Write to the booksellers
Guillon, Marie-Nicolas-Sylvestre
Pèlerinage de Dreux,dédié à sa majesté le roi des français.
Paris, Typographie Firmin-Didot, 1846. In-12 en demi-basane au dos lisse orné de filets dorés. 1 f. bl., 2 ff, 280 pp, 1 f., 1 f. bl. Une gravure en frontispice. Mouillure sur la partie supérieure des pages, frottements sur le dos.
Reference : DEZ-3956
Bookseller's contact details
Librairie Lang
M. Julien et Louis Lang
15 rue écuyère
14000 Caen
France
02-31-86-52-18
Payment mode
Sale conditions
Envoi du colis après encaissement du paiement. Tous les envois sont en colissimo. Si vous désirez un autre type d'envoi ou une assurance sur votre colis n'hésitez pas à nous contacter. Nous acceptons les chèques, les virements, paypal.
1 book(s) with the same title
Pèlerinage de Dreux, dédié à Sa Majesté le roi des Français.
Paris, Typographie de Firmin Didot frères, 1846 In-12 de (2)ff., 280pp., (1)f., 1 f.bl., chagrin violine, plats ornés d'une succession d'encadrements de filets gras et maigres dorés et à froid, dos à nerfs orné de caissons de filets dorés et à froid, coupes et bordures décorées, tranches dorées (reliure de l'époque).
"Édition originale. Elle est logiquement dédiée au roi Louis-Philippe et ornée d'un frontispice à l'eau-forte représentant la Chapelle Royale de Dreux. Le texte de chaque page se présente dans un filet d'encadrement. D'abord jeune aumônier de la princesse de Lamballe, Marie-Nicolas-Silvestre Guillon occupa ensuite toute sa vie la chaire d'éloquence sacrée à la Faculté de théologie de Paris. Il fut également évêque titulaire du Maroc à partir de 1832. La Royale Chapelle, par une suite de hasards historiques et en vertu de la volonté de la défunte mère de Louis-Philippe, était appelée à devenir le Saint-Denis de la dynastie des Orléans. C'est du moins cette conviction qui conduisit le Roi des Français à reprendre sur ce site hérité de son aïeul le duc de Penthièvre des travaux qui n'avaient été jusque-là que de réhabilitation, prélude, constate Guillon, décrivant le résultat de l'entreprise, à ""des constructions qui devaient bientôt rivaliser avec les plus beaux monuments de Westminster, de l'Escurial, de Vienne et de Florence"". En dépit de la très légère note d'exagération qu'on osera déceler ici, tout cela, deux ans avant 1848, résonne après coup d'une certaine grandeur tragique. Élégante petite reliure romantique, qui constitue l'habillage idéal d'un tel ouvrage."
