279 books for « les nouvelles femmes »Edit

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‎Collectif‎

Reference : R110558429

(1986)

‎Christus n° 129 - Parole de femme par Catherine Leroudier, Cinéma féminin par Bernadette Lorenzo, Nouvelles consciences ? Nouvelles femmes ?, Un manque précieux par Marie Balmary, Masculin féminin chez Saint Paul par Jean Marie Martin‎

‎Christus. Janvier 1986. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 126.. . . . Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations‎


‎ Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎DASNOY (Jacques).‎

Reference : 107387

(2002)

‎Les « Nouvelles Femmes » en Allemagne pendant la République de Weimar, 1919-1933.‎

‎ S.l., s.n. (chez l'auteur), 2002, in-4°, 120 pp, qqs photos, biblio, broché, dos à spirale, qqs rares annotations stylo, bon état‎


‎Mémoire de Maîtrise d'Histoire Contemporaine réalisé sous la direction de Didier Musiedlak (Université Paris X - Nanterre). ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR30.00 (€30.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO20128489

(1979)

ISBN : 2863740016

‎LES NOUVELLES FEMMES‎

‎MAZARINE. 1979. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 241 pages. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎HENRI GAULT, CHRISTIAN MAILLAU‎

Reference : R260160157

(1980)

‎GAULT MILLAU. LE NOUVEAU GUIDE CONNAISSANCE DES VOYAGES N°55, DECEMBRE 1980. SUD-OUEST. COMPOSEZ VOS MENUS DE REVEILLON AVEC DES CHEFS BORDELAIS/ ATTENTION LES HOMMES, VOICI LES NOUVELLES FEMMES A TABLE/ FOIE GRAS / CAVIAR / VACANCES AU SOLEIL...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1980. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 156 pages. Premier plat illustré en couleurs. Nombreuses photos et illustrations en couleurs et noir et blanc, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 641.013-Gastronomie‎


‎ Classification Dewey : 641.013-Gastronomie‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : ROD0115586

(1939)

‎LE PETIT ECHO DE LA MODE N°11 / 12 MARS 1939 - Tailleurs, manteaux et ensembles de Printemps / Peuplier de Fauga / Tissus en vogue, formes nouvelles / Femmes aux Etats-Unis / Chapeau de printemps / Jeunes filles en costumes tailleurs / 2 salles-à-manger..‎

‎BRUXELLES. 1939. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos frotté, Rousseurs. 24 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans texte. Manque les pages 9-10 et 15-16.. . . . Classification Dewey : 391-Mode‎


‎LE GRAND HEBDOMADAIRE FEMININ. Classification Dewey : 391-Mode‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎MARCEL PREVOST‎

Reference : RO30007185

‎LETTRES DE FEMMES, NOUVELLES LETTRES DE FEMMES, DERNIERES LETTRES DE FEMMES‎

‎Fayard. début 20eme. In-8. Relié. Etat d'usage, Tâchée, Dos frotté, Intérieur bon état. Compilation de 3 oeuvres sous couverture de remplacement, frottée; lettres de femmes: 121 pages avec illustrations en noir et blanc d'après les aquarelles de Macchiati et Scoppetta; nouvelles lettres de femmes: 126 pages avec illustrations d'après les aquarelles en noir et blanc de G. Cazenove, dont frontispice; dernières lettres de femmes: 122 pages avec illustrations d'après les aquarelles en noir et blanc par L. Fauret.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Victor Cousin‎

Reference : 400023296

(1853)

‎Madame de longueville nouvelles études sur les femmes illustres‎

‎ 1853 1853. Victor Cousin: Madame de Longueville nouvelles études sur les femmes illustres/ Didier Libraire-Editeur 1853 . Victor Cousin: Madame de Longueville nouvelles études sur les femmes illustres/ Didier Libraire-Editeur 1853‎


‎Bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR15.00 (€15.00 )

Reference : 400024285

(2000)

‎bolivariennes voix de femmes nouvelles Editions La Passe du vent‎

‎ 2000 2000. Bolivariennes voix de femmes nouvelles/ Editions La Passe du Vent 2000 . Bolivariennes voix de femmes nouvelles/ Editions La Passe du Vent 2000‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR4.00 (€4.00 )

‎Collectif‎

Reference : R320124101

(1974)

‎Flammes et fumées n°72 1974 - Promotion gitanes et course automobile - nouvelles du seita - nouvelles de l'astta - cahiers centenaire de l'impressionnisme - 36 femmes 36 métiers - marchands d'allumettes et autres petits métiers etc.‎

‎Imprimerie des Tournelles Paris. 1974. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 61 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Promotion gitanes et course automobile - nouvelles du seita - nouvelles de l'astta - cahiers centenaire de l'impressionnisme - 36 femmes 36 métiers - marchands d'allumettes et autres petits métiers - le jardin des racines khmères - nouvelles du personnel - 9e salon du seita. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110423770

(1912)

‎Femina n° 270 - A Printemps nouveau, ombrelles nouvelles, Portraits de femmes aux salons, L'art féminin aux salons, Lettres a Françoise Maman par Marcel Prévost, Comment les femmes doivent elles saluer le drapeau ?, Ce que m'a dit l'empereur d'Allemagne‎

‎Pierre Lafitte. 15 avril 1912. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 209 à 239. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : A Printemps nouveau, ombrelles nouvelles, Portraits de femmes aux salons, L'art féminin aux salons, Lettres a Françoise Maman par Marcel Prévost, Comment les femmes doivent elles saluer le drapeau ?, Ce que m'a dit l'empereur d'Allemagne par Mlle Jeanne Provost Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎RECUEIL DE TEXTES ET PIÈCES 1793 - 1801.‎

Reference : 8093

‎ Le Mérite des Femmes - Le Démérite des Femmes - Le Mérite des Hommes - Couplets sur l’Agriculture - Chanson de la réunion des districts de Montmorillon et de Civrai - Hymne à l’Eternel Présenté à la société révolutionnaire de Rochefort - Poésies de P.C. Rodolphe, jeune dessinatrice...- Herbier moral ou Recueil de Fables nouvelles et autres poésies fugitives - Oeuvres Diverses. ‎

‎ LEGOUVÉ, G. le Mérite des Femmes, poème. Seconde édition. Paris, de l’Imprimerie de P. Didot l’Ainé, An IX; 92pp.,( y compris faux-titre et titre). Frontispice gravé par Duplessis-Bertaux d’après Isabey. / Suivi de: PELLETIER-SAINT-JULIEN , F. L. Le Démérite des Femmes. Paris, de l’ Imprimerie de Guilleminet, Chez Debray, An IX; 52pp. ( y compris faux-titre et titre). / Suivi: GAETAN, Angélique –Rose. Le Mérite des Hommes. A Paris de l’ Imprimerie de Crapelet, chez Maradan, An IX; 63pp. ( y compris faux-titre et titre). Par A.P. F. Ménégault. / Suivi de: BRIQUET, H. A. : Couplets sur l’ Agriculture. Air du Vaudeville des Visitandines; pièce sans date ( c. 1795), de 3pp. / Suivi du même de: Chanson de la réunion des districts de Montmorillon et de Civrai . Air de la Carmagnole. De l’ imprimerie de Chevrier, ( 1793), 3pp. sur papier bleuté. Fête ayant eu lieu à Potiers le 7 septembre 1793. / Suivi du même de: Hymne à l’Eternel Présenté à la société révolutionnaire de Rochefort, pour être chantée le 20 prairial, an deuxième de la République. Air. Allons Enfants de la Patrie. Rochefort, chez Jousserant, ( 1794); pièce de 4pp. / Suivi de: RODOLPHE, P. C. Poésies de P.C. Rodolphe, jeune dessinatrice, recueillies par un homme de Lettres. A Paris, chez Logerot Imprimeur, An VIII; (4), 44pp. / Suivi de GENLIS, Madame de . Herbier moral ou Recueil de Fables nouvelles et autres poésies fugitives. Paris, chez Moutardier, sans date , (1799);(4), 199pp. Frontispice gravé non signé. / Suivi de FUMELH, Madame de. Oeuvres Diverses. A Genève et se trouve à Lyon, chez Faucheux, 1790; 162, (1)pp. ‎


‎ Ensemble de neuf textes et pièces reliés en 1 volume in-12°, pleine basane marbrée de l’époque, double filet doré et filet pointillé encadrant les plats, dos lisse orné de fleurons et petits fers dorés , deux titres dorés sur deux étiquettes brune et rouge, tranches rouges Petite fente à la charnière supérieure en tête, sur 2 cm, tache rousse à une page d’une chanson, papier un peu jauni à certains feuillets du dernier texte, sinon rares piqûres. Ex-libris étiquette "M. Augé, capitaine en retraite... à Nevers" à l' intérieur du 1er plat, et au faux-titre cachet XIXème d'un libraire et cabinet de lecture de Niort " Chartes, Livres , Manuscrits Cabinet Apollin Briquet (Niort)" Bon exemplaire bien relié de ce recueil renfermant plusieurs pièces rares. ( Reu-CH1) ‎

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Phone number : 33 (0)2 54 49 05 62

EUR230.00 (€230.00 )

‎PREVOST Marcel‎

Reference : 9782845216213

‎Lot Marcel Prévost : (5Eur pièce ou 30Eur le lot) Mademoiselle Jauffre, Misette, Nouvelles féminités, La confession d'un amant, Nouvelles lettres de femmes‎

‎Lot Marcel Prévost : (5Eur pièce ou 30Eur le lot) Mademoiselle Jauffre (1905), Misette (1933, Éditions de France), Nouvelles féminités, La confession d'un amant (1903), Nouvelles lettres de femmes (1910) | Etat : bon état (Ref.: ref90276)‎


‎Alphonse Lemerre, Editions de France‎

Les Kiosques - Toulon

Phone number : 04 94 913 130

EUR30.00 (€30.00 )

‎Molly Brown - Dominique Warfa - Barrington J. Bayley‎

Reference : 35814

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR8.00 (€8.00 )

‎[Albert Guillaume] - ‎ ‎PREVOST (Marcel)‎

Reference : AUB-1241

(1910)

‎Nouvelles lettres de femmes. Collection des romans illustrés. Dessins d'Albert Guillaume.‎

‎Paris, éditions Alphonse Lemerre 1910. Exemplaire broché, couverture ornée d'éditeur, dos usagé, in-8, 282 pages sur beau papier cartonné teinté avec dessins et table.‎


CHF38.00 (€38.89 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110317170

(1918)

‎L'IMAGE DE LA GUERRE N° 170 - Les femmes au travail, En avant ! les alpins, En reconnaissance, Causerie financière, En embuscade, Le pigeon-voyageur, En Orient, L'anniversaire de Paul Verlaine, Les nouvelles automobiles de la préfecture de police‎

‎BUREAU DE LA REVUE. FEVRIER 1918. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : Les femmes au travail, En avant ! les alpins, En reconnaissance, Causerie financière, En embuscade, Le pigeon-voyageur, En Orient, L'anniversaire de Paul Verlaine, Les nouvelles automobiles de la préfecture de police, Le travail des femmes dans les usines anglaises Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Carrefour - Revue de Réflexion interdisciplinaire sous la direction de Donald Beecher‎

Reference : 62591

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR12.00 (€12.00 )

‎RESTIF ou RETIF de la BRETONNE (Nicolas-Edmé).‎

Reference : 24942

(1781)

‎Les Contemporaines ou Aventures des plus jolies femmes de l'âge présent - Choix des plus caractéristiques de ces Nouvelles pour l'étude des moeurs à la fin du XVIIIème siècle.‎

‎ Paris, Alphonse Lemerre / Nouvelle Collection Jannet, 1875. 2 vol. au format pt in-12 (167 x 114 mm) de xl - 263 pp. ; xxxvi - 276 pp. et 2 ff. n.fol. Reliures uniformes d'édition de plein cartonnage marine, titre doré sur chacun des premiers plats, dos lisses, titre doré. ‎


‎ Ensemble ne comportant que deux (sur trois) volumes ; le dernier étant ici absent. Restif ''prétend peindre le portrait des jolies femmes de son temps. Mais ce sont surtout les intrigues, les aventures, les rencontres qui l'intéressent, davantage que le caractère. Rapportant ici différentes aventures dont les héroïnes sont des jeunes femmes séduites, et le plus souvent abandonnées, des orphelines sorties de la misère par quelque noble ou riche bourgeois, des jeunes filles vertueuses soumises aux plus terribles coups du sort, des femmes du monde ou des bourgeoises dont le mariage favorise les goûts pour le vice ou la vertu, suivant les intrigues. A travers ces aventures, lesquelles se situent à tous les niveaux de la société, se dégage finalement la véritable image que Restif se fait de la femme : faible mais pleine de ruse, attirante mais toujours dangereuse''. (in Pia). ''Les Contemporaines ainsi que L'Ami des Dames, ne sont que des répertoires d'anecdotes scandaleuses où le cynisme semble le disputer au mauvais goüt. A des noms obscurs et méprisables, Restif a eu l'impudence de joindre ceux de plusieurs femmes que des erreurs de jeunesse n'empêchaient pas d'être estimables, et dont quelques-unes moururent de chagrin d'avoir vu révéler des fautes qu'elles croyaient cachées. Cependant, on doit convenir que Restif avait un but utile, et qu'en peignant les désordres qui sont la suite de mauvaises moeurs, il se proposait de les corriger''. (in Quérard). Pia, Dictionnaire des oeuvres érotiques, p. 112. Angles légèrement élimés. Reliure du second volume solarisée. Quelques claires rousseurs dans le texte. Du reste, bonne condition. ‎

Babel Librairie - Périgueux
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Phone number : 06.84.15.59.05

EUR35.00 (€35.00 )

‎Sherfey (Mary Jane), sur - Catherine Kestemberg (traduction) - Marcel Heiman, Judith S. Kestenberg, Therese Benedek et Sylvan Keiser - Daniel S. Jaffe - Jules Glenn et Eugene H. Kaplan - Burness E. Moore - Marjorie C. Barnett - Douglas W. Orr‎

Reference : 86674

(1976)

‎La sexualité féminine controversée - Commentaires sur le livre de Mary Jane Sherfey, Nature et évolution de la sexualité féminine , Traduit de l'anglais par Catherine Kestemberg (Le dehors et le dedans, le masculin et le féminin - L'envie masculine pour la fonction procréatrice de la femme - Différents types d'orgasmes chez les femmes, réexamen et redéfinitions critiques - Sexualité féminine, introduction - Réflexions psychanalytiques sur les implications des récentes études physiologiques de l'orgasme de la femme - Nouvelles considérations sur les conséquences psychiques des différences anatomiques et physiologiques entre les sexes - Notes anthropologiques et historiques sur le rôle sexuel de la femme)‎

‎Presses Universitaires de France - P.U.F. , Le Fil Rouge Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1976 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur crème grand In-8 1 vol. - 259 pages‎


‎ 1ere édition française de 1976 "Contents, Chapitres : Avertissement - Marcel Heiman, Judith S. Kestenberg, Therese Benedek et Sylvan Keiser : Table ronde - Judith S. Kestenberg : Le dehors et le dedans, le masculin et le féminin - Daniel S. Jaffe : L'envie masculine pour la fonction procréatrice de la femme - Jules Glenn et Eugene H. Kaplan : Différents types d'orgasmes chez les femmes, réexamen et redéfinitions critiques - Marcel Heinan : Sexualité féminine, introduction - Burness E. Moore : Réflexions psychanalytiques sur les implications des récentes études physiologiques de l'orgasme de la femme - Marjorie C. Barnett : Nouvelles considérations sur les conséquences psychiques des différences anatomiques et physiologiques entre les sexes - Douglas W. Orr : Notes anthropologiques et historiques sur le rôle sexuel de la femme - Mary Jane Sherfey (19181983) was an American psychiatrist and writer on female sexuality, she received her medical degree from Indiana University, where she attended lectures on marriage and sexuality given by Alfred Kinsey. Sherfey had a private practice in New York City and was on the staff of the Payne Whitney Clinic of the New York Hospital Cornell Medical Center. In 1961, Sherfey's interest in female biology was intensified when she came upon the inductor theory, which demonstrated that the human embryo is female until hormonally induced to become male. Determined to popularize a fact that had lain in neglect since its discovery in the 1950s, Sherfey began researching the subject and familiarizing herself with a variety of disciplines, including embryology, anatomy, primatology and anthropology. Many of her findings appear in The Nature and Evolution of Female Sexuality, which initially took form as an article contesting the existence of vaginal orgasm, published in the Journal of the American Psychoanalytic Association in 1966. In her earlier works, Sherfey noted that ""the strength of the sex drive determines the force required to suppress it."" In The Nature and Evolution of Female Sexuality, she introduced the concept that ""female sexuality was an insatiable drive that had been repressed for the sake of maintaining a civilized agrarian society"" and helped to explain why knowledge of the clitoris had been ignored or forbidden for over three hundred years. (Wikipedia)" légère trainée discrète dans la longueur et quelques rousseurs sur le plat supérieur de la couverture, sinon bon exemplaire, intérieur frais et propre‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR10.00 (€10.00 )

‎Deforges Régine‎

Reference : 400096087

(1996)

‎Troubles de Femmes Nouvelles érotiques pocket‎

‎ 1996 1996. Régine Deforges - Troubles de Femmes : Nouvelles Érotiques / Pocket 1996‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR2.50 (€2.50 )

‎COLLECTIF, de smedt marc, medaisko claire, bondet‎

Reference : RO40042989

(1992)

‎Nouvelles cles N°23, mai juin 1992- la femme avenir de l'homme, musulmanes le temoignage de fatima mernissi, virginite et spiritualite, repression de la femme et apparitions de la vierge, histoire de la mise au monde, ces femmes qui savent apprivoise...‎

‎NOUVELLES CLES / N.M.P.P.. 1992. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Agrafes rouillées, Intérieur frais. 94 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc, parfois relevées de touche de couleur, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎SOMMAIRE : la femme avenir de l'homme, musulmanes le temoignage de fatima mernissi, virginite et spiritualite, repression de la femme et apparitions de la vierge, histoire de la mise au monde, ces femmes qui savent apprivoiser la mort, la chastete, seuls ensemble, la dictature de l'image, l'impossible liberte, la femme solaire, des venus callypiges aux vierges noires, la fecondite interieure, jacqueline kelen, marie madeleine davy, paule salomon, annick de souzenelle, (h)eros y es tu?, .... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Collectif‎

Reference : R110645854

(1931)

‎Eve n° 554 - Wera Engels, dans L'Anglais tel qu'on le parle, La naissance, le baptême, Les nouvelles vedettes du film parlant - Henry Garat par René Study, Maillot de bain au tricot, Femmes lapones par Hélène Lavaysse, Les robes qui font jeune, Le cri‎

‎Bureau du journal. 16 mai 1931. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Wera Engels, dans L'Anglais tel qu'on le parle, La naissance, le baptême, Les nouvelles vedettes du film parlant - Henry Garat par René Study, Maillot de bain au tricot, Femmes lapones par Hélène Lavaysse, Les robes qui font jeune, Le cri dans la tempête par Andrée Sikorska Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Vanity Fair‎

Reference : RO30344452

(2019)

‎Vanity Fair n°66 mars 2019 : 10 femmes françaises : rencontres avec les nouvelles actrices qui font bouger le cinéma, par Norinne Raja, Olivier Bouchara et Toma Clarac - Citizen K : Daniel Kretinsky rachète des journaux français, par Sophie des Déserts‎

‎OJD Press. 2019. In-4. Broché. Bon état, 1er plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 156 pages. Nombreuses illustrations en couleur et en noir et blanc, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : 10 femmes françaises : rencontres avec les nouvelles actrices qui font bouger le cinéma, par Norinne Raja, Olivier Bouchara et Toma Clarac - Citizen K : Daniel Kretinsky rachète des journaux français, par Sophie des Déserts - Full Metal Fourest : Caroline Fourest (cinéma), par Marie-France Etchegoin - etc Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086290

(1971)

‎PARIS MATCH N° 1158 - Ces femmes qui s'entrainent pour le défilé du 14 juillet, Vous ne verrez pas ces armes nouvelles de notre armée sur les Champs Elysées, Adieu Louis Armstrong par Paul Haedens, Surcouf rentre a Toulon, La plus vieille momie d'Egypte‎

‎PARIS MATCH. 17 juillet 1971. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire :Ces femmes qui s'entrainent pour le défilé du 14 juillet, Vous ne verrez pas ces armes nouvelles de notre armée sur les Champs Elysées, Adieu Louis Armstrong par Paul Haedens, Surcouf rentre a Toulon, La plus vieille momie d'Egypte, Jean Cau accuse : les propriétaires de chiens les tuent pour partir en vacances Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎LAMBERT, Marquise de.‎

Reference : 1094

(1732)

‎Réflexions nouvelles sur les femmes ; [suivi de] Lettres sur la véritable éducation.‎

‎ 1732 Couverture rigide Amsterdam, cher Pierre Humbert, 1732. In-12, reliure plein vélin d'époque, dos lisse avec titre manuscrit partiellement effacé, quelques marques marginales sur les plats. Feuillet de titre, feuillet d'avertissement du libraire, 3 feuillets de préface de l'édition de Londres, feuillet de la lettre de la Marquise de Lambert à l'abbé de Choisy, 210 pages, 16 pages non chiffrées de catalogue du libraire, rousseurs éparses. La partie "Réflexions nouvelles sur les femmes" comprend 53 pages, suivie en pagination continue par les "lettres sur la véritable éducation". Les deux parties sont séparées par un feuillet de faux-titre (inclus dans la pagination). Ex-libris gravé contrecollé au 1er contre plat. Rare édition (postérieure à l'édition originale de 1727) qui comprend la lettre à l'Abbé de Choisy, publiée pour la première fois. La marquise de Lambert, femme de lettres et "salonnière" dévoile ici ses vues sur la condition féminine et sur l'éducation, sur un ton direct et franc, en réaction au contexte "frivole" et "débauché" de certaines cours de l'époque. Rare édition, bon exemplaire.‎


‎ Assez bon ‎

Librairie Girard-Talec - Fontenay sous Bois

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