‎MANILIUS Marcus‎
‎ASTRONOMICON.‎

‎Iulii Firmici Materni iunioris siculi V. C. ad Mavortium Lollianum Astronomicon Lib. VIII per Nicolaum Prucknerum Astrologum nuper ab innumeris mendis uindicati. His accesserunt Claudii Ptolemaei [ ... ] quod Quadripartitum vocant, Lib. IIII. De inerrantium stellarum significationibus Lib. I. Centiloquium eiusdem. Ex Arabibus et Chaldeis [.... ]‎

‎1 vol. in- folio reliure de l'époque plein cuir brun, dos à 4 nerfs, plats estampés à froid, Basileae ex Officina Ioannis Hervagii, [ Joannes Herwagen, Bâle ], 1633, 8 ff., 244-143 pp., 44 ff. n. ch. [ a8 a-t6 u8 A-S6 T8 ]. Rappel du titre complet : Iulii Firmici Materni iunioris siculi V. C. ad Mavortium Lollianum Astronomicon Lib. VIII per Nicolaum Prucknerum Astrologum nuper ab innumeris mendis uindicati. His accesserunt Claudii Ptolemaei [ ... ] quod Quadripartitum vocant, Lib. IIII. De inerrantium stellarum significationibus Lib. I. Centiloquium eiusdem. Ex Arabibus et Chaldeis [.... ]‎

‎Belle édition, illustrée de plusieurs diagrammes, établie par le mathématicien et professeur d'astronomie à Tübingen, Nicolas Prückner, du célèbre traité d'astrologie de Firmicus Maternus connu sous le nom de "Mathesis" (ou "Matheseos libri octo"). A la suite, on trouvera 3 oeuvres de Ptolémée (le "Quadripartitum", le "De inerrantium stellarum" et le "Centiloquium"), et la version latine de plusieurs ouvrages d'astrologie grecque ou arabe, dont les Cent Aphorismes d'Hermès, les propositions astrologiques au roi des Sarrasins par Almansor, les livres de la Nativité par Omar, l'Astronomicon de Marcus Manilius ou le "De diffinitionubus" d'Othon Brunfels. Unique traité latin d'astrologie a avoir été intégralement conservé, la Mathesis est une compilation des sources anciennes (grecs, latins, égyptiens ou chaldéens), rédigée vers 330 apr. J.-C. par l'écrivain latin Julius Firmicus Maternus. L'auteur se convertira au christianisme et rédigera vers 348 son "De errore profanarum religionum" ("De la fausseté des religions profanes"). Etat satisfaisant (reliure abîmée avec manques en coins et dos, plats faibles, le premier presque détaché, qq. mouill., très petit mq. marginal à qq. feuillets mais bon état intérieur général pour cet exemplaire à bonnes marges) pour cet ouvrage "rare" d'après la grand bibliographie astronomique de Houzeau et Lancaster. La Mathesis servit longtemps comme base à l'astrologie occidentale. Lalande, Bibliographie astronomique, 51 ; Houzeau et Lancaster, 761‎

‎Marci Manilii Astronomicon Libri Quinque; Accessere Marci Tulli Ciceronis Arataea, cum interpretatione gallica et notis: Edente Al. G. Pingré‎

‎Marci Manilii Astronomicon Libri Quinque; Accessere Marci Tulli Ciceronis Arataea, cum interpretatione gallica et notis: Edente Al. G. Pingré - Parisiis, Via et Aedibus Serpentinis, 1786 Les Astronomiques de Manilius Livre V - Tomes 1 et 2 réunis en un seul volume - Traduction française en regard du texte latin Un volume in-8, T1: LI - (1) - 309pp - T2: (5) - 347pp. Couverture plein cuir usée (coins émoussés, coiffe de tête absente, frottements et petits trous au dos), dos lisse décoré de motifs dorés, tranches marbrées, reliure solide et intérieur frais.‎

‎Julii Firmici Materni iunioris siculi V. C. ad Mavortium Lollianum Astronomicon Lib. VIII per Nicolaum Prucknerum Astrologum nuper ab innumeris mendis uindicati. His accesserunt Claudii Ptolemaei Pheludiensis Alexandrinu (..) quod Quadripartitum uocant, Lib. IIII. De inerrantium stellarum significationibus Lib. I. Centiloquium eiusdem. Ex Arabibus et Chaldeis(...)‎

‎ 1533 Basle, Joannes Herwagen, mars 1533, petit in folio de (16)-244-145-85 pp. reliure d'origine de plein velin ivoire dont les bords ont été rogné, rognés, angles des premiers feuillets habilement restaurés par un professionnel, dans l'ensemble assez bon exemplaire.‎

‎Belle édition du XVIe siècle de l'un des plus importants ouvrages d'astronomie antique, qui servit longtemps de base aux astrologues européens. Elle est illustrée de diagrammes et jolies lettrines gravés sur bois. On la doit au mathématicien Nicolas Prückner qui fut professeur d'astronomie à l'université de Tübingen. Ce célèbre traité d'astrologie de Firmicus Maternus est connu sous le nom de "Mathesis" (ou "Matheseos libri octo"). Il est suivi de 3 oeuvres de Ptolémée (le "Quadripartitum", le "De inerrantium stellarum" et le "Centiloquium"), et de la version latine de plusieurs ouvrages d'astrologie grecque ou arabe, dont les Cent Aphorismes d'Hermès, les propositions astrologiques au roi des Sarrasins par Almansor, les livres de la Nativité par Omar, l'Astronomicon de Marcus Manilius ou le "De diffinitionibus" d'Othon Brunfels. Unique traité latin d'astrologie a avoir été intégralement conservé, la Mathesis est une compilation des sources anciennes (grecs, latins, égyptiens ou chaldéens), rédigée vers 330 apr. J.-C. par l'écrivain latin Julius Firmicus Maternus. "Cet ouvrage, divisé en VIII livres est un véritable Manuel pratique de l'astrologie, rédigé d'après la Doctrine de Ptolémée de Péluse, et maintes fois recommandé dans les commentaires" de Junctin, comme une autorité de premier ordre en matière d'occultisme. "Histoire de la magie" par P. Christien (Pitois). Caillet, 3959. ‎

‎ARATI SOLENSIS PHAENOMENA ET PROGNOSTICA... C. IULII HYGINI ASTRONOMICON.‎

‎Interpretibus M. Tullio Cicerone, Rufo Festo Avieno, Germanico Caesare, una cum eius commentariis. C. Iulii Hygini Atronomicon. Omnia partim e vetustis codicibus, partim e locorum collatione emendata, & emendatorum ratio, ab ipso Morelio... apud Theodorum Graminaeum, Coloniae Agrippinae, 1569. In-4 p. (mm. 302x190), cartoncino rustico antico (con picc. macchie), titolo ms. al dorso, 4 cc.nn., 183 pp.num.; marca tipografica al frontespizio e al verso dell'ultima carta (colophon con la data 1570); ornato da grandi iniziali figurate a vignetta; con un ricco apparato iconografico nel testo: 41 grandi figure con le costellazioni e 7 con i pianeti (tutto inc. su legno) che probabilmente si fondano sulle astronomiche allegorie realizzate da Duerer in un'edizione del 1515.La presente opera si basa sulle traduzioni latine di Cicerone, Rufo Festo Avieno e Giulio Cesare Germanico, e include al fine Poeticon Astronomicon di Caio Giulio Igino, che rappresenta un manuale scolastico di astronomia ed espone le storie astronomiche di Arato e di Eratostene con particolare riguardo ai miti australi (cos Diz. Opere Bompiani,I, p. 297). "Fenomeni" un poema greco di Arato da Soli (prima met del III sec. a.C.). In 1154 esametri, l'Autore descrive la volta celeste, passando in rassegna le costellazioni, spiegandone i nomi e determinandone la posizione reciproca; dal v. 733 comincia una seconda parte, nota anche col titolo separato di "Pronostici", in cui sono elencati gli indizi che permettono all'intenditore di prevedere il tempo che far.. L'opera, rispondendo ai gusti del tempo, ha avuto una fortuna singolare; essa fu tra le pochissime sopravvissute alla perdita della poesia ellenistica; se ne interessarono infatti non solo i letterati, ma anche gli scienziati, che dedicarono ad Arato tutta una serie di esposizioni e di commenti. A Roma i "Fenomeni" influirono sulla poesia dotta; Cicerone li tradusse in latino, Giulio Cesare Germanico compose un rifacimento dei "Fenomeni" in 725 esametri: Aratea'.. apportando qua e l soppressioni e aggiunte al testo di Arato. Da ultimo, Rufo Festo Avieno (IV sec. d.C.) render ancora una volta in latino il poema arateo. Cos Diz. Opere Bompiani, p. 370.Seconda edizione latina (la prima di Parigi, 1559).Cfr. Adams,I,1518 - Wellcome,I,366 - Cantamessa Astrologia,II,3866 (p. 1303) che cita la ns. opera sotto quelle di C.J. Hyginus - Brunet,I,376 per la prima di Parigi, 1559.Arross. e picc. manc. ai risg.; con bruniture per la qualit della carta.‎

‎Astronomicon libri quinque ; accessere Marci Tullii Ciceronis Arataea, cum interpretatione gallica et notis : edente Al. G. Pingré [Astronomiques de M. Manilus]‎

‎Parisii, Vie et Aedibus Serpentinis, 1786, in-8, 2 volumes, LI-309 + [5]-347 pp, basane marbrée du début du XIXe siècle, dos lisses et fleuronnés, pièces de titre rouges, roulette d'encadrement sur les plats, tranches rouges, Édition bilingue latin-français du poème didactique de l'astrologue romain Marcus Manilius. "The oldest connected treatise on astrology" (DSB) ; première édition de la traduction de l'astronome et géomètre Alexandre Guy Pingré. Jolis bandeaux gravés sur bois en ouverture des livres 1 et 4. Composé en hexamètres au siècle d'Auguste, ce long poème sur le cosmos, la fatalité et l'activité poétique présente, en 5 livres, le système astronomique en vigueur durant l'antiquité. Dans le premier, l'auteur décrit l'univers et les constellations qui entourent la terre ; dans les second et troisième, il traite du calcul du mouvement des constellations ; dans le quatrième il discute de l'influence des signes du zodiaque sur les comportements humains, et dans le cinquième, il s'interroge sur la signification des étoiles qui résident en dehors du zodiaque. La première édition remonte à 1473 ; mais il faut attendre le XVIe siècle pour une bonne version soit donnée, par Joseph Scaliger en 1579, puis en 1600 par le même, après la découverte d'un manuscrit inédit des Astronomicon, datable du Xe siècle, à Gemblours dans le Brabant. Reliure moyenne. Petits frottements et épidermures. Brunet III, 1369. Lalande p. 598. DSB IX p. 79. Couverture rigide‎

‎Bon 2 volumes, LI-309 + [5]-347‎