Lithographies de Berthold Mahn. Collection Guerre. Les Oeuvres Reprsentatives, Paris, (1930). In-8 p., 2 volumi, brossura orig., sovracoperta, pp. (4),281,(3); (4),239,(5); ben illustrato da vignette nel t. e complessive 23 tavv. f.t. litografate da Mahn. Opera antimilitarista e pacifista del romanziere francese Barbusse, pubblicata durante la prima guerra mondiale. Ediz. di 1100 esempl. numerati sur vlin de Rives. Ben conservato.
Reference : 58848
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P., Gründ, 1979, in-4°, 192 pp, très nombreuses illustrations, glossaire, index, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
C'est un vaste panorama d'un monde fascinant que nous propose cet ouvrage : celui des armes à feu modernes. Un bref aperçu historique retrace l'évolution des armes à feu : des premières utilisations de la poudre, au XIVe siècle, jusqu'au chargement de l'arme par la culasse, à la fin du XIXe siècle. De précieux renseignements sont fournis au lecteur : caractéristiques techniques des armes, nomenclature des principaux inventeurs et fabricants. L'auteur, spécialiste incontesté et grand collectionneur lui-même, commente visuellement ses propos à partir d'une riche et abondante illustration : plus de 100 photographies en couleurs d'une précision remarquable ; choix révélateur comprenant aussi bien les légendaires revolvers Colt, les fusils de chasse admirablement ornés, que les armes de guerre les plus actuelles. — Table : L'évolution des armes à feu jusqu'en 1850 ; Les inventeurs et les fabricants ; Les revolvers ; La recherche de la précision ; Les armes à canon rayé, militaires et sportives ; Les armes les plus célèbres ; Les armes automatiques et semi-automatiques ; Les fusils de chasse ; Glossaire ; Grands musées du monde ; Index.
Payot, 1931, in-8°, 294 pp, traduit de l'anglais par G. M. Michel Drucker, index, broché, très bon état (Coll. Bibliothèque scientifique). Edition originale de la traduction française
Les “Mythes sur l'origine du feu” expliquent les diverses façons dont les hommes apprirent, dans les temps primitifs, l'usage de cet élément et le moyen de l'obtenir. James Frazer explore ici ceux de Tasmanie, d'Australie, d'Océanie, d'Asie, d'Afrique, d'Amérique, ainsi que ceux des civilisations indo-européennes. Selon lui, des mythes montrent que les hommes restèrent très longtemps ignorants de l'usage du feu et des façons de l'allumer... Sir James G. Frazer (1854-1941), ethnologue et historien des religions, est le premier à avoir inventorié et interprété les mythes et les rites du monde entier. Ce faisant, il a fondé l'anthropologie religieuse et la mythologie comparée. Son grand-oeuvre, qui l'a rendu célèbre, est “Le Rameau d'or”.
Gallimard, 1985, in-8°, 282 pp, traduit de l'anglais, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Témoins)
Le feu du dedans n'est pas seulement la reprise et l'approfondissement des notions familières de «voir» et de l'«aigle», cette instance suprême introduite par Castaneda dans Le don de l'Aigle et dont les émanations sont à la fois la source et l'aboutissement de la perception et de la conscience. L'architecture du mythe s'enrichit ici de nouveaux thèmes : l'«impulsion de la terre», le «monde de l'homme», la «tanière de la perception», le «point d'assemblage». Ce dévoilement progressif débouche sur la vision d'un univers remarquablement foisonnant et cohérent. L'évolution de la «connaissance», depuis l'époque des anciens voyants toltèques - prodigieusement doués mais victimes «par fascination» de leurs découvertes - jusqu'à celles des naguals du clan de don Juan, est exposée et commentée tout au long du livre dont elle constitue le contrepoint permanent. En sorte que Le feu du dedans prend souvent l'allure d'un traité du bien et du mal, de la sagesse et de la folie.
Dufart Paris 1794 ALMANACH de la Convention Nationale pour l'an III de l'ère républicaine. Où l'on trouve: 1. Le véritable décadaire. 2. La connoissance des tems. 3. Le langage des signaux à feu et du télégraphe. 4. Les noms des 88 départemens et de toutes les villes de districts, avec les changemens des nouveaux noms. 5. La liste des représentans du peuple pour la Convention Nationale et leurs demeures à Paris. 6. Les moyens faciles de connoître promptement les faux assignats et le tableau des nouveaux poids et mesures.Paris, Dufart, IIIe année de l'ère rép. ( 1794 ).In-16 ( 120 X 75 mm ) de [41]-77-[2] pages, demi-percaline parme à la bradel, dos lisse orné d'un fleuron doré et date dorée en queue, pièce de titre de maroquin anthracite. Frontispice allégorique du télégraphe de CHAPPE et planche hors-texte "Signaux par le feu". Edition originale rare, bon exemplaire, rogné court.Singer: History of Technology 4: 644-47. Holzmann et Pehrson: The Early History of Data Networks, pp. 47-96.
Editions Douin, 2016, in-4°, 380 pp, illustré de 86 dessins de Renefer dont 10 eaux-fortes originales réalisées sur métal dans les tranchées et 76 bois gravés par Eugène Dété, broché, bon état (Prix Goncourt 1916)
Le feu, journal d’une escouade d’Henri Barbusse raconte au jour le jour, la dure vie des soldats et leur mort obscure. Toutes les horreurs vues du fond des tranchées sont évoquées avec une puissance remarquable. Que de sombres tableaux d’hommes perdant leur forme humaine sous une épaisse couche de boue, de pourriture et de sang. Dans ces souffrances et cette noirceur permanente, il subsiste malgré tout de singuliers épisodes de vies, de fraternité et de tendresse. Alors que la grande bataille de Verdun était à peine commencée, Henri Barbusse nous livre un témoignage empreint de vérité qui ne peut laisser indifférent, même cent ans après. Quelques jours seulement avant l’armistice du 11 novembre 1918, paraissait chez Gaston Boutitie une première version illustrée du Feu. L’artiste, Renefer, mobilisé en 1914 à l’âge de 35 ans était chargé d’établir la topographie des champs de bataille. Durant tout le conflit, crayons et carnets de croquis à la main, il décrit la vie et la mort des soldats. Il s’attache tout particulièrement à croquer les paysages et les situations sous un trait agile et sobre en détails. C’est donc en pleine guerre que l’éditeur lui commande 86 dessins qui doivent illustrer le tout nouveau prix Goncourt de cette fin d’année 1916. Renefer réussira non seulement à sortir vivant des tranchées mais, en plus, il livrera à son éditeur 10 plaques de cuivre vernies gravées à la pointe métallique qui seront mordues par l’acide (procédé dit des « eaux-fortes »). On ne pouvait choisir meilleure association ! Les deux hommes ont vécu dans leur chair les supplices de la guerre et ont côtoyés les mêmes frères en première ligne. Jamais une telle force n’avait soudé texte et illustrations. Introduction de Gabrielle Thierry, présidente de l'association Renefer fondée en 2004 avec le soutien de la famille et des amis de Renefer et de Cécile Coutin, docteur en histoire de l'art et conservateur en chef honoraire du patrimoine.