autographes signées rédigées de 1883 à 1888, adressées à son ami Gustave Lévy. Les lettres avaient été montées sur onglet, et deux lettres sont restées contrecollées, sans respect de l'ordre chronologique : [ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]
Photographe, peintre, graveur et illustrateur, Etienne Berne-Bellecour (1838-1910) se spécialisa dans la peinture militaire et notamment de marine. Il évoque dans cette correspondance un tableau de débarquement de marine, probablement le sujet vendu en 2011 chez Artcurial : "Débarquement de troupes de Marine Française dans des chaloupes" daté de 1885 (à moins qu'il ne s'agisse là que d'un travail préparatoire). Prix du lot, non séparable
5 volumes, à savoir : L'opportuniste (1950-1970), un des 300 exemplaires imprimés sur papier de luxe numérotés (n°25), 1 vol. in-8 br., Atlantica, Biarritz, 1997 [ Avec : ] Les feux de la Saint-Jean. Contes oniriques, 1 vol. in-8 br., Séguier, 2000 [ Avec : ] Le Héros, 1 vol. in-8 br. sous bandeau éditeur, Editions Covedi, 1995 [ Avec : ] Madame, Petit Soldat, 1 vol. grand in-8 br., André de Rache, 1975 [ Avec : ] Pollens-Mémoire, 1 vol. grand in-8 br., Opales, avec "En guise d'introduction à Pollens-Mémoire, 1996
Bon ensemble (dont "L'opportuniste" en tirage de tête) enrichi de beaux envois de Guy d'Arcangues, la plupart à l'écrivain bordelais Michel Suffran et l'un à Jean Marie Sarrasin (dans madame Petit Soldat : "ces poèmes qui chantent une guerre du Tendre où nous avons tous, un jour ou l'autre, ramassé quelques balles perdues"). Ainsi dans l'Opportuniste : "Pour Michel Suffran, ces aventures, ces personnages, qui fleurent bon les années 60, tout un climat, quelques souvenirs de l'opportuniste d'alors". On joint également une lettre autographes signée de l'auteur, et la copie de la belle réponse de Michel Suffran ( à propos des "Feux de la Saint Jean". Bon ensemble (rouss. sur la couv. de "Madame, Petit Soldat", bon état par ailleurs).
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
ad 1: A Amsterdam, & se trouve à Paris, Chez Saillant, Libraire, rue Saint-Jean-de Beauvais, 1767; ad 2: N.pl., 1767.
8vo. 2 volumes, consisting of 3 parts, bound in 1 volume: (1),174;48 p. Contemporary wrappers. 18 cm (Ref: Cf. Cioranescu 23764 & 23765) (Details: Uncut edges. Woodcut ornament on both titles. Some woodcut headpieces) (Condition: Marbled cover scuffed. Paper on the back partly gone. Somewhat dog-eared) (Note: The most important evolution in European warfare of the 17th century was the expansion of its armies. This development started about 1630, rose to a high level during the French wars of expansion (1660-1710), and continued in the 18th century. The increase in scale made it necessary to professionalize logistics, administration and the recruting of soldiers. Most countries formed standing armies. This brought an end to the undisciplined mercenary armies of uncertain loyalty, and strengthened the grip of the central governments on the military. The result was a further knitting together and a growing identification between the nation and its armed forces. The first Military Academies were established, and the compulsory conscription of young and able citizens was organized. The officer's corps consisted predominantly of loyal noblemen, who found in the army a vehicle for their ambitions. (Source R. Lesaffer, Europa: een zoektocht naar vrede? 1453-1763 en 1945-1997. Leuven, 1999, p. 315-317) This book, anonymously published in 1767, was written by an officer of the Régiment des Gardes Françaises, the infantery regiment of la Maison du Roi of France, the core of the French army, and also responsible for guarding the exterior of the Versailles, and for maintaining public order in Paris. The aim of this officer was to civilize his colleagues and soldiers of the French army. The occupation of a warrior is, he says, a noble and grave one. (p. 10) However, the reputation of the French army, he continues, is lousy. 'Sans les excès auxquels nos Troupes ont été capables de se porter, nos diverses Campagnes au-delà des Monts auroient eu des suites plus heureuses; la France compteroit peut-être la Hollande au nombre de ses Provinces; les Allemands nous aimeroient, & notre nom seroit honoré chez nos autres voisins'. (p. 12) The French soldier should not rape and plunder, but he should behave himself. 'Un Soldat, tel que le demande de la gloire & l'interêt de l'Etat, est un homme qui se fait un devoir de suivre sa Religion, d'aimer sa Patrie, qui sait marcher à l'ennemi, & le combattre'. (p. 15/16) He should love his country and his Monarch. 'Quelque soin que prenne l'amour-propre de grossir notre mérite à nos yeux, l'attachement sacré des François à leur légitimes Souverains, doit être regardé comme la seule qualité solide qui les distingua de tous tems des autres peuples' (p. 28) The role of the École Militaire is important. 'C'est dans ce temple de Mars, que sont conservés, avec dignité, les restes précieux d'un peuple de Héros, qui ne connurent point d'autre fortune que celle de l'Etat, c'est-là que croissent, sous les yeux de Minerve, de jeunes Hercules (...) c'est de là que sortiront des Officiers (...) & que le Soldat n'appercevra en eux aucun des vices, ni des ridicules qui sont les suites d'une éducation campagnarde ou efféminée'. (p. 32) The identity of the author of this book is revealed by the French author, and philosopher Voltaire already in the September issue of the Mercure de France of 1767. There we find on p. 29: a 6 line poem, announced as 'Vers de M. de Voltaire, au sieur Desrivières, Soldat du Régiment des Gardes-Françoises, de la Compagnie De la Tour, à l'occasion d'un livre intitulé: Loisirs d'un Soldat, &.: 'Soldat digne de Xénophon / Ou d'un César, ou d'un Biron, / Ton écrit dans les coeurs allume / Un feu d'une héroïque ardeur; / Ton Régiment sera vainqueur, / Par ton courage & par ta plume'. Not much is known about this Ferdinand Desrivières, dit Bourguignon. Desrivières was born in 1734 in the Bourgogne, and was an officer (sergent), who wrote in his spare time his Loisirs to instruct and enlighten his fellow officers. He signed the preface to this treatise with D*R**S. (Des RivièreS) His Loisirs was first published in Paris by the publisher/librarian Charles Saillant in 1767, and found several reissues. It was translated into German in 1770. In the same year of its first publication (1767) an augmented second edition was published in Amsterdam. Desrivières added a short continuation in which he discussed several reviews of his Loisirs. He later published also an Essai sur le vrai mérite de l'Officier (1769), which was republished in 1771 under a new title: Suite des loisirs d'un Soldat. Guerrier d'après l'Antique et de bons originaux modernes. In 1770 he produced a Compliment des Gardes françoises à Msgr. le Dauphin sur son mariage to congratulate the crown prince, the later King Louis XVI, and his wife Marie Antoinette. He did so en vers grivois. The Amsterdam edition was possibly produced in cooperation with the Huguenot publisher Marc Michel Rey, 1720-1780, who resided in Amsterdam, and published many titles of French philosophers. Rey and Saillant had e.g. previously collaborated in the production Du Contrat Social of the French philosopher J.J. Rousseau. The description of the Bibliothèque National calls the Amsterdam address of this 1767 edition fake, and observes that the book was produced with permission tacite. The first part of this second edition of the Loisirs (p. 9-132) is a line for line reissue of the first edition of Paris 1767. Only the preliminary pages are printed with different type face. The remaining pages (p. 133-174) contain the added observations of Desrivières concerning reviews of the first edition. From the same press comes the second volume, the Réponse des Soldats du Régiment. These 3 parts are seldom found toghether in one volume. The Regiment of Desrivières was disbanded on the 31th of August in 1789. Voltaire praises Desrivières, as we have seen, sky-high (Xenophon, Caesar), but his contemporary, the philosopher Denis Diderot, 1713-1784, one of the editors of the famous Encyclopédie, thought otherwise. He condems him utterly, the man and his style. We cite his opinion on Desrivières' Essai sur le vrai mérite de l'officier of 1769: 'C'est l'ouvrage d'un homme qui a nuls principes, aucune conséquence dans l'esprit; qui ne sait pas penser, et qui ne sait encore moins écrire, insolent et bas, insultant l'étranger et les subalternes, flattant ridiculement les grands; qui se déchaine contre ceux qui croient aux revenants et qui croit aux vertus hériditaires, qui recommande la bonne institution des jeunes gens et qui cite à la page suivante le mérite de Duguesclin qui ne savait pas lire. C'est l'ouvrage d'un homme sans goût et dont les pages sont farcies des plus ridicules citations en vers. Avec tout cela il est si doux de lire des propos ou des actions qui font honneur à l'espèce humaine que je ne mépriserais pas celui qui pourrait aller jusqu'à la dernière page de ce livre, et cela me serait arrivé si l'on ne m'eût prévenu que votre colporteur ne reprenait pas les livres coupés'. (Fragments inédits de Diderot, Revue de l'Histoire littéraire de la France, 1ère année, no. 2, 1894, p. 169) The loyalty to the House of Bourbon, according to Desrivieres essential for the courage of the French soldier, desintegrated rapidly at the beginning of the French Revolution. 'The sympathy shown by the Gardes Françaises for the French Revolution at its outbreak was crucial to the initial success of the rising.' (Wikipedia, s.v. Gardes Françaises). There was desertion in June 1789, and on the 14th of July mutinous Gardes Françaises took part in the storming of the Bastille. What role the 55 year old (if he was still alive) Desrivières played in this, history doesnot tell) (Collation: pi1, A8, B4, C8, D4, E8, F4, G8, H4, I8, K4, L4, M2; N8, O4, P8, Q1; A8, B4, C8, D4 ) (Photographs on request)
L'ILLUSTRATION. 16 novembre 1935. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 23 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 321 à 344 - avec couverture + 26 pages publicitaires noir et blanc (Ducretet Thomson - les machines parlantes Thomson... ) - 3 photos disponibles: 1er plat, la page du numéro et une page publicitaire.. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
"SOMMAIRE : Articles: Stanley Baldwin par Wickham Steed - les élections britanniques par Robert Lambel - autour du plébiscite grec - la course des flambeaux par P.-E. C. - les cérémonies de l'armistice - les Antilles et la Guyane fêtées en Sorbonne - le tricentenaire des Antilles françaises et ""l'illustration"" - les soldats inconnus, le soldat inconnu français, le soldat inconnu français en Belgique, le soldat inconnu belge, le guerrier inconnu britannique, le soldat inconnu polonais, les soldats inconnus portugais, le soldat inconnu roumain, le soldat inconnu tchécoslovaque, le soldat inconnu yougoslave par Georges Pineau - la résurrection de Verdun par André Ventre et Marcel Delangle - à l'Orangerie des Tuileries, ""De Van Eyck à Bruegel"" par Jacques Dupont - en marge du conflit italo-éthiopienne, de Gibraltar à Djibouti, ""Mare Nostrum"" en alerte, la croisade des peuples d'Orient par Pierre Ichac - le conflit italo-éthiopien - combat de coqs de Bruyère. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon"