61 books for « la france avec nous »Edit

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‎DORIOT (Jacques).-‎

Reference : 33369

‎La France avec nous !‎

‎ P., Flammarion, 1937, in 12 broché, 142 pages. ‎


‎ ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR25.00 (€25.00 )

‎DORIOT Jacques.‎

Reference : 7981

‎La France avec nous!‎

‎ Paris, Flammarion, 1937. In-12, broché, 139 pp. ‎


‎Rare. En parfait état. Photos sur demande.‎

Phone number : 09 50 67 82 02

EUR20.00 (€20.00 )

‎DORIOT (Jacques)‎

Reference : 8834

‎LA FRANCE AVEC NOUS !‎

‎ Paris, Flammarion, 1937. In-12, broché, 142 pages. Edition originale, mention fictive. Bel exemplaire. ‎


‎EDITION ORIGINALE ‎

Phone number : 06 79 60 18 56

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‎DORIOT JACQUES‎

Reference : RO20175138

(1937)

‎LA FRANCE AVEC NOUS !‎

‎FLAMMARION. 1937. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur frais. 142 pages.. . . . Classification Dewey : 944-Histoire de France varia‎


‎ Classification Dewey : 944-Histoire de France varia‎

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‎DORIOT JACQUES‎

Reference : RO30142399

(1937)

‎LA FRANCE AVEC NOUS‎

‎FLAMMARION. 1937. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos plié, Non coupé. 142 pages - taches brunes sur le 1er plat. . . . Classification Dewey : 944-Histoire de France varia‎


‎ Classification Dewey : 944-Histoire de France varia‎

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‎Collectif‎

Reference : R110629013

(1933)

‎Lu dans la presse universelle n° 113 - Feu la conférence de Londres, M. Goemboes a Rome, entretien avec Goemboes par Pierfranco Gaslini, du travail pour la prusse orientale, La propagande par la jeunesse, La situation politique en France, que nous réserve‎

‎Bureau du journal. 4 aout 1933. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Texte en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Feu la conférence de Londres, M. Goemboes a Rome, entretien avec Goemboes par Pierfranco Gaslini, du travail pour la prusse orientale, La propagande par la jeunesse, La situation politique en France, que nous réserve octobre?, U.R.S.S., le problème de la moisson, Détruisons les koulaks saboteurs Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : ROD0127003

(1963)

‎SCOUT-PIONNIER - SCOUT DE FRANCE N°4- FEVRIER 1963 - MILLE JEUNES ETAIENT ENGAGES AVEC NOUS DEVANT TOUTE LA VILLE - Jean-Jacques part en raid-Woodcraft pour la première fols P.2SAINT-GEORGES UTILE‎

‎SCOUT PIONNIER. 1963. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 29 pages augmentées de nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et/ou hors texte - agraffes rouillées.. . . . Classification Dewey : 369.4-Le scoutisme‎


‎SOMMAIRE : MILLE JEUNES ETAIENT ENGAGES AVEC NOUS DEVANT TOUTE LA VILLE - Jean-Jacques part en raid-Woodcraft pour la première fols P.2SAINT-GEORGES UTILE* 1 000 jeunes se sont engagés pour mener à bien tous ensemble un travail difficile et utile à leur pays.Un grand reportage sur la Saint-Georges Utile P.5Grand panorama de ce chantier.... P. 6La liste des Saint-Georges Utile deFrance P.10Ton cœur doit aimer tous les hommes. Par ou commencer ? P.8| jC.N.B.A.|6 idées pour le prix spécial « Présence du Christ » P.14P,Des prix spéciaux... et encore des prix spéciaux P.15/ILeur projet d'été les menait en montagne. D'un vieux recoin d'usine ils ont fait leur base de départ P.16*Art et technique au service de la base : Michel Kieffer vous révèle trois secrets de forgeron P. 18Un projet annuel : Sherpa-france.... P. 28Sam est dans le pétrin P. 27Record en février propose P. 27Comment camper loin des routes : la Pat. de la flamme porte tout sur son dos P.288 chants pour faire ton carnet P. 11 et 12, 21 et P.221 Classification Dewey : 369.4-Le scoutisme‎

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‎Collectif‎

Reference : R110536763

(1915)

‎Le Noël n° 1063 - Les soldats de France en pays reconquis, Des rapports des ames des défunts avec nous, Le docteur Nette (suite) par Pieradi, Le sang de la France, La versification et la poésie (fin)‎

‎Maison de la Bonne Presse. 4 novembre 1915. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 649 à 684. Quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎ Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R260105030

(1992)

‎LE NOUVEL OBSERVATEUR. UN GUIDE POUR L'ETE 23-29 JUILLET 1992. MUSEES DE FRANCE. PARTEZ AVEC NOUS A LA DECOUVERTE DES MUSEES DE FRANCE...‎

‎AU BUREAU DU JOURNAL. 1992. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Premier plat illustré en couleurs. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 708-Galeries, musées, collections d'art‎


‎ Classification Dewey : 708-Galeries, musées, collections d'art‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎Benjamin - Le Journal des Jeunes de France‎

Reference : 108477

(1940)

‎Benjamin N° 13 : Benjamins, vous ne serez pas toujours des benjamins (J.F. NICOLE) - Venez avec nous en Roumaine (H.P.) - Le train des équipages (Henry DORAC) - J'avais été voir Branly - Patatras sur les routes de France (MINOST et PINCHON) - ...‎

‎ 1940 N° 13 - 11e année - Nouvelle série - 7 avril 1940 - Revue hebdomadaire illustrée - In-4, broché - 16 pages - Couverture illustrée "Paysannes des Carpathes roumaines"‎


‎Bon état - Petite mouillure sur le quatrième plat ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR14.00 (€14.00 )

‎Anonyme‎

Reference : 40320

(1946)

‎Manuscrit : Journal de voyage anonyme d'une médecin de marine militaire [ Santé navale ], d'avril 1946 à novembre 1947 : Toulon, La Rochelle, Ferryville, Gozo, Port-Saïd, Djibouti, Abadan, Bombay, Goa, Singapour, Hong-Kong, etc... Avec de nombreuses détails piquants sur la vie dans la marine française au lendemain de la seconde guerre mondiale. Intéressant journal manuscrit évoquant fugacement la figure de Zinovi Peschkoff : 7 mai 1946 : "Impression de pagaille. Berge m'avait dit en passant par Bordeaux que Rochefort est trop demandé pour espérer l'avoir. D'après Aury, on pleure depuis un an pour avoir des médecins. Paponnet, complètement rond le jour où je vais le voir, se désintéresse de la question"... "Même impression à la Marine. Chipotages pour savoir qui a été le plus résistant, qui a sauvé La Rochelle. L'ambiance n'est pas au gaullisme. Cossé, Auger et les autres écoeurés : Paris les laisse tomber et ils ne pensent qu'à dégager pour partir à la colonie"... "Une note réconfortante : la position nette de l'Eglise pour le référendum...Malheureusement, ça semble avoir été limité au diocèse de La Rochelle. Grande Peur des biens pensants à l'occasion de ce vote. Les bourgeois en font dans leur culotte et se voient arrêtés pour le lendemain si le vote est oui. Ont-ils donc la conscience moins nette qu'ils veulent bien le dire ?". 4 juillet 1946 : "Je suis considéré comme légèrement aliéné de vouloir repartir en campagne après seulement trois mois de séjour en France" 29 juin : "Voyagé avec Le Calvé de Bandol à Toulon... Rencontré quelques copains. Toujours la même réflexion : "Quelle chance tu as ! Ah! si j'étais à ta place..." 4 juillet à Feryville : "Embarqué sur le Mékong ... Laïus rapide avec le Commandant (de Forton), jeune et semblant avoir de l'allant. Adopte le type homme d'affaires américain. C'est peut-être très bien, c'est peut-être une façade. Il faut attendre. Visite au secnd, L. V. Lesty, bon gros colosse assez philosophe qui casse pas mal de sucre sur le dos des médecins, en particulier de Briskine qui s'occupait du bateau jusqu'à mon arrivée. Je défends Briskine a prioi, sans savoir de quoi il s'agit, avec une telle mauvaise foi que Lesty ne peut s'empêcher d'en rire et on n'en parle plus". Les autres officiers : Tayne, Sirven (croix de lorraine", et I.M. Rossi, Lafon, sympathiques au 1er abord. 5 juillet : "le matin, visite officielle à Sidi Abdallah" (suit une liste de nom et de postes) "presque tous cherchant à dégager pour s'installer dans la région. Même conversation partout : prix du beurre, des petits pois et du pain, insuffisance des soldes...Si j'étais à votre place, etc... Bande de ronds de cuir !" .... 12 juillet : "Lu un article de Cortadellas retraçant l'histoire de la Mission Militaire de ChungKinq. Un peu optimiste mais bon pour la propagande". 21 juillet :"Vie végétative à Ferryville. Travail léger et irrégulier à l'hôpital. Je trapine péniblement les journées sans envie de lire ni de travailler. Vivement la fuite. Le 18, arrivée d Terrible. Je vais faire une bonne heure de blague avec Lemaire. Ecoeuré de la Marine, il a demandé à dégager. On lui a fait comprendre qu'à Diégo il aurait mieux fait de filer comme le Glorieux. C'est écoeurant." 22 juillet : "Embarqué la commission d'essais : 5 officiers et une quinzaine d'ouvriers. Rentré à Bizerte... Appareillage pour Bône". 1er août : "Arrivée à 800 en vue de Gozo. ... Ville pas bien belle et très démolie, certains quartiers entièrement rasés. .... Petites ruelles rappelant l'Espagne ... les vieilles fortifications ont assez grande allure" 3 août : "Toutes les dernières réparations faites à Ferryville sont à refaire : pompe d'épuisement, chambre froide, dégaussing. Paris nous a mis à la disposition des anglais, mais les anglais ne nous donnent aucune consigne, disant que nous ne dépendons pas d'eux pour la route. Nous devons seulement faire un ravitaillement Abdan-Singapour. Si le Pacha sait y faire, nous pouvons choisir l'itinéraire qui nous plaira". 9 août : "A 1200 rencontré une mine. Ecole à feu au mousquet et aux Hoerlicou. Mine coulée sans exploser à la deuxième passe". 11 août : "A 1600, cassé la barre à bras... une semaine de réparations à Port-Saïd". 12 août : "Arrivée à Port-Saïd. Envahissement inévitable de tous les commerçants qui sont à bord avant même que les manoeuvres de mouillage soient terminées". 13 août au Caire, chez l'attaché naval C.C. Challan de Sévin : "nous apprenons que Russes et Anglais sont prêts à se tabasser dans la région de Bassorah. On va peut-être arriver au bon moment". Puis à Ismaïlia, où ils rencontrent d'autres français : "Puis arrive un capitaine mauritien qui nous sort un ereintement en règle des Anglais. Comme il est en uniforme anglais, l'effet est assez curieux". 29 août 1946 : Arrivée à Djibouti ; 30 : "Pêche à la dynamite avec Sirven : 4 petits poissons et une belle suée à l'aviron". 11 septembre, arrivée à Abadan, puis le 3 octobre à Bombay : "Quelques troubles dans la ville indigène : échange de coups de poignard entre hindous et musulmans" 8 octobre: Retrouvons le Var sous l'Ile Grande à côté de Goa. ... Meynice est à Saïgon vec madame, à l'E.M. de d'Argenlieu ; 13 octobre : Le Consul, Jobez e sa femme déjeunent chez le commandant. Jobez était avec Lorrin sous-fifre de Coiffard à Tchungking en 1944. Constaté avec plaisir qu'il n'a pas changé d'avis. Ereintement de Pechkoff, ... et de la clique des Terres Rouges : De Langlade, Irribarne, Leonard, etc... 21 octobre : Arrivée à Singapour ... 23 novembre, 2e rotation : "La veille, on apprend de nouvelles insurrections à Haïphong et à Langson. Aucune précision."... 11 octobre 47 : Appareillage [ de Hong-Kong ] avec M Viaud, consul à Canton, Dr. Mosquin ralliant Pakhoï comme vice-consul et médecin de l'hôpital de la Mission catholique, un jeune grec de Canton qui va s'engager dans la Légion, deux ammanites provenant de l'entourage de Bao Daï".....‎

‎1 vol. in-4 reliure demi-basane raciné sous étui, répertoire médical offert par les Laboratoires Darrasse, 1944-1946, 30 pages manuscrites, le reste du répertoire est vierge. Rappel du titre complet : Manuscrit : Journal de voyage anonyme d'une médecin de marine militaire [ Santé navale ], d'avril 1946 à novembre 1947 : Toulon, La Rochelle, Ferryville, Gozo, Port-Saïd, Djibouti, Abadan, Bombay, Goa, Singapour, Hong-Kong, etc... Avec de nombreuses détails piquants sur la vie dans la marine française au lendemain de la seconde guerre mondiale. Intéressant journal manuscrit évoquant fugacement la figure de Zinovi Peschkoff : 7 mai 1946 : "Impression de pagaille. Berge m'avait dit en passant par Bordeaux que Rochefort est trop demandé pour espérer l'avoir. D'après Aury, on pleure depuis un an pour avoir des médecins. Paponnet, complètement rond le jour où je vais le voir, se désintéresse de la question"... "Même impression à la Marine. Chipotages pour savoir qui a été le plus résistant, qui a sauvé La Rochelle. L'ambiance n'est pas au gaullisme. Cossé, Auger et les autres écoeurés : Paris les laisse tomber et ils ne pensent qu'à dégager pour partir à la colonie"... "Une note réconfortante : la position nette de l'Eglise pour le référendum...Malheureusement, ça semble avoir été limité au diocèse de La Rochelle. Grande Peur des biens pensants à l'occasion de ce vote. Les bourgeois en font dans leur culotte et se voient arrêtés pour le lendemain si le vote est oui. Ont-ils donc la conscience moins nette qu'ils veulent bien le dire ?". 4 juillet 1946 : "Je suis considéré comme légèrement aliéné de vouloir repartir en campagne après seulement trois mois de séjour en France" 29 juin : "Voyagé avec Le Calvé de Bandol à Toulon... Rencontré quelques copains. Toujours la même réflexion : "Quelle chance tu as ! Ah! si j'étais à ta place..." 4 juillet à Feryville : "Embarqué sur le Mékong ... Laïus rapide avec le Commandant (de Forton), jeune et semblant avoir de l'allant. Adopte le type homme d'affaires américain. C'est peut-être très bien, c'est peut-être une façade. Il faut attendre. Visite au secnd, L. V. Lesty, bon gros colosse assez philosophe qui casse pas mal de sucre sur le dos des médecins, en particulier de Briskine qui s'occupait du bateau jusqu'à mon arrivée. Je défends Briskine a prioi, sans savoir de quoi il s'agit, avec une telle mauvaise foi que Lesty ne peut s'empêcher d'en rire et on n'en parle plus". Les autres officiers : Tayne, Sirven (croix de lorraine", et I.M. Rossi, Lafon, sympathiques au 1er abord. 5 juillet : "le matin, visite officielle à Sidi Abdallah" (suit une liste de nom et de postes) "presque tous cherchant à dégager pour s'installer dans la région. Même conversation partout : prix du beurre, des petits pois et du pain, insuffisance des soldes...Si j'étais à votre place, etc... Bande de ronds de cuir !" .... 12 juillet : "Lu un article de Cortadellas retraçant l'histoire de la Mission Militaire de ChungKinq. Un peu optimiste mais bon pour la propagande". 21 juillet :"Vie végétative à Ferryville. Travail léger et irrégulier à l'hôpital. Je trapine péniblement les journées sans envie de lire ni de travailler. Vivement la fuite. Le 18, arrivée d Terrible. Je vais faire une bonne heure de blague avec Lemaire. Ecoeuré de la Marine, il a demandé à dégager. On lui a fait comprendre qu'à Diégo il aurait mieux fait de filer comme le Glorieux. C'est écoeurant." 22 juillet : "Embarqué la commission d'essais : 5 officiers et une quinzaine d'ouvriers. Rentré à Bizerte... Appareillage pour Bône". 1er août : "Arrivée à 800 en vue de Gozo. ... Ville pas bien belle et très démolie, certains quartiers entièrement rasés. .... Petites ruelles rappelant l'Espagne ... les vieilles fortifications ont assez grande allure" 3 août : "Toutes les dernières réparations faites à Ferryville sont à refaire : pompe d'épuisement, chambre froide, dégaussing. Paris nous a mis à la disposition des anglais, mais les anglais ne nous donnent aucune consigne, disant que nous ne dépendons pas d'eux pour la route. Nous devons seulement faire un ravitaillement Abdan-Singapour. Si le Pacha sait y faire, nous pouvons choisir l'itinéraire qui nous plaira". 9 août : "A 1200 rencontré une mine. Ecole à feu au mousquet et aux Hoerlicou. Mine coulée sans exploser à la deuxième passe". 11 août : "A 1600, cassé la barre à bras... une semaine de réparations à Port-Saïd". 12 août : "Arrivée à Port-Saïd. Envahissement inévitable de tous les commerçants qui sont à bord avant même que les manoeuvres de mouillage soient terminées". 13 août au Caire, chez l'attaché naval C.C. Challan de Sévin : "nous apprenons que Russes et Anglais sont prêts à se tabasser dans la région de Bassorah. On va peut-être arriver au bon moment". Puis à Ismaïlia, où ils rencontrent d'autres français : "Puis arrive un capitaine mauritien qui nous sort un ereintement en règle des Anglais. Comme il est en uniforme anglais, l'effet est assez curieux". 29 août 1946 : Arrivée à Djibouti ; 30 : "Pêche à la dynamite avec Sirven : 4 petits poissons et une belle suée à l'aviron". 11 septembre, arrivée à Abadan, puis le 3 octobre à Bombay : "Quelques troubles dans la ville indigène : échange de coups de poignard entre hindous et musulmans" 8 octobre: Retrouvons le Var sous l'Ile Grande à côté de Goa. ... Meynice est à Saïgon vec madame, à l'E.M. de d'Argenlieu ; 13 octobre : Le Consul, Jobez e sa femme déjeunent chez le commandant. Jobez était avec Lorrin sous-fifre de Coiffard à Tchungking en 1944. Constaté avec plaisir qu'il n'a pas changé d'avis. Ereintement de Pechkoff, ... et de la clique des Terres Rouges : De Langlade, Irribarne, Leonard, etc... 21 octobre : Arrivée à Singapour ... 23 novembre, 2e rotation : "La veille, on apprend de nouvelles insurrections à Haïphong et à Langson. Aucune précision."... 11 octobre 47 : Appareillage [ de Hong-Kong ] avec M Viaud, consul à Canton, Dr. Mosquin ralliant Pakhoï comme vice-consul et médecin de l'hôpital de la Mission catholique, un jeune grec de Canton qui va s'engager dans la Légion, deux ammanites provenant de l'entourage de Bao Daï".....‎


‎Intéressant journal manuscrit de 30 pages évoquant notamment (très fugacement) la figure de Zinovi Peschkoff : 7 mai 1946 : "Impression de pagaille. Berge m'avait dit en passant par Bordeaux que Rochefort est trop demandé pour espérer l'avoir. D'après Aury, on pleure depuis un an pour avoir des médecins. Paponnet, complètement rond le jour où je vais le voir, se désintéresse de la question"... "Même impression à la Marine. Chipotages pour savoir qui a été le plus résistant, qui a sauvé La Rochelle. L'ambiance n'est pas au gaullisme. Cossé, Auger et les autres écoeurés : Paris les laisse tomber et ils ne pensent qu'à dégager pour partir à la colonie"... "Une note réconfortante : la position nette de l'Eglise pour le référendum...Malheureusement, ça semble avoir été limité au diocèse de La Rochelle. Grande Peur des biens pensants à l'occasion de ce vote. Les bourgeois en font dans leur culotte et se voient arrêtés pour le lendemain si le vote est oui. Ont-ils donc la conscience moins nette qu'ils veulent bien le dire ?". 4 juillet 1946 : "Je suis considéré comme légèrement aliéné de vouloir repartir en campagne après seulement trois mois de séjour en France" 29 juin : "Voyagé avec Le Calvé de Bandol à Toulon... Rencontré quelques copains. Toujours la même réflexion : "Quelle chance tu as ! Ah! si j'étais à ta place..." 4 juillet à Feryville : "Embarqué sur le Mékong ... Laïus rapide avec le Commandant (de Forton), jeune et semblant avoir de l'allant. Adopte le type homme d'affaires américain. C'est peut-être très bien, c'est peut-être une façade. Il faut attendre. Visite au secnd, L. V. Lesty, bon gros colosse assez philosophe qui casse pas mal de sucre sur le dos des médecins, en particulier de Briskine qui s'occupait du bateau jusqu'à mon arrivée. Je défends Briskine a prioi, sans savoir de quoi il s'agit, avec une telle mauvaise foi que Lesty ne peut s'empêcher d'en rire et on n'en parle plus". Les autres officiers : Tayne, Sirven (croix de lorraine", et I.M. Rossi, Lafon, sympathiques au 1er abord. 5 juillet : "le matin, visite officielle à Sidi Abdallah" (suit une liste de nom et de postes) "presque tous cherchant à dégager pour s'installer dans la région. Même conversation partout : prix du beurre, des petits pois et du pain, insuffisance des soldes...Si j'étais à votre place, etc... Bande de ronds de cuir !" .... 12 juillet : "Lu un article de Cortadellas retraçant l'histoire de la Mission Militaire de ChungKinq. Un peu optimiste mais bon pour la propagande". 21 juillet :"Vie végétative à Ferryville. Travail léger et irrégulier à l'hôpital. Je trapine péniblement les journées sans envie de lire ni de travailler. Vivement la fuite. Le 18, arrivée d Terrible. Je vais faire une bonne heure de blague avec Lemaire. Ecoeuré de la Marine, il a demandé à dégager. On lui a fait comprendre qu'à Diégo il aurait mieux fait de filer comme le Glorieux. C'est écoeurant." 22 juillet : "Embarqué la commission d'essais : 5 officiers et une quinzaine d'ouvriers. Rentré à Bizerte... Appareillage pour Bône". 1er août : "Arrivée à 800 en vue de Gozo. ... Ville pas bien belle et très démolie, certains quartiers entièrement rasés. .... Petites ruelles rappelant l'Espagne ... les vieilles fortifications ont assez grande allure" 3 août : "Toutes les dernières réparations faites à Ferryville sont à refaire : pompe d'épuisement, chambre froide, dégaussing. Paris nous a mis à la disposition des anglais, mais les anglais ne nous donnent aucune consigne, disant que nous ne dépendons pas d'eux pour la route. Nous devons seulement faire un ravitaillement Abdan-Singapour. Si le Pacha sait y faire, nous pouvons choisir l'itinéraire qui nous plaira". 9 août : "A 1200 rencontré une mine. Ecole à feu au mousquet et aux Hoerlicou. Mine coulée sans exploser à la deuxième passe". 11 août : "A 1600, cassé la barre à bras... une semaine de réparations à Port-Saïd". 12 août : "Arrivée à Port-Saïd. Envahissement inévitable de tous les commerçants qui sont à bord avant même que les manoeuvres de mouillage soient terminées". 13 août au Caire, chez l'attaché naval C.C. Challan de Sévin : "nous apprenons que Russes et Anglais sont prêts à se tabasser dans la région de Bassorah. On va peut-être arriver au bon moment". Puis à Ismaïlia, où ils rencontrent d'autres français : "Puis arrive un capitaine mauritien qui nous sort un ereintement en règle des Anglais. Comme il est en uniforme anglais, l'effet est assez curieux". 29 août 1946 : Arrivée à Djibouti ; 30 : "Pêche à la dynamite avec Sirven : 4 petits poissons et une belle suée à l'aviron". 11 septembre, arrivée à Abadan, puis le 3 octobre à Bombay : "Quelques troubles dans la ville indigène : échange de coups de poignard entre hindous et musulmans" 8 octobre: Retrouvons le Var sous l'Ile Grande à côté de Goa. ... Meynice est à Saïgon vec madame, à l'E.M. de d'Argenlieu ; 13 octobre : Le Consul, Jobez e sa femme déjeunent chez le commandant. Jobez était avec Lorrin sous-fifre de Coiffard à Tchungking en 1944. Constaté avec plaisir qu'il n'a pas changé d'avis. Ereintement de Pechkoff, ... et de la clique des Terres Rouges : De Langlade, Irribarne, Leonard, etc... 21 octobre : Arrivée à Singapour ... 23 novembre, 2e rotation : "La veille, on apprend de nouvelles insurrections à Haïphong et à Langson. Aucune précision."... 11 octobre 47 : Appareillage [ de Hong-Kong ] avec M Viaud, consul à Canton, Dr. Mosquin ralliant Pakhoï comme vice-consul et médecin de l'hôpital de la Mission catholique, un jeune grec de Canton qui va s'engager dans la Légion, deux annamites provenant de l'entourage de Bao Daï".....‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR350.00 (€350.00 )

‎LAIR Maire de Fréville‎

Reference : 45935

(1869)

‎Carnet manuscrit du voyage en Italie en l'année 1869 de M. Lair, maire de Fréville : "1869. Départ de Barentin le 1er février [ ... ] A Chambéry Statue d'Antoine Favre ancien premier président du Sénat de Savoie. En face palais de justice qui a été construit il y a 10 ans - sans style [ ... ] De l'hôtel des princes on aperçoit à gauche de très hautes montagnes couvertes de neige [ ... ] Le théâtre est neuf et très confortable. Le directeur y faisait répéter un drame. La fontaine des éléphants et du plus mauvais style [ ... ] L'ancien château des Ducs de Savoie, construit sous les romains, a été incendié il y a 50 ans environ, il sert de préfecture [ ... ] Quelques ouvriers se plaignent de l'annexion à cause disent-ils des impôts qu'ils paient mais la généralité des habitants est satisfaite. Une particularité à noter c'est que dans le château les ducs de Savoie y ont reçu tous les princes de l'Europe & que lors de ces réceptions les domestiquesau nombre de 2 ou 4 étaient montés sur des chevaux costumés du stylke de l'époque mais avec une cravate blanche & gilet noir [ ... il évoque le trajet en train :] Ma chère Angèle a éprouvé le mal de mer. Quant à moi je n'ai souffert un peu que lorsque nous nous sommes trouvés dans un tunnel construit en planches pour éviter les avalanches de neige. La fumée de la locomotive étant entrée dans notre wagon quoique tout fut fermé un commencement d'asphyxie s'est emparé de nous. Impossible de renouveler l'air, car ayant essayé d'ouvrir, un nuage de vapeur est entré et nous a fait regretter cette action (ce parcours est vraiment merveilleux). Nous sommes arrivés à Turin à minuit où nous sommes descendus à l'hôtel Grombetta [ ... suite la visite de Milan dont : ] Assisté à la représentation des Huguenots au théâtre de la Scala, le plus grand de l'Italie. Forte chanteuse très bonne. autres acteurs médiocres. ensemble orchestre & choeurs bons [ ... Passage à Venise : ] Descendus hôtel de l'Europe sur le Grand Canal. Cet hôtel est princier, on y parle bien le français. A la table d'hôtel français surtout quelques anglais & peu d'italiens. beau service & excellente nourriture (maître d'hôtel de Marseille) [ ... ] Après dîner loué une gondole à deux rameurs & 20 chanteurs gondoliers pour une heure. 10 choeurs au moins nous ont été chantés. harmonie ensemble et précision admirable voix superbes surtout les basses. les trois choeurs chantés sous le pont Rialto nous ont produit un effet saisissant. L'on peut dire de ces chanteurs qu'ils sont des artistes improvisés mais qui ont le sentiment du beau. [Passage à Bologne puis Florence : ] Descendus à l'hôtel Royal de l'Arno. De plus en plus princier [ ... Arrivée à Rome : ] Descendus à l'hôtel de Russie. Vu Mgr Bastide gracieuse réception vu M. l'abbé Clerc place Lancellotti 4 [ ... Dimanche 21 : ] Diné chez Mr Hébert directeur de l'Académie, en compagnie d'un peintre & de pensionnaires. 10 à table. Mme Hébert mère était souffrante et n'est pas descendue. Reste à la soirée. Belle société. Causé au prince de Solms [ ... Dimanche 28 Février : ] Assisté à l'audience de N St Père le Pape. Assez nombreuse réunions réception fort paternelle ma chère Angèle a demandé & obtenu du St Père la bénédiction de son anneau nuptial et une bénédiction particulière pour nous deux. Le pape après avoir parlé à tous ceux qui le désiraient a fait une courte allocution & a pris pour sujet (comme il le fait toujours) l'évangile du jour (le possédé du démon aujourd'hui) & a donné avec la plus grande onction et la plus grande bonté & conviction qu'il soit possible d'exprimer la bénédictionà tous ceux qui étaient là. il a aussi béni les croix, les chapelets qui lui étaient présentés. Notre St Père est plein de santé et de la plus grande affabilité ... Son allocution a été fait en français [ ... ] Rencontré le Pape dans une voiture attelée de 4 chevaux. Figure toujours bonne. Tout le monde se découvre beaucoup se mettent à genoux pour recevoir sa bénédiction. Trois dragons à cheval distancés de chacun 60 pas au moins annoncent le passage du St Père. 2 autres voitures de Cardinaux le suivaient. Escorte d'une douzaine de Dragons [ ... mardi 2 mars ] Vu l'abbé Clerc qui m'a remis le bref par lequel Notre Saint Père Pie IX a accordé sur ma demande un autel privilégié (Grand Autel) pour l'Eglise de Duclair à perpétuité. Le bref relatif à l'indulgence plénière pour Chapelet est (illisible) mais M. l'Abbé Clerc n'a pas pu encore l'obtenir il me l'enverra à Epinay [ ... Retour pittoresque en France, passage par le Mont-Cenis le 6 mars :] Trajet extraordinaire, incroyable, très dangereux. Quantité de neige comme on en avait pas vu depuis des années. Notre traineau s'est renversé en route, chevaux et mules tombés. Voiture accrochée par d'autres venant en sens inverse ... à un certain endroit nous nous sommes trouvés à 4 mètres au-dessus de la route et au bord d'un précipice. Couché à l'hôtel de la poste où le maître est très bourru - fort cher‎

‎1 carnet de notes format in-12, contenant dont 33 p. relatant un voyage en Italie dont nous proposons quelques extraits : Carnet manuscrit du voyage en Italie en l'année 1869 de M. Lair, maire de Fréville : "1869. Départ de Barentin le 1er février [ ... ] A Chambéry Statue d'Antoine Favre ancien premier président du Sénat de Savoie. En face palais de justice qui a été construit il y a 10 ans - sans style [ ... ] De l'hôtel des princes on aperçoit à gauche de très hautes montagnes couvertes de neige [ ... ] Le théâtre est neuf et très confortable. Le directeur y faisait répéter un drame. La fontaine des éléphants et du plus mauvais style [ ... ] L'ancien château des Ducs de Savoie, construit sous les romains, a été incendié il y a 50 ans environ, il sert de préfecture [ ... ] Quelques ouvriers se plaignent de l'annexion à cause disent-ils des impôts qu'ils paient mais la généralité des habitants est satisfaite. Une particularité à noter c'est que dans le château les ducs de Savoie y ont reçu tous les princes de l'Europe & que lors de ces réceptions les domestiquesau nombre de 2 ou 4 étaient montés sur des chevaux costumés du stylke de l'époque mais avec une cravate blanche & gilet noir [ ... il évoque le trajet en train :] Ma chère Angèle a éprouvé le mal de mer. Quant à moi je n'ai souffert un peu que lorsque nous nous sommes trouvés dans un tunnel construit en planches pour éviter les avalanches de neige. La fumée de la locomotive étant entrée dans notre wagon quoique tout fut fermé un commencement d'asphyxie s'est emparé de nous. Impossible de renouveler l'air, car ayant essayé d'ouvrir, un nuage de vapeur est entré et nous a fait regretter cette action (ce parcours est vraiment merveilleux). Nous sommes arrivés à Turin à minuit où nous sommes descendus à l'hôtel Grombetta [ ... suite la visite de Milan dont : ] Assisté à la représentation des Huguenots au théâtre de la Scala, le plus grand de l'Italie. Forte chanteuse très bonne. autres acteurs médiocres. ensemble orchestre & choeurs bons [ ... Passage à Venise : ] Descendus hôtel de l'Europe sur le Grand Canal. Cet hôtel est princier, on y parle bien le français. A la table d'hôtel français surtout quelques anglais & peu d'italiens. beau service & excellente nourriture (maître d'hôtel de Marseille) [ ... ] Après dîner loué une gondole à deux rameurs & 20 chanteurs gondoliers pour une heure. 10 choeurs au moins nous ont été chantés. harmonie ensemble et précision admirable voix superbes surtout les basses. les trois choeurs chantés sous le pont Rialto nous ont produit un effet saisissant. L'on peut dire de ces chanteurs qu'ils sont des artistes improvisés mais qui ont le sentiment du beau. [Passage à Bologne puis Florence : ] Descendus à l'hôtel Royal de l'Arno. De plus en plus princier [ ... Arrivée à Rome : ] Descendus à l'hôtel de Russie. Vu Mgr Bastide gracieuse réception vu M. l'abbé Clerc place Lancellotti 4 [ ... Dimanche 21 : ] Diné chez Mr Hébert directeur de l'Académie, en compagnie d'un peintre & de pensionnaires. 10 à table. Mme Hébert mère était souffrante et n'est pas descendue. Reste à la soirée. Belle société. Causé au prince de Solms [ ... Dimanche 28 Février : ] Assisté à l'audience de N St Père le Pape. Assez nombreuse réunions réception fort paternelle ma chère Angèle a demandé & obtenu du St Père la bénédiction de son anneau nuptial et une bénédiction particulière pour nous deux. Le pape après avoir parlé à tous ceux qui le désiraient a fait une courte allocution & a pris pour sujet (comme il le fait toujours) l'évangile du jour (le possédé du démon aujourd'hui) & a donné avec la plus grande onction et la plus grande bonté & conviction qu'il soit possible d'exprimer la bénédictionà tous ceux qui étaient là. il a aussi béni les croix, les chapelets qui lui étaient présentés. Notre St Père est plein de santé et de la plus grande affabilité ... Son allocution a été fait en français [ ... ] Rencontré le Pape dans une voiture attelée de 4 chevaux. Figure toujours bonne. Tout le monde se découvre beaucoup se mettent à genoux pour recevoir sa bénédiction. Trois dragons à cheval distancés de chacun 60 pas au moins annoncent le passage du St Père. 2 autres voitures de Cardinaux le suivaient. Escorte d'une douzaine de Dragons [ ... mardi 2 mars ] Vu l'abbé Clerc qui m'a remis le bref par lequel Notre Saint Père Pie IX a accordé sur ma demande un autel privilégié (Grand Autel) pour l'Eglise de Duclair à perpétuité. Le bref relatif à l'indulgence plénière pour Chapelet est (illisible) mais M. l'Abbé Clerc n'a pas pu encore l'obtenir il me l'enverra à Epinay [ ... Retour pittoresque en France, passage par le Mont-Cenis le 6 mars :] Trajet extraordinaire, incroyable, très dangereux. Quantité de neige comme on en avait pas vu depuis des années. Notre traineau s'est renversé en route, chevaux et mules tombés. Voiture accrochée par d'autres venant en sens inverse ... à un certain endroit nous nous sommes trouvés à 4 mètres au-dessus de la route et au bord d'un précipice. Couché à l'hôtel de la poste où le maître est très bourru - fort cher‎


‎On joint une reproduction d'un tableau de la baie du Mont Saint Michel avec ex-dono "A Monsieur Lair maire de Fréville", Avranches, 5 avril 1875, par Augusta Dumonteil. Le carnet est en état modeste (fort frotté avec nombreuses traces d'usure)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR340.00 (€340.00 )

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

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EUR750.00 (€750.00 )

‎BOURRELY, Marius‎

Reference : 63977

(1841)

‎[ 3 lettres autographes signées adressées à Melchior Barthès : ] 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎

‎3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎


‎3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.‎

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‎BERNOULLI - DE LA HIRE - BOULDUC - LE MARQUIS DE L HOPITAL - VARIGNON - PERE DE FONTENAY - CASSINI - HOMBERG - DU VERNAY - LITTRE - CARRE - MARCHANT - DODARD - DE TSCHIRNAUSEN - SAUVEUR;‎

Reference : 110030

‎Histoire de l'Académie Royale des Sciences, Année MDCCI (1701), Avec les Mémoires de Mathématique & de Physique, pour le même année. Tirés des Registres de cette Académie. Seconde Edition, revûe, corrigée & augmentée. Table pour les Mémoires : Nouveau Phosphore, par M. BERNOULLI - Observations sur l'eau de pluye qui est tombée à l'Observatoire Royal pendant tout l'année 1700 avec quelques Remarques sur le Thermomètre & le Barometre, par M. DE LA HIRE - Observations Analytiques de la Coloquinte, par M. BOULDUC - La Quadrature absolue d'une infinité de portions moyennes, tant de la Lunule d'Hippocrate de Chio, que d'une autre nouvelle espece, par M. LE MARQUIS DE L'HÔPITAL - Autre Regle generale des Forces Centrales, avec une maniere d'en déduire & d'en trouver une infinité d'autres à la fois, dépendemment & l'année derniere 1700, par M. DE LA HIRE - Remarques sur le Rafinage de l'Argent par M. HOMBERG - Remarques sur l'Eclipse de Lune arrivée le 22 février 1701 par M. DE LA HIRE - Observation d'Aldebaram caché par la Lune, à Marseille le 26 février 1701 au soir - Remarques sur une Comete observée à Pékin le mois de février de l'année 1699, par le PERE DE FONTENAY, de la Compagnie de Jesus - Comparaison des Observations de la Comete de 1699 faites à la Chine par R.P. Fontenay, rapportées à l'Académie par le R.P. Gouye le 12 mars 1701 avec celle qui furent faites à l'Observatoire Royal de Paris, par Mrs CASSINI & MARALDI - Description des quatre Etoiles proche du Cercle Polaire, avec lesquelles on commença de voir cette Comete à Paris - Observation de la conjonction de la Lune avec l'oeil de Taureau Aldebaram, le 19 août 1699, par M. CASSINI - Observations des Passages de la Lune & de l'oeil austral du Taureau par le Meridien, le 18 & 19 aoust 1699 - Observations d'Aldebaram joint à la Lune, faites à Marseille & à Bologne, rapportées à notre figure - Observation de l'Eclipse de Lune, du 22 février 1701 - Comparaison des Phases principales de l'Eclipse de Lune du 22 fevrier de cette année 1701, observées en diverses villes d'Europe, rapportées à l'Académie le 25 juin par M. CASSINI - Eclipsis Lunae, Anno 1701, die 22 & 27, februarii vespere & mane observata Berolini, à Godsido Kirchio - Lunae Eclipsis partialis Norimbergae observata, anno 1701 die 22 februarii à J.P. Wulzerbaur - Taches dans le Soleil observées le 29 mars 1701 par Mrs CASSINI & MERALDI à Montpellier, envoyé à M. l'Abbé Bignon et rapporté à l'Académie le 9 avril - Comparaison de diverses Observations de l'Eclipse du Soleil du 23 septembre 1699 faites en diverses villes d'Europe - Différences des Longitudes de plusieurs villes de France, tirées des des Observations des Eclipses du Soleil du 12 Juillet 1684 - Observation sur un Foetus humain monstrueux, par M. LITTRE - Observations sur quelques effets des Fermentations, par M. HOMBERG - Methodes generales pour trouver la différence en Déclinaison & Ascension droite de deux Astres qui sont peu éloignés l'un de l'autre, en se servant du Micrometre oridinaire par M. DE LA HIRE - Observations analytiques du Jalap, par M. BOULDUC - Observations sur les Ovaires & les Trompes d'une femme, & sur une Foetus trouvé dans l'un de ses Ovaires, par M. LITTRE - Observations sur les Analyses des Plantes, par M. HOMBERG - Construction & Usage d'un nouveau Réticule pour les observations des Eclipses du Soleil & de la Lune, & pour servir de Micrometre, par M. DE LA HIRE - Remarques sur la nature de la Gomme-gutte, & ses différentes Analyses, par M. BOULDUC - Lettre à M. Bernouilli Professeur à Groningue, touchant son nouveau Phosphor - Observations d'Anatomie & de Chirurgie sur plusieurs especes d'Hydropisie, par M. DU VERNEY le jeun - Methode pour la rectification des lignes courbes par les Tangentes, par M. CARRE' - Rectification de la Cicloïde, par M. CARRE' - Remarques sur la mesure & sur la pesanteur de l'Eau, par M. DE LA HIRE - De la Méridienne de l'Observatoire Royal prolongée jusqu'aux Pyrénées, par M. CASSINI - Observations Anatomiques sur les Ovaires de Vaches & de Brebis, par M. DU VERNEY le jeune - Observations sur les effets de l'Ypecacuana, par M. BOULDUC - Projet d'un systême touchant les passages de la Boisson & des Urines, par M. MORIN - Dissertation sur une plante nomée dans le Bresil, Yquetaya, laquelle sert de correctif au Séné, & sur la préférence que nous devons donner au Plantes de notre Pays, par-dessus les Plantes étrangeres, par M. MARCHANT - Observations sur une Comete, faites à Pau le 28 et le 31 d'Octobre, par P. Pallu de la Compagnie de Jesus, & rapportées à l'Académie par M. DE LA HIRE - Observations sur les Sels volatils des Plantes, par M. HOMBERG - Memoire sur la circulation du sang des Poissons qui ont des ouies, & sur leur respiration, par M. DU VERNEY l'aîné - Second memoire sur la fécondité des Plantes. Conjectures sur ce sujet par M. DODART - Construction d'un Nouvel Astrolabe universel, par M. DE LA HIRE - Des taches observées dans le Soleil au mois de Novembre de l'année 1700 au mois de May, à la fin d'Octobre, & au mois de Novembre de cette année 1701 par M. CASSINI le fils - Solution du Problême proposé aux Géometres dans les Mémoires de Trévoux, des mois de septembre & octobre 1701, par M. CARRE - Observations sur les Hernies, par M. MERY - Effay d'une Methode pour trouver les Rayons des Developpées, des Tangentes, des Quadratures, & les Rectifications de plusieurs Courbes, sans y supporter aucune grandeur infiniment petite, par M. DE TSCHIRNAUSEN - Observations sur le corps d'une femme grosse de huit mois de son premier enfant, morte subitement d'une chute, par M. LITTRE - Observation de l'Eclipse de l'Etoile Adebaram ou Oeil du Taureau par la Lune, à l'Observatoire le 13 septembre au matin 1701 par M. DE LA HIRE - Systême general des Intervalles des Sons, & son application à tous les Systêmes & à tous les Instruments de Musique, par M. SAUVEUR - I. Du Rapport des Sons, & des Intervalles. II.et III. Explication de la premiere partie des Tables du Systême general des Intervalles, & des Rapports des Sons. IV. Division et Usage de l'Echometre general. V. Application du Systême & de l'Echometre general à tous les Systêmes de Musique. VI. Application du Systême & de l'Echometre general aux Voix et aux Instrumens de Musique. VII. Applicatiobn du Systême general au Plainchant. VIII. Application du Systême general à la Musique. IX. Des Sons harmoniques. X. Application du Systême general à la Trompette marine, au Cor de Chasse, & aux grands Instumens à vent. XI. Des Intervalles réciproques des Sons d'un Systême & d'un Instrument de Musique. XII. Maniere de trouver le Son fixe. Addition à la Section VI. De la Correction Gregorienne des mois lunaires Ecclésiastiques par M. CASSINI.‎

‎ A Paris, chez Gabriel Martin, Jean-Bapt. Coignard & Hippolyte-Louis Guérin, ruë S. Jacques, Avec Approbation et Privilege du Roi, 1743, 1 volume in-4 de 260-195 mm environ, 1f.blanc viij-142-384 pages 1f.blanc, reliure plein veau marbré fauve d'époque, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés sur pièce de titre maroquin bordeaux, orné de caissons à fleurons et feuillages dorés, double filet doré sur les coupes, tranches rouges, gardes marbrées. Quelques feuilles brunies, frottements et petites craquelures sur le cuir, un mors fendu sur 4 cm, petites déchirures sans manque p. 308 et 382. Contient 14 planches dépliantes et de nombreuses figures dans le texte.‎


‎ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

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‎PALLADIO (Andrea), LE MUET (Pierre).‎

Reference : 93862

(1645)

‎Traicté des cinq ordres d'architecture, dont se sont servy les Anciens. Traduit du Palladio. Augmenté de nouvelles inventions pour l'art de bien bastir par le Sr Le Muet. [Suivi de] Traicté des galleries, entrées, salles, antichambres, et chambres. Avec la maniere de trouver la hauteur de chacunes pieces, proportionnees selon leur grandeur. Comme aussi leurs Ayres et superficies, Planchers et Plat-fonds. Des Portes, des Fenestres et Croisees ; et de leurs Ornemens. Des Cheminees, des Escaliers, et de leurs diuerses manieres. Ensemble des Combles, et de leurs couuerture. Le tout ainsi que nous pratiquons en France. ‎

‎Paris chez F. Langlois, dit Chartres 1645 1 vol. relié 2 parties reliées en un vol. in-8, plein parchemin ivoire, dos à nerfs, pièce de titre de basane fauve, tranches rouges, 114 pp. et p. 115-229. Première édition par Le Muet de sa libre traduction de Palladio, adaptée au goût français. L'ouvrage se décompose en deux traités, chacun avec leur page de titre et leur frontispice, mais avec une pagination continue (interrompue dans la seconde partie par une série de 15 planches, pourvue de leur propre numérotation). Le volume est illustré de 2 frontispices et 72 belles planches gravées, avec quelques figures dans le texte. Il manque deux planches de la seconde partie : la planche n° 5 (verso blanc) et la planche p. 228 (verso blanc). La deuxième page de titre est signée "Gr. Huret fecit", 3 des planches de la deuxième partie sont signées par Jean Marot à qui nous pouvons vraisemblablement attribuer les autres gravures de cette partie. Le graveur du texte et des planches de la première partie reste à identifier.Pierre Le Muet (1591-1669), ingénieur-architecte de Marie de Médicis, de Louis XIII et d'Anne d'Autriche qui a notamment dessiné l'église de Notre-Dame-des-Victoires et l'Hôtel Tubeuf à Paris, fut le premier à diffuser Palladio en France. Malgré une importante usure au dos et aux nerfs, très agréable reliure de l'époque en parchemin recyclé (avec d'ancienne traces d'écriture latine à l'encre noire). Mouillure claire aux trente derniers feuillets.‎


Vignes Online - Eymoutiers
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‎Collectif‎

Reference : R110501695

(2008)

‎Le choc du mois, nouvelle série n° 25 - Immigration : une chance pour qui ? Immigration ça suffit, La France a été faite par les Français, En clandestin avec les flics du neuf-trois, Entretien avec Yves Marie Laulan : l'immigration menace de nous ruiner‎

‎SACEMM. Septembre 2008. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 66 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique‎


‎Sommaire : Immigration : une chance pour qui ? Immigration ça suffit, La France a été faite par les Français, En clandestin avec les flics du neuf-trois, Entretien avec Yves Marie Laulan : l'immigration menace de nous ruiner, L'intégration c'est fini, Immigré in, prolo out, Une seule règle : toujours plus Classification Dewey : 320-Science politique‎

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‎Collectif - Mal P. Pétain‎

Reference : 48335

(1624)

‎Pétain - Service Central d'information des Antilles Françaises -La Semaine en France - La Semaine dans la Monde Numéros :1 - Les seigneurs de la Flotte (Marine) - Saint-Pierre et Miquelon - Sully, ministre - Sakhaline ou l'ile Noire2 - Vision d'enfer en crête - singapour, ville des lions - L'Europe peut-elle se suffire à elle-même?3 - Où en sont les artmes nouvelles, - Le torpillage du Prince of Wales - En zone occupée.6 - Le Maréchal (suite) - Nouevelles vérités sur les combattants - La suisse dans la tourmente - 24 heures à bord d'un navire de ligne.7 - Un rassemblement national, condition de la résurection française - Malte et la guerre - Le général Hiver - Lettres de France (Brest en Bretagne) - elégances feminimers.8 - Le Maréchal -A propos de lza "seule france" - La Guyane nous demande des bras - L'académie uax quatre vents 9 - Le passant de minuit - Le procès de Riom - Conséquences d'u désastre - craintes et ambitions japonaises - La France et les travailleurs français devant l'Europe - Un tunnel sous Gibraltar10 - Au service du Pays - Le procès (de riom) - L'études des problèmes humains - Avion torpilleur ou avion "torpille" - Préfiguration de l'offensive de printemps - Message aux préfets et aux gouverneurs - L'Irlande défend sa neutralité11 - Les "Gentlemen" 'Angleterre en guerre, critique) - La charte du travail - L'étonnante carrière de sir Stafford Cripps - La guerre s'étendra-t-elle à l'Alaska - Au travail pour la jeunesse - Daladier devant la cour suprème 12 - Le Maréchal - La révolution nationale et la littérature - La charte du travail - De Kémal Ataturk à Ismet Inonu - La manufacture de sèvres - Où est la vérité - La paradis birman, ses trésors et ses moeurs 13 - La charte du travil - L'australie devant la solidarité impériale - "On cessera d'être vaincu" - Les mineurs des glaciers - La route d'Assam 14 - Le Maréchal (Verdun) - L'angleterre et les indes - Les Responsables - Ce que seront les batailles aériennes de printemps -15 - Des paroles qui n'ont pas été entendues - La fin du "Barham" - Le pétrole du Caucase - Les positions des belligérants - Le chemin de fer de Mourmansk 16 - En marge du procès de riom - Les acteurs du drame hindou - Images de la nouvelle-guinée - LO'Amiral Darlan parle aux paysans - La faute des parents - Témoignage d'un combattant allemand17 - Le Maréchal - Lettre de Sisley Huddleston - De Singapour à Ceylan - La parole du chef - Laval, nouveau chef du gouvernement - Un communiste aroistocrate : Ivan Liachoutski, dit Maisky - Les Balkans et l'offensive de Printemps18 - Relisons Montesquieu - De l'autorité - Réactions britanniques - Discours de l'Amiral Robert, haut commissaire - sur le "Dunkerque"39 - L'oeuvre du Maréchal Pétain de 1919 à 1939 - Pour appliquer l'Hébertisme - Nous sommes les parachutistes - L'évolution de la situation internationale du 21 au 27 mai 1941 - chronique militaire - Lettres de france69 - "Bon noël, mes enfants et vive la France" Maréchal Pétain, noël 1940, avec un portrait - Les détectives de la Médecine - Les Etats-Unis et nous - La paix en 1942 - Le Japon et le pétrole (1 carte de la péninsule de Malacca sur double page HT)‎

‎ 1624 FORT-de-FRANCE - Revue / Bulletin Hebdomadaire - Plaquette format 16 x 24cm - Bulletin pétainiste d'information imprimé aux Antilles pendant la deuxième guerre mondiale -Couverture illustrée de la Francisque à partir du N°6 - Quelques mouillures sur quelques numéros, sinon l'ensemble en bon état N° 1, 1 Janvier 1942 au N° 18, 30 avril 1942 (sauf 4 & 5), puis 39, 28 Mai 1941 & 69, ,25 décembre 1941 - SOIT 18 Numéros - Réf. 48335‎


‎"Les défaillances, les trahisons, seront recherchées et sanctionnées" (Maréchal pétain)- - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

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‎Collectif‎

Reference : R110413738

(2014)

‎Télérama n° 3338 - Sur France Inter, le samedi, le scientifique Jean Claude Ameisen nous transporte sur les épaules de Darwin, François, un pape qui séduit au dela des chrétiens, L'humoriste Bruno Gaccio se lance en politique avec Nouvelle Donne, Hayao‎

‎Télérama. 1er janvier 2014. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 154 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.45-Télévision‎


‎Sommaire : Sur France Inter, le samedi, le scientifique Jean Claude Ameisen nous transporte sur les épaules de Darwin, François, un pape qui séduit au dela des chrétiens, L'humoriste Bruno Gaccio se lance en politique avec Nouvelle Donne, Hayao Miyazaki met un terme a sa carrière avec Le Vent se lève, et se relève critique envers le gouvernement japonais Classification Dewey : 791.45-Télévision‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110091525

(2012)

‎LA VIE DU RAIL N° 3358 - Ile de France - Alerte au signal d'alarme, Les boutiques de Saint Lazare ouvrent leurs portes, Justice - Le second procès de Paris-Munich, Signera,signera pas avec le Stif ?, Hubert du Mesnil : Nous ne pouvons détricoter du jour‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 11 AVRIL 2012. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 51 pages. Nombreuses illustrations en couleur dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Ile de France - Alerte au signal d'alarme, Les boutiques de Saint Lazare ouvrent leurs portes, Justice - Le second procès de Paris-Munich, Signera,signera pas avec le Stif ?, Hubert du Mesnil : Nous ne pouvons détricoter du jour au lendemain le réseau de l'Ile de France : il faut faire avec Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎DE LA BATUT, Pierre ; [ LECONTE, Georges ]‎

Reference : 44478

(1944)

‎La Fille aux Diables [ Tapuscrit enrichi de très nombreuses corrections autographes. On joint une Lettre signée adressée à l'auteur par Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... [ Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne" ‎

‎1 tapuscrit de 127 pp., avec très nombreuses corrections autographes de l'auteur, s.d. (circa 1944) On joint une Lettre signée de Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne" ‎


‎Rare exemplaire de ce tapuscrit abondamment corrigé par le romancier bergeracois Pierre de La Batut. "La Fille aux diables" romance l'épreuve des alsaciens de 1939-1940 réfugiés dans le Périgord. Il s'agit d'un des tous meilleurs romans de l'auteur , et l'on songe à ce courrier de Jean Paulhan adressé à l'auteur : "La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise". L'ouvrage fut publié chez Gallimard en 1944.‎

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EUR550.00 (€550.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110602774

(1986)

‎France catholique n° 2074 - Lumières sur la ville, et sur nous tous, entretien avec le cardinal Decourtray, Le père Joatton, proche du cardinal : on a même repeint l'archevêché par J.B. Echivard, Jean Paul II, comme un arbre aux racines profonde‎

‎Bureaux de la revue. 3 octobre 1986. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Lumières sur la ville, et sur nous tous, entretien avec le cardinal Decourtray, Le père Joatton, proche du cardinal : on a même repeint l'archevêché par J.B. Echivard, Jean Paul II, comme un arbre aux racines profonde, Un voyage chez nos amis les saints par Luc Baresta Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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‎Collectif‎

Reference : R110618154

(1983)

‎Le pêcheur de France n° 2 - Jean Pierre Comby et François Baudriller nous entrainent vers les petits ruisseaux et les rivières a truites, Une canne au coup de conception nouvelle, La rivière aux 10 000 méandres, découvrez la avec Michel Droulhiole‎

‎Bureaux de la revue. Mars 1983. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 70 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 799.1-Pêche‎


‎Sommaire : Jean Pierre Comby et François Baudriller nous entrainent vers les petits ruisseaux et les rivières a truites, Une canne au coup de conception nouvelle, La rivière aux 10 000 méandres, découvrez la avec Michel Droulhiole, En mars, des belles fritures sont possibles en étang, Roland Trumeau vous dit comment, Flotax vous entraine a la truite au porte bois Classification Dewey : 799.1-Pêche‎

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‎DROZ ; [ DROZ, Nicolas François Eugène ]‎

Reference : 63981

(1803)

‎[ Lettre autographe signée évoquant le général Michaud : ] 1 L.A.S. datée de Besançon, le 22 floréal an XI [ 12 mai 1803 ] "Monsieur, Lorsque je vous ai présenté une pétition pour admettre au Lycée Fortuné Michaud mon petit neveu, j'ignorais que le Général Michaud eut déjà obtenu du Ministre un arrêté en faveur de César Michaud son frère cadet et je n'aurais pas omis de vous en parler vu le petit nombre de places destinées au département du Doubs ; cependant, comme l'éducation du puiné presse plus que celle du cadet, s'il y avait quelque moyen de faire passer d'abord le plus agé, je vous prie de l'indiquer à M. Michaud qui aura l'honneur de vous présenter les deux fils et vous jugerez de ce qui convient le mieux, sauf à revenir à la suite pour le cadet lorsqu'il sera d'un age plus formé pour profiter de l'instruction du Lycée. Si le Père était en état de payer la pension de l'un, je lui dirais de le faire, mais les pertes qu'il a faites l'ont obligé de vendre la maison à Pontarlier et de se retirer à la campagne et s'il est possible de faire quelque chose d'extraordinaire cela ne tirera pas à conséquence, vu les services du Général Michaud et ceux du général Michaud [d'arcan ? ] qui n'a pas jouï longtemps de la place de Sénateur" [ Droz évoque sur une page le rétablissement de l'Académie, les remarques du Préfet à ce propos, il évoque M. LeFevre ] "Ayant été pendant 40 ans a portée de reconnaître l'utilité du premier établissement, je mourrai content dès que l'on aura repris le continuation du Recueil des Monumens de notre histoire, que j'avais proposé avant que M. Bertin s'en occupe pour la France entière et que j'avais bien avancé sous ses auspices" [... ] "j'espère que nous n'oterez point ce terme de féodalité de votre Dictionnaire quand il ne restera quand il ne restera qu'un tribut rendu au génie aux talens ou a la beauté. Je suis avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur".‎

‎1 L.A.S. de 4 pages, datée de Besançon, le 22 floréal an XI [ 12 mai 1803 ] "Monsieur, Lorsque je vous ai présenté une pétition pour admettre au Lycée Fortuné Michaud mon petit neveu, j'ignorais que le Général Michaud eut déjà obtenu du Ministre un arrêté en faveur de César Michaud son frère cadet et je n'aurais pas omis de vous en parler vu le petit nombre de places destinées au département du Doubs ; cependant, comme l'éducation du puiné presse plus que celle du cadet, s'il y avait quelque moyen de faire passer d'abord le plus agé, je vous prie de l'indiquer à M. Michaud qui aura l'honneur de vous présenter les deux fils et vous jugerez de ce qui convient le mieux, sauf à revenir à la suite pour le cadet lorsqu'il sera d'un age plus formé pour profiter de l'instruction du Lycée. Si le Père était en état de payer la pension de l'un, je lui dirais de le faire, mais les pertes qu'il a faites l'ont obligé de vendre la maison à Pontarlier et de se retirer à la campagne et s'il est possible de faire quelque chose d'extraordinaire cela ne tirera pas à conséquence, vu les services du Général Michaud et ceux du général Michaud [d'arcan ? ] qui n'a pas jouï longtemps de la place de Sénateur" [ Droz évoque sur une page le rétablissement de l'Académie, les remarques du Préfet à ce propos, il évoque M. LeFevre ] "Ayant été pendant 40 ans a portée de reconnaître l'utilité du premier établissement, je mourrai content dès que l'on aura repris le continuation du Recueil des Monumens de notre histoire, que j'avais proposé avant que M. Bertin s'en occupe pour la France entière et que j'avais bien avancé sous ses auspices" [... ] "j'espère que nous n'oterez point ce terme de féodalité de votre Dictionnaire quand il ne restera quand il ne restera qu'un tribut rendu au génie aux talens ou a la beauté. Je suis avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur".‎


‎Intéressant L.A.S. attribuable au juriste et érudit Nicolas Droz (né à Pontarlier en 1735, mort à Saint-Claude en 1805), dans laquelle il parle du Général Michaud, mais aussi du rétablissement prochain de l'Académie ("des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté"), qui sera effectif l'année suivante, en 1804. Nicolas Droz avait été nommé en 1771 secrétaire perpétuel de l'ancienne Académie, supprimée en 1793. Il était l'oncle du savant Joseph Droz.‎

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