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HERRIOT Edouard
LYON
in 4 en feuillet, couverture rempliée illustrée (plats et dos) Faux-titre, frontispice sous serpente, titre, 127 pages, Complet des lithographies originales de René AUBERT, sous serpentes. Pierre de TARTAS éditeur 1953-1954. Portefeuille cartonné avec titre en long, étui cartonné. Envoi manuscrit autographe de l’auteur, de l’illustrateur et de l’éditeur, tirage limité à 160 exemplaires. Celui ci numéroté sur vélin de rives. Très bon état.
Reference : 12181
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Supplément au Roman comique, ou mémoires pour servir à la vie de Jean Monnet, ci-devant directeur de l'Opéra Comique à Paris, de l'Opéra de Lyon, & d'une Comédie française à Londres. Ecrits par lui-même.
Londres, [sans nom], 1772. 2 volumes in-12 de [8]-200-[4]; 288-[8] pages, plein veau moucheté brun, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés, roulette dorée sur les coupes. Petite fente à un mors. Aux centres des plats, armes de Ch. François Barbarat de Mazirot, président à Mortier au parlement de Metz, puis intendant du Bourbonnais (Olivier, 268). Avec sa signature sur la page de titre du premier volume, et au faux titre du second.
Illustré d'un portrait de l'auteur gravé par Cochin. "Jean Monnet, né à Condrieux, près de Lyon, fut orphelin à l’âge de huit ans, et resta jusqu’à l’âge de quinze ans chez un oncle qu’on appelait le Rabelais du canton, mais qui, tout à ses plaisirs, négligea l’éducation de son pupille. Le jeune Monnet savait à peine lire, lorsqu’un de ses compatriotes le conduisit à Paris, et le plaça auprès de la duchesse de Berry (fille du régent). Cette princesse, charmée du talent qu’il montrait pour exécuter et contrefaire la voix et les gestes de toutes les personnes qu’il voyait, le prit en affection, et lui fit donner plusieurs maîtres d’agrément. Déjà Monnet se livrait aux plus douces espérances, lorsque tout à coup il perdit sa bienfaitrice, le 20 juillet 1719. Il était sans ressource : la veuve d’un vieux militaire le reçut chez elle. Ce n’était pas une existence honorable ; cependant elle lui offrait quelques agréments : mais les parents de la dame la firent enfermer. Monnet alla demander asile à son cousin qu’il avait à Mortagne. Il ne tarda pas à ressentir une vive passion pour une jeune personne d’une bonne famille ; et, payé de retour, il se disposait à l’enlever. Le projet fut découvert, Monnet se retira à la Trappe ; mais, le neuvième jour, il quitta le couvent et reprit le chemin de Paris. Pendant dix ou douze ans, il exerça plusieurs métiers. « Je fus, dit-il, bibliothécaire, éditeur, même auteur de plusieurs ouvrages. » Après une jeunesse dissipée et orageuse, il obtint en 1743 la direction de l’Opéra-Comique, dont on le priva bientôt, quoiqu’il eût revivifié ce spectacle. Il était en 1745 directeur du théâtre de Lyon, et en 1748, d’une troupe française à Londres. Il se lia dans cette ville avec le fameux Théodore, roi de Corse. De retour à Paris, il y reprit en 1752 la direction de l’Opéra-Comique, qu’il conserva jusqu’en 1757 : ce fut l’époque la plus brillante de ce spectacle. Monnet fit en 1766 un nouveau voyage à Londres, puis revint à Paris, où il est mort obscurément vers 1785. " Michaud, Biographie universelle. Bel exemplaire de ce témoignage de la vie quotidienne des comédiens au temps de Louis XV, dont c'est la seule et unique édition.
De Lyon à Seyssel. Guide pittoresque du voyageur en chemin de fer. Promenade dans l'Ain par un Dauphinois.
Lyon, Imprimerie de Louis Perrin, 1858. In-8 de [4]-V-[3]-784-[2] pages, demi-veau brun, dos (un peu passé) à 4 nerfs avec titre doré, tranches mouchetées.
Illustré d'un frontispice, de 7 planches hors-texte et d'une carte dépliante. Exemplaire justifié d'auteur, enrichi d'un envoi autographe à l'encre rouge: "aux révérends pères Jésuites par un de leurs enfants de Fribourg hommage respectueux de reconnaissance. Cte de Quinsonas".
La vie galante à Lyon au bon vieux temps. Histoire anecdotique et illustrée des moeurs intimes lyonnaises à toutes les époques.
Lyon, Les Editions du Fleuve, Bosc Frères et Riou, imprimeurs-éditeurs, 1928. Fort volume in-4 de [4]-XV-390-[2] pages, demi-maroquin marron à coins carrés, dos lisse avec titre et filets dorés, coiffes renflées, filets dorés suivant le décor cubique, plats de papiers or et pétrole, que l'on retrouve sur les gardes, tête dorée. Couvertures et dos conservés.
Bienc omplet des 215 images, la plupart inédites, soit: un bois en couleurs à la couverture, gravé spécialement par Louis Bouquet, une vignette de titre (bois lyonnais de Jean Syber), une estampe-monotype par Pierre Combet-Descombes, vignettes in-texte et au second plat de couverture, et enfin la série documentaire de XCV planches phototypiques hors-texte ouvrées par Maurice Lescuyer. Les planches XXXVIII à XLI sont bien là, quoique déplacées. Tirage limité à 620 exemplaires numérotés, celui-ci un des 600 de luxe sur vélin d'Arches teinté (17). Bel ouvrage, rare en reliure. Quelques légers frottements en bords.
Description de la pompe funèbre de Monseigneur le Maréchal Duc de Villeroy, faite dans l'Eglise de l'Aumône Générale & Hôpital Général de la Charité de Lyon, le 15 septembre 1730. Par Messieurs les administrateurs. Avec l'oraison funèbre, pronocée dans la même Eglise, par le Père Renaud, Docteur de la Sorbonne, Définiteur Général, de l'Ordre de S. Dominique. Représentée ici en deux grandes Planches en Taille-douce.
A Lyon, de l'imprimerie d'André Degoin, [1730?]. In-4 de [8]-6-[2]-27 pages, plein veau moucheté, dos à 6 nerfs orné de fleurons et encadrements dorés. Coins, dos et plats frottés, petit manque en queue.
Bien complet des deux grandes planches dépliantes, l'une malheureusement avec 2 déchirures, dont une avec petit manque. Illustré en outre d'une vignette de titre gravée, d'un bandeau mortuaire impressionnant repris une fois et d'un cul-de-lampe à la tête de mort. Rarissime.
Vienne et Lyon gallo-romains.
Paris, Librairie Hachette, 1891. Un grand vol. in-8 de [2]-XII-[2]-408 p., demi-maroquin rouge, plats de percaline ornés de filets à froid, couronne de lauriers entourant "Lycée Faidherbe, Lille" au premier plat, dos à 5 nerfs orné de filet, fleurons et caissons dorés.
Avec des dessins d'A. Barqui et deux plans dépliants.
