Bruxelles, Aux éd. du Nord,coll. Les gloires littéraires, 1928. 1 vol. br. (151 x 209) de 247-[2] pages. Couv. à rabats ivoire, plats ornés d’un médaillon couleurs. Couverture un peu tachée, dos légèrement plissé.
Reference : 3091
Illustré de vignettes de Dignimont, coloriées au pochoir. Exemplaire numéroté sur vélin Allura.
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Genève, Editions du Milieu du Monde 1942. Bel exemplaire broché, couverture ornée d'éditeur, fort pet. In-4, 480 pages avec présentation et table + planches.
Et aussi : idem mais relié. CHF 80.00
1942 " Edition definitive avec une preface de l'auteur et huit planches hors texte " , Geneve, EDITIONS DU MILIEU DU MONDE. 1942. In-8 Carré. Broché.. 477 pages. Parfait etat avec un envoi de l'auteur : à François Montcorbier , en souvenir de son Homonyme , son jeune confrere, F. Carco "
Ray T1*
Editions Sauret, 1993, in-8 br. (14,5 x 21), 215 p., coll. "Pages perdues et retrouvées", dessins, couverture à rabats, très bon état.
De Montmartre au Quartier Latin nous plonge au coeur du Paris littéraire et artistique d'avant la Grande Guerre : d'un côté, ceux de la Butte (Bruant, Lautrec, Degas, Picasso, Utrillo), de l'autre, les "Montparnos" (Apollinaire, Matisse, Derain, Paul Fort...). Ici comme là-haut, on paye ses consommations d'un croquis ou d'une chanson. Viennent les années vingt. Certaines voix se sont tues. Apollinaire, grièvement blessé à la guerre, a été emporté par la grippe espagnole et Modigliani est mort dans la misère. Francis Carco, comme ses amis Max Jacob, Blaise Cendrars, Dorgelès ou Mac Orlan, a eu plus de chance : son talent commence à être reconnu, et l'écrivain se souvient des beaux jours où, dans sa mansarde du quai aux Fleurs, il n'avait pour toute richesse que quelques toiles de Modigliani, dont personne ne voulait... Un savoureux recueil de souvenirs écrit en 1925 par Francis Carco, poète, romancier, et membre de l'Académie Goncourt dès 1937.
Paris, Albin Michel, (1927). Un vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de 247 pp. Reliure de l'époque de demi-chagrin maroquiné cerise, filet vertical à froid porté sur les plats, dos lisse orné de quadruples filets d'encadrement dorés, titre doré, tête dorée, couvertures conservées.
Edition originale tirée sur Alfa. Exemplaire revêtu d'une agréable reliure du temps. ''« De Montmartre au Quartier Latin » nous plonge au cœur du Paris littéraire et artistique d’avant la Grande Guerre : d’un côté, ceux de la Butte (Bruant, Lautrec, Degas, Picasso, Utrillo), de l’autre, les « Montparnos » (Apollinaire, Matisse, Derain, Paul Fort...). Ici comme là-haut, on paye ses consommations d’un croquis ou d’une chanson. Viennent les années vingt. Certaines voix se sont tues. Apollinaire, grièvement blessé à la guerre, a été emporté par la grippe espagnole et Modigliani est mort dans la misère. Francis Carco, comme ses amis Max Jacob, Blaise Cendrars, Dorgelès ou Mac Orlan, a eu plus de chance : son talent commence à être reconnu, et l’écrivain se souvient des beaux jours où, dans sa mansarde du quai aux Fleurs, il n’avait pour toute richesse que quelques toiles de Modigliani, dont personne ne voulait... '' Papier légèrement oxydé. Du reste, très belle condition.
Un des 160 exemplaires sur Hollande numéroté (n°48), 1 vol. in-8 reliure demi-maroquin rouge, dos à 4 nerfs dorés, couvertures et dos conservés, Albin Michel, Paris, 1927, 247 pp.
Magnifique exemplaire parfaitement relié, en superbe état, du tirage de tête sur papier de hollande. Francis Carco nous relate ses souvenirs des "temps héroïques" du "Lapin Agile", des bistrots de Montmartre et des cafés du quartier Latin où il croisait Appolinaire, Max Jacob ou Utrillo, Mac Orlan, André Warnod ou Modigliani : "Durant de nombreuses années, la faim au ventre et buvant, car un ami vous offre toujours un verre, Modigliani mena l'existence la plus fausse. Les femmes, que sa très grande beauté frappait, se languissaient d'amour pour lui. Des étrangères, de très humbles filles. Mais Modi les quittait avant qu'elles eussent pu l'attacher".