Reference : 105448
P., Firmin Didot, 1824. In-4, 32 pp., bradel papier (reliure de l'époque).
Vignette de titre et 6 planches hors texte, gravures tirées sur Chine monté : Louis XIV, Marie Mancini, Louise de La Vallière, Athénais de Montespan, Marie-Angélique de Fontanges et Françoise de Maintenon. Rousseurs. Menus défauts au cartonnage.
2009, Gourcuff Gradenigo. In-8 a l'italienne, broché, 157pp. Nombreuses illustrations en couleurs et n&b.
Excellent exemplaire comme neuf.
RHA. 2011. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 143 pages - nombreuses photos, illustrations et cartes en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
"Sommaire : Louis XIV, roi de guerre - Louis XIV, roi de paix ? - ""L'emploi le plus considérable du royaume?"" Secrétaires d'état et département de la guerre sous Louis XIV - Le commandement des armées et ses enjeux sous Louis XIV - Secret et espionnage militaire au temps de Louis XIV - La marine de Louis XIV fut-elle adaptée à ses objectifs ? - Chamlay (1650-1719) le stratège oublié de Louis XIV - Louis XIV et la guerre d'indépendance hongroise (1701-1711) un véritable allié ? - Les inventeurs prennent du service - L'île de La Réunion dans la Seconde guerre mondiale - l'intervention en Somalie, 1992-1993 - .. Classification Dewey : 355.021-Militaria"
2 tomes en 1 vol. fort in-4 reliure de l'époque demi-basane rouge, mention "Louis Maurange" au dos en queue, Chez l'Auteur, Bordeaux, Fischbacher, Paris, Duthu Bordeaux, Belinfante, La Haye, Treuttel et Wurt, Strasbourg, Bocca frères, Turin, Lorentz et Keil, Constantinople, Dumolard Frères, Milan, Féret, Bordeaux (tome2) ; Perrin, Librairie académique Didier, Paris (tome 2), 188hampel74 (tome 1), 1885 (tome 2), 323-350 pp. Rappel du titre complet : Tome 1 : 1ère lecture : Louvois et Victor-Amédée II ; Duchesse de Bourgogne et Louis XIV (archives de Turin) ; 2 : Conspiration du Maréchal de Biron (Archives de Turin) ; 3 : Etienne Marcel et la Commune du XIVe siècle (Archives de Turin) ; 4 : Jean de Witt et Louis XIV (Archives de La Haye); 5 : La Suisse et Louis XIV dans la question de l'Alsace et de la Franche-Comté (Archives des Cantons) ; 6 : Complot des Guise en Suisse, 1585 (Archives de Lucerne) ; 7 : Elisabeth d'Angleterre et la conversion d'Henri IV. Cromwell et le protestantisme français (Archives de Genève) ; 8 : Henri IV pacificateur (Lettres missives) ; 9 : La politique d'Henri IV (lettres missives) ; 10 : Curieuse institution de Louis XIV près la République de Genève (archives de Genève) ; Tome 2 : 1ère lecture : Merlin de Thionville entre la Prusse et l'Autriche pendant la Révolution (correspondance officielle de Merlin) ; 2 : Frédéric II, le cardinal de Fleury et Voltaire (Manifeste, peu connu, de Frédéric II) ; 3 : L'ambassade du Maréchal de Tessé, et le gallicanisme en Espagne sous Philippe V (Archives de la guerre) ; 4 : Gazette hebdomadaire de la Guerre de la Succession d'Espagne par le colonel chevalier du Bourck, agent de Chamillard (Archives de la Guerre) ; 5 : Les présidents Lagebaton et Daffis ou Bordeaux pendant la Saint-Barthélémy et la Sainte-Ligue ; (registres secrets du Parlement de Bordeaux) ; 6 et 7 : La retraite des dix mille de l'amiral Coligny après la bataille de Moncontour (archives départementales) ; 8 : Catherine de Médicis et le duc d'Albe à Bayonne, juin 1565 (archives de Simancas) ; 9 : 1709, l'année terrible de Louis XIV en Espagne (Archives de la Guerre) ; 10 : L'assassinat d'Henri IV et la diplomatie étrangère (archives de Vienne, de Genève, Record-Office de Londres et les papiers de Simancas)
Complet. Etat satisfaisant (reliure frottée avec usures en coupes, petit accroc en coiffe de queue, des rouss., bon état par ailleurs).
S.l.n.d., , (1725 circa). Manuscrit in-4 (18 x 24,5 cm) de (2)-290-(8) ff. à 17 lignes par page, portrait gravé de Claude Le Pelletier.NOAILLES (Louis-Antoine de). Mandement de Son Eminence monseigneur le cardinal de Noailles, archevesque de Paris, a l'occasion du miracle operé dans la paroisse de Sainte Marguerite, le 31. may, jour du Saint Sacrement. Paris, Jean-Baptiste Delespine, 1725. In-4 de 22 pp.Les deux pièces reliées en 1 vol. In-4, maroquin noir, dos orné à nerfs, roulette et large dentelle d’encadrement à petits fers sur les plats, tranches dorées (reliure de l’époque).
Éloge posthume, inédit et anonyme du contrôleur général des finances de Louis XIV, Claude Le Pelletier (1631-1711) qui emprunte en guise d’hommage son titre au recueil publié par le ministre d'État dans sa retraite, Comes senectutis (Paris, Mariette 1709). Le panégyrique est suivi de dialogues à visée théologique qui constituent la plus grande partie également anonyme et inédite du manuscrit sous le titre Entretiens sur la Vieillesse et sur la Mort dont les protagonistes sont « le Propriétaire du Jardin, l’Ecclésiastique et le Jeune homme ». L'ensemble des pièces et leurs parties sont formulés dans la table placée en tête de la manière suivante : Conduite de feu Mr. Le Peletier, depuis qu’il fut nommé Contrôleur général des Finances jusques à sa mort ; Extraits des Auteurs sacrés et profanes concernant la vieillesse ; Entretien sur la Communion & l’extrême onction ; Examen de conscience, prières devant et après la confession et la communion. Enfin, relié à la suite du manuscrit la pièce imprimée en 1725 relative au miracle de la paroisse Sainte-Marguerite : Mandement de Mr le Cardinal de Noailles à l’occasion d’une guérison miraculeuse par la présence du S. Sacrement le jour de la fête Dieu. « En dépit d'injonctions répétées du Saint-Siège, le cardinal Louis-Antoine de Noailles (1651-1729) se refusa, pendant plusieurs années, à accepter la bulle Unigenitus. Cette attitude lui valut l'hostilité de Louis XIV qui lui interdit de paraître à la Cour. Le 31 mai 1725, dans la paroisse Sainte-Marguerite, Anne La Fosse retrouve miraculeusement l’usage de ses jambes. Le curé du lieu, Jean-Baptiste Goy, appelant et réappelant, alerte rapidement son archevêque, le cardinal de Noailles. Pris dans les débats et les négociations avec Rome, celui-ci déclare que ce miracle devait « confondre les Incrédules et [donner] la consolation [aux] Fidèles ». À cette occasion, le mandement publié par Noailles est intéressant. En premier lieu, il est une mise au point sur la théologie proche du phénomène. C’est seulement après enquête et vérification des témoins que l’archevêque prononce la validité du miracle, puis il conclut : « Que pourrait donc encore opposer l’incrédulité à des témoignages si irréprochables, & à un fait si notoire & si constant ? » (Olivier Andurand).Ainsi cette dernière pièce reliée à la suite d'un manuscrit dédié à la mémoire de Claude Le Pelletier révèle l’esprit janséniste du recueil et probablement son intention de prosélytisme quand les querelles relatives à Port-Royal furent réactivées au tournant des années 1720.Claude Le Pelletier (1631-1711) a été un des grands serviteurs de Louis XIV. Au cours d’une brillante carrière politique et administrative, il a exercé les plus hautes responsabilités : prévôt des marchands de Paris (1668), conseiller d’État (1673), contrôleur général des finances à la suite de Colbert (1683-1689), ministre d’État (1683-1697), surintendant des Postes (1692-1697). Il démissionna de tous ses emplois en septembre 1697. « La retraite du contrôleur général fut consacrée à rapprocher sa vie laïque de la vie contemplative autant que le permettaient son rang et ses obligations sociales et, dans son esprit, elle devait être une longue préparation à la mort. (…) Même s’il serait abusif de le ranger parmi les zélateurs de Port-Royal, de nombreux indices montrent ses sympathies pour les jansénistes. » (Mathieu Stolle).« Les hommes en place, adhérents de « la secte » – et ils étaient nombreux – savaient généralement se garder de ruiner leur crédit par la manifestation d’opinions et de sentiments de moins en moins admis en haut lieu. Chez eux, le crypto-jansénisme paraît avoir été de règle. (…) Resté profondément attaché aux Bignon, Claude Le Pelletier devait être d’autant plus sensible à leur influence qu’ayant reçu sensiblement la même formation qu’eux, il s’en trouvait très proche par ses sentiments à l’égard de Port-Royal et par son opinion sur les divisions de l’Église. Claude, en effet, avait été élevé au contact étroit de Jérôme Ier Bignon qui l’admit, tout jeune (12 ans), dans son « cabinet » – ou cercle savant – fréquenté par l’élite intellectuelle de la société, puis l’accueillit comme un fils après la mort de son père Louis Le Pelletier. Pourtant, dans son Mémoire sur mes véritables et derniers sentiments sur les affaires de l’Église et de l’État, rédigé vers 1706-1707, le ton parfois très critique du même Claude envers les disciples de Jansen et de Saint-Cyran pourrait laisser planer le doute sur ses sympathies port-royalistes. En fait, voyons là plutôt un discours-type des crypto-jansénistes de l’époque de Louis XIV, tenu précisément au moment où se préparait la destruction de Port-Royal-des-Champs (1709-1710). Si Le Pelletier reconnaît et déplore « la cabale et l’entêtement du parti janséniste », c’est pour mieux stigmatiser l’acharnement de ses adversaires, Jésuites et Sulpiciens en tête, responsables des « persécutions trop violentes » qui s’abattent sur lui. C’est aussi pour souhaiter qu’à l’avenir, le pouvoir choisisse enfin de « battre la mesure au juste », autrement dit de se tenir à un rôle modérateur, en ne se déclarant ni pour les uns, ni pour les autres. On notera en particulier, sous sa plume, cette confidence révélatrice : « Je ne saurais voir assez d’apparence à ruiner entièrement le parti janséniste : et je ne sais même si cela serait bon pour la pureté de la doctrine et les moeurs des fidèles. » (Charles Frostin).Manuscrit inédit qui sous l'éloge d'un grand serviteur de Louis XIV sert la mémoire de Port-Royal au début du XVIIIe siècle.Provenance : Antoine Marie Henri Boulard (1754-1825), notaire, député au Corps législatif (Bibliothèque de feu Mr. A. M. H. Boulard. (1828), Tome IV, n°87 : « Cet ouvrage n’est point la traduction du Comes Senectutis de Cl. Le Peletier, mais un traité nouveau composé dans le même goût, par quelqu’un de la famille de ce magistrat »).Bourgeois André, VI, 5084, 5089 : Deux mémoires historiques de Claude Le Pelletier [Vie de M. le chancelier Le Tellier ; Mémoire de mes véritables et derniers sentimens sur les afaires de l'Église et de l'État]. Publiés avec une introduction et des notes. Thèse présentée à la Faculté des lettres de Paris, par Louis André (Paris, Alcan, 1906).ANDURAND, Olivier. Chapitre IV. « Dieu a parlé contre cette Bulle » : les miracles dans la querelle de l’Unigenitus In : La Grande Affaire : Les évêques de France face à l’Unigenitus. Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2017 ; FROSTIN, Charles. Les Pontchartrain, ministres de Louis XIV : Alliances et réseau d'influence sous l'Ancien Régime. Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2006. Chapitre II. La mise en place d’un réseau de parentèle p. 112 ; Stoll, Mathieu. Chapitre XII. L’esprit Le Peletier In : Servir le Roi Soleil : Claude Le Peletier (1631-1711), ministre de Louis XIV. Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2011.
Premier tirage de ce recueil du Cabinet du Roi publié sur ordre de Louis XIV en divers formats et planches séparées. Paris, 1685-1686. Grand in-folio de 34 grandes planches. Petites déchirures aux pliures des vues 8, 9 et 13, restaurations sans manques aux vues 1, 6, 11,19 et 28. Maroquin rouge, double cadre de triple filet doré avec chiffre royal couronné aux angles, armes frappées or au centre, dos à nerfs orné du chiffre royal couronné, répété 7 fois, au sein de fleurs-de-lys et roulette fleurdelysée, filets dorés sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 560 x 420 mm.
Premier tirage de ce recueil du Cabinet du Roi publié sur ordre de Louis XIV en divers formats et planches séparées. Superbe recueil de 34 très belles estampes évocatrices du règne de Louis XIV. La plupart doubles ou plusieurs fois repliées, elles évoquent la vie de la Cour à Vincennes, Versailles et Fontainebleau, puis les campagnes de Flandre. Toutes présentent une réelle qualité artistique et sont animées sur fond architectural de groupes de personnages et cavaliers campés avec un bon sens du mouvement. Les 34 estampes dessinées par Van der Meulen, le peintre des conquêtes de louis XIV, sont gravées par R. Bonnart, Baudoin, Van Huchtenburg et Simoneau. Superbe recueil de vues de taille monumentale, somptueux panoramas du peintre bruxellois Adam Van der Meulen (1632-1690), appelé par Le Brun à Paris, nommé Premier peintre du Roi et directeur de la Manufacture des Gobelins. Il réalise plus de 150 planches pour le Cabinet du Roi. Van der Meulen accompagnait le roi dans tous ses déplacements et s'attachait à le portraiturer dans ses victoires et ses conquêtes, tout en représentant les villes conquises avec un réalisme de géographe. « Elève de Peter Snayers Van de Meulen apprit de celui-ci à dessiner les chevaux et la technique légère et transparente de l’école de Rubens. Il fut chargé de faire les modèles des tapisseries représentant les hauts faits de Louis XIV et accompagna le Roi dans tous ses voyages et toutes ses guerres. Ses tableaux reproduisent avec fidélité les compositions des troupes et jusqu’aux costumes de certains personnages et sont à ce titre des documents précieux. Quand il accompagna le roi dans les campagnes de Flandre en 1667, de Franche-Comté en 1668 et de Hollande en 1672, il prenait chaque jour les ordres du Roi, sur les épisodes que celui-ci désirait voir représenter. Il dessinait ainsi sur les lieux les campements, disposition des armées et sièges. Il peignait à la perfection les armées en campagne ». Benezit, VII, 366-367. Le recueil est ainsi réparti : - 11 Planches doubles : Vue du château de Vincennes, Vue du château de Versailles, La Reine allant à Fontainebleau, Vue de la ville et de la Citadelle de Cambray, Saint-Omer vu du costé du fort de Bournonuille, L’armée du Prince d’Orange, Vue de St Laurent de la Roche (x 2), Vue du chasteau Ste Anne (x 2), Vue du chasteau de Joux. - 10 Planches triples : Marche du Roi sur le Pont-neuf à Paris, Le Roi et sa calèche dans le bois de Vincennes, Vue du château de Versailles, Vue de la ville d’Ardrès, Entrée de la Reine dans Arras, Arrivée du Roy devant Douai, Arrivée du Roy au camp devant Mastrick, Valenciennes prise d’assaut, Le Roy s’étant rendu maitre de la ville de Cambray, Vue de Leuve. - 13 Planches quadruples : Vue du château de Fontainebleau, Vue de la ville de Béthune en Artois, Vue de la ville et du Port de Calais, Entrée du Roi dans Dunkerque, Vue de Tournay, Vue de la ville de L’Isle, Vue de Courtray, Vue de la ville et du siège d’Oudenarde, Vue de la Ville de Besançon, Dole prise dans la première conqueste que le Roy a faite, Vue de la Ville et faubourg de Salins, Vue de la Ville de Gray, Vue de l’Armée du Roy. Somptueux recueil de premier tirage. L’un des exemplaires de présent offerts par le Roi Louis XIV, conservé dans sa superbe reliure de présent en maroquin rouge aux armes et chiffre couronné du Roi Louis XIV. Les exemplaires du Cabinet du Roi peuvent être composés de vues différentes et comporter un nombre de gravures différent. Celui-ci est complet tel que paru avec ses 34 gravures. Provenance: Château de Vaux le Vicomte.
Société d'étude du XVIIe siècle. 1979. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Paginé de 110 à 216. 1er plat taché.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Louis XIV et l'Europe - Bruno Neveu : Introduction - Ragnhild Hatton : Louis XIV et l'Europe, éléments d'une révision historiographique - Pierre Blet : Louis XIV et le Saint-Siège - Jean Meyer : Louis XIV et les puissances maritimes - Jean Bérenger : Louis XIV l'empereur et l'Europe de l'Est - Comptes rendus - Correspondance - Informations.. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
A Paris, ches les Associez [Associés] choisis par ordre de Sa Majesté pour l'impression de ses nouvelles Ordonnances, 1670. Un vol. au format pt in-4 (251 x 177 mm) de 4 ff. n.fol., 165 pp.,et 23 ff. n.fol. Reliure de l'époque de plein veau moucheté brun, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets gras à froid, doubles caissons d'encadrement dorés, chiffre couronné doré de Louis XIV répété dans chacun des caissons, fleurons dorés, titre doré, palette dorée en queue, roulette dorée sur les coupes, tranches jaunes et mouchetées.
Edition originale rare ; ici proposée dans son format in-4. Exemplaire aux armes de Louis XIV (''L'' couronné répété au dos dans chacun des caissons). L'Ordonnance criminelle de Saint-Germain-en-Laye de 1670, en vigueur durant tout le XVIIIe siècle constitue un document d'importance qui s'attacha à réglementer le droit criminel français. ''Les grands avantages que nos sujets ont reçus des soins que nous avons employés à réformer la procédure civile par nos ordonnances du mois d'avril 1667, et d'août 1669, nous ont porté à donner une pareille application au règlement de l'instruction criminelle qui est d'autant plus importante, que non seulement elle conserve les particuliers dans la possession paisible de leurs biens, ainsi que la civile, mais encore elle assure le repos public, et contient par la crainte des châtiments ceux qui ne sont pas retenus par la considération de leur devoir.'' ''Voulue par Louis XIV, cette Grande ordonnance est l'un des premiers textes français reprenant de nombreuses règles de procédure pénale. En disposant dans la Grande ordonnance, que l'emprisonnement ne constituait pas une peine (à la différence de la mort ou du pilori), mais une mesure préventive en attendant un jugement ou un châtiment, Louis XIV, affirmait son droit d'enfermer «jusqu'à nouvel ordre», gêneurs et opposants. Avec, pour arme absolue, la célèbre lettre de cachet, signée de sa main et renfermant la sentence d'exil ou d'emprisonnement. Adressée à un officier, qui la remettait en main propre à l'intéressé, elle manifestait la justice personnelle du souverain. Et, parfois motivée par la seule «raison d'État», elle demeurait un synonyme d'arbitraire. Pour autant, elle faisait en général l'objet d'une enquête préalable. Cette ordonnance instaure l’usage de la question «avec réserve des preuves»: même si l'accusé n'avouait pas son crime sous la torture, il pouvait être condamné à une peine inférieure à la peine de mort en cas de fortes présomptions. Angles légèrement élimés. Légères altérations superficielles affectant les plats. Deux petits manques au dos ; lequel présente un éclat légèrement altéré. Bonne condition intérieure n'excluant toutefois pas quelques légères marques d'usage.
Chez les Libraires Associés, 1758. In-16 relié (12,5 x 6,7 cm), reliure demi-veau d'époque, 5 ouvrages réunis par l'éditeur de 108 pp. ; 156 pp. ; 64 pp. ; 169-(7) pages.- 190g.C. - Manques de cuir en haut et bas du dos, coins émoussés, intérieur exempt de rousseurs.
("Le roi leur dit, il y a quatre jours: <je suis fâché que vous ne soyez point venus à cette dernière campagne; vous auriez vu la guerre, et votre voyage n'eût été long>. Racine lui répondit: <Sire, nous sommes deux bourgeois qui n'avons que des habits de ville; nous en commandâmes de campagne; mais les places que vous attaquiez furent plus tôt prises que nos habits ne furent faits>. Cela fut reçu agréablement") RACINE Jean (La Ferté-Milon, 1639 - Paris, 1699) - BOILEAU Nicolas (Paris, 1636 - Paris, 1711) "CAMPAGNE DE LOUIS XIV. AVEC LA COMPARAISON DE FRANCOIS I. AVEC CHARLES-QUINT". 1730, Paris, Mesnier. 1 vol. in-12° (157x95 mm) (dimensions pages 153x87 mm) (1) f., VIII, 266 pp., (1) f. Reliure en basane granitée strictement de l'époque. Dos à cinq nerfs orné, avec pièce de titre en maroquin rouge. Tranches rouges. Edition Originale, très rare. Infime manque à la coiffe inférieure et un coin émoussé au second plat ; ancienne mouillure à l'angle supérieur du premier feuillet de garde, mais intérieur très frais ; une ancienne note manuscrite au dernier feuillet de garde, avec petit manque ; malgré les défauts signalés, très bel exemplaire. L'ouvrage est un éloge adressé au Roi Louis XIV. Proche du Roi (il le suit aux sièges de Gand et d'Ypres en 1678, en Alsace en 1683, à Luxembourg en 1687 et en Flandre en 1691, 1692 et 1693) et fréquentant la cour, l'auteur dresse un tableau précis des conquêtes de Louis XIV. Cependant, sous couvert des louanges adressées par l'écrivain au Roi on peut déceler quelques réserves de l'auteur quant au règne de Louis XIV. Publié sous le nom de Pélisson, il faut attendre une nouvelle édition en 1784 sous le titre "Eloge historique du roi Loi XIV sur ses conquêtes depuis 1672 jusqu'en 1678" pour qu'apparaisse l'attribution correcte du texte de Racine et Boileau. Dans le présent volume la partie qui concerne ces deux auteurs occupe les quatre-vingt seize premières pages. "La Campagne de Louis XIV, malgré l'attribution du titre est l'oeuvre de Jean Racine et de Boileau. La comparaison serait de Varillas" (Guibert). Provenance: Note manoscritte signée Joannes Baptista Salomon de Segonzae (1733). Seuls cinq exemplaires sont répertoriés dans les institutions publiques internationales. D'après la Librairie A. Sourget deux seuls exemplaires sont passés sur le marché international en plus de 40 ans: un ex. en maroquin bleu armorié de Mercier (Libr. Sourget cat. XXXIX/2010 n. 122, 7.500,00 Euros) et un ex. en vélin moucheté de l'époque (Libr. A. Sourget cat. 10/2016 n. 36, 3.500,00 Euros). (Tchémerzine, V, 369; Barbier, I, 484; Guibert, 285-289) (LCPCHIS-0015) (1.500,00 €)
("Le roi leur dit, il y a quatre jours: <je suis fâché que vous ne soyez point venus à cette dernière campagne; vous auriez vu la guerre, et votre voyage n'eût été long>. Racine lui répondit: <Sire, nous sommes deux bourgeois qui n'avons que des habits de ville; nous en commandâmes de campagne; mais les places que vous attaquiez furent plus tôt prises que nos habits ne furent faits>. Cela fut reçu agréablement") (www.cepays-ci.com)
Précieux exemplaire de Présent relié en maroquin de l’époque aux armes du roi Louis XIV imprimé sur grand papier enrichi du portrait de la reine Marie-Thérèse. Paris, Pierre Le Petit, Thomas Joly, Louis Bilaine, 1662. In-folio de 1 frontispice gravé à pleine page, 1 feuillet de titre, 1 portrait du roi Louis XIV gravé d’après Mignard par Van Schuppen., 1 f. de dédicace, (2) ff. d’Avis au lecteur, 7 pp., 34 pp., 28 pp., 12 pp., 14 planches sur double-page et 8 à pleine page gravées par J. Marot et Chauveau, d’après J. Le Pautre. Exemplaire enrichi du portrait de Marie-Thérèse. Plein maroquin rouge, double encadrement de triple filet doré avec larges fleurs de lys dorées aux angles, à la Duseuil, grandes armoiries royales dorées au centre, dos à nerfs orné de fleurs de lys, coupes décorées, tranches dorées. Reliure en maroquin armorié et fleurdelysé de l’époque. 487 x 322 mm.
«On sait que le mariage de Louis XIV avec Marie-Thérèse d'Autriche, fille de Philippe IV, roi d'Espagne, fut le couronnement de la paix des Pyrénées, signée en 1659. Le jeune roi alla chercher la jeune reine à la frontière et la ramena à Paris où ils firent une entrée solennelle, le 26 août 1660. Le cortège, les décors, les arcs de triomphe, le feu d'artifice, sans parler des harangues, donnèrent un si beau lustre à cette solennité que le conseil municipal de Paris, à cette date, c'est-à-dire le Prévôt des marchands et les échevins, ordonnèrent que « le tout serait recueilli et imprimé ». De là le livre que nous signalons et dont les gravures, au nombre de 24 dans la seconde édition, sont l'œuvre des premiers graveurs du temps : Chauveau, Jean Marot, Le Pautre, Cochin de Troyes, Flamen, et Nicolas Poilly. Ici ce dernier se distingue par un très-beau portrait de Louis XIV à l'âge de 20 ou 22 ans, d'après Mignard. Le frontispice, fort bien gravé par Chauveau, nous montre le jeune roi assis sur son trône et auquel le prévôt des marchands et les échevins présentent, à genoux, la relation de l'Entrée triomphale. Suit une épître dédicatoire au lecteur, gravée et encadrée dans des chiffres et des fleurons ; puis on arrive à la 3ème planche qui représente Leurs Majestés passant en revue (entre le bois de Vincennes et la ville) la milice de Paris. Les autres planches nous montrent : l'Arc de triomphe à l'entrée du Faubourg Saint-Antoine (par J. Marot) ; — l'entrée du pont Dormant de la porte Saint-Antoine (Marot); — l'Arc de pierre sur le pont dormant de la porte Saint-Antoine (Marot) ; — la porte de la ville du côté de Saint‑Antoine ; — le Parnasse, Carrefour de la Fontaine Saint-Gervais ; — le pont Notre-Dame réparé et enrichi (Marot) ; — l'Arc de triomphe au bout du pont Notre-Dame du côté de la Cité ; — l'Arc de triomphe au Marché neuf (Marot) ; — le plan de la place Dauphine (Marot) ; — l'Amphithéâtre de la place Dauphine (Marot) ; — l'Obélisque (Lepautre ?) ; — la Façade de l'Hôtel de ville du côté de la place de Grêve (Marot) ; — le trône élevé sur le vaste emplacement nommé aujourd'hui place du Trône (Marot); — l’Hôtel de Beauvais, rue Saint Antoine, d’où la reine-mère vit passer le cortège (Marot). Les 5 planches qui suivent, si elles étaient numérotées, répondraient aux n° 18, 19, 20, 21, 22 ; elles sont consacrées au cortège qui se déroule dans l'ordre que voici : Le clergé tant séculier que régulier, l'université, les magistrats de la ville, MM. du Châtelet, de la cour des monnoyes, de la cour des aides, les membres de la chambre des comptes, les membres du parlement, les équipages de son éminence le cardinal Mazarin, les écuries du roi, la chancellerie, la maison du Roy, les seigneurs de la cour, les officiers de la couronne, le Roy, les princes du sang, princes et ducs, la reine et sa suite, les gardes du corps à cheval et les gendarmes qui ferment la marche. La représentation de ce cortège offre le plus grand intérêt au point de vue des usages, du costume et de l’histoire. La vivacité spirituelle du burin, la variété, la justesse des attitudes, voilà ce qui caractérise cette œuvre remarquable. Tout porte à croire que ces planches sont l'œuvre de Cochin de Troyes dont le talent offre beaucoup d'analogie avec celui de Callot, le célèbre graveur lorrain. L'avant-dernière se rattache au Te Deum chanté à Notre-Dame. Par dérogation à un ancien usage, ce Te Deum ne fut chanté que le lendemain, c'est-à-dire le 27 août. Des tapisseries occupent dans le chœur la place des belles boiseries qu'on y voit aujourd'hui. Cette planche est encore de Marot; enfin la dernière, toujours de Marot, représente une galère de 72 pieds de long, la pièce principale du feu d'artifice qui fut tiré le 29 d'août eu face le Louvre ». (Ernest Vinet) Précieux exemplaire royal de présent imprimé sur grand papier.
Histoire physique, civile & morale de Paris, depuis les premiers temps historiques jusqu'à nos jours. J.A Dulaure Tome IV. Paris sous Louis VIII, sous Louis XIV - Maisons religieuses - Communautés religieuses de femmes & d'homme. 9 gravures + plan de Paris sous Louis XII. vol relié gd in8, 20x13, pleine basane époque, frottements, bel état intérieur, traces de mouillures sèches en marge, 630pp. Paris, Guillaume & Cie, 1821 L'histoire de Paris, de Louis VIII à Louis XIV, couvre une période importante de l'histoire de la capitale française. Pendant cette période, plusieurs événements clés ont façonné le développement de la ville et ont influencé sa transformation politique, sociale et culturelle. Louis VIII (règne de 1223 à 1226) a été un roi de France qui a joué un rôle dans l'expansion du pouvoir royal et dans la consolidation du royaume. Cependant, il n'a pas été directement lié aux développements spécifiques de Paris pendant son règne. Louis IX, également connu sous le nom de Saint Louis (règne de 1226 à 1270), a été un monarque influent pour l'histoire de Paris. Il a renforcé le pouvoir royal, a favorisé la justice et a été un mécène des arts et de l'architecture. Sous son règne, Paris a connu des développements majeurs, notamment la construction de la Sainte-Chapelle et le développement du Palais de la Cité. Au XIVe siècle, Philippe IV le Bel (règne de 1285 à 1314) a été un roi centralisateur qui a exercé un contrôle accru sur la ville de Paris et a fait de la capitale le centre politique du royaume. Il a également été responsable de l'expulsion des Juifs de France en 1306. La période des XIVe et XVe siècles a été marquée par des troubles politiques et sociaux, notamment la guerre de Cent Ans, qui a eu des répercussions sur Paris. Cependant, la ville a continué à se développer et à se transformer, avec des améliorations urbaines, la construction de nouvelles églises et l'expansion des quartiers. Sous le règne de Louis XIV (règne de 1643 à 1715), également connu sous le nom de Roi-Soleil, Paris a connu une période de grande prospérité et de rayonnement culturel. Le roi a entrepris des rénovations urbaines majeures, notamment la création de la place Vendôme et la construction de l'Hôtel des Invalides. Il a également encouragé les arts, la littérature et l'architecture, donnant naissance au style classique français. L'histoire de Paris de Louis VIII à Louis XIV est donc marquée par des développements politiques, sociaux, architecturaux et culturels significatifs. Cette période a façonné la ville et a jeté les bases de son statut de capitale influente et artistique. d'autres tomes en vente, groupez les achats.
Lafont Presse. 2008. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 125 pages - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Louis XIV le roi Soleil entre ombre et lumière - Le siècle de Louis XIV - Repères chronologiques - Contes, nouvelles et récits de Jules Janin (1884) - Le représentatn de dieu sur terre : Oraison funèbre de Marie-Thérèse d'Autriche par Bossuet (1683) - Le tempérament du roi : Mémoires de Saint-Simon (1715) - Le roi face à l'Europe : Le siècle de Louis XIV de Voltaire (1751) - Histoire de France de Michelet (1876) - La cour à Versailles : Les caractères de La Bruyère (1688) - Manière de montrer les jardins de Versailles par Louis XIV - Le roi et les femmes : Histoire de France de Michelet (1876) - Petites histoires : Lettres de Madame de Sévigné (jusqu'à 1690) - La mort du roi : Histoire de France de Michelet (1876) - La descendance de Louis XIV .. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Bureau de la revue. 15 juillet 1938. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Agraffes rouillées, Intérieur frais. Paginé de 147 à 167. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Splendeur de Louis XI - Splendeur de Louis XIV par Jean Pierre Maxence, Louis XIV et l'enfance ou le sourire de Versailles par Edmond Pilon, Marly, maison des champs de Louis XIV par Emile Magne, Les grands travaux du grand siècle par Jean Loize Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
A Paris, chez les Libraires Associés, 1714 - A Paris, chez les Libraires Associés, 1714 - A Paris, chez les Libraires Associés, 1714 - A Paris, chez les Libraires Associés, 1714 - A Paris, chez les Libraires Associés, 1748. Réunion en un fort volume de cinq ouvrages au format in-16 étroit (128 x 72 mm) de 1 f. bl. et 108 pp. ; 156 pp. ; 64 pp. ; 48 pp. ; 169 pp. et 1 f. n.fol. Reliure de l'époque de plein veau marbré havane, dos à nerfs orné de filets gras à froid, caissons d'encadrement en pointillés dorés, roulette dorée sur les nerfs, large décor fleuronné doré, semis d'étoiles et de pointillés dorés, pièce de titre de maroquin miel, titre doré, palette dorée en queue,roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées.
Réunion de cinq Edits ou Ordonnances - ici reliées en un volume - dont l'Ordonnance de Louis XIV consacrée à la gabelle. Angles et coupes élimés. Défaut affectant chacune des coiffes. Marque brune au premier plat. Rares rousseurs dans le texte. Infime cerne claire en marge supérieure de quelques feuillets. Du reste, bonne condition.
, Mercatorfonds / Fonds Mercator, 2004 relie, sous jaquette, 230 x 280mm., 320pp., 50 illustrations, dont 90 en couleurs ISBN 9789061535515.
Adam-Francois Van der Meulen, ne en 1632 a Bruxelles, fit l'apprentissage de son art aupres d'un peintre de l'ecole d'Anvers entre au service des archiducs espagnols et se specialisa dans la peinture de batailles, genre pictural dont les archiducs espagnols lui offraient d'autres modeles et sources d'inspiration. C'est a cet artiste que Charles Le Brun, premier peintre de Louis XIV et directeur de la Manufacture des Gobelins, fit appel en 1662 pour renforcer l'equipe des collaborateurs qui devaient l'aider a mettre en image l'histoire du roi de France. Van der Meulen devait marquer de son empreinte la peinture francaise du Grand Siecle. Il exerca une influence sur les artistes des generations suivantes par l'importance qu'il avait accordee au paysage dans ses compositions, par son sens aigu de la realite et ses qualites de coloriste qui repondaient a une evolution du gout vers un art plus directement accessible. Le jugement porte sur le peintre evolua naturellement au cours des annees. Apprecie en tant que talentueux illustrateur des conquetes du Roi-soleil et de la grandeur de son regne, il fut progressivement entraine dans le discredit qui affecta la peinture officielle du regne de Louis XIV et tomba peu a peu dans l'oubli. La presente etude constitue une contribution a la redecouverte de l'oeuvre de ce peintre qui temoigne de la richesse et la complexite des echanges artistiques qui existerent entre la France et les Pays-Bas meridionaux au XVIIe siecle. Nouveau.
A Strasbourg, chez J.G. Treuttel, Libraire, et se trouve à Paris, chez Onfroy Libraire, rue St. Victor N° 11, 1791, 13 volumes in-8 de 210x130 mm environ, Mémoires du Règne de Louis XIV : Tome I. xxviii-220 pages, - Tome 2. 194 pages, - Tome 3. 192 pages, - Tome 4. 282 pages, - Tome 5. 258 pages (les cahiers L et M sont mélangés, sans manque), - Tome 6. 262 pages, - Mémoires de la Régence : Tome 7. 1. 252 pages, - Tome 8. 2. 260 pages, - Histoire des Hommes illustres : 9. I. 5ff. ( faux-titre, titre, table)-240 pages, - Tome 10. II. 4ff. (faux-titre, titre, table)-205 pages, - Tome 11. III. 4 ff. (faux-titre, titre, table)-207 pages, - Tome 12. IV. 4ff. (faux-titre, titre, table)-231 pages, - Tome 13 Traité de Politique : 4ff. (faux-titre, titre, table)-273 pages, demi basane havane, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés, gardes marbrées, tranches finement mouchetées.Des rousseurs et pages brunies, quelques mouillures par endroits, petits défauts de marge sans atteinte au texte, frottements sur le cartonnage, cuir avec taches et galeries et petits trous de ver, un double du cahier N du tome 3 des Hommes illustres est relié par erreur entre les p. 190 et 191, les cahiers L et M sont mélangés (tome 5). Contient un tableau dépliant, sans le frontispice.
Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, est né à Paris le 16 janvier 1675 et mort le 2 mars 1755. Duc et pair de France, courtisan et mémorialiste, « espion sagace et fantasque de Versailles et des coulisses du pouvoir », c'est un témoin essentiel de la fin du règne de Louis XIV et de la Régence. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
saint germain en laye 1654 une lettre, d'une page, sur papier vélin ligné, manuscrite à l'encre brune, format : 34,4 x 24 cm, lettre autographe manuscrite, Lettre signée '' Louis '' de la main du Roi LOUIS XIV (Agé alors de 16 Ans) + signature de MICHEL LE TELLIER,[ MARQUIS DE BARBEZIEUX, SEIGNEUR DE CHAVILLE, D'ETANG ET DE VIROFLAY (SECRETAIRE DE LA GUERRE DU ROI)], fait à REIMS LE 12 JUIN 1654,
SIGNE PAR LE ROI LOUIS XIV, à l'age de 16 ans...... Beau DOCUMENT....................RARETE.....en trés bon état (very good condition), en trés bon état
Très bel exemplaire en maroquin rouge de l’époque aux armes et au chiffre couronné du roi Louis XIV. Paris, Imprimerie Royale, 1670. In-folio de (4) ff., 8 pp. de texte, 11 gravures sur 7 double-pages, pp. numérotées 17 à 67 comportant pour la plupart une grande eau-forte, 9 planches de devises reliée entre les ff. 29 et 30, entre les ff. 35 et 36, 37 et 38, 43 et 44, 45 et 46, 51 et 52, 53 et 54, 60 et 61, 62 et 63, (1) f., pp. 65 à 104. Une seconde version de la planche 58 a été ajoutée au début du volume, coloriée à la main à l’époque et enluminée. Nombreux bandeaux, vignettes, initiales. 4 ff. brunis. Est jointe au volume une table des illustrations manuscrite d’une main contemporaine. Ainsi complet. Maroquin rouge, double encadrement de triple filet doré, armoiries frappées or au centre, chiffre couronné aux angles, dos à nerfs orné de fleurs de lys dorées et de chiffres couronnés dans les entrenerfs, roulette dorée sur les coupes, roulette fleurdelysée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque. 560 x 410 mm.
Le plus beau livre de fêtes des premières années du règne de Louis XIV. Brunet, II, 337. L’ouvrage, dont le texte est l’œuvre de Charles Perrault, avec une relation en vers latins par Fléchier, est orné de 96 estampes gravées par Chauveau, et Israël Silvestre: 30 eaux-fortes de Chauveau représentant les cavaliers des cinq quadrilles et les caparaçons de leurs chevaux, 8 eaux-fortes oblongues sur quatre feuillets doubles, 55 eaux-fortes représentant des emblèmes et devises, 3 eaux-fortes doubles d’Israël Silvestre. L’ouvrage fait partie de la collection du Cabinet du Roy. Cette collection se compose de volumes d’estampes exécutées par ordre de Louis XIV et publiés d’abord séparément, en différents formats, avec des explications imprimées. Les exemplaires publiés séparément avant la formation de cette collection, ont l’avantage de présenter les premières épreuves des planches. Les courses de testes et de bagues, ici en premier tirage, représentent les fêtes données aux Tuileries à l’occasion de la naissance du Dauphin: cinq quadrilles en costumes somptueux exécutèrent des figures de Carrousel pendant trois jours. Le Roy y est représenté en costume romain. (Histoire de l’édition française. Le Livre triomphant, planche 12). L’origine de cette fête, et par suite de ce livre, serait la réalisation d’un rêve d’enfant. «A en croire Vulson de La Colombière, les images du ‘Théatre d’honneur’, superbe volume illustré édité à Paris en 1648, émerveillèrent le petit Louis XIV, et si l’on rapproche ces images de celles que le même artiste, Chauveau, grave après la Course de bagues de 1662, il semble que cette fête n’ait été que la réalisation d’un rêve d’enfant». Très bel exemplaire en maroquin rouge de l’époque aux armes et au chiffre couronné du roi Louis XIV.
RHA. 2015. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 143 pages - nombreuses photos, illustrations et cartes en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
Sommaire : 1715. Fin du Grand siècle - Vauban, la guerre et les ingénieurs - Le sursaut français 1710-1712 -Les guerres de Louis XIV : une invention du territoire - Bilan de la politique étrangère de Louis XIV - Le soleil, mars et la technique : Louis XIV et la transformation de l'armement de l'infanterie - Les maréchaussées sous Louis XIV ou l'impossible réforme - Les mouchoirs d'instruction militaire français - La campagne du Rif (1925-1927) : consécration d'une aviation d'appui-protection - Impacts environnementaux de la guerre du Viêt Nam, les apports de la biogéographie historique - Le métier des armes comme horizon : les recrues de la Corne de l'Afrique - .. Classification Dewey : 355.021-Militaria
Edition originale absolument rarissime du roman libertin dont Louis XIV est le héros, qui défraya tant la chronique littéraire, politique et bibliophilique. Imprimé en Hollande vers 1667. Petit in-12 de 96 pages, titre compris, dernière page en 15 lignes. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs richement orné, filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure signée de Thibaron-Joly. 127 x 72 mm.
Edition originale absolument rarissime de ce roman libertin dont Louis XIV est le héros qui dÉéraya tant la chronique littéraire, politique et bibliophilique. Willems, 1770, Tchemerzine, II, 166. Willems dans sa bibliographie des Elzévier, rapporte cette savoureuse histoire : « Nous lisons dans une Lettre à Achille Jubinal, qui fait partie du Pêle-mêle philosophique et littéraire de F. Grille (Paris, 1850) : « Vous qui courez et dénichez les raretés, dites moi, je vous prie, si vous avez rencontré de par le monde un petit livre intitulé : Les Amours du Palais Royal, qui parut sous Louis XIV. MM. Brunet, Beuchot, Jacob et Quérard n’en parlent pas. Ce livre fut imprimé en Hollande ; un exemplaire en fut envoyé à Louvois qui le porta au Roi, le Roi le montra à Mme Henriette ; elle y était, avec lui, fort compromise. Elle en parla à l’évêque de Valence, Cosnac ; l’évêque disparut et s’en alla à La Haye ; au bout de huit jours il revint chargé de toute l’édition qu’il avait achetée pour la brûler. Trois exemplaires étaient restés, la princesse les eut entre les mains et les jeta au feu. Cependant on les vit ; il y en eut des copies, d’incomplètes copies sur lesquelles on fit une seconde édition, pleine de lacunes ». Grille n’indique pas où il a pris cette piquante anecdote, mais le fond en est exact, et les Mémoires de Dan. de Cosnac, publiées en 1852, sont venues la confirmer, au moins dans ses points principaux. » Barbier (Dictionnaire des anonymes) ignorait lui aussi l’existence de cette édition originale non datée, et citait les deux copies, datées 1667, la première, avec la dernière page en 15 lignes, la contrefaçon, avec la dernière page en 10 lignes. À Pâques 1659, le comte de Bussy-Rabutin prend part à une orgie au château de Roissy, où il médit outrageusement et scandaleusement sur les mœurs de la cour, sur le roi et sur la famille royale (décrit plus tard dans son œuvre « Histoire amoureuse des Gaules »). Il est alors condamné, trois mois plus tard, à un premier exil de la Cour de France par le jeune roi Louis XIV, dans le château familial de Bussy de son domaine bourguignon. En 1660, incorrigible, il écrit sans vouloir le publier son pamphlet satirique et calomnieux « Histoire amoureuse des Gaules », chronique sur les frasques de certaines personnes de la cour et sur les premières amours du jeune Louis XIV et de Marie Mancini (nièce du cardinal - premier ministre Jules Mazarin) qu'il tourne en ridicule, pour amuser sa maîtresse, la marquise de Montglas et quelques-uns de ses amis. L'intrigante marquise de la Baume fait alors secrètement copier l’œuvre, puis répandre sa publication en avril 1665 à Liège, à l'insu de l'auteur. L'œuvre scandaleuse parvient à la cour et au jeune roi qui fait arrêter l'auteur en 1666, le destitue de toutes ses charges et le fait enfermer treize mois à la Bastille (alors qu'il vient juste d'être élu à l'Académie française) avant de le faire exiler et disgracier à vie, pour la seconde fois, dans son château en Bourgogne, où ce dernier passera dix-sept années d'exil et la fin de sa vie. La rareté de cette originale est légendaire puisque la famille royale l’acheta en bloc pour la détruire et jusqu’à ce jour, un seul autre exemplaire était répertorié, celui de La Villestreux et L. de Montgermont relié par Lortic en maroquin rouge et cité par Willems et Tchemerzine. Magnifique exemplaire, à belles marges, reliÉ en maroquin rouge de Thibaron‑Joly.
Perrin, 1981, in-8°, 287 pp, 16 pl. de gravures hors texte, 3 tableaux généalogiques hors texte de la postérité de Monsieur (1640-1701), reliure skivertex rouge de l'éditeur, titres dorés au 1er plat et au dos, bon état
II est des personnages que l'Histoire semble assigner à une réputation maudite. Philippe d'Orléans, frère de Louis XIV, accumule les médisances. Dès sa naissance, en 1640, les commérages vont leur train : parce qu'il a le sens artistique de ses ancêtres Medicis, on lui reproche sa frivolité ; son goût de la table, du jeu, de la danse passe pour un dilettantisme indigne d'un prince. ses mariages font jaser et même son talent militaire, éclatant pourtant à la bataille de Cassel en 1677, est contesté. Au soleil de Louis XIV, Philippe d'Orléans a été brûlé par la rumeur et la raison d'Etat, réduit au rôle de comploteur systématique et inefficace. Dans cette biographie, nourrie des correspondances et des témoignages du temps, Philippe Erlanger met au jour la véritable personnalité d'un prince si populaire que même Boileau en a célébré la gloire. — "Un historien sérieux, Philippe Erlanger, a consacré un livre à Monsieur, Frère de Louis XIV. C'est la première biographie dont ce personnage fasse l'objet. Epoux déplorable et tendre père, chef de guerre remarquable et prisonnier de ses favoris, tout en lui est contradiction. Ses deux femmes, Henriette d'Angleterre et la Palatine, la frêle Anglaise et la forte Allemande, ne l'ont pas empêché de se tourner vers les jeunes gens les plus séduisants de la cour. Epris de faste, il aime sincèrement les toiles des maîtres, les sculptures de prix, les bibelots rares, et il raffole aussi de se déguiser en femme. Etre contradictoire, victime aussi des intrigues ourdies contre lui et dont son frère aîné tient toujours les fils. Au sein de cette société faisandée, Louis XIV n'apparaît pas grandi. Psychologue avisé, il a facilement compris que l'on règne sur les hommes en sachant exploiter leurs faiblesses. Il n'a pas tardé à faire sentir à son cadet qu'il ne devait porter aucun ombrage à sa majesté et à sa toute-puissance. (...) Monsieur méritera en tout cas d'être considéré comme le grand-père de l'Europe catholique. On compte en effet dans sa descendance directe, par le jeu des alliances avec les différentes cours, des personnages comme Louis XV, Louis XVI, Marie-Antoinette, Louis XVIIl, Charles X, Philippe-Egalité, Louis-Philippe, le duc d'Enghien, Joseph II, Marie-Louise, le roi de Rome, François-Joseph, Victor-Emmanuel, les souverains belges à partir de Léopold II, Alphonse XIII, Ferdinand de Bulgarie, d'autres encore... Pour ce Philippe d'Orléans "dont le goût n'était pas celui des femmes", ce n'est pas si mal ! Un tableau sobre et dépouillé de toute complaisance." (Roger Duhamel, L'Action Universitaire (Montréal), 1954)
A Paris, chez Jean Henault / Nicolas Pepingué / Denys Thierry et Jean-Baptiste Coignard, 1671. Un vol. au format in-4 (247 x 188 mm) de 1 f. bl., 4 ff. n.fol., 288 pp., 2 ff. n.fol. et 1 f. bl. Reliure de l'époque de plein veau glacé et moucheté havane, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets gras à froid, doubles caissons d'encadrement dorés, chiffre couronné de Louis XIV doré répété dans chacun des caissons, fleurons dorés, pointillés dorés, titre doré, palette dorée en queue.
Exemplaire aux armes de Louis XIV (''L'' couronné répété au dos dans chacun des caissons). Angles et coiffes élimés. Petit défaut affectant le caisson de tête. Quelques rousseurs dans le texte. Infime travail de ver affectant les fonds de cahiers. Du reste, bonne condition.
La BEAUMELLE (Laurent ANGLIVIEL de) - [MAINTENON (Françoise d'Aubigné, Marquise de) - Le VALOIS de VILETTE de MURSAY (Marthe-Marguerite, marquise de CAYLUS)] - VOLTAIRE (François-Marie AROUET, dit, notes de).
Reference : 24618
(1778)
A Maestricht, chez Jean-Edme Dufour & Phil Roux, 1778. 16 vol. au format in-12 (172 x 108 mm) de 1 f. bl., vii, xxiv - 298 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., iii - 271 pp. et 2 ff. bl. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., iii - 338 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., iii - 271 pp. et 2 ff. bl. ; 1 f. bl., vii - 354 pp. et 2 ff. bl. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., iii - 271 pp. et 2 ff. bl. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., iv - 306 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., viii - 327 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., viii - 294 pp. et 2 ff. bl. ; 1 f. bl., vii - 300 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., vii - 384 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., vi - 283 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., vii - 308 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., x - 345 pp. et 2 ff. bl. ; 1 f. bl., xii - 372 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., viii - 339 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol., 201 pp. et 2 ff. bl. Reliures uniformes de l'époque de pleine basane glacée et marbrée brune, filet à froid encadrant les plats, dos lisses ornés d'un double filet d'encadrement doré, doubles filets dorés, fleurons dorés, semis de petits fleurons dorés, pièces de titre de maroquin turquoise, pièces de tomaison de maroquin émeraude, titre doré, tomaison dorée, palette dorée en tête et queue, filet doré sur les coupes, tranches rouges, gardes agrémentés de motifs à décor peint.
Ensemble - sous reliures décoratives du temps - complet des 16 volumes le constituant. ''La publication des Notes de La Beaumelle sur Le Siècle de Louis XIV lui valurent une détention de six mois à la Bastille ; la publication des Mémoires de Madame de Maintenon fournirent le motif d'une nouvelle détention de La Beaumelle dans cette prison royale''. (in Quérard). Gouvernante des enfants naturels de Louis XIV, Madame de Maintenon devint secrètement son épouse après la mort de la reine en 1683, attirant à elle autant la flagornerie que la haine de la cour et de la famille royale. Elle fit planer sur la cour à la fin du règne de Louis XIV une ère de dévotion et d'austérité. On lui prête une grande influence sur le roi et sur la Cour, notamment concernant la décision ayant conduit à la révocation, en 1685, de l’édit de Nantes, qui provoqua l’exode d'une grande partie des protestants, ou l’incitation au déclenchement de la guerre de Succession d'Espagne en 1701. A la fin de 1680, Madame de Maintenon fit enlever sa nièce, la future Madame de Caylus, aux huguenots. L'enlèvement n'émut personne, sauf le père. Et la petite fille, après avoir un peu pleuré, se convertit dès le lendemain de son arrivée à la cour, parce qu'elle avait trouvé la messe du Roi très belle et qu'on lui avait promis qu'elle la verrait tous les jours. ''Madame de Caylus narre cela dans ses Souvenirs. La cour de Louis XIV, Madame de Maintenon, Racine qui voulut la voir dans Esther, Saint-Simon qui appréciait sa finesse : tous ces grands personnages et bien d'autres encore font revivre ici l'esprit même de Versailles au temps du Roi Soleil.'' Graesse IV, Trésor de livres rares et précieux, p. 345 - Brunet III, Manuel du libraire et de l'amateur de livres, 1321 (pour l'originale de 1755 / 1756) - Quérard IB, La France littéraire, p. 330. Angles élimés. Quelques coiffes accidentées. Frottements affectant les pièces de titre et de tomaison. Petites altérations superficielles éparses pouvant affecter les plats. Petit manque angulaire affectant un feuillet. Léger travail de ver sur quelques feuillets (avec tout au plus et très rarement la perte d'une lettre). Du reste, bonne condition.
1680 Ordonnance de Louis XIV Roy de France et de Navarre sur le fait des Entrées, Aydes et autres droits …Muguet, 1680; 223pp. (dont le titre avec armes royales) - (5)pp. / Ordonnance de Louis XIV Roy de France et de Navarre sur le fait des Gabelles et des Aydes… Muguet, 1680; 156pp. (dont titre avec armes royales / Ordonnance de Louis XIV Roy de France et de Navarre pour servir de règlement sur plusieurs droits de ses Fermes & sur tous en général…Muguet,1681; 192pp. (dont titre avec armes royales ). Plusieurs culs-de-lampe ornent les 3 textes. Les 2 premiers sont imprimés en plus petites caractères que le 3ème.
Ces textes reliés en un volume, plein veau granité de l'époque, dos à nerfs orné de fleurons et petits fers dorés, tranches mouchetés de rouge. Manque la 1ère garde blanche. Ex-libris manuscrit ancien au titre du 1er texte. Quelques petites rousseurs, Bon exemplaire.(Reu-Bur)