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‎LUCIETO (Ch.).‎

Reference : 71576

(1926)

‎En Missions Spéciales. Mémoires d'un agent des services secrets de l'Entente. La Guerre des Cerveaux.‎

‎ Berger-Levrault, 1926, in-12, ix-340 pp, 51 photographies et fac-similés, 4 cartes, broché, couv. illustrée (lég. salie), bon état‎


‎Intéressant ouvrage, très documenté sur l'espionnage et la propagande allemande pendant la Première Guerre mondiale. Charles Lucieto fut l'un des nombreux agents français résidants aux Pays-Bas pendant la guerre, avec liberté de mouvement en territoire ennemi et à Paris, où il rendait compte à ses chefs ; un homme qui entre autres déguisements opérait sous la couverture un d'homme d'affaires, et dont la mission la plus connue a consisté à voler une nouvelle formule du gaz moutarde introduit dans des obus que les Allemands, en contradiction avec toutes les conventions internationales, ont commencé à employer sur le front en 1915. Il décrit dans le chapitre 2 l'organisation et la structure des services secrets allemands, avant, pendant et après la guerre, présentés comme une monstrueuse machine criminelle, omnisciente, presque toute-puissante, parfois stupide... Dès son second livre, Lucieto passa franchement à la fiction et écrira nombres d'aventures d'espionnage (présentées comme des "romans documentaires"), avec des titres tels que : La Vierge rouge du Kremlin, Le Diable noir, L'Espion du Kaiser, etc. — "Il y a eu la guerre des baïonnettes, la guerre des grenades, la guerre des canons, la guerre des mines, la guerre des gaz. Il est juste de ne pas oublier la guerre des cerveaux. C'est ainsi que Ch. Lucieto dans son curieux livre « En missions spéciales ». désigne la lutte menée contre les espions allemands par les agents du contre-espionnage allié. J'aurai de nouveau l'occasion de parler de ce livre, car sa lecture a produit sur moi une impression profonde et il est juste que les combattants connaissent ce nouvel aspect de la guerre." (Jacques Péricard, L'Ouest-Éclair, 3 novembre 1926) — "Auteur mystérieux, censé être un ancien agent du renseignement français, Charles Lucieto connut un grand succès de librairie dans les années 1920-1930 avec une série d'ouvrages sous-titrée "La Guerre des Cerveaux", et qui prétendaient révéler les ficelles de l'espionnage international pendant la Première Guerre Mondiale et les années qui précédèrent. Ce genre d'ouvrages était courant à cette époque, mais ceux de Lucieto étaient généralement fort documentés, avec bordereaux, fiches anthropométriques, photos confidentielles. Si Lucieto n'était pas lui-même l'agent secret qu'il prétendait être, il bénéficiait indéniablement d'informateurs et de sources. Toujours est-il que ses livres documentaires connurent un tel succès qu'il en signa au final pas moins de onze volumes, publiés en un temps record entre 1926 et 1932. Parallèlement, on lui doit aussi une saga romanesque, éditée en 12 fascicules, "Les Merveilleux Exploits de James Nobody". En effet, ce qui frappe au premier abord, quand on ouvre ce livre de Charles Lucieto, c'est que, espion ou non, on a affaire à un écrivain, c'est-à-dire à un conteur qui sait allier une certaine rigueur factuelle avec un indéniable talent de feuilletonniste, qui ne craint ni l'emphase ni les rebondissements téléphonés, ni les effets de style propres au roman populaire. "En Missions Spéciales" n'est pas seulement un document informatif sur l'espionnage, mais un reportage palpitant sur les acteurs de l'ombre en temps de guerre. Cette vivacité narrative, qui nuit néanmoins au sérieux de l'ouvrage, fut sans doute pour beaucoup dans le succès que connut cette série. Ce premier tome est divisé peu ou prou en deux parties : – La première s'intéresse avant tout à l'espionnage allemand durant la Première Guerre Mondiale, et à la manière dont les agents du contre-espionnage français parvenaient à traquer et à arrêter les espions allemands agissant en France. Tous les chapitres concernant les courriers secrets et les instructions confidentielles est particulièrement intéressant, et tout à fait crédible : 80% de l'espionnage au XXe siècle était avant tout un travail autour de messages à envoyer, de courrier à intercepter, et de lettres à ouvrir puis à refermer afin qu'on ne sache pas qu'elles ont été lues. Ce trafic d'informations occupait la plupart des espions du monde qui, de ce fait, étaient loin d'avoir une vie aventureuse à la James Bond. Ici, on découvrira volontiers des micro-messages pliés en quatre, collés sous un timbre pour affranchir une enveloppe qui ne contenait qu'une lettre manuscrite sans valeur, mais aussi des dessins aux fusains de peintres du dimanche qui recouvrent le plan d'une base navale française, d'autres messages dissimulés en code au travers des notes d'une partition musicale ou dans le texte d'une petite annonce publiée dans un journal, etc, etc... Ces "trucs" d'espionnage sont particulièrement attendrissants, parce qu'ils appartiennent à une époque totalement révolue. L'avènement d'Internet, du cryptage informatique, des messageries instantanées, du wi-fi, du Bluetooth, font qu'il n'a jamais été aussi simple d'échanger des informations, et que face à l'immense foisonnement des milliards de messages échangés chaque jour, l'espionnage a sans doute considérablement changé de forme. Charles Lucieto nous conte néanmoins, avec l'émerveillement joyeux d'un homme qui apprécie dans l'espionnage ces petits exercices cérébraux qui font alors partie du métier, toute une galerie d'exemples très représentatifs de ce que pouvait être le travail d'un espion. Enfin, d'un espion allemand naturellement, car aux dires de Lucieto, il n'y avait pas de méthodes comparables effectuée par des espions français en Allemagne. Seuls les allemands sont à la fois capables de tout et bons à rien, Lucieto le répète suffisamment pour que cela justifie toute action française effectuée contre eux. D'ailleurs, Lucieto est trop patriote pour faire preuve de beaucoup d'empathie. À plusieurs reprises, il affirme bien que tel espion pris sur le fait, même jeune, même embrigadé par chantage ou l'appât du gain, est quelqu'un dont on "s'occupe" et qu'on ne "revoit" plus. – Dans la deuxième partie de ce livre, Charles Lucieto change quelque peu de ton et aborde le sujet alors très fantasmatique des belles espionnes internationales, en s'arrêtant longuement sur trois cas qui l'ont beaucoup préoccupé : Elsbeth Schragmüller, dite "Fraulein Doktor" (décrite ici comme "Mademoiselle Doktor", son vrai nom n'ayant filtré qu'en 1945, plusieurs années après sa mort), notre Mata-Hari nationale (ou presque) et une allemande du nom d'Irma Staub, qui semble avoir beaucoup hanté Charles Lucieto, y compris dans une dimension érotique, et à laquelle il consacre de très longs chapitres. Il n'est pas inutile de préciser qu'il n'existe aucune autre source sur Irma Staub, qui se faisait appeler en France "comtesse de Louvain", que celles avancées par Lucieto. Il y aurait de sérieuses raisons de remettre en cause l'existence réelle de ce personnage un peu romantique, si Charles Lucieto ne publiait sa photo dans son livre. Sur Fraulein Doktor, Lucieto est nettement moins disert, bien qu'il prétende l'avoir vue une fois et avoir été saisi du regard glacé et impitoyable qu''elle posait sur toutes choses, ce que les quelques photos d'elle existant ne semblent pas confirmer. de par ce pseudonyme par lequel elle s'était fait connaître dans le milieu de l'espionnage, Fraulein Doktor avait alimenté bien des fantasmes et des rumeurs sur la cruauté de ses tortures et de ses mutilations. En réalité, Elsbeth Schragmüller s'était surnommée ainsi parce qu'elle était doctorante en sciences politiques, et non pas doctoresse ou chirurgienne. Il semble que sa principale activité fut de former et d'initier à l'espionnage des jeunes filles chargées de séduire les officiers militaires français et de leur soutirer sur l'oreiller des renseignements. Il est avéré aujourd'hui que Mata Hari et Marthe Richard bénéficièrent de sa formation. Cependant, bien des points sont restés obscurs sur les activités complètes de "Fraulein Doktor". Il n'empêche que Charles Lucieto ne fait à son sujet que ressasser les rumeurs la concernant pendant la guerre. Il ne semble pas en savoir plus, ou du moins être décidé à en dire plus long. Sur Mata Hari, par contre, Charles Lucieto n'est pas avare de détails et le chapitre qu'il lui consacre mérite une lecture, ne serait-ce que parce qu'il va à contrario de tout ce qui a été affirmé par la suite. Il est tacitement admis de nos jours que les activités d'espionnes de Mata Hari ont été un peu surestimées, que ce n'était au final qu'une cocotte un peu amatrice, qui, en temps de guerre, s'est brûlé les ailes à vouloir jouer l'espionne par appât du gain. Charles Lucieto tient un tout autre discours : avec moults renseignements à la clé, et en affichant la photo anthropométrique originale de Mata Hari lors de son arrestation, Charles Lucieto affirme que Mata Hari travaillait pour le renseignement allemand dès 1904, que loin d'être une amatrice, elle était au contraire une professionnelle aguerrie, ce qui expliquerait d'ailleurs le courage avec lequel elle a affronté le peloton d'exécution. Néanmoins, s'il est difficile de prendre en faute Charles Lucieto, tant il dispose de références et d'arguments sérieux, on ne peut qu'être gêné de la haine absolue qu'il voue à cette femme. En effet, déjà en 1926, la légende s'emparait de cette vestale des temps modernes avec une tendresse tout à fait complaisante, et cela faisait entrer Charles Lucieto dans une colère noire. Pour lui, non seulement Mata Hari était une ennemie de la France, qu'il était scandaleux d'aduler, mais en plus, par les trahisons et les fuites qu'elle avait fait durant toutes ces années, elle portait probablement la responsabilité de la mort et de la torture de nombreux agents français. Les mots de Lucieto sont donc extrêmement durs, d'autant plus qu'en devenant une saltimbanque renommée, Mata Hari s'était affranchi de tout le devoir de discrétion d'un véritable agent secret, tout cela à la seule fin de se retourner contre le pays qui la célébrait et qui avait fait d'elle une personnalité du monde des arts, ce qui, aux yeux de Lucieto, confine à la plus écoeurante des perversions. Comme on le voit, Charles Lucieto surprend par son absence de neutralité ou de réserve sur les sujets qu'il aborde, ce en quoi il se démarque de la plupart des espions racontant leurs souvenirs. Si la démonstration est rigoureuse, le ton est particulièrement nerveux, l'émotion est soigneusement entretenue et une telle exubérance a de quoi surprendre chez un ancien agent secret. Il est vrai qu'en préface, Charles Lucieto dit au final écrire les mémoires d'un autre agent secret, toujours en exercice, et qui ne se sentait pas le talent de prendre la plume lui-même. Faut-il y voir justement l'ébauche d'une collaboration entre un authentique espion, et un écrivain-rédacteur qui, petit à petit, s'identifie à son modèle et s'y sent plus à l'aise ? J'avoue que je serais tenté de le supposer, car le livre commence de manière très factuelle, et "s'échauffe" progressivement jusqu'à se montrer très parti-pris dans son dernier tiers. Toujours est-il que, s'il répond finalement à peu de questions cruciales sur la guerre ou l'espionnage, ce premier volume de "La Guerre des Cerveaux" apporte tout de même un grand nombre d'anecdotes et d'informations sur ce que pouvait être, à cette époque-là, le métier d'espion en temps de guerre. Malgré une certaine inégalité dans l'intérêt de ces anecdotes, on passe néanmoins un agréable moment dans ces coulisses de la guerre secrète qui se jouait dans d'autres coulisses, celles de la Grande Guerre..." (Dorian Brumerive, Babelio) ‎

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‎LUCIETO (Ch.).‎

Reference : 13848

(1928)

‎La guerre des cerveaux. Le diable noir. Le contre espionnage en Belgique pendant la guerre.‎

‎ Berger-Levrault, 1928, in-12, 258 pp, 20 illustrations, reliure demi-chagrin chocolat époque, dos à nerfs, couv. conservées, bon état‎


‎Les aventures réelles de James Nobody. ‎

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‎LUCIETO (Ch.).‎

Reference : 13855

(1932)

‎La Guerre des Cerveaux. Le mystère de Monte-Carlo.‎

‎ Berger-Levrault, 1932, in-12, 193 pp, 19 illustrations, reliure demi-chagrin chocolat époque, dos à nerfs, couv. conservées, bon état‎


‎Les aventures réelles de James Nobody. ‎

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‎LUCIETO (Ch.).‎

Reference : 13856

(1929)

‎La tragique affaire de Bullway-Castle.‎

‎ Berger-Levrault, 1929, in-12, 258 pp, reliure demi-chagrin chocolat époque, dos à nerfs, couv. conservées, bon état. Roman‎


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‎LUX (Charles).‎

Reference : 121061

(2003)

‎L'Evasion du capitaine Lux racontée par son auteur (1910-1912).‎

‎ Panazol, Editions Lavauzelle, 2003, in-8°, 237 pp, préface du général Hirschauer, un portrait photo en frontispice, 6 pl. de photos hors texte, 4 cartes et plans, qqs fac-similés et illustrations dans le texte, reliure demi-basane acajou mouchetée de l'éditeur, dos à 4 faux-nerfs, bon état. Réimpression de l'édition de 1932‎


‎Le capitaine Lux raconte son arrestation en 1910, sa condamnation, son emprisonnement, son évasion en 1911. — "Le 2 janvier 1912, L’Ouest-Eclair publie un article assez mystérieux sur l’arrivée à Paris, en train, d’un officier français évadé d’Allemagne. Deux ans et demi avant la mobilisation de l’été 1914, une telle affaire parait bien sibylline et il est vrai qu’elle ne manque pas de rebondissements. Chef du bureau de renseignement de Belfort, le capitaine Charles Lux est arrêté en Allemagne alors que, de Suisse, il tente de se livrer à l’espionnage d’installation de zeppelins. Pris en charge immédiatement par les autorités allemandes, l’officier est jugé et condamné à une peine de six ans de forteresse, qu’il effectue en grande partie à Glatz, à la frontière de l’actuelle République Tchèque et de la Pologne. Une telle peine peut paraître disproportionnée tant, dans ce genre d’affaire, les services savent en général s’entendre et s’échanger de bons procédés. Mais le capitaine Lux est arrêté en pleine tension franco-allemande et, alors que son procès est instruit pendant l’affaire du Maroc, son sort ne peut être réglé à l’amiable. Publiant vingt ans après les faits le récit de son évasion, l’espion interprète ce jugement comme la preuve irréfutable de l’injustice pangermaniste, de l’inévitable soif d’extension de l’Allemagne et de son « acharnement naturel » (p. 49) à l’encontre de la France. Ce livre de souvenirs, qui se dévore comme un haletant roman d’aventures, est publié en 1932, soit presque quinze ans après la Première Guerre mondiale..." (Erwan Le Gall) ‎

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‎MACLEAN (Fitzroy).‎

Reference : 2676

(1979)

ISBN : 9782235007092

‎Il était neuf espions.‎

‎ Tallandier, 1979, in-8°, 509 pp, 28 photos sur 16 pl. hors texte, biblio sommaire, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎


‎Fitzroy Maclean s'est, au cours de son existence, frotté à de nombreux maîtres de l'espionnage de nationalités et d'idéologies différentes à l'occasion de ses aventures au Turkestan, en Iran, dans les Balkans et le désert de Libye. Dans cet ouvrage, il raconte avec brio neuf histoires vraies d'espionnage : Mata-Hari, Alfred Redl, Yevno Azef, Richard Sorge, Elyeza Bazna, Kim Philby, Gordon Lonsdale, le major Martin, Oleg Penkovski. ‎

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‎MAN (Peter) et Uri DAN.‎

Reference : 19539

(1987)

‎Capturer Eichmann. Témoignage d'un agent du Mossad.‎

‎ Edition n° 1, 1987, in-8°, 307 pp, broché, bon état‎


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‎MANVELL (Roger) et Heinrich FRAENKEL.‎

Reference : 25700

(1969)

‎Le Complot Canaris. La résistance secrète à Hitler dans l'armée allemande.‎

‎ Stock, 1969, in-8°, 257 pp, 12 pl. de photos hors texte, chronologie, biblio, couv. illustrée à rabats, bon état‎


‎Canaris chef de l'Abwehr. – La résistance allemande dans l'armée. – La trahison devient un devoir. – L'attentat manqué contre Hitler. – Répression des conspirateurs. — "Des études de qualité et d'importance très variables ont déjà été publiées sur l'organisation et le rôle de l'opposition à la politique hitlérienne dans la Wehrmacht pendant la guerre. R. M. et H. F. présentent ici une bonne synthèse de l'ensemble de ces recherches et apportent quelques éléments nouveaux sur le rôle de l'amiral Canaris et de ses amis et sur la coordination des complots qu'ils préparaient. Mais ce livre est loin d'épuiser les nombreuses controverses que ce thème a déjà fait naître, et il ne répond pas à toutes les questions que l'action de Canaris a pu provoquer." (Revue française de science politique, 1969) ‎

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‎MARCELLIN (Raymond).‎

Reference : 20471

(1985)

‎La guerre politique.‎

‎ Plon, 1985, in-8°, 250 pp, ‎


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‎MARION (Pierre).‎

Reference : 6942

(1991)

‎La mission impossible. A la tête des services secrets.‎

‎ Calmann-Lévy, 1991, in-8°, 259 pp, broché, bon état‎


‎Nommé par François Mitterrand au début de son premier septennat. Pierre Marion a dirigé pendant dix-sept mois les Services Secrets français. Dans ce livre-choc, il rompt le silence et raconte son aventure. Pierre Marion décrit les conditions de sa nomination, la découverte des surprenantes faiblesses du SDECE, la bataille qu'il a dû mener contre les autres administrations et certains ministres pour réformer nos Services Secrets, les résistances et les intérêts qui l'ont empêché – faute du soutien du chef de l'Etat – de remplir sa mission. C'est la première fois que le responsable au plus haut niveau de la DGSE parle d'une façon concrète, au jour le jour, parfois heure par heure, de ce qu'il a vécu : le refus de coopérer de la DST, les luttes d'influences franco-françaises en Afrique, la guérilla des Services, les négociations avec les Syriens pour faire cesser le terrorisme, la question du recours aux « neutralisations »... C'est dire que ce grand document va très au-delà du récit d'une aventure personnelle. A travers son témoignage, Pierre Marion dénonce les insuffisances qui interdisent à la « fonction secrète » de jouer pleinement son rôle en France, plaide pour une stratégie forte contre les menaces terroristes et appelle de ses vœux une revalorisation des Services Secrets tant aux yeux de l'opinion qu'au sein de l'appareil d'Etat. ‎

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‎MARION (Pierre).‎

Reference : 7139

(1999)

ISBN : 9782080676924

‎Mémoires de l'ombre. Un homme dans les secrets de l'État.‎

‎ Flammarion, 1999, in-8°, 300 pp, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Pas de doute, Pierre Marion est un personnage hors du commun, un homme qui s'exprime sans tabou sur des sujets d'une actualité brûlante ! Ancien élève de l'école polytechnique, au fait de tous les secrets de la République, il déborde de personnalité et refuse le parler faux. Ce presque octogénaire alerte a fait toute sa carrière dans l'aéronautique : Air France, Aérospatiale, Aéroports de Paris. En 1981, à la demande de François Mitterrand, il a pris les rênes de l'espionnage français en devenant patron de la DGSE. Aujourd'hui en retraite, il pose un regard lucide sur sa vie et le monde qu'il a connu. Expert des relations internationales et du renseignement, il livre dans ces mémoires de l'ombre des souvenirs de haut vol. De sa campagne de France en Mai-Juin 1940 à ses actions dans l'aviation civile, il raconte avec force détails l'évolution d'un monde chaotique. Et relate tous les moments forts de son passage à la tête de l'espionnage français. Avec précision et vivacité, il brosse, entre autres, les portraits cruels de personnalités troublantes comme Charles Hernu et François Mitterrand. "Le souverain usé", comme il l'appelle, l'a en effet toujours abusé. Un règne du mensonge qui a conduit Pierre Marion à démissionner, préférant se retirer plutôt que d'accepter des missions douteuses. Fourmillant d'anecdotes et de révélations, Mémoires de l'ombre est une vision de premier ordre de la démocratie, de ses hommes, de ses organes ainsi que de ses services secrets. ‎

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‎MASSON (Philippe).‎

Reference : 21210

(1985)

‎Les naufrageurs du Lusitania et la guerre de l'ombre.‎

‎ Albin Michel, 1985, in-8°, 244 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, 5 cartes et plans, glossaire, chronologie, biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Le 7 mai 1915, le “Lusitania”, un des plus beaux paquebots de l’époque, est torpillé par un sous-marin allemand au large de l’Irlande. Près de 1200 personnes disparaissent dans le naufrage, dont 124 citoyens américains ; l’émotion est considérable dans le monde entier. Depuis, le naufrage du “Lusitania” n’a cessé de susciter les plus vives passions et la curiosité des historiens et des chercheurs ; deux commissions d’enquête n’ont pu dissiper un authentique parfum de mystère. Le “Lusitania” a-t-il été victime, sinon d'une machination, tout au moins d’une négligence calculée de l’Amirauté britannique, désireuse de créer un fossé infranchissable entre l’Allemagne et les Etats-Unis ? La présence, soigneusement dissimulée, de munitions et d’explosifs à bord n’explique-t-elle pas que le navire ait coulé aussi rapidement, en moins de vingt minutes ? Certes, le torpillage du “Lusitania” n’a pas été la cause immédiate de l’intervention des Etats-Unis. Mais, dans un conflit passionnel, où la propagande jouait le rôle d’une véritable arme de guerre, il en a jeté les bases psychologiques. Au lendemain du drame du 7 mai 1915, l’opinion américaine avait acquis la conviction que l’Allemagne était porteuse des forces du mal. — "C'est la tragédie du 7 mai 1915 que retrace Philippe Masson dans cet ouvrage, avec une précision dans les détails qui en font un véritable reportage. Mais surtout il la replace dans le cadre général de la Grande Guerre : « Le plus beau paquebot du monde » finit torpillé en vue des côtes méridionales de l'Irlande par le sous-marin allemand U 20 que commandait le lieutenant de vaisseau Schwieger, entraînant la mort de 1198 passagers et hommes d'équipage – dont 128 Américains. Chiffre considérable certes, mais qui correspond à peine à une journée et demi des pertes subies quotidiennement par les armées francaises (environ 860 morts par jour). Or l'émotion et la réprobation sont si considérables que l'Allemagne doit limiter étroitement la guerre sous-marine. Comment les expliquer ? Elles naissent évidemment de la vision de la mort de civils engloutis dans des conditions souvent atroces, mais aussi du mouvement de rejet plus ou moins étendu, plus ou moins marqué qui accompagne l'apparition d'une arme nouvelle. Or le sous-marin semble d'autant plus inhumain que, contrairement aux règles anciennes, il ne peut pas, par nature, garantir le sauvetage des passagers et des équipages. Comment expliquer qu'un tel risque ait pu être pris, surtout à l'égard des Etats-Unis ? Philippe Masson étudie en profondeur les questions délicates que pose le “Lusitania”. Non seulement l'absence d'escorte et les étranges retards apportés à le secourir, mais aussi le rôle exact du paquebot. Classé comme croiseur auxiliaire, il transportait des munitions – 4200 caisses – ce qui explique et certaines explosions anormales et la rapidité du naufrage (p. 186) – et aussi peut-être des volontaires. Les autorités britanniques ont fait courir, sciemment ou par négligence, des risques au paquebot, et elles ont donné des arguments à l'adversaire pour justifier le torpillage. La question a même été posée d'une décision délibérée pour créer les conditions d'un grave incident germano-americain (p. 188 et s.). De toute manière il y a eu une véritable ironie tragique : la rencontre entre l'U 20 et le Lustania a été due à une manoeuvre soudaine du commandant Turner (p. 184) et le lieutenant Schwieger n'a découvert que pendant le naufrage le nom du navire qu'il venait de détruire... Ce livre remarquable par une érudition méticuleuse qui ne laisse aucun point délicat dans l'ombre se lit avec un intérêt qui ne faiblit jamais." (Guy Pedroncini, Guerres mondiales et conflits contemporains, 1987) ‎

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EUR20.00 (€20.00 )

‎Mc KENNA (Marthe, du Service Secret britannique).‎

Reference : 12988

(1935)

‎Comment on devient espion.‎

‎ Payot, 1935, in-8°, 220 pp, traduit de l'anglais, broché, bon état (Coll. de Mémoires, Etudes et Documents pour servir à l'histoire de la guerre mondiale)‎


‎Autobiographie de l’espionne anglaise Marthe Mc Kenna. — "L’espionnage, sujet controversé pendant la Grande Guerre, a eu un succès considérable dans les années 1930. Actuellement, les témoignages des espions et des services secrets, même s’ils ne sont pas tous véridiques, permettent, en complétant par les archives, de mieux comprendre l’importance du renseignement pendant la Grande Guerre, l’organisation de l’espionnage chez les alliés, le recrutement des espions, la surveillance des agissements de l’ennemi, la découverte d’un nouveau rôle de la femme passant des travaux à l’arrière à l’espionnage en territoire occupé ou dans les milieux interlopes. Les femmes qui espionnent sont conscientes de participer à la guerre à l’égal du soldat, leur ville et leur pays devenant un champ de bataille non délimité et très dangereux. Elles refusent le nom d’espionne pour celui d’agent secret et réclament fréquemment d’être incorporées dans l’armée pour avoir un statut militaire et donc reconnu. L’espionne anglaise Marthe Mc Kenna souligne la difficulté à faire reconnaître son statut : « J’étais un Agent du Service secret, pas une ridicule jeune fille ! »" (Chantal Antier, « Espionnage et espionnes de la Grande Guerre », Revue historique des armées, 2007) — "Le récit de Marthe Mc Kenna est si captivant, il est animé d'une vie si intense, que l'on n'exige pas, pour expliquer l'intérêt qu'on y trouve, des documents authentiques. C'est, somme toute, le drame d'une conscience, et si le récit nous paraît quelque peu romanesque, on a l'impression très nette qu'un tel conflit de sentiments dut être fréquent parmi les soldats allemands. Un jeune volontaire badois s'éprend d'une Flamande rencontrée dans de terribles circonstances et, à la fois bouleversé par son amour et travaillé par les doutes qui surgissent en lui au sujet du bon droit de son pays, navré aussi à la vue des rigueurs de l'occupation, il se fait espion, tout dévoué à la cause belge. Ce jeune soldat, de nature si sensible, a un ami qui forme avec lui le plus parfait et en même temps le plus tragique des contrastes. Et l'auteur en prend prétexte pour nous dépeindre le soldat allemand. Si le héros est une fiction, nous sentons par contre que les comparses sont des gens en chair et en os, qui ont vécu, souffert, travaillé pour la Belgique, tel cet insaisissable « Manton », le délicat Verhagen, le grand Jan van Candelaere, spécialiste du « fameux fil de fer » et tant d'autres héros obscurs, depuis l'humble « Maman Cantine » jusqu'au puissant général von Schulz..." (Revue militaire suisse, 1936) ‎

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EUR25.00 (€25.00 )

‎Mc KENNA (Marthe, du Service Secret britannique).‎

Reference : 18420

(1933)

‎Souvenirs d'une espionne. Préface de Winston Churchill.‎

‎ Payot, 1933, in-8°, 266 pp, un frontispice hors texte, broché, bon état‎


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EUR25.00 (€25.00 )

‎MELNIK (Constantin).‎

Reference : 17093

(1995)

‎La Mort était leur mission. Le Service Action pendant la guerre d'Algérie.‎

‎ Plon, 1995, in-8°, 224 pp, broché, couv. illustrée, trace de pli au 1er plat, bon état‎


‎Ce livre raconte l'irracontable. Ancien responsable du service Action du SDECE, l'auteur révèle que la France a disposé, durant la guerre d'Algérie, d'une puissante et secrète machine à tuer. Des voitures piégées à l'explosion de bateaux en haute mer, d'audacieuses actions de commando, au coup de pistolet en plein coeur, “La mort était leur mission” n'est pas uniquement une série d'aventures dignes des plus haletants romans d'espionnage. Ressuscitant une époque de fureur et de sang, Constantin Melnik s'attache à brosser le portrait psychologique des hommes des services secrets, chargés de neutraliser les ennemis de la France et du général de Gaulle. Il prend à bras le corps les problèmes éternels de la raison d'État, et des crises de conscience qu'éprouve l'homme lorsqu'il reçoit l'incroyable mission de tuer ses semblables. ‎

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‎MELNIK (Constantin).‎

Reference : 74863

(1988)

ISBN : 9782246398912

‎Mille jours à Matignon. Raisons d'Etat sous de Gaulle, Guerre d'Algérie 1959-1962.‎

‎ Grasset, 1988, in-8°, 310 pp, index chronologique, notes, broché, mque la page de faux-titre, bon état‎


‎Entre 1959 et 1962, Constantin Melnik fut le "conseiller technique" de Michel Debré, alors Premier ministre, pour toutes les questions de "sécurité et de renseignement". C'est dire que, dans une France bouleversée par la guerre d'Algérie, il fut l'éminence et l'homme de l'ombre du nouveau pouvoir. De la panique gaulliste pendant le putsch des généraux aux négociations clandestines avec le FLN, de la lutte contre l'OAS à la chasse aux trafiquants d'armes, Constantin Melnik - qu'on appelait alors "l'Empereur" - fut de toutes les affaires "réservées". A travers ses souvenirs, nous assistons aux premières années d'une Cinquième République vacillante ; nous découvrons ministres et chefs d'Etat, tels que la chronique évite souvent de les peindre. Au fil de ce témoignage sans concession se dégage enfin une certaine idée de la France et du pouvoir qui pourrait se ramener à trois questions : à partir de quel moment les services de police deviennent-ils des adversaires de la démocratie ? La classe politique française est-elle plus corrompue, ou plus incompétente, que les autres ? Le gaullisme, enfin, mérite-t-il toutes les vertus dont on le pare ? ‎

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‎MILLS (James).‎

Reference : 6940

(1986)

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‎NART (Raymond).‎

Reference : 83801

(2013)

‎Soubiran, un escroc au renseignement sous Napoléon.‎

‎ Nouveau Monde éditions, 2013, in-8°, 186 pp, 4 pl. de photos hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Aventurier, provocateur, escroc, espion, séducteur, Paul Emile Soubiran est un des plus étonnants "inconnus de l'histoire". La Révolution, l'Empire et la Restauration qui ont bouleversé les sociétés et les moeurs ont donné naissance à des traîtres, mouchards et espions dont il est la parfaite incarnation. Soubiran, qui a déserté la Garde nationale en 1793, vit aux crochets de ses trois femmes successives et de ses nombreuses et riches maîtresses. On le retrouve en Italie, en Espagne, en Allemagne, en Hollande. Beau parleur, poète, à l'aise dans toutes les bonnes sociétés, il est l'agent de Savary et de Fouché. II usurpe l'uniforme de général français, est arrêté, s'enfuit et disparaît de 1800 à 1806. II devient capitaine de grenadiers avant de partir en 1807 au Portugal... en mission secrète pour l'empereur ! Emissaire de Napoléon, il rentre dans l'armée d'Espagne. Mais son goût pour l'intrigue a tôt fait de provoquer son exclusion et il se retrouve sans le sou. Intégré dans une unité d'espionnage militaire, il est envoyé en Suède. Capturé par les Anglais, il retrouve à Londres les légitimistes français en exil et part chercher fortune en Amérique. II y extorque de l'argent à la représentation française, se livre à une opération de désinformation contre les Britanniques et couvre une gigantesque escroquerie au détriment de James Madison, le président des Etats-Unis ! De retour en France, il vit encore nombre d'aventures rocambolesques sous la Restauration. ‎

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‎NODINOT (Laurent) et ELHIAS (Marc).‎

Reference : 6950

(1988)

‎Il nous faut des espions ! Le renseignement occidental en crise.‎

‎ Cogite/Laffont, 1988, gr. in-8°, 276 pp, L'Intelligence Service, la guerre subversive du Komintern, la place de l'idéologie dans le renseignement soviétique, un savoir nazi incontournable ?, l'action clandestine et la défense du monde libre, la récupération du terrorisme, la sale guerre économique...‎


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‎NORD (Pierre).‎

Reference : 113102

(1947)

‎Mes Camarades sont morts. 2. Le Contre-Espionnage.‎

‎ P., Librairie des Champs-Elysées, 1947, in-8°, 262 pp, 24 documents reproduits (fac-similés, croquis et photos), broché, couverture de relais des éditions Arthème Fayard, bon état‎


‎Tome 2 seul (sur 3) — Chef des services spéciaux des 9e et 10e armées, Pierre Nord (1900-1985, de son vrai nom André Brouillard) est fait prisonnier par les troupes allemandes en 1940. Il s'évade et devient un des animateurs de l'Armée secrète. Après avoir appartenu au réseau de résistance “Travaux ruraux”, il sera, sous les ordres de son ami, le commandant Hubert de Lagarde, en 1943-1945, le second du réseau “Éleuthère”. Les renseignements fournis par ce réseau permettront à l'aviation alliée de pulvériser dans la nuit du 4 au 5 mai 1944 la division blindée 9e Panzerdivision SS Hohenstaufen regroupée dans la région de Mailly-le-Camp/Châlons-sur-Marne. À la Libération, Pierre Nord quitte l'armée avec le grade de colonel pour se consacrer à la littérature. Il publie de très nombreux romans policiers, d'aventure et surtout d'espionnage. Il est aussi l'auteur d'ouvrages historiques et de récits sur la guerre secrète dont “Mes camarades sont morts” (qui retrace en fait l'histoire des réseaux “Travaux ruraux” et “Éleuthère”, explicitant notamment les manoeuvres des alliés pour tromper Adolf Hitler sur le projet de débarquement en Normandie et l'aide apportée aux Alliés par les réseaux de la Résistance. – “Comment fut-il possible au capitaine Bardin de noyauter les « Services » de Vichy qui traquaient les résistants pour les livrer à la Gestapo ? C'est à ces questions que répond Pierre Nord dans le second tome de Mes Camarades sont morts où il explique le rôle du contre-espionnage et les voies tortueuses de l'intoxication. Protéger les réseaux et leurs services de renseignements contre la Gestapo et ses espions, contre les traîtres et les délateurs : tel était le rôle des organisations clandestines de contre-espionnage. Induire l'ennemi en erreur, influencer ses décisions, saper son moral : voilà ce que fut l'intoxication.” ‎

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‎OCKRENT (Christine) et Comte de MARENCHES.‎

Reference : 8271

(1986)

‎Dans le secret des princes.‎

‎ Stock, 1986, in-8°, 341 pp, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Alexandre de Marenches a dirigé pendant près de onze ans les services secrets français sous les présidents Pompidou et Giscard d'Estaing. ‎

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‎PACEPA (Général Ion).‎

Reference : 9843

(1988)

‎Horizons rouges. Dans les coulisses de la "maison Ceausescu" par l'ancien chef des services secrets roumains.‎

‎ Presses de la Cité, 1988, gr. in-8°, 324 pp, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎"Voici une description de la dictature de Ceausescu qui rejoint et dépasse parfois celle qu'avait faite Alfred Jarry de la Poldavie d'Ubu. Une précision s'impose toutefois : ce livre n'est pas une œuvre de fiction. Ion Pacepa, général de l'armée roumaine, a été durant près de vingt ans le responsable suprême de la DIE, les services secrets roumains. A ce titre, il a travaillé en liaison étroite avec Nicolae Ceausescu qui, comme on le sait, fait régner dans ce petit pays une dictature de fer, avec ses côtés tragiques — la répression qui frappe durement la quasi-totalité des citoyens — et ses aspects parfaitement grotesques : le rôle que le Conducator (en italien : Duce, en allemand : Führer) a assigné à sa femme et à son fils. Pacepa a décidé en 1978 de faire défection et de s'installer aux Etats-Unis. Son passage à l'Ouest a eu de multiples conséquences : le démantèlement des services secrets bien sûr, mais aussi des changements massifs dans tous les secteurs du gouvernement roumain. Quant aux Américains, ils n'ont accepté de lui accorder l'asile politique qu'après un debriefing de... quatre années. C'est dire que ce personnage singulier avait des révélations à faire. Il les livre enfin dans ce document explosif, qui a fait sensation lors de sa parution il y a quelques mois aux Etats-Unis." ‎

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‎PAGE (Bruce), Phillip Knightley, David Leitch.‎

Reference : 9713

(1968)

‎Philby.‎

‎ Cercle du Nouveau Livre d'Histoire, 1968, in-8°, 331 pp, 16 pl. de photos hors texte, reliure toile éditeur avec une vignette illustrée sur le premier plat. "L'Intelligence Service aux mains d'un agent soviétique."‎


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‎PAGE (Bruce), Phillip Knightley, David Leitch.‎

Reference : 9860

(1968)

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‎PAILLOLE (Paul).‎

Reference : 10987

(1995)

ISBN : 9782260013419

‎L'Homme des services secrets. Entretiens avec Alain-Gilles Minella.‎

‎ Julliard, 1995, in-8°, vii-323 pp, préface de l'amiral Pierre Lacoste, broché, bon état‎


‎"Peut-on résumer la vie de Paul Paillole ? L’homme est exceptionnel ; son destin est exceptionnel ! Il fut, de 1935 à 1945, chef de la section allemande de contre-espionnage, puis dirigea les Services secrets français dans la clandestinité et à Alger. Dix années cruciales pour l'histoire. Dix années d'une guerre sans merci contre les services secrets allemands. Il fut, sans conteste, l'un des hommes qui ont fait perdre Hitler. Comment ce pupille de la nation, fils d'une institutrice et d'un père tué en 1918, élève de Saint-Cyr, a-t-il pu devenir, entre 1943 et 1945, l'un des hommes les plus puissants de France ? Car jamais aucun de ses successeurs à la tête des services spéciaux français ne détiendra autant de pouvoir. Comment a-t-il pu gagner la confiance de Churchill, de Roosevelt, au point d'être le seul officier français à connaître ce que de Gaulle lui-même ignorait : le jour et le lieu du débarquement en Normandie ? Lorsque la guerre prend fin, Paul Paillole a quarante ans. Il quitte l’armée et commence une seconde vie : Industriel important, il travaillera, avec ses anciens ennemis, pendant vingt ans, au réarmement de l'Allemagne. Il sera en première ligne pour observer la transformation du pays après le chaos nazi." ‎

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