Imp. J.Merlas Bordeaux. 1951. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. Environ 36 pages agrafées - rousseurs sur les plats - deux illustrations en noir et blanc hors texte (un dessin de max jacob - photo de la foire d'octobre de Bordeaux Maurice Sachs,Jean-Loup Simian, Louis Emié, Max Jacob).. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Caricature ou presque par Max Jacob - i, amour du titien - conseils & confidences - quatre méditations chrétiennes - max jacob grand poète - max jacob druidique par Yanette Deltang-Tardif - quand j'écrivains une opérette avec Max Jacob par Henri Sauguet - les pierres de lune par Louis Emié - Max Jacob lampe du soir par Jean Rousselot - propos souvenirs & anecdotes de Max Jacob - prière de Max Jacob par Louis Emié. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
1947 4 ff. anopistographes (27 x 20 cm, environ 36 lignes par page) densément raturés et corrigés, au verso d'un papier à en-tête du journal "Excelsior" + photocopie de la dernière page du texte (27 lignes). Circa 1947.
Première étape de l'article de Hertz sur Max Jacob, qui fut publié dans les Lettres françaises (n° 179, 1947), puis dans Europe (48:489, janv. 1970, pp. 137-41). La bibliothèque de l'Alliance Israëlite Universelle, où furent déposées une grande partie des archives Henri Hertz, dispose d'une étape plus avancée du manuscrit (également 4 ff. sur le même papier à en-tête, AP 5 / 15). Henri Hertz raconte dans cet article sa rencontre avec Max Jacob, chez Apollinaire, avec lequel il entretint des relations amicales, de même qu'avec Picasso. Sa contribution à la Phalange, ainsi que le mysticisme de ce juif converti au catholicisme sont également évoqués. Henri Hertz (1875, Nogent-sur-Seine, 1966, Paris) n'est pas pour rien dans le lancement de la carrière littéraire de Max Jacob, dont il fut très proche. En 1895, il s'installe à Paris et collabore à la Revue Générale Internationale de Louis Gastine. En 1901, il publie les Contes de la Soif dans la Revue des Indépendants puis entre à la Revue Blanche, dirigée par les frères Natanson. Quelques années plus tard, il se lie d'amitié avec Max Jacob et Apollinaire. En 1909, il publie la pièce Des Mécréants, Grasset, et en 1912, les Apartés, Éditions de la Phalange, recueil de vers bien salué par la critique.Max Jacob a dit de lui que "c'est l'un des écrivains les plus singuliers du moment", et "qu'il y a du dadaïsme, gidisme et tout le naturalisme au complet" dans son oeuvre. Apollinaire le cite dans sa conférence sur la Phalange Nouvelle en 1908. Il est un des collaborateurs de sa revue Le Festin d'Esope. Ami de Jean Royère, directeur de la Phalange, il donnera des textes à sa revue. Il collabore activement, avec Apollinaire, Jacob, Royère, Klingsor, Soupault, Reverdy, Fagus, Valéry, Aragon, Canoudo, Viélé-Griffin, Breton... à la Revue les Trois Roses, fondée à Grenoble, en juin 1918, par Justin-Frantz Simon. Henri Hertz reçoit le Prix Mallarmé pour l'ensemble de son oeuvre en 1928. Bel état.
BUREAU DE LA REVUE. 2e SEMESTRE 1945. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 561 à 720.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : Adieu a Max Jacob par Jean Cassou, Max Jacob, l'ombre et la proie par Maurice Morel, Tartuffe a dit vrai par Léon Gabriel Gros, Max Jacob après lui par Roger Lannes, Poèmes inédits par Max Jacob, Soixante dix mille Assyriens par William Saroyan Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
[Marie Laurencin] - Marie LAURENCIN (illustratrice). Louis CODET, Jean PELLERIN, Roger ALLARD, André BRETON, Francis CARCO, M. CHEVRIER, F. FLEURET, G. GABORY, Max JACOB, Valery LARBAUD et A. SALMON.
Reference : AMO-4511
(1922)
Paris, 1922. Editions de la Nouvelle Revue Française. 1 volume petit in-8 (19,5 x 12 cm) broché de 61-(5) pages, avec 10 pointes sèches originales de Marie Laurencin tirées dans le texte au format carré 8,5 x 7,5 cm environ. Couverture rempliée imprimée en couleurs (bleu et rose) formant un éventail. Excellent état. Quelques décharges et ombres à la couverture sinon parfait exemplaire. Tirage unique à 335 exemplaires. Celui-ci, un des 27 exemplaires hors-commerce tirés sur Hollande vergé Van Gelder Zonen. Il a été tiré 300 exemplaires sur ce même papier et 8 exemplaires sur vergé bleuté du dix-huitième siècle avec une double suite des gravures, sur Japon impérial et sur vergé du dix-huitième siècle. Notre exemplaire contient en plus : - 1 état supplémentaire tiré à part de la couverture en couleurs avec l'éventail (sur vergé). - 1 état de l'éventail en couleurs tiré seul avant la lettre (sur vergé). - 1 suite complète des 10 pointes sèches tirées à part sur papier vergé Ingres. Le chiffre du tirage à part de cette suite n'est pas connu mais elle était sans aucun doute réservée aux exemplaires de tête et aux exemplaires de collaborateurs (soit une trentaine d'exemplaires en tout).
Ce délicieux volume s'ouvre sur un "Petit concert sur l'absence de Marie Laurencin" par Maurice Chevrier (daté de septembre 1920). Viennent ensuite les poèmes de Roger Allard (L'Abbesse d'Aléa), d'André Breton (L'An suave, daté d'avril 1914), de Francis Carco (Le Miroir), de Louis Codet (La Nymphe d'Auteuil), de Fernand Fleuret (Prose pour Pallas Ambigüe, daté de 1911), de Georges Gabory (Qui n'entend qu'une cloche...), de Max Jacob (Olga, petit roman, daté de 1921), de Valery Larbaud (La Rue Soufflot), de Jean Pellerin (Fil de Rêve), enfin d'André Salmon (Elégie Fraternelle, daté de juillet 1921). La page de titre a été composée en calligramme par les élèves de l'Ecole Estienne. Le volume a été achevé d'imprimer le seize janvier 1922, le texte par Coulouma à Argenteuil, les gravures par Vernant et Dollé imprimeurs en taille-douce à Paris. Au début de l'année 1922, Marie Laurencin a 39 ans. Compagne pendant six années du poète Guillaume Apollinaire, Flap, comme la surnomme son premier amant Henri-Pierre Roché, épouse finalement, en 1914, le peintre allemand Otto de Waetjen, un pacifiste qui refuse de prendre les armes contre la France, ce qui lui vaut au déclenchement de la Première Guerre mondiale d'être déchue de sa nationalité, spoliée de tous ses biens et contrainte à l'exil, en Espagne. Divorcée, elle retrouve durant l'Entre-deux-guerres sa position tout en continuant ses amours avec Nicole Groult, relation discrète mais non cachée qui aura duré une quarantaine d'années. Figure internationale, elle portraiture alors les personnages du Tout-Paris. Sous l'Occupation, elle continue cette vie mondaine et renoue avec ses amis allemands tout en aidant Max Jacob, son complice en ésotérisme, sans réussir toutefois à le faire libérer à temps du camp de Drancy. Elle y est internée à son tour à la Libération dans le cadre d'une procédure d'épuration, échappant de peu au sort des tondues?. Dès 1907 elle devenait l'amie du Paris-Artiste. Elle se lie avec Pablo Picasso, André Salmon, Kees Van Dongen, André Derain, Max Jacob, Robert Delaunay, et bien d'autres. "Coco" comme on l'appelle, fréquente tous les artistes du Bateau-Lavoir. Vraie fausse-compagne-muse un moment de Guillaume Apollinaire, elle fait montre d'une grande liberté dans ses moeurs et ses relations homosexuelles sont connues. Marie Laurencin épouse le 21 juin 1914 le baron Otto von Wätjen, dont elle a fait connaissance un an plus tôt dans le milieu artistique de Montparnasse, entre Le Dôme et La Rotonde. Par son mariage, elle devient allemande et baronne, bénéficiaire d'une rente annuelle de 40 000 marks. Le couple est surpris par la déclaration de guerre durant son voyage de noces à Hossegor. Poursuivant en Espagne leur lune de miel contrariée, les époux ne peuvent rentrer à Paris, à cause de leur nationalité. Otto, qui ne veut pas avoir à prendre les armes contre la France, refuse de retourner en Allemagne. Marie Laurencin, comme tout citoyen franco-allemand, est déchue de sa nationalité française.? Au printemps 1915, le couple s'installe à Malaga dans la villa Carmen, avenue de la Rosaleda, puis à la villa Bella Vista, avenue Jorge de Silvela. Marie Laurencin y trouve consolation dans les bras de son amant des vacances 1911, Hanns Heinz Ewers. Au début de mars 1918, le couple répond à l'invitation d'être logé à Madrid en face du Prado dans une maison de Cécile de Madrazo. Marie Laurencin se partage entre cette figure à la fois mondaine et discrète de la haute bourgeoisie anoblie. Fin novembre 1919, au terme d'un mois de voyage de Gènes à Bâle, via Milan et Zurich, au cours duquel elle aura fait la connaissance d'Alexandre Archipenko et Rainer Maria Rilke, Marie Laurencin séjourne à Düsseldorf chez la mère de son mari. Afin de faire avancer le règlement de sa propre situation, elle passe le mois d'avril 1920 à Paris, où elle est hébergée par les Groult. Le 15, Georges Auric l'introduit auprès du jeune diplomate Paul Morand, qui était son voisin à Madrid en 1918, pour entreprendre les démarches qui lui redonneront la nationalité française. Elle peut faire prononcer son divorce le 25 juillet 1921 en renonçant à toute pension. À trente huit ans, financièrement autonome, « Mademoiselle Marie Laurencin » retrouve le 15 avril 1921 définitivement Paris, où en huit ans elle changera trois fois d'adresse. C'est à la fin de l'année 1921 que se prépare l'ouvrage Eventail qui lui rend hommage par la poésie et qu'elle illustre de 10 pointes sèches auto-portraits. Au printemps 1922, Marie Laurencin est hospitalisée pour un cancer de l'estomac. Lors de la chirurgie, elle subit également une hystérectomie. En 1923, convalescente, Marie Laurencin crée des papiers peints pour André Groult, qui vit à l'ombre du succès de la maison de couture de son épouse. À la mi-décembre, accompagnée de Jean Giraudoux et de Gaston Gallimard, elle retrouve Pablo Picasso à l'enterrement de Raymond Radiguet. Portraitiste mondaine du Tout-Paris des Années folles dont elle peint les portraits, Marie Laurencin mène une vie de luxe et de mondanités. Si le portrait est pour elle un expédient lucratif et pour ses modèles un article de mode, elle ne fait pas de cet exercice imposé l'éloge d'une position sociale, masculine ou féminine, qu'il était à l'époque classique. Pendant la deuxième guerre mondiale elle affiche des positions ambigues. Faisant montre en public d'antisémitisme elle aide pourtant son ami Max Jacob. A partir de 1945 et jusqu'à sa mort en 1956 elle mènera une vie retirée et pieuse. Elle aura connu les périodes Dada, cubistes, fauves et tous les autres mouvements modernistes de l'Ecole de Paris qu'elle contribua à façonner par son propre art. Elle laisse une oeuvre immense composée de milliers de peintures, gravures et dessins. « Elle a fait de la peinture au féminin un art majeur. On ne trouve pas de mots pour bien définir la grâce toute française de Mademoiselle Marie Laurencin, sa personnalité vibre d’allégresse. » (Apollinaire) Eventail regroupe, sous ses quelques feuillets et ses jolies estampes, autour de Marie Laurencin, en guise d'hommage à son talent et à sa personne, les noms d'André Breton, Max Jacob, André Salmon, Fernand Fleuret, Valery Larbaud, Francis Carco et quelques autres. La suite des dix pointes sèhes tirées à part sur papier vergé Ingres gris est très rare car tiré à très petit nombre. L'état supplémentaire de la couverture avec la décomposition du motif en couleurs (bleu et rose) ne se rencontre jamais et n'est pas annoncé. Exemplaire de choix très bien conservé de ce petit livre emblématique de son époque.
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s.l. 1928, 21x26,5cm, une feuille.
Dessin original signé au feutre noir sur papier filigrané de Carlo Rim représentant son grand ami Max Jacob légèrement de profil et esquissant un discret sourire. Le dessin est monogrammé et légendé au feutre noir "CR. Max Jacob 1937", Carlo Rim a inscrit au crayon de papier en marges gauche et droite "reproduit journal d'Arlequin 1er volume - Max Jacob par Carlo Rim 1928" et "127 bis" au feutre violet en marge supérieure droite. Carlo Rim fut un écrivain provençal "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Publicationde l'Université de Saint Etienne Centre de Recherche MAX JACOB N°7 Broché au format 15x21cm, couverture blanche ornée de la reproduction d'un encart publicitaire de la boutique familiale de Quimper, titrage en bleu, 254 pages, bel exemplaire;
Bon Etat N'hésitez jamais à nous joindre directement. Réponse immédiate pour d'autres titres non répertoriés sur LRB . Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 30 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques ( fractionnement possible) et virement acceptés. Nous accompagnons toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse pour vos propositions de ventes ( chiffrages et partages) .
Photogravure en noir, 9 x 13,8 cm sur feuillet 21 x 27 cm, années 30. Représente Max Jacob pinceau à la main devant son chevalet, en plein air, probablement à Valmondois. Le cliché original a été offert par Roger Toulouse au musée de Quimper. Cette photo est reproduite dans le Max Jacob d’André Billy.
Saint-Benoît-sur-Loire, Abbaye de Fleury, n° 119 - septembre 1981. Photo de Max Jacob en hors texte. Au sommaire : Lettres inédites de Max Jacob à Frédéric Mégret et Méditations inédites. Articles du Père Jean et de René Plantier sur Max Jacob.
s.l. 1937, 17,5x24cm, une feuille.
Dessin original signé au feutre noir sur papier calque de Carlo Rim représentant son grand ami Max Jacob légèrement de profil et esquissant un discret sourire. Le dessin sur papier calque et encollé sur une feuille de papier est monogrammé et légendé au feutre noir "Max J. 1937", Carlo Rim a inscrit au crayon de papier "Max Jacob" en pied de la seconde feuille. Carlo Rim fut un écrivain provençal "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Galerie Léonce Rosenberg, Paris 11 Mai 1919, 20,8x9cm, un carton d'invitation.
Carton d'invitation à la galerie de "L'effort moderne" de Léonce Rosenberg à la soirée Max Jacob pendant laquelle furent déclamés des poèmes de Max Jacon par Mademoiselle Raymone, Pierre Bertin et Max Jacob lui-même. Il y eut également une "causerie sur Max Jacob" par Paul Dermée et y furent interprétées sur des oeuvres de Louis Durey: deux morceaux pour piano : "Neige" et "Carillons" par Marcelle et Germaine Meyer, quatre épigrammes de Théocrite et trois poèmes de Pétrone par Pierre Bertin et un quator à cordes composé de Madame Jourdan-Morhange, Mlle F. Capelle et messieurs Jarecki et Delgrange. Rare et très bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.l. s.é. [Firmin Didot et Cie] 1949 1 vol. broché plaquette in-4, brochée, sous couverture imprimée, 16 pp., reproduction photographique en frontispice, 3 reproductions in texte de lettres et dessins, bibliographie. Tiré à part hors commerce limité à 50 exemplaires numérotés présentant un texte introductif de Georges Auric ("Max Jacob retrouvé") suivi de deux nouvelles inédites de Max Jacob : "Mendiantes professionnelles" et "Jalousie". En bonne condition.
Bray-en-Val : Association des Amis de Max Jacob. Direction : Antonio Rodriguez et patricia Sustrac. Actes du colloque du 26 et 27 novembre 2010 à Orléans. Un volume broché (17x24 cm), 325 pages. Bon état.
Paris Galerie Th. Briant 1928 plaquette in-12 Broché
Catalogue de cette exposition organisée de 19 novembre au 4 décembre 1928. Notes de Max Jacob. 2 reproductions. Liste des 40 gouaches exposées. Pas de frontispice mais joint l'invitation à l'exposition "Max Jacob dessins" du 30 novembre au 15 décembre [1928] aux Quatre chemins (1 f. recto-verso). Rare Bon 0
Paris, La Sirène, 1919 In-12 carré de 1 f. bl., (2)ff., Xpp., (2)ff., 72pp., (1)f., 1 f.bl., broché, entièrement non rogné.
"La préface par Max Jacob est comme le livre en édition originale. Exemplaire sur beau papier bouffant, comme il se doit marqué du monogramme C.M.; n°149. Converti au catholicisme en 1915 par une série de visions, Max Jacob essaie dans sa préface d'opérer un difficile syncrétisme entre la croyance au libre arbitre, constitutive de sa foi, la part de déterminisme que suppose l'astrologie et, si nous avons bien suivi, le progrès des études sur les rayonnements que poursuit alors Marie Curie dans le cadre de l'Institut du Radium. Quand à l'astrologue charismatique Conrad Moricand -également connu comme dessinateur, illustrateur de Salmon et de Cendrars-, il continuera pour le meilleur et pour le pire d'inspirer les écrivains, ainsi qu'en témoigne son portrait au vitriol dans Un diable au paradis (1956) de Henry Miller qui l'avait hébergé à Big Sûr. Miller sera sommé de remplacer le nom de Moricand, de fait le personnage principal du récit avec le narrateur et son épouse, par le transparent pseudonyme de Téricand. Il a récemment été avancé que Max Jacob aurait en réalité tenu la plume sur la totalité de l'ouvrage, ce qui aurait aidé Conrad Moricand à se faire la place qu'il allait continuer d'occuper au catalogue d'éditeurs plus habitués à publier de la littérature moderne. Exemplaire à l'état de neuf."
Les Amis de Max Jacob Paris, 1951 - 61, in-4to, brochures originales. Non rogné. Bel ensemble.
image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Seckel, Hélène: Max Jacob et Picasso. Exhibition: Paris, Musée Picasso and Quimper, Musée des Beaux-Arts, 1994. 408pp with 77 colour and 290 monochrome illustrations. Paperback. 30.5x23cms. Survey of the relationship between Picasso and the poet Max Jacob, based on correspondence between the two friends, archival material, and symbolic works. The exhibition travels from Quimper (birth place of Max Jacob) to the Picasso Museum in Paris. Text in French.
Survey of the relationship between Picasso and the poet Max Jacob, based on correspondence between the two friends, archival material, and symbolic works. The exhibition travels from Quimper (birth place of Max Jacob) to the Picasso Museum in Paris. Text in French
Galerie Bernheim jeune & Cie, Paris 1920, 12x15,5cm, agrafé.
Rare catalogue de l'exposition des 100 gouaches et dessins de Max Jacob, tenue à la Galerie Bernheim-Jeune & Cie, du 8 au 20 Mars 1920. Une déchirure recollée sur un mors, deux ombres intérieures. Le carton d'invitation est illustré de 5 reproductions d'oeuvres de Max Jacob. Préface de Max Jacob. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Galerie Bernheim jeune & Cie, Paris 1924, 15x13cm, agrafé.
Rare catalogue de l'exposition des gouaches et dessins de Max Jacob et Serge Férat présentées à la Galerie Percier, du 10 au 24 Mai 1924. Bel exemplaire. Le catalogue est illustré de 4 reproductions d'oeuvres de Max Jacob et Serge Férat. Poème de Max Jacob. - Photos sur www.Edition-originale.com -
P. Seghers, 1946. In-12 carré br. Coll. " Poètes d'aujourd'hui ". Etude d'André Billy. Fac-similé d'une lettre de Max Jacob en frontispice. Choix de poèmes, dont plusieurs inédits, lettre inédite de M. Jacob à G. Apollinaire, dessins, photos, bibliographie, etc. E.O. ex. num. sur vélin blanc.
Quimper, Anciens élèves de la Tour d'Auvergne, 1994. In-4 en feuilles sous rhodoÏd et dos pince plastique, 37 pages imprimées au recto. Réalisation artisanale. Contient notamment un mot de Julien Gracq pour décliner sa participation, un texte d'Hélène Henry sur " Max Jacob, son Quimper, et ses amis ", une lettre-discours de Jacob pour le cinquantenaire du Lycée en 1936, une autre à Lionel Floch, un article sur " Max Jacob, collégien " de René Villard paru dans le Goéland en 38 et un inédit de P.J.Hélias.
EDITION ORIGINALE
Rodez, Editions Subervie / Les Feuillets de l'Îlot n° 21 de 1939. Plaquette in-4 en feuilles, rempliée, de 8 pages au format 16,5 x 25 cm. Couverture avec titre imprimé. Préface de Max Jacob. Infimes rousseurs au 4ème plat. Rare édition originale.
. Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
s.l. s.d. (circa 1930), 21x24,5cm, une feuille.
Dessin original au stylo bille noir et rehaussé au feutre noir sur papier fcalque de Carlo Rim représentant son grand ami Max Jacob légèrement de profil et esquissant un discret sourire. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. Petites déchirures et pliures en marges du feuillet. Le dessin est signé et daté "Carlo Rim 1937" au stylo bille en angle inférieur droit du dessin. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.l. s.d. (circa 1930), 21x24,5cm, une feuille.
Dessin original au crayon de papier et rehaussé au feutre noir sur papier filigrané de Carlo Rim représentant son grand ami Max Jacob légèrement de profil et esquissant un discret sourire. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Texte complet en deux livraisons de la " Nouvelle Revue Française ", n° 250 & 251, août et juillet 1936. Les deux numéros font partie du rare tirage de luxe sur vélin pur fil.
Très bon état. Le n° 250 contient aussi les poèmes d' " Actualités éternelles ", de Max Jacob.
Editions Au Sans Pareil 1921. In-12 relié de 173 pages au format 13,5 x 19 cm. Belle et élégante reliure plein bradel chagrin rouge. Pages de garde en papier marbré. Dos rond à 4 nerfs avec titre doré. Couvertures bleues et dos avec titre et filets imprimés en noir, conservées. Plats et intérieur frais. Cachet " Ex-libris " de l'ancien propriétaire en page de titre. Rare tirage sans mention. Etat superbe, proche du parfait. Edition originale, ornée d'une laconique dédicace autographe, signée, de Max Jacob.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres