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DECK Th.
La Faïence
Célèbre collection artistique parue chez Quantin à la fin du XIXè siècle. La reliure d’éditeur toujours très soignée en percaline de différentes couleurs. Pleine percaline de soie bleu gris, décor à froid et titre doré sur le plat supérieur. Paris Quantin 1887 1 volume in-8°
Reference : 4663
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Librairie Seigneur
Martine Seigneur
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5 book(s) with the same title
La faience fine
Editions Grund Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1991 Book condition, Etat : Bon relié, pleine toile éditeur noir, sous jaquette illustrée saumon, illustrée d'une photographie en couleurs d'un pichet et d'un pot en faience, illustrés de rose In-4 1 vol. - 240 pages
184 illustrations dans le texte, certaines pleine page, principalement des photographies en noir et blanc et en couleurs, quelques marques de faiencier, quelques dessins et figures dans le texte non numérotés 1ere traduction en français, 1991 "Contents, Chapitres : Introduction - Le contexte historique - L'origine de la faience fine et sa technique - La faience fine en Angleterre - La France - Les Pays-Bas, l'Allemagne et la Suisse - L'Europe centrale - L'Italie et l'Espagne - La Pologne, la Scandinavie et la Russie - Glossaire - Liste des principales collections de faience fine - Tableaux de marques - Bibliographie, table des illustrations et index - La faïence est une terre cuite à base d'argile. Il en existe deux types : la faïence stannifère, recouverte d'une glaçure stannifère (à base d'étain) opaque appelée engobe, qui masque totalement la pâte avec laquelle elle a été façonnée et lui donne son aspect caractéristique blanc et brillant, et la faïence FINE, dont la pâte blanche ou légèrement ivoire, précuite puis décorée, est recouverte d'une glaçure plombifère (à base de plomb) transparente. La faïence est l'une des plus communes et des plus anciennes techniques utilisées en céramique. La découverte de la faïence, au IXe siècle et sa diffusion en Occident à la Renaissance représentèrent une avancée technique majeure : pour la première fois, le potier s'affranchissait des décors cloisonnés ou incisés pour délimiter les couleurs. Surtout, il pouvait utiliser le fond blanc pour exécuter une véritable peinture 2 et reproduire des décors élaborés, susceptibles d'être inspirés par de grands artistes. Sur la glaçure blanche et poreuse, les couleurs pouvaient être posées au pinceau, sans risque de s'épancher sur le vernis. Elle ressortaient vivement, ce qui n'était pas possible avec le seul fond foncé de l'argile. - La faïence fine est une technique d'origine anglaise, c'est une faïence à pâte blanche ou légèrement ivoire. Le décor est posé sur la pièce précuite puis recouvert d'un vernis cristallin plombifère. Ce vernis transparent, à l'inverse de la faïence stannifère, ne masque pas la pâte déjà blanche de la faïence fine. Cette faïence fine apparaît en France à la fin du XVIIIe siècle (Manufacture de Pont-aux-Choux) et connait un très fort développement au XIXe siècle (Faïence de Creil-Montereau, Faïence de Choisy-le-Roi, Faïences Vieillard à Bordeaux). Il existe différentes compositions de pâte connues sous les appellations de ""cailloutage"" ou de ""terre de pipe"". L'adjonction de phosphate de chaux d'abord, de kaolin ensuite, explique le nom impropre de ""porcelaine opaque"" ou ""demi-porcelaine"" que lui ont donné les fabricants à l'époque des expositions d'Art industriel. Le procédé d'impression demeure l'innovation décorative la plus appropriée à ce type de céramique. Ce procédé, dans lequel le décor encré sur un papier de soie est absorbé par la surface poreuse du biscuit, favorisa l'émergence de la céramique industrielle. (source : Wikipedia)" dos de la jaquette légèrement insolé sans gravité, la jaquette est sinon complète et en bon état, legeres taches sombres aux deux coins du plat supérieur de la jaquette n'affectant pas l'intérieur, l'intérieur est sinon frais et propre, cela reste un bon exemplaire de cet ouvrage proposant un vaste panorama européen de la faience fine, abondamment illustré.
CHAMPFLEURY Jules François Félix Husson, dit & ADELINE Jules
Reference : 76723
(1885)
Le violon de faïence. La légende du violon de faïence
Librairie Conquet, Paris 1885 - 1895, In-12 (13x19,3cm), 2 volumes reliés.
Edition finement illustrée de 34 gravures à l'eau-forte par Jules Adeline. Tirage de tête, un des 150 exemplaires sur japon impérial, N°129. La légende du violon de Faïence, édition originale, un des 150 sur japon impérial, tirage de tête. Une composition en bleu pour la couverture et 8 compositions à l'eau-forte de Jules Adeline. Perles biblophiliques reflétant le goût pudique des bibliophiles de la fin du XIXe. Reliure en plein maroquin bleu roi pour le Violon de Faïence. Reliure en demi maroquin à coins bleu roi pour La légende... Le premier signé Maylander en bas du contreplat, le second en page de garde. Dos à nerfs orné ayant viré au vert. Triple filet d'encadrement pour le violon de faïence, large frise intérieure avec gardes de soie grège. Etui double bordé de maroquin, papier marbré vernis, signé également Maylander en queue. Couvertures conservées. 2 feuillets de catalogues illustrés de la librairie Conquet sur japon in fine. Superbes exemplaires, parfaitement frais et dans un état irréprochable. Le violon de faïence est un roman de Champfleury mettant en scène deux collectionneurs de céramiques rares dont un violoniste. La légende du violon de faïence, par l'illustrateur du Violon de Faïence, évoque la vie de Champfleury qui venait de décéder et le vieux Rouen. Adeline conte des anecdotes sur la création du roman. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Catalogue d'exposition publié à l'occasion de l'exposition "Masséot Abaquesne, l'éclat de la faïence à la Renaissance" au musée national de la Renaissance, Écouen du 10 mai au 3 octobre 2016.
Reference : 25691
ISBN : 9782711863594
Masséot Abaquesne. L'éclat de la faïence à la Renaissance. Catalogue d'exposition.
<meta charset="utf-8"><div class="ProductDetails-body" data-mce-fragment="1"><div id="ProductDetails-body" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1" itemprop="description">Le musée national de la Renaissance, en partenariat avec le musée des Beaux-arts et de la céramique de Rouen, organise la première grande rétrospective française consacrée au faïencier rouennais Masséot Abaquesne, né vers 1500 à Cherbourg et mort en 1564 à Sotteville-lès-Rouen.<br data-mce-fragment="1">On sait qu'il prit part au développement de la manufacture de faïence de Rouen dont il devint directeur.<br data-mce-fragment="1">Ses premières oeuvres identifiées - pour le château d'Écouen - en 1542 sont l'expression d'une technique très maîtrisée et d'une connaissance approfondie du répertoire iconographique de la Renaissance italienne. Sa production de faïences proches des majoliques italiennes est l'une des premières apparues en France, 20 ans avant Bernard Palissy. Son œuvre la plus connue est le pavement exécuté en 1542 pour le château d'Anne de Montmorency, à Écouen; véritable tapis de faïence, dont une partie est toujours visible.<br data-mce-fragment="1">En 1545, il reçoit une commande de 4000 pots à pharmacie pour l'apothicaire rouennais Pierre Dubosc, dont de nombreux éléments nous sont parvenus.<br data-mce-fragment="1">En 1557, il livre à Claude d'Urfé, gouverneur du dauphin et des enfants de France, les pavements de la chapelle de son château situé dans la Loire. Ces pavements furent dispersés au XIXe siècle au sein de collections privées et publiques. Le musée du Louvre expose la partie la plus belle: le pavement de la marche de l'autel.<br data-mce-fragment="1">Dans cet ouvrage, la production d'Abaquesne, pavemenst et pièces de formes, est replacée dans le contexte plus large de la faïence de son temps.<br data-mce-fragment="1">Les similitudes entre ses oeuvres et celles produites à Anvers sont mises en lumière afin de répondre à la question de sa formation: anversoise ou italienne? Directe ou réalisée au contact d'artistes étrangers installés en France?</span><br data-mce-fragment="1"><br></p></div></div><form action="https://www.boutiquesdemusees.fr/fr/boutique/panier/ajouter/" method="post" id="VariantsForm" data-mce-fragment="1"></form> Paris, 2016 Réunion des Musées Nationaux 160 p., richement illustré, brochure à rabats. 22 x 28
Neuf
DOSSIERS DE L'ARCHEOLOGIE N° 304 JUIN 2005 - FAIENCES ANTIQUES - Définitions techniques de la faïence - les origines au Proche Orient et au Moyen Empire en Egypte - faïence au bronze récent - chypre à l'age du Bronze etc.
DOSSIERS DE L'ARCHEOLOGIE. 2005. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 86 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 930.1-Archéologie
Sommaire : Définitions techniques de la faïence - les origines au Proche Orient et au Moyen Empire en Egypte - faïence au bronze récent - chypre à l'age du Bronze la production de matières vitreuses - le décor architectural en Egypte et au Proche Orient - la faïence égéenne - Assour et Babylone céramique commune et vaisselle de luxe - le mystère des gourdes du Nouvel Empire - faïences à pois du Delta oriental - les dieux brillants amulettes de divinités en faïence - le monde phénicien et Rhodes - en Egypte des Ptolémée à l'époque romaine - céramique à glaçure pré islamique - innovations aux premiers temps de l'islam. Classification Dewey : 930.1-Archéologie
Cahiers de la Céramique du verre et des arts du Feu Faïence et Porcelaines Suédoises du XVIIIe Siècle (Carl Hernmarck) - Service du Baron de Breteuil. Faïence de Marieberg (Michèle Meyer de Schmid) - Les Faïences fines Anglaises de couleur crème (Donald Towner) - La Carrière des Dubois (Nicole Ballu) En couverture : Terrine en Faïence de Mareiberg.
N° 10 de 1958 - revue trimestrielle illustrée - hors-texte - in-4 broché
Couverture juanie et un peu tachée, 4me plat frotté - intérieur propre
