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[AUTOGRAPHES DIVERS]
Ensemble de 16 autographes et documents
AFFICHE DE VENTE PUBLIQUE DU XIXe SIECLE, annonçant la mise aux enchères, le 4 mai 1884, de terrains situés dans les communes de Montoir et de Saint-Joachim, arrondissement de Saint-Nazaire, Loire inférieure. Sur papier ocre (H. 419 x L. 303 mm). 10 eurosAFFICHETTE DE VENTE PUBLIQUE DU XIXe SIECLE, annonçant la mise aux enchères par autorité de justice, de mobiliers et objets qui ont été dispersés le 11 septembre 1871 en l'Hôtel des Commissaires-priseurs situé Place de la Bourse à Paris. Timbre de 35 cents apposé au verso (H. 250 x L. 172 mm). 10 eurosCACHIN (Marcel). Carte de visite autographe signée adressée à l'occasion des vœux de nouvelle année. Marcel Cachin (né à Paimpol le 20 septembre 1869, mort à Choisy-le-Roi le 12 février 1958) fut un homme politique français. (1 pages in-18). 10 euros VENDUCARTE D'ELECTEUR DU XIXe SIECLE, établie par la mairie de Les Mouiers (Loire inférieure) pour les élection municipales du dimanche 1er mai 1892, au nom de Jean Leroux. 10 euros CHEQUE DU XIXe SIECLE. Chèque établi par maître J. A. Soreau, notaire à Montoir-de-Bretagne le 20 novembre 1875, pour un montant de 113,28 francs. Endos timbrés et signés au verso. 10 eurosDECLARATION GENERALE DU 19 MARS 1962 RELATIVE A L'ALGERIE. Ce document historique a été communiqué à tous les électeurs à l'occasion du référendum du 8 avril 1962 relatif à l'indépendance de l'Algérie. Il traite de l'organisation des pouvoirs publics, de l'indépendance et de la coopération, des questions militaires, des règlements des litiges et des conséquences de l'autodétermination. 10 euros[ETAT CIVIL CERTIFICAT NAISSANCE DU XIXe SIECLE] Certificat de naissance extrait du registre aux actes de l'état-civil, délivré le en 1874 par la mairie de Cambrai, relatif à Jules Alexandre Auguste Véret né le 24 février 1832. 15 eurosHERRIOT (Edouard Marie, 1872-1957). Lettre dactylographie signée, sur papier à en-tête de la mairie de Lyon, datée du 9 mai 1946, adressée au directeur de l'Enseignement technique au Ministère de l'Education nationale à Paris, pour s'excuser de ne pouvoir faire la distribution de médailles demandée. Ministre au sein de nombreux gouvernements, Edouard Herriot présida la Chambre des députés, sous la IIIe République puis l'Assemblée nationale, sous la IVe République. Président du Conseil des ministres à trois reprises, c'est une figure du Cartel des gauches coalition gouvernementale et parlementaire des années 1920. D'autre part, il fut le maire de la ville de Lyon de 1905 à 1940 puis de 1945 à sa mort, en 1957. En 1946, il entra fut élu à l'Académie française. 10 EurosLOTI (Pierre). Très amicale lettre autographe signée, datée "au G.A.N. secteur 106. Juin 1917", adressée à monsieur Vedel, dans laquelle l'auteur s'inquiète de la santé de son ami et de son épouse, et le félicite pour un article paru dans "L'Illustration". G.A.H. sont les initiales du Groupe des Armée du Nord à l'Etat-Major duquel il a été affecté en mai 1917, avant d'être remis à la disposition de la Marine en 1918. Emile Vedel (1858-1937) était officier de marine, écrivain et ami de Pierre Loti. Il écrivit plusieurs articles dans "L'Illustration" en 1916 intitulés sur le titre général Nos marins aux Dardanelles. Samuel (1889-1969), dit Sam-Pierre, est le fils de Pierre Loti. Cest lui qui avait averti son père de létat de santé dEmile Vedel (1 page in-4). 50 euros. VENDU.MANDAT DE PENSION MILITAIRE DU XIXe SIECLE établi au nom de Jules Alexandre Auguste Véret le 26 mars 1884 pour un montant de 729,35 francs. 10 euros[NAUDIN (Bernard)] EMPRUNT DE LA DEFENSE NATIONALE 1915. Certificat délivré au nom du ministre des finances à mademoiselle Hutin pour sa participation au premier emprunt national lancé en novembre 1915 pour financer la guerre. Il est illustré d'une très grande composition allégorique dessinée par Bernard Naudin. Avec le cachet à froid de la caisse centrale du trésor public (H. 225 x L. 326 mm). 10 euros[NAUDIN (Bernard)] EMPRUNT DE LA DEFENSE NATIONALE 1915. Certificat délivré au nom du ministre des finances à mademoiselle Leudet pour sa participation au premier emprunt national lancé en novembre 1915 pour financer la guerre. Il est illustré d'une très grande composition allégorique dessinée par Bernard Naudin. Cachet du Crédit lyonnais apposé au verso et accompagné d'une signature (H. 225 x L. 326 mm). 8 euros[NAUDIN (Bernard)] POUR LA VICTOIRE. DEUXIEME EMPRUNT DE LA DEFENSE NATIONALE 1916. Certificat délivré au nom du ministre des finances à mademoiselle Hutin pour sa participation au second emprunt national lancé en octobre 1916 pour financer la guerre. Il est illustré d'une très grande composition dessinée par Bernard Naudin (H. 280 x L. 225 mm). 10 euros[PERIGNON (Baron Alfred, 1805-1860)] Faire-part de décès du baron Alfred Pérignon, fils du baron Pierre Pérignon (avocat, président du conseil général de la Seine) et de Louise Coudougnon. Alfred Pérignon épousa Honorine Reynaud (1815-1893) à Paris en 1832 et fut auditeur puis maître de requêtes au Conseil d'Etat. 10 eurosSTRAUSS (Gabrielle). Lettre de remerciement, autographe signée, adressée à madame Leudet (3 pages in-12 sur papier rose, enveloppe jointe). 50 euros.WADDINGTON (Frédéric, 1803-1873). Tract politique adressé aux habitants de Brezolles à l'occasion de sa candidature lors des élections au conseil général. Industriel important installé dans la vallée de l'Avre, il fut conseiller municipal pendant plus de 30 ans et un grand bienfaiteur loué par ses contemporains (3 pages et demie). 10 euros
Reference : 47394
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Divers écrits de jeunesse. — Ensemble de 16 documents manuscrits autographes de formats très divers, rédigés entre 1923 et 1928.
Ensemble de 16 documents manuscrits autographes de formats très divers, rédigés entre 1923 et 1928.Très émouvant ensemble de manuscrits autographes de jeunesse de Jean-Louis Barrault, portant tous une date apposée par l’auteur postérieurement. L’ensemble se compose ainsi :1923- Souhaits, 2 pages, 193 x 151, poème en 7 strophes en vers, rédigé sur un feuillet extrait d’un cahier d’écolier, à la plume et à la mine de plomb. Jean-Louis Barrault n’a alors que 13 ans, il évoque ses parents et son frère, qui lui manquent cruellement : Mes parents sont très loin et c’est ce qui me touche Où est donc, bon Louis ton violon crispant Où sont donc les beaux airs, Max-Henry de « ta bouche » que tu chantais si bien en te débarbouillant Je regrette encore plus ma mère et ses tendressesOù le soir je disais : maman vient me baiserC’était, je vous assure, parmi de douces caressesQue dans mon lit bien chaud je me laissais bercer...- Texte en prose, 2 pages, 193 x 151, rédigé sur un feuillet extrait d’un cahier d’écolier, à la mine de plomb. Il y raconte les mésaventures du Comte Éristal de Beauregard amoureux de la belle Charlotte et qui termina « gardé par 4 soldats et attaché au mur par des chaines très fortes » en attendant le jour de son exécution.1924- Feuillet double extrait d’un cahier d’écolier, 194 x 151, contenant 3 textes distincts rédigés à l’encre rouge et à la mine de plomb. Le premier intitulé Le Bonheur, est un poème en prose de 12 vers dans lequel il évoque sa quête du bonheur. Le second poème, constitué de 5 strophes, parle avec humour du bonheur d’avoir un grand frère : « Je suis heureux d’être cadet / Car mon frère peut me protéger / Mais quelque fois il va trop près / car il prétend me maîtriser... Voyez-vous amis quand un frère / Voudrait vous martyriser / Je dis : ne vous laissez pas faire. / Par lui il faut s’améliorer. » Dans le dernier poème le jeune Jean-Louis ironise avec délice sur son nom de famille : « Je m’appelle Barrault. Barrault ? Barrault de chaise. / De chaise ou de fauteuil madame, à votre choise... ».1926- Une page, 200 x 170, rédigée à la mine de plomb et au crayon bleu, contenant notamment une définition très personnelle du bonheur : « Autre façon d’être heureux : la vie est un spectacle gai. C’est l’imagination qui fait tout... ».- Un fragment de page de brouillon, 90 x 195, rédigé à la mine de plomb, intitulé Le Secret du bonheur.- un fragment de brouillon, 110 x 86, rédigé à la mine de plomb, réflexion sur la notion d’ « abstrait » en littérature.- 4 pages sur un feuillet double, 300 x 195, rédigé à la mine de plomb. Il s’agit d’un rébus inventé par Jean-Louis Barrault alors âgé de 16 ans, comprenant de nombreux dessins.1927- 1 page extraite d’un petit carnet, 145 x 90, poème en vers intitulé Hommage à une présidente, rédigé à la plume.- 2 feuilles de papier à lettre bleu, 120 x 180, contenant deux poèmes en prose.- 1 page extraite d’un cahier d’écolier, 210 x 165, contenant une curieuse réflexion sur le football.- 2 pages et demi, 310 x 200. Écrivant à un ami qui lui demande de « donner une idée de la France et de tout ce qui la touche », Jean-Louis Barrault dévoile quelques détails de sa vie privée.1928- 1 feuillet extrait d’un cahier d’écolier, 210 x 165. Il s’agit d’une invitation à une réunion des anciens élèves de Chaptal, rédigée à la plume sous forme de lettre.- 1 feuillet rose, 120 x 180, contenant un poème en vers écrit à la plume. L’auteur y a ajouté des notes, dessins et essais de signature au crayon rouge et bleu.Sans date- 2 feuillets extraits d’un cahier d’écolier, 210 x 165. Il contient une réflexion intitulée Le But de ma vie.- Dessin à la plume non signé, intitulé escrime, 120 x 125.
