15 books for « souvenirs d une grand ... »Edit

‎Ghislaine Descamps‎

Reference : RO20262091

(1999)

ISBN : 2744122629

‎Souvenirs De Ta Grand-Mere - l'histoire de notre famille racontee a mes petits enfants‎

‎France loisirs. 1999. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. environ 55 pages illustrées en couleur - ouvrage à remplir soi meme, voir 2e photo. . . . Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille‎


‎ Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎SALLIN JACQUES‎

Reference : SVBLIVCN-9782970148760

‎SAINT-SIGOLIN -LA- SOUVENIRS D'UNE GRAND-MERE ENCOMBRANTE ET MERVEILLEUSE‎

‎COJPRESSE EDITIONS‎


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782970148760‎

Bookit! - Genève
EUR28.06 (€28.06 )

‎SARCEY (Francisque) : Journal de Jeunesse (1839-1857). Recueilli et annoté par Adolphe BRISSON et suivi d'un choix de Chroniques (Fagots, Notes de la Semaine, Grains de Bon Sens). Préface d'O. GREARD. Paris, Bibliothèque des Annales Politiques et Littéraires, sans date ([1903]. In-8 « carré », (3) ff.[blanc, faux-titre, titre]-XXVI-416pp., broché, couverture rempliée imprimée illustrée beige, sous chemise de toile saumon, dos lisse muet, titre doré sur le plat supérieur (traces de fentes pour les lacets qui ont disparu ; assez bel exemplaire non coupé). Préface d’Octave GREARD (Vire, 1828 – Paris, 1904), Académicien et ami de l’auteur. ‎

Reference : 80043-1

(1903)

‎AUTEUR : Francois, dit Francisque, SARCEY (Dourdan, 8 octobre 1827 – Paris, 20 mai 1899) ; sur le site geneanet, il était un des petits-fils d’un « ouvrier en soierie » lyonnais, terme pudique évitant celui de « canut », à la connotation subversive ; du côté maternel, il descendait d’une famille de petite noblesse, les « de Brunel de Serbonnes » ; son arrière- grand-père, Louis-François (1743-1802) était « Écuyer, seigneur de Serbonnes ». Si, dans ses « Souvenirs de jeunesse » (Paris, Ollendorff, 1885), Sarcey ne renie pas ses origines modestes, étant le "onzième enfant d’une famille de canuts lyonnais » (p.2), en revanche, côté maternel, « ma grand-mère était renommée pour la franchise brusque de son style (…) qui était vraiment incroyable chez une très honnête femme, marquise de plus, et marquise authentique s’il vous plaît, aux propos salés et aux mots crus ». Néanmoins, « elle était avec cela d’une dévotion outrée et d’un implacable légitimisme (p. 257). Voilà pour le roman de chevalerie, dans lequel la princesse épouse le manant. La fantaisie ne fait que commencer [NOTE 1] On n’insistera pas sur le parcours de l’auteur, républicain modéré, hors du commun mais contre la Commune… [NOTE 2] TEXTE : les « Chroniques » sont extraites du Temps, du Figaro et des Annales. Illustré de deux planches hors-texte, reproduites en photogravure (frontispice , d’après un Daguerréotype, et portrait en pied, daté:1857, p. 272, tirés sur papier fin) et de trois fac-similés in-texte pp. 21, 67, 118). ESSAI DE DATATION Aujourd’hui, 21/10/2023, quinze exemplaires sont proposés sur LRB :on a le choix entre, sans date [7] sans date (1903) [1], circa 1900 [4] ; deux péremptoires, 1900 [1] et 1895[1] ; un petit dernier ne propose pas de date… Qu’en est-il vraiment ? Un petit saut sur « Gallica » permet de résoudre ce faux vrai problème : la date de l’édition est donnée par Otto LORENZ , in « Catalogue général de la Librairie française », Paris, R. Jordell et Nilsson, 1909 (p.600) : 1903. Dans les fonds publics, les exemplaires « ordinaires » ne manquent pas ; l’ouvrage est annoncé généralement « sans date », quelquefois daté [1903] ; à l’exception d’une fiche figurant au SUDOC (dans sept bibliothèques, parfois prestigieuses), d’une part, à la date de 1860… année de naissance de Brisson (comme quoi la valeur n’attend point, etc. ) , d’autre part, avec la mention « Per Lamm », du nom du co- créateur des éditions Nilsson… en 1885 ! ‎

‎EDITION ORIGINALE posthume du journal de ce célèbre journaliste et critique littéraire (Dourdan, 1827 – Paris, 1899), publié par son gendre Adolphe BRISSON (Paris, 1860 – 1925) qui fut aussi Directeur des Annales Politiques et Littéraires. TIRAGE : En dehoirs du tirage ordinaire, au format in-12 ou in-16 (cm 12 x 19,5), il existe, au même format, un tirage numéroté montrant sur le faux-titre : « Exemplaire N°____ Hommage de l’auteur à M…………. », tirage important , non annoncé (voir à la B.M de Grasse, l’exemplaire n°2386, dédicacé par A. Brisson à Mme de Maupassant ( Laure Le Poitevin, mère de Guy, qui mourut à Nice, le 9 décembre… 1903 (AD06, Décès 1903, n°2914) ; un autre, n° 2214, « à M. Gérard », non daté (BNF, 31298404, Gallica) ; un dernier, vu sur Abebooks en 2021, portait le N° 683 ( en Germanie). Enfin, on trouvera de rares exemplaires – dont celui-ci- imprimés sur papier VERGÉ de HOLLANDE filigrané « Van Zonen », au format in-8 (cm16,5 x 19), à grandes marges (bordures des témoins un peu défraîchies), non justifiés, non annoncés (couverture différente). ‎


‎PROVENANCE : Exemplaire issu de la bibliothèque d’ANATOLE FRANCE, enrichi d’un envoi autographe signé d’Adolphe BRISSON « A [sic] Anatole France, en souvenir de Sarcey ». Exemplaire EXCEPTIONNEL. [NOTE 1] Sur des sites aussi sérieux que ParisMusée (Carnavalet) et BNF (data-bnf.fr) on découvre l’existence d’un parfait homonyme, Francisque SARCEY de SUTIERES (ou Suttières), miraculeusement né à Dourdan et décédé à Paris aux mêmes dates que notre Francisque, affublé parfois d’un pseudonyme « Bonhomme Chrysale », présenté comme notre auteur. Un site aussi sérieux que les précédents, le CTHS, va contribuer à casser ce mythe assez fréquent sur la toile : Le « Bonhomme Chrysale » était un pseudonyme utilisé par … Adolphe Brisson, gendre de Sarcey ; confirmation sur … la BNF : A. Brisson… forme rejetée « Bonhomme Chrysale », pseudonyme. Néanmoins, la tradition a la vie dure : - sur Wikipedia Deutschland, la légende a été reprise, avec une « source » minutieuse, in Lilian Straus-Horkheimer ; (F.S.) als Theaterkritiker. Geinhausen, Dissertation [Thèse] Frankfurt /Main, 1937. - sur geneanet british, avec une référence à Wikipedia. Plus près de nous, - dans Desurvire, Emmanuel : Charles Edmond Chojecki, patriote polonais (…) dramaturge, romancier, journaliste. Chez l’auteur, 2011-2014 . Biographie en six volumes (BNF 42567201) (tome III, Annexe VI. Index des noms cité, p. 440)… Liste non exhaustive. [NOTE 2] supprimée par l’Otto censure. BUR(H5/1) ‎

Roland Gautier - Jurançon

Phone number : 05 59 06 02 00

EUR130.00 (€130.00 )

‎ROSARY Eugène‎

Reference : ROD0007625

(1869)

‎Ma grand mère. Souvenirs d'enfance‎

‎Mégard et Cie. 1869. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Coins frottés, Coiffe en tête abîmée, Rousseurs. 144 pp., plats frottés, coiffe en pied abîmée, mors du 1er plat fendu, du 2è fragilisé. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎


‎ Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎ROSARY EUGENE‎

Reference : RO80173650

(1869)

‎MA GRAND'MERE - SOUVENIRS D'ENFANCE‎

‎MEGARD & Cie. 1869. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 144 Pages. Frontispice en noir et blanc. Quelques rousseurs sans conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎


‎ Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎FRANCHE-COMTE‎

Reference : 9657

‎Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Besançon fondée en 1752. Procès-verbaux et mémoires. Années 1964-1965.1964 : Souvenirs bisontins 1914-1918, par Pierre LAFILLE - Les loups, par Georges GRAND - Proudhon, jurisconsulte franc-comtois, par François MOREAU - Les problèmes de la conservation et de la diffusion de l'heure et les Etablissements Edouard Belin, par René BAILLAUD - Lettres d'Egypte et d'Angleterre du Père Teilhard de Chardin, par le R.P. Auguste DEMOMENT - Un ancien foyer de vocations de science et d'art de nos montagnes du Jura franc-comtoises, par Georges GROS - Variations à propos des "Voyageurs traqués" de Montherlant, par Pierre LAFILLE - Charles Couyba - Maurice Boukay, par le Dr André LEDOUX - Un aspect surréaliste de Charles Nodier, par Mme Melahat MENEMENCIOGLU - Le "Capitulaire de villis vel Curtis" de Charlemagne, par Georges CARRE - Des Chalon-Orange aux Nassau-Orange, par Georges GRAND - L'abbatiale Cistercienne de Buillon, par René TOURNIER.1965 : La vigne et le vin en France et en Franche-Comté, par Georges CARRE - Histoire d'un demi-solde, le général Baron Bachelu seigneur de la Grange-Perrey, par Gabriel PERREUX - Un Universitaire engagé, Jean Guiraud, à Besançon (1898-1917), par Etienne LEDEUR - La valorisation d'un produit agricole de Franche-Comté d'origine très ancienne, le Gruyère, par Georges CARRE - La création du collège des Jésuites (Lycée Victor Hugo), La légende et l'histoire, par Georges MULLER - Le Théâtre à Arbois de la Révolution à nos jours, par Georges GRAND - La théorie de l'évolution selon le Père Teilhard de Chardin, par Mgr Louis BOILLOT - Jules Lissajous, savant prestigieux, ancien Recteur de l'Université de Besançon (1875-1879), par René BAILLAUD - Le Docteur Bonnet (1782-1872), académicien, premier professeur d'Agriculture, par Georges CARRE - Plaidoyer pour l'histoire comtoise, par Claude FOHLEN (discours de réception) - Le maréchal Berthier, Prince de Neuchâtel; Rapports de sa principauté avec le département du Doubs, par Georges MULLER - La grand-mère de Victor Hugo en ligne paternelle était une franc-comtoise, par Georges GROS.‎

‎ broché - 14x23 - 335 pp - 1966 - Volume 176 - Imprimerie P. Carrère, Rodez.‎


Bouquinerie70 - combeaufontaine

Phone number : 06 48 03 16 14

EUR21.00 (€21.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10071466

(1895)

‎LES ANNALES POLITIQUES ET LITTERAIRES N° 633 (2e semestre) Souvenirs d'enfance - Ma grand'mère, mon grand père, par André Theuriet.‎

‎Dubuisson. 11 Août 1895. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ. Paginée de 81 à 96. Non illustrée. Texte sur trois colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎


‎Journal Hebdomadaire. Sommaire : Petits Pamphlets - La villégiature, par Emile Bergerat. Deux et Deux font Cinq, par Alphonse Allais. Grandeur et décadence de Minon-Minette, par Francisque Sarcey. Poésies : La dernière abeille, par Catulles Mendès. - Au temps de Louis XVI, par Emile Boissier. Pages Oubliées - La bataille de Froeschwiller, par Nicolas Chamfort. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Nazet Marion‎

Reference : 20695

(2007)

ISBN : 9782744907111

‎Médecine populaire en Provence : Souvenirs et conseils d'une grand-mère‎

‎Edisud 2007 127 pages collection Petite bibliothèque. in-8. 2007. Broché. 127 pages. Avec des illustrations en noir et en couleurs‎


‎Très bon état‎

Bouquiniste - Saint-Chamas

Phone number : 06 68 85 71 82

EUR13.00 (€13.00 )

‎[Stop ] - ‎ ‎Judic Anna - Perronnet Amélie - Perronnet Amélie‎

Reference : 83214

(1883)

‎Partition de la chanson : Souvenirs de grand-mère (Les) ‎

‎ Ménestrel 1883 approx.‎


‎ Etat moyen Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR8.00 (€8.00 )

‎VINOC, G. de‎

Reference : RO70051839

‎LES SOUVENIRS DE GRAND'MERE‎

‎TAFFIN-LEFORT. sans date. In-16. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Manque en coiffe de tête, Quelques rousseurs. 102 pages. Gravure en noir et blanc en frontispice.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR39.80 (€39.80 )

‎Nazet Marion‎

Reference : 100070815

(2007)

ISBN : 2744907111

‎Médecine populaire en Provence : Souvenirs et conseils d'une grand-mère‎

‎Edisud 2007 17x21x1cm. 2007. Broché. 127 pages. Bon Etat intérieur propre‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR9.70 (€9.70 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎Collectif ; LEGENDRE, Marie-Thérèse‎

Reference : 64564

(1914)

‎Album de photos et souvenirs de Marie-Thérèse Legendre, infirmière, née le 27 janvier 1884 à Talence (Gironde) [ Contient notamment : ] 2 cartes d'identité de personnel sanitaire (Association des Dames Françaises hôpital au 145 rue Saint Genès à Bordeaux et Société Française de Secours aux blessés militaires, Infirmière diplôméeMajor de lasalle II au grand séminaire 14 rue St Genès) - Portrait de groupe Château Bourran 1909 - Bordeaux St Genès 1913 - Souvenir de Noël d'Artenset de la Farge rappelé à Dieu au Costa-Rica en 1910 - Souvenir de Louis Rabot mort au Champs d'Honneur en 1915 - Mortagne sur Gironde 1901 - Mr Gilliard 1916 - St Genès 1913 - 15e Dragon 3e Escadron 4e ... avant le départ pour la Grande Guerre 1914 - Un vieux ménage Langon 1910 - Cherbourg Août 1916 - En écoutant la musique Chtale Guyon 24 juillet 1914 - Baptême de Paulette 12 Août 1904 - La Promenade Mortagne-sur-Gironde 1902 - Souvenir de Pauline de Fleurian née Legendre décédée à Soubise le 21 août 1908 - Souvenir de Victor Legendre, professeur du Lycée, Agrégé de l'Université, Officier d'Académie, décédé le 18 juin 1891 - La bonne Georgina, type de servante bordelaise - M. Thérèse et son ami Ponpon - Pessac 1900 - Pessac 1905 (à vélo) - Louis Lussaud - Photo de classe : Fénelon 1883 - Villa Cantharane à Arcachon - Château du Fougerais (Vendée) - Château de la Loge (Vendée) - Une amie de pension : Marie-Antoinette Pagès et son petit garçon Jean - Navire sur le bassin d'Arcachon - Pessac 1899 - Ambulance du Séminaire 1915 - En bateau en routepour Mécher près Royan - "Le journaliste" (lecteur du "Clamecycois") - Genevièvre Chabrat - Marie de la Guitière - Souvenir de Mère Stéphanie Vareilland - Partie de croquet 1898 - le bon Tonton Paul - René Julliot et sa petite famille (La Rochelle) - Repos dans les bois de Pessac (1915) - L'heure du massage - Le pansement - Henri de Fleurian - Soubise 1916 Réunion de famille (Charente Inférieure) - Souvenir de Louis Lussaud tombé héroïquement pour la France le 21 mai 1918 - Pale (Serbie) au buffet de la gare - Scutari d'Asie Vue prise du mont Boulgourlou dominant Constantinople - Aux mines de Kassandra (Grèce) En mineurs, au moment de descendre dans un puits - à Salonique - Split (Côte Dalmate) dans les ruines du Palais de Dioclétien - Au moment de l'embarquement pour l'Athos - etc.‎

‎1 carnet format 19 x 12 cm ; environ 55 ff. avec nombreuses images souvent contrecollées et parfois insérées : [ Contient notamment : ] 2 cartes d'identité de personnel sanitaire (Association des Dames Françaises hôpital au 145 rue Saint Genès à Bordeaux et Société Française de Secours aux blessés militaires, Infirmière diplôméeMajor de lasalle II au grand séminaire 14 rue St Genès) - Portrait de groupe Château Bourran 1909 - Bordeaux St Genès 1913 - Souvenir de Noël d'Artenset de la Farge rappelé à Dieu au Costa-Rica en 1910 - Souvenir de Louis Rabot mort au Champs d'Honneur en 1915 - Mortagne sur Gironde 1901 - Mr Gilliard 1916 - St Genès 1913 - 15e Dragon 3e Escadron 4e ... avant le départ pour la Grande Guerre 1914 - Un vieux ménage Langon 1910 - Cherbourg Août 1916 - En écoutant la musique Chtale Guyon 24 juillet 1914 - Baptême de Paulette 12 Août 1904 - La Promenade Mortagne-sur-Gironde 1902 - Souvenir de Pauline de Fleurian née Legendre décédée à Soubise le 21 août 1908 - Souvenir de Victor Legendre, professeur du Lycée, Agrégé de l'Université, Officier d'Académie, décédé le 18 juin 1891 - La bonne Georgina, type de servante bordelaise - M. Thérèse et son ami Ponpon - Pessac 1900 - Pessac 1905 (à vélo) - Louis Lussaud - Photo de classe : Fénelon 1883 - Villa Cantharane à Arcachon - Château du Fougerais (Vendée) - Château de la Loge (Vendée) - Une amie de pension : Marie-Antoinette Pagès et son petit garçon Jean - Navire sur le bassin d'Arcachon - Pessac 1899 - Ambulance du Séminaire 1915 - En bateau en routepour Mécher près Royan - "Le journaliste" (lecteur du "Clamecycois") - Genevièvre Chabrat - Marie de la Guitière - Souvenir de Mère Stéphanie Vareilland - Partie de croquet 1898 - le bon Tonton Paul - René Julliot et sa petite famille (La Rochelle) - Repos dans les bois de Pessac (1915) - L'heure du massage - Le pansement - Henri de Fleurian - Soubise 1916 Réunion de famille (Charente Inférieure) - Souvenir de Louis Lussaud tombé héroïquement pour la France le 21 mai 1918 - Pale (Serbie) au buffet de la gare - Scutari d'Asie Vue prise du mont Boulgourlou dominant Constantinople - Aux mines de Kassandra (Grèce) En mineurs, au moment de descendre dans un puits - à Salonique - Split (Côte Dalmate) dans les ruines du Palais de Dioclétien - Au moment de l'embarquement pour l'Athos - etc.‎


‎Marie-Thérèse Legendre, née à Talence le 27 janvier 1884, est la fille de Victor Legendre et Sophie Chrétien. Recueil de souvenirs intéressant Bordeaux et la Gironde (nombreux accrocs, découpages anciens, carnet en partie débroché). Prix de l'ensemble, non séparable. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR450.00 (€450.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎MIRONNEAU A.‎

Reference : R200053804

‎LECTURES- COURS ELEMENTAIRE 1er dégrès- Le marchend de sable- Polichinelle- Chanson d'automne- Le lait de la petite soeur- Souvenirs d'enfance- Les deux chemins- Le petit ignorant et les deux fioles- Le serin- L'arbre de Noël- Fanchon chez sa mère-grand..‎

‎NON PRECISE. NON DATE. In-12. Cartonné. Etat passable, Plats abîmés, Dos abîmé, Intérieur frais. 194 pages- nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte- quelques pages légèrement déchirées sans manque- manque la dernière page altérant la lecture du dernier petit texte- couverture de substitution- 1er contreplat très annoté au crayon à papier- 2 PHOTOS DISPONIBLES. . . . Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture‎


‎ Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture‎

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