1856 Paris, Michel Levy Freres, 1856.ou Paris, 1857. 1é-3e éd. In-18,reliure demi veau dos lisse passe,titre Edgar POE, sans la page de titre,dedicace imprimee a Marie CLEMM,poeme,pp. xxxi (1) 330 (1).
correspond a la collation de l’edition originale et à celle de Gallica,Le premier ouvrage de Poe traduit par Baudelaire, avec sa préface Sa vie, son oeuvre, premier maillon dans la conquête par Baudelaire de son double littéraire en prose, destiné à asseoir définitivement le nom de Charles Baudelaire aux côtés de Poe.
Paris, Denoël et Steele , 1931, in-8, broché, 1931 Exemplaire à grandes marges, non rogné. Quelques piqûres sur la garde blanche et la page de faux titre sinon très bon état.
Paris, Michel Levy Freres,1857. 3e éd. In-18,reliure demi veau dos lisse passe,titre Edgar POE, ,pp. xxxi (1) 330 (2).+ Michel Levy 1856,316p.,rousseurs et taches aux derniers feuillets,
Contient Edgar POE, sa vie et ses œuvres-Double assassinat dans la rue Morgue- La lettre volée- le scarabée d’or- Le canard au ballon- Aventures sans pareille d’un certain Hans Pfaall- Manuscrit trouvé dans une bouteille- Une descente dans le malstrom- la vérité sur le cas de M Valdemar- Révélation magnétique- Les souvenirs de M. Auguste Bedloe- Morella- Ligeia- Metzengerstein.
Plon, le roseau d'or - 8 1926, in8 broché ,244p. 1 des 5800 ex. sur alfa,
correct
Ed. Calmann Lévy. París, 1883. in12,broché,18 cm. 2 h., 371 p.
bon état.
Paris, Librairie des Bibliophiles Parisiens, 1917, in-8, Elégante demi-basane rouge. Pièces de titres. , 347 pages. Impression soignée sur vergé. Portrait de Charles Baudelaire présentant d'importantes rousseurs dans ses marges.
Biponti (Aux deux ponts) Dimanche matin 14 [août 1864], 13,4x20,6cm, 3 pages sur un feuillet remplié.
Lettre autographe signée, en partie inédite, rédigée à l'encre noire, adressée à sa mère et datée du «?dimanche matin 14?». Quelques soulignements, biffures et corrections de l'auteur. Ancienne collection Armand Godoy, n°188. Baudelaire crépusculaire?: «?L'état de dégoût où je suis me fait trouver toute chose encore plus mauvaise.?» Attiré par la promesse d'une glorieuse renommée, Baudelaire se rend en Belgique en avril 1864 pour quelques conférences et l'espoir d'une rencontre fructueuse avec les éditeurs des Misérables, Lacroix et Verboeckhoven. Ceux-ci ne se déplaceront pas, les conférences seront un échec et Baudelaire nourrira contre la «?Pauvre Belgique?» une rancur démesurée. Pourtant, malgré les multiples sollicitations de retour, le poète passera le reste de ses jours dans ce pays honni, menant une vie de bohème mélancolique. Hormis quelques courts séjours à Paris, Baudelaire ne rentrera en France que le 29 juin 1866 - terrassé par une attaque cérébrale qui le laisse hémiplégique - pour une dernière année d'agonie silencieuse en maison de santé. Rédigée seulement quelques mois après son arrivée à Bruxelles et ses premières déceptions, cette lettre laisse transparaître tous les principes de la mystérieuse haine passionnelle qui retiendra définitivement le poète en Belgique. Durant ses dernières années françaises, éreinté par le procès des Fleurs du Mal, humilié par le refus de sa candidature à l'Académie, orphelin littéraire après la faillite de Poulet-Malassis et auteur déshérité par la vente des droits de ses traductions à Michel Lévy, Baudelaire est surtout très affecté sentimentalement par la déchéance inéluctable de Jeanne Duval, son éternel amour, alors que s'est tarie sa passion pour la Présidente, dont la poétique perfection n'a pas résisté au prosaïsme de la possession physique. Aussi, le 24 avril 1864, décide-t-il de fuir ces «?amours décomposés?» dont il n'a su «?garder la forme et l'essence divine?». La Belgique, ce très jeune pays qui semble né d'une révolution romantique francophone contre le joug financier hollandais, s'offre fantasmatiquement aux yeux du poète comme le lieu d'une possible reconnaissance de sa propre modernité. Page vierge sur laquelle il voudrait imprimer la puissance de sa langue en affirmant son indépendance économique, le plat pays est un miroir sur lequel Baudelaire projette son puissant idéal mais qui lui renverra plus violemment encore le spleen de ses ultimes désillusions. Publiée dans la Revue de Paris de novembre 1917, amputée du délicat paragraphe sur ses lavements froids, cette lettre emblématique évoque tous les travaux poétiques, littéraires, artistiques et pamphlétaires de Baudelaire?: d'abord à travers la figure tutélaire et rassurante de l'éditeur des Fleurs du Mal, Poulet-Malassis?: «?Si je ne demeurais pas si loin de lui, je crois vraiment que je lui paierais une pension pour manger chez lui?»; puis par l'évocation concrète de la «?valeur vénale?» de ses Curiosités esthétiques?: «?tous ces articles que j'ai si douloureusement écrits sur la peinture et la poésie?». Baudelaire confie ensuite à sa mère les espoirs de publication de ses dernières traductions de Poe qui, à son grand dam, «?ne paraissent pas à L'Opinion, à la Vie Parisienne, au Monde illustré?». Il conclut enfin sur ses Lettres belges, dont Jules Hetzel lui fait annoncer qu'après négociation avec le Figaro, «?[s]es lettres sont acceptées avec joie?». Cependant, souligne littéralement Baudelaire, celles-ci sont «?à ne publier que quand je serai revenu en France?». Leitmotiv de sa correspondance belge, ce retour en France sans cesse imminent?: «?Décidément, je crois que j'irai à Paris jeudi?» et sans cesse repoussé («?je retarde mon voyage à Paris jusqu'à la fin du mois?», corrige-t-il, huit jours plus tard), semble exciter la férocité du poète contre ses nouveaux concitoyens auprès desquels il se plaît à répandre lui-même les pires rumeurs le concernant (espionnage, parricide, anthropophagie, pédérastie et autres activités licencieuses?: «?Exaspéré d'être toujours cru, j'ai répandu le bruit que j'avais tué mon père, et que je l'avais mangé [...] et on m'a cru?! Je nage dans le déshonneur comme un poisson dans l'eau.?» - Pauvre Belgique, in uvres complètes, II p.855) Cette tentative éminemment poétique d'explorer les profondeurs du désespoir, en s'abreuvant de haine, est peut-être plus lumineuse encore à travers le partage de ses déboires gustatifs, avec cette «?très chère mère?», unique figure nourricière qui, elle, lui offre «?plus qu['il] n'attendai[t]?». Mise en regard avec certaines des plus belles pages des Fleurs du Mal, cette attention excessive aux misères de son palais, révèlent bien plus qu'un exercice de critique gastronomique. Il n'est ainsi pas innocent que Baudelaire entame ses récriminations par un rejet exhaustif de toute nourriture à une notable exception?: «?Tout est mauvais excepté le vin.?» L'assertion n'est évidemment pas sans faire écho à la «?végétale ambroisie?», élixir consacré dans tant de poèmes et surtout compagnon d'abjection qui noie le crime sublime du poète?: «?Nul ne peut me comprendre. Un seul / Parmi ces ivrognes stupides / Songea-t-il dans ses nuits morbides / À faire du vin un linceul???» «?Le pain est mauvais?». Si le vin est l'âme incorruptible du poète, le pain, ici souligné par l'auteur, est sa chair innocente et meurtrie. «?Dans le pain et le vin destinés à sa bouche / Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats?», comme dans Bénédiction, c'est le poète-enfant qui partout «?dans l'hôtel, le restaurant, la taverne à l'anglaise?», souffre de l'impossible communion élémentaire et offre ainsi à sa mère le spectacle d'une misère plus symbolique encore. L'homme, cependant, est toujours présent et ses désirs charnels sont tapis sous la misère de sa condition?: «?La viande n'est pas mauvaise par elle-même. Elle devient mauvaise par la manière dont elle est cuite.?» Comment, derrière le prosaïsme de ce jugement culinaire, ne pas reconnaitre la plus constante des métaphores baudelairiennes, traversant l'uvre du poète - Une charogne, À celle qui est trop gaie, Une martyre, Femmes damnées... - le corps féminin transfiguré par la mort?? «?Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint.?» «?Les gens qui vivent chez eux vivent moins mal?», enchaîne-t-il, mais Baudelaire ne souhaite pas le confort, et ses plaintes ne sont que l'expression de la corrélation parfaite entre sa condition physique et cet ultime expérience poétique. Car la Belgique n'est, bien entendu, pas réellement en cause, mais ce n'est qu'à sa mère que Baudelaire peut en faire l'émouvant et rare aveu?: «?Je dois dire du reste que l'état de dégoût où je suis me fait trouver toute chose encore plus mauvaise.?» En effet, toute la violence qu'il déchaînera contre ces frères maudits n'est que l'écho d'une rancur plus ancienne qui, en 1863, rongeait son «?cur mis à nu?». Déjà, aux récriminations de sa mère découvrant les notes de son fils, Baudelaire répondait, le 5 juin?: «?Eh bien?! oui, ce livre tant rêvé sera un livre de rancunes. [...] Je tournerai contre la France entière mon réel talent d'impertinence. J'ai un besoin de vengeance comme un homme fatigué a besoin d'un bain.?» Les «?lavements froids avec laudanum?» de Belgique seront ce bain du poète fatigué qui trouvera ici l'occasion de combattre par une colère sublime, ce «?dégoût?» existentiel. Au détour d'un paragraphe - celui-là même qui fut amputé par la Revue Française - Baudelaire l'attribue, sans la nommer, à la syphilis?: «?Ce qu'il y a d'insupportable dans ces affections d'intestins et d'estomac, c'est la faiblesse physique et la tristesse d'esprit qui en résulte.?» L'inquiétude immédiate de Madame Aupick à la suite de ces confidences trop abruptes, incite Baudelaire à lui mentir désormais sur son réel état de santé, qui ne cessera pourtant de se dégrader. Ainsi dès la lettre suivante?: «?J'ai eu le plus grand tort de te parler de ma santé belge, puisque cela t'a tellement émue. [...] D'une manière générale, j'ai une excellente santé [...] Que je souffre de quelques petites infirmités [...] qu'importe?? C'est le lot commun. Quant à ce désagrément, je te répète que j'ai vu d'autres Français pris comme moi, et ne pouvant pas s'accoutumer à ce vilain climat. [...] D'ailleurs, j'ai peu de temps à rester.?» Superbe lettre autographe du fils à sa mère révélant, à demi-mot, les raisons poétiques de son ultime exil volontaire, miroir inversé du premier périple forcé de sa jeunesse à l'archipel des Mascareignes, les deux seuls voyages de l'écrivain. Si le jeune homme put, on ne sait comment, s'échapper de la lointaine île Bourbon, le vieux poète n'osera plus quitter la si proche Belgique et cette lettre mélancolique augure un crépuscule en Mer du Nord aussi sombre que fut lumineuse l'initiatique traversée des Mers du Sud. - Photos sur www.Edition-originale.com -
BAUDELAIRE, Charles. Texte établi et annoté par Y.-G. Le Dantec.
Reference : 82568
(1944)
Paris, NRF/ Bibliothèque de la Pléiade, 1944, in-12, pleine reliure éditeur, sans la jaquette, 665p. Bon état. Achevé d'imprimer le 25 août 1944.
Baudelaire Charles. Texte établi et présenté par Daniel Rops.
Reference : 57632
(1934)
Paris, Société les Belles Lettres, 1934, in-8, broché, 229 pages. Bon exemplaire.
Paris, Edouard Champion, 1927, grand in-8, broché sous couverture rempliée, 233p. Bon exemplaire numéroté, imprimé sur vélin pur fil Lafuma. Brochage solide. Dos frippé. Discret cachet de propriétaire sur le premier plat.
Paris, Jean de Bonnot, 1978, in-8, pleine reliure éditeur lie de vin, tranche de tête dorée, 147p. Illustrations de Félicien Rops. Bon état.
Paris, Jean de Bonnot, 1990, in-8, pleine reliure éditeur cuir, 266 pages. Compositions originales de Ingo Avolta. Etat de neuf. Tirage spécial. Exemplaire de tête. Parfait état.
Nadar, Paris 1862, Photographie : 5,1x8,5cm / Carton : 6,3x10,3cm, une photographie.
Rarissime photographie originale représentant Charles Baudelaire sur papier albuminé, tirage d'époque au format carte de visite, contrecollée sur un carton de l'atelier Nadar 35 boulevart (sic) des Capucines?: «?Portrait photographique à nous communiqué par Nadar. Fait le même jour que le précédent, mêmes dimensions avec même costume. Le gilet est toujours déboutonné, mais Baudelaire cache ses mains dans les poches de son pantalon. Vu de face, il paraît plus souffrant et plus triste qu'à la précédente épreuve.?» (Ourousof, 1896) «?Autre carte de visite du même jour que le n°4.1 précédent [...] un tirage d'époque albuminé se trouve dans les collections du Musée d'Orsay (Provenance?: collection Braive puis collection Marie-Thérèse et André Jammes, 1991, acquis par les Musées Nationaux avec le concours du fonds du Patrimoine [...] musée d'Orsay, fiche 39389)?» (S. Plantureux, Charles Baudelaire ou le Rêve d'un curieux). Ce cliché, réalisé en 1862, a été commercialisé entre 1862 et 1871, comme en témoigne l'adresse du photographe au dos du carton. Seules deux poses de Baudelaire semblent avoir été retenues lors de cette séance. «?S'il est permis à la photographie de suppléer l'art dans quelques-unes de ses fonctions, elle l'aura bientôt supplanté ou corrompu tout à fait, grâce à l'alliance naturelle qu'elle trouvera dans la sottise de la multitude?» écrivait Charles Baudelaire dans le Salon de 1859. On ne connaît que quinze portraits photographiques différents de Baudelaire, réalisés entre 1855 et 1866 (trois séances chez Nadar, trois chez Carjat et une chez Neyt), dont il ne subsiste pour certains qu'un seul exemplaire. Baudelaire et Nadar se rencontrèrent en 1843 et leur amitié perdura jusqu'à la mort du poète en 1867. Le photographe réalisa au total sept portraits de son ami entre 1855 et 1862. Les deux hommes, plein d'admiration l'un pour l'autre, se rendirent d'émouvants hommages dans leurs uvres respectives?: Baudelaire dédia «?Le rêve d'un curieux?» (in Les Fleurs du mal) au portraitiste qui lui consacra pour sa part, outre des caricatures et des portraits photographiques, un ouvrage sans fard intitulé Charles Baudelaire intime?: le poète vierge (1911). Rarissime et bel exemplaire de cette photographie peu connue de Baudelaire par le photographe français le plus important du XIXè siècle. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Club des Libraires de France, 1956, petit in-4 oblong, reliure toilée éditeur, rhodoïd, 230p. Bon état.
Paris, Calmann-Lévy, sd, circa 1907, in-12, demi-chagrin rouge de l'époque, dos long, décor à la colonnade, plats papier marbré, tranche de tête dorée, 471 pages. Légères épidermures au dos, petit manque en coiffe. Intérieur frais.
La Nouvelle Revue Francaise, N° 256, Janvier 1935.14x23cm, broché Edition originale. Contient Entre Autres : Mystères Galans Des Théâtres De Paris, Pages Inconnues De Baudelaire. Questions De Poésie, Par P. Valéry. Le Marchand De Cercueils, Par Pouchkine (trad. A. Gide Et J. Schiffrin). Curieuses Et Cuirassier, Par Audiberti. Les Carnets De Samuel Butler, Par V. Larbaud. Il Y A Quarante Ans ( Fin ), Par M. Saint-Clair
bon etat
Editions de la Nouvelle revue critique Paris, 1930, in-12 br., 247pp. Coll. Essais critiques. Très bon état. Articles sur Baudelaire, Mallarmé, Henri de Régnier, Pierre Quillard, Albert Mockel, A.-Ferdinand Hérold, Paul Valéry, quelques poètes jeunes. Index des noms cités in fine.
Paris, Michel Lévy Frères, 1857, 1 volume in-12 relié dei chagrin vert. xxxi, Edgar Poe sa vie et ses oeuvres, 287 pages, (1). Importante préface biographique et bibliographique d’Egdar Poe par Baudelaire
exemplaire tres defraichi,cachets bibliotheque militaire,fortes rousseurs,manques total du dos,dans l’ etat
Avec 5 eaux-fortes originales dont 2 de Manet. [BAUDELAIRE (Charles)] - ASSELINEAU (Charles).
Reference : 12837
(1869)
1869 P., Alphonse Lemerre, 1869, 1 vol. in-12 (182 x 115 mm), relié 1/2 basane marron époque, dos lisse, auteur, titre et série de 6 double-filets dorés, plats de papier marbré lie-de-vin, de (2) ff. (faux-titre et titre) - 109 pp. - (1) f. (table).Dos légèrement insolé, pâles rousseurs éparses.
Edition originale de la première biographie de Charles Baudelaire parue 2 ans après sa mort. Exemplaire sur papier fort.5 eaux-fortes originales représentant des portraits de Baudelaire : 1. gravé par Bracquemond daprès Emile Deroy (1844) en frontispice - 2. gravé par Bracquemond daprès un autoportrait de lauteur (1848) - 3. gravé par Bracquemond daprès Gustave Courbet (1848) - 4. Baudelaire de profil en chapeau peint et gravé par Manet (1862) - 5. Baudelaire de face peint et gravé par Manet (1865).Réf. biblio. : Vicaire, I-129 ; Clouzot, 9 : "Recherché surtout pour les 5 portraits de Baudelaire (). Assez souvent piqué et peu commun en reliure dépoque" ; Berès, Manet, dessins, aquarelles, eaux-fortes, lithographies1978, fiche 41 : Baudelaire de profil en chapeau - Eau-forte originale en 2e état, Manet ajoute son initiale M sur un petit rectangle hachuré - fiche 46 : Baudelaire de face III - Eau-forte, 4 états (?) : 1e tirage dans Asselineau en 1869.
Paris, Les éditions Denoël et Steele, 1931 ; in-8, broché ; 239 pp. , (2) ff. , couverture beige imprimée rouge et noir.
Mention fictive d'édition. Traces de papier collant sur les pages de gardes. Exemplaire en bon état.
Phone number : 06 60 22 21 35
Bureau de la revue. Janvier 1958. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 30 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : Charles Baudelaire, le plus grand des poètes maudits, Réflexions sur l'art poétique de Charles Baudelaire par Yves Gérard Le Dantec, A quoi bon la critique ? par Charles Baudelaire, Charles Baudelaire : essai de biographie, Oeuvres de Charles Baudelaire Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : alb045c129881745d1f
Charles Baudelaire. Baudelaire Charles. LArt romantique. Par Charles Baudelaire. Romantic art. In French (ask us if in doubt)./Charles Baudelaire. Bodler Sharl'. LArt romantique. Par Charles Baudelaire. Romanticheskoe iskusstvo. In French. Paris. Calmann-Levy editeurs. Kalmann-Levy 1891. 412 p. SKUalb045c129881745d1f.
Paris, Poulet-Malassis, 1862. In-8 de [2]-XII-[2]-350-[2]p. demi-percaline chocolat à la Bradel, dos lisse orné d'un fleuron doré, pièce de titre en maroquin prune, premier plat de couverture conservé, coins à peine frottés.
Édition originale du premier livre de Léon Cladel, et de l'importante préface de douze pages de Charles Baudelaire. Selon le témoignage de l'auteur, rapporté par sa fille Judith Cladel, Baudelaire aida à mettre en forme le roman, qui manquait de style et de syntaxe: “Huit mois durant, il daigna me pétrir de ses mains savantes et me rendre ductile et modéré, mois si dur de pâte et si violemment excessif... ” (Maître & Disciple, Paris, 1951, cité par G. Oberlé). L'éditeur: "Les Martyrs ridicules ont été entièrement remaniés et refaits sur les indications de Baudelaire. Je doute même que la collaboration n'ait pas été plus loin". (Poulet-Malassis; Bulletin du Bibliophile, avril 1923). De là à considérer ce texte comme le seul roman de Baudelaire il n'y a qu'un pas. On joint à l'exemplaire un poème manuscrit autographe de Léon Cladel dédicacé "A mon ami Alphonse Daudet" intitulé Palinodia, signé et daté du 5 janvier 1868. Il semble avoir été publié dans La Plume en 1892. Sans le faux-titre. Le tirage en a été limité à 500 exemplaires et un seul exemplaire sur Wathman, pour Baudelaire. Vicaire II, 402.
In-4 (284 x 200 mm), demi-maroquin olive à grands coins à la Bradel, dos lisse orné d'une composition mosaïquée en long d'une tête de mort encadrée de deux feuilles de chêne, filet de mors et filet de coin dorés, tête dorée, couvertures et dos conservés (reliure signée Charles Meunier), 125 p., (1) f. d'achevé d'imprimer. Paris, Bibliothèque Artistique et Littéraire (La Plume), 1896.
Edition originale, un des 30 exemplaires de tirage de tête sur japon impérial (n°14), sur un tirage total limité à 245 exemplaires. Celui-ci à l'intention de Bernoux et Cumin, libraires à Lyon spécialisés en "beaux livres de luxe et raretés de bibliophiles" Lillustration comprend une reproduction du frontispice de Félicien Rops pour "les Épaves" en double épreuve, dont sanguine avant la lettre, la reproduction dune photographie de Baudelaire par Nadar et un portrait du poète en médaillon, une page de dessins de Baudelaire en double épreuve dont une avant la lettre, plusieurs fac-similés dont le contrat d'édition des "Fleurs du mal" et le manuscrit du "Possédé", lettrines historiées et ornements typographiques.Cette luxueuse publication renferme 40 contributions, dont une trentaine de poèmes, par les écrivains de la génération symboliste qui rendent hommage au maître disparu: Mallarmé, dont le nom est annoncé en grands caractères en tête du titre, Léon Dierx, Gustave Kahn, Pierre Louÿs, Edmond Picard, Nadar, Henri de Regnier, Jean Richepin, Emmanuel Signoret, Francis Vielé-Griffin, etc.On y trouve également des notes et commentaires sur les 'Fleurs du Mal' par Alexandre Ourousof, ainsi que des uvres posthumes et des Notes par des spécialistes et des proches de Baudelaire.(Carteret, I, 132. Galantaris, 362. Talvart & Place, I, 296).Reliure légèrement insolée, quelques rousseurs sur la couverture.Bel exemplaire, grand de marges, couverture et dos conservés, bien relié en maroquin mosaïqué par Charles Meunier (1865-1948), important relieur de la période. Il est considéré comme l'apôtre de la reliure dite "emblématique".
Phone number : 33 01 47 07 40 60