‎BARBIER Élisabeth‎
‎Poème signé‎

‎Poème dactylographié et dédicacé d'Élisabeth Barbier, l'auteur des gens de Mogador. On joint une correspondance avec la maison d'édition Pierre Seghers refusant ces manuscrits … Le poème a été recollé au scotch. en feuille avec enveloppe. moyen Avignon 1942 ‎

Reference : 11988


‎édition originale‎

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Martine Seigneur

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‎Emile Deschamps (1791-1871), poète.‎

Reference : 014209

‎Poème signé‎

‎Emile Deschamps (1791-1871), poète. Poème signé, Noel 1869, 1p in-8 oblong. Petit poème de 6 vers adressé à son amie Louise Labbé (1846-1934), épouse de Léopold Paignard, maire de Savigné-l'Evêque (Sarthe). Nous n'avons toutefois pas trouvé le lien de parenté réel (s'il y en a un). [231-2] ‎


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Phone number : +33 6 30 94 80 72

EUR45.00 (€45.00 )
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‎JANACEK LEOS‎

Reference : RO20189797

(2001)

‎"CARNET D'UN DISPARU, spectacle musicale en francais (prologue) et en langue tcheque sur un poeme signé ""de la plume d'un autodidacte""."‎

‎ALTERNATIVE LYRIQUE. 2001. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages.. . . . Classification Dewey : 780-Musique‎


‎DIRECTION MUSICAL ALAIN PLANES - MISE EN SCENE CLAUDE REGY Classification Dewey : 780-Musique‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎BRETON André‎

Reference : 64262

(1917)

‎Poème autographe de jeunesse signé et dédié à Léon-Paul Fargue : « Aube adieu ! Je sors du bois hanté ; j'affronte les / routes, croix torrides »‎

‎circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.‎


‎Remarquable poème de jeunesse autographe signé d'André Breton, titré "Poème" et dédié à Léon-Paul Fargue, 21 vers à l'encre noire sur papier vergé, daté par l'auteur du 19 février 1916 et probablement composé dix jours plus tôt. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection («André Derain»),composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, le présent manuscrit est une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue. Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes, furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes «Décembre», «Age», et «André Derain», tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie «L'an suave». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème «Facon» (1916) en ces termes: «Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon» (Lettre de juin 1916,uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance de Jacques Vaché, qui lui inspire un projet d'écriture collective, ainsi que l'illustration du futur recueil Mont de Piété, finalement réalisée par André Derain. La fréquentation de ce «dandy révolté contre l'art et la guerre», qui partage son admiration pour Jarry, et le contact des aliénés du centre neuro-psychiatrique de Saint-Dizier marquent une étape décisive dans la genèse du surréalisme. Affecté au Val-de-Grâce à partir de 1917, Breton trouve à Paris l'effervescence littéraire nécessaire à sa quête poétique et récite Rimbaud en compagnie d'Aragon. C'est par l'entremise d'Apollinaire qu'il se lie d'amitié avec Soupault, futur co-auteur des Champs magnétiques, et Reverdy, fondateur de la revue Nord-Sud, qui publiera des poèmes de Mont de piété. Les sept poèmes de la collection seront par la suite publiés dans des revues littéraires d'avant-garde (Les Trois Roses, Solstices, Nord-Sud) entre 1917 et le début de l'année 1919. Quatre des sept poèmes urent dédiés aux maîtres et amis de l'auteur: Léon-Paul Fargue, et surtout Apollinaire, à qui Breton avait consacré une étude dans l'Eventail. L'auteur rend également hommage à Marie Laurencin et André Derain, créateurs "d'oeuvres plastiques encore toutes neuves, en butte à un décri et une intolérance presque unanimes", chères à Breton tout au long de sa vie (XXe siècle, n°3, juin 1952). Breton multiplie avec les dédicaces les allusions croisées, dédiant à l'un un poème inspiré par l'autre, à l'exemple de ce poème, dédié à Léon-Paul Fargue, qui fait écho à Rimbaud et son poème «Aube» (Les Illuminations, 1895).Ce poème fut publié pour la première fois après la rédaction du présent manuscrit dans la revue Les trois roses, n°2, juillet 1918, dans laquelle il change de titre et devient «Age» après avoir été originellement baptisé « Poème». Notre manuscrit autographe est une épreuve antérieure, telle qu'elle a été adressée par Breton à Valéry et Apollinaire en février 1916. Il y glisse à la quatrième strophe un vers supplémentaire qu'il retrancha de la publication finale : «O bras si pleins qui m'ont déçu de flexions troubles, anses lilas que rudoyait le nud tors!». L'influence de Rimbaud y est éclatante - un hommage au maître que l'on peut facilement déceler dans les vers "Aube adieu ! Je sors du bois hanté ; j'affronte les / routes, croix torrides" (v. 1-2), s'inspirant de la fin du poème de Rimbaud "L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi." Valéry, après réception du poème, pardonne au jeune Breton sa fièvre rimbaldienne : «Je vois maintenant que l'illumination vous gagne. La noble maladie suit son cours. Il faut l'avoir eue, guérir, et en garder certaines traces ». Rarissime manuscrit de jeunesse, révérence rimbaldienne d'André Breton alors «au point intellectuel de fusion [...] quand le Rimbaud, le Mallarmé, inconciliables, se tâtent dans un poète» (Paul Valéry, lettre de janvier 1916). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR4,000.00 (€4,000.00 )

‎DUMAS Alexandre‎

Reference : 64096

(1860)

‎"Naïs et Chloé" Poème saphique autographe inédit signé d'Alexandre Dumas‎

‎s.d. (circa 1860), 20,6x27,6cm, un feuillet remplié.‎


‎Poème manuscrit autographe signé d'Alexandre Dumas portant le titre "Naïs et Chloé", 84 vers à l'encre noire sur feuillet remplié bleu. Quelques infimes déchirures sans manque de texte dues aux pliure inhérentes à la mise sous pli. Le poème autographe est présenté sous une chemise en demi maroquin vert sapin, plats de papier marbré, contreplats doublés d'agneau vert, étui bordé du même maroquin, ensemble signé Goy & Vilaine. Rarissime manuscrit d'un long poème inédit retraçant les amours de Naïs et Chloé et dont l'écriture est régie par l'admiration et l'hommage qu'Alexandre Dumas rend à l'une des plus grandes figures de la poésie antique, Sappho. Romancier prolifique, Dumas s'est rarement essayé au genre poétique, «Naïs et Chloé», par sa longueur, constituant un hapax dans la production littéraire de l'écrivain. Le texte demeure inédit à ce jour et se trouve ici enrichi de l'élégante calligraphie de son auteur. Le poème est constitué de 21 quatrains parmi lesquels se distingue une remarquable insertion des vers les plus célèbres de Sappho, «à la femme aimée», dont le titre est conservé dans le corps même du texte. Cet enchâssement participe de la verve avec laquelle Dumas défend la force poétique et évocatrice de l'écriture de Sappho qu'il élève au rang d'«étoile du monde» de la Poésie : «Il est au sein des mers s'appuyant à l'Asie Entre l'heureuse Smyrne et la sombre Lemnos Une île aux bois fleuris chers à la Poésie A qui Venus donna le doux nom de Lesbos. Quand du chantre divin la voix fut étouffée Que du nom d'Euridice elle eut frappé l'écho Le flot roula tête et la lyre d'Orphée Sur la rive où plus tard devait naître Sapho Sapho naquit la lyre en ses mains fut remise Les sons qu'elle en tira jusqu'à nous sont venus» Traduits par les soins consciencieux de l'auteur, le poème empruntéà Sappho, où émerge le vers le plus célèbre, "Celui-là, je le dis, il est l'égal des dieux",se retrouve en plusieurs endroits de l'uvre de Dumas, notammentdans le chapitre intitulé «les vers saphiques» de la San Felice et dans un recueil d'articles dédié aux grandes figures féminines où elle siège parmi Jeanne d'Arc et Marguerite d'Anjou. Il s'agit pour Dumas de demeurer fidèle aux vers écrits et de leur rendre leur sensualité, souvent estompée par les traducteurs antérieurs: «Les traductions de ces deux poëtes [...] nous paraissent non seulement manquer de couleur antique mais insuffisantes comme ardeur lesbienne» (Les étoiles du monde, Galerie historique des femmes les plus célèbres de tous les temps et de tous les pays) Par-delà la traduction qu'il propose, Dumas s'imprègne de la plume lyrique de Sappho sans se défaire de sa propre veine romanesque et peint les amours saphiques de Naïs et Chloé sous un jour érotique: «Oh seule palpitante, échevelée et nue Une main sur ma gorge et l'autre... Oh ma Naïs Serre moi dans tes bras et sois la bien venue Car à force d'amour... tiens... tiens je te trahis Et l'on n'entendit plus alors dans la nuit sombre Que le bruit des baisers répétés par l'écho Car Nais et Cloé se taisaient et dans l'ombre Clinias s'enfuyait en maudissant Sapho» Le poème s'inscrit dans la continuité de l'intérêt que les auteurs de la fin du XIXe siècle portent au saphisme et au personnage-lecteur voyeur, ici incarné par Clinias, et dont la plus célèbre occurrence demeure la Nana de Zola Exceptionnel et long poème autographe saphique d'Alexandre Dumas. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DURRELL Lawrence‎

Reference : 66628

(1969)

‎"Vaumort" : poème autographe signé et illustré par l'auteur à son amante française‎

‎1969, 30,4x39,5cm, une feuille.‎


‎ Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «?maison Tartès?», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «?Jany?» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «?Buttons?» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «?Buttons?», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs.Exceptionnel poème autographe daté de 1969, signé et illustré de dessins originaux au graphite, feutres et crayons de couleur par Lawrence Durrell. Le poème-uvre d'art est adressé à Janine Brun, son amante française, et porte la dédicace «?For Buttons?», surnom affectueux que lui donnait l'écrivain, surmonté d'un cur percé d'une flèche. «?Et je sus qu'à chaque fois que Je veux être vraiment seul Et me souvenir de toi, de cette journée, C'est à Vaumort que je songerai?». «?I knew that whenever I want to be perfectly alone With the memory of you, of that whole [day, It's to Vaumort that I'll be turning?» Trous d'épingles, déchirures marginales. Publié pour la première fois dans Collected Poems?: 1931-1974 (1980). Dans ce poème-dessin, l'écrivain se remémore une journée d'amour passée dans le cimetière d'un petit village de l'Yonne en compagnie de son amante Janine Brun. Au même moment, Durrell se remet péniblement du décès prématuré de sa troisième femme, survenu deux ans auparavant, et publie sa série de romans dystopiques Tunc (1968) and Nunquam (1970). Il se retranche également dans la poésie, dernier exercice d'ascèse littéraire et philosophique d'un écrivain qui, progressivement, choisit de se retirer du monde. C'est au cours d'une traversée depuis la capitale vers le Midi, que ce sont arrêtés les amoureux le temps d'une journée à Vaumort?: «?Au-dessous de nous, très loin, la route [qui mène à Paris Tu verses un peu de vin sur une tombe Les abeilles boivent avec nous, les morts [acquiescent?». «?Below us, far away, the road to Paris. You pour some wine upon a tomb. The bees drink with us, the dead approve.?» La poésie de Durrell a souffert de l'éclatant succès de ses romans, cependant elle atteint ici une grande beauté lyrique, son vers libre néanmoins très musical reprenant le célèbre motif du cimetière?: «?Un cimetière insouciant bourdonne Comme si ses tombes étaient des ruches Bousculées par des morts impatients - Nous imaginions qu'ils avaient accumulé Le miel de leur immortalité Dans le doux tumulte des abeilles [noires?». «?One careless cemetery buzzes on and [on As if her tombstones were all hives Overturned by the impatient dead - We imagined they had stored up [The honey their of their immortality In the soft commotion the black bees make.?» L'écrivain s'exerce ici à capturer dans le poème un moment de bonheur et de plaisir charnel avec son amante, et encadre les vers qu'il lui offre de longs aplats de graphite et de nombreux dessins aux couleurs vives. Parallèlement à son travail d'écriture, l'auteur du Quatuor d'Alexandrie pratiquait en effet assidument la peinture et organisa plusieurs expositions de ses uvres sous le pseudonyme «?Oscar Epfs?», son double artistique. Selon Serge Fauchereau, «?[...] c'est grâce à son ami Henry Miller qu'il s'était mis à la peinture?», en autodidacte, et qu'il produit à partir des années soixante des «?fantaisies jubilatoires?» (Jean Lacarrière), extrêmement colorées. On a ici un rare exemple d'une uvre d'art double, à la fois poétique et picturale. Réalisée aux feutres et crayons de couleurs, proche des dessins de Joan Miró, elle constitue une magnifique illustration empreinte de naïveté, qui se marie admirablement au poème. Durrell poursuivit cette activité jusqu'à la fin de sa vie, passée à Sommières?: on peut d'ailleurs y voir une véritable transcription picturale du «?burnt and dusty Languedoc?» («?Languedoc brûlé et poussiéreux?», vers 12), auquel il rendra hommage dans son ultime roman Caesar's Vast Ghost. Rare témoignage de l'aventure provençale de Durrell avec une jeune française, qui lui inspira un délicieux poème empreint de chaleur et de couleurs méditerranéennes. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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