119 books for « lettre aux anglais »Edit

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‎BERNANOS (Georges)‎

Reference : 25863

(1942)

‎Lettre aux Anglais‎

‎ Atlantica Editora, Rio de Janeiro, (février) 1942 1 vol. (140 x 200 mm) de XI, 303 pp., [2] et 1 ff. Broché. Édition originale. Envoi signé : « Pour Dominique Braga, nous nous sentirons à nouveau chez nous à Paris. Affectueusement, Bernanos ».‎


‎C'est le premier ouvrage publié par Bernanos au Brésil, avant Le Chemin de la Croix-des-âmes et Monsieur Ouine, tous les deux en 1943. Tous seront édités par Charles Ofaire, un exilé suisse mi-aventurier, mi-homme de lettres, alors patron de la puissante Atlantica Editora. Cette Lettre aux anglais se veut un livre de « grand chemin », comme le surnomme les notes de La Pléiade : « Bernanos s'y est mis au large et à l'aise : il parle de l'avenir du monde aux citoyens du monde, et son apocalypse n'a pas encore fini d'épuiser ses révélations. Car il a pressenti, par-delà le conflit de 1939-1945, la guerre universelle dans laquelle nous sommes actuellement comme une lutte à mort de l'homme, ou de ce qu'il en reste, contre les puissances inhumaines de l'homme et de l'idéologie ». L'ouvrage est dédié à son fils Yves, qui rejoindra les FFL à Londres en 1942 et participera au débarquement allié en Normandie. Connu comme écrivain, Dominique Braga (Domingos de Figueiredo Braga) est brésilien, par ses parents. Né en 1892 à Paris, il y fit toute sa carrière : critique et directeur littéraires de l´Europe Nouvelle, critique musical au Monde nouveau, rédacteur en chef de la revue Europe, directeur littéraire des Editions Rieder et enfin directeur de la collection « La Grande Fable » à la Librairie Plon - où il fait la connaissance de Bernanos. Nommé, en 1929, chef de la section littéraire de l'Institut internationl de coopération intellectuelle de la Societé des Nations, il occupe ce poste jusqu'à s'exiler en 1940 au Brésil de ses aïeux et y retrouver Bernanos. Pionnier de la littérature sportive, il connut un succès avec 5 000, publié en 1925, monologue intérieur d'un coureur de 5 000 m pendant une épreuve des Jeux olympiques de 1924 à Paris - qui inspira au cinéma Les Chariots de feu - où il introduit la technique cinématographique du ralenti dans sa narration ; où le rythme de lecture s'accorde avec la foulée : la tête gamberge, les jambes sont à la peine et une communion de destins se noue sur la piste. « Les athlètes qui courent en groupe, quelles que soient les hostilités qui les divisent, trouvent dans l'escorte de leurs rivaux une assistance » écrit-il. Dans une autre de ses chroniques, Braga s'emballe pour la Finlande où « le sport est considéré presque comme un culte », regrette les mauvais gestes, s'inquiète d'un Tour de France trop commercial mais se délecte d'un tel spectacle sur les routes de l'été. Citons aussi une longue nouvelle, Quinze hommes à Twickenham, récit circonstancié d'un match de 1926 opposant l'Angleterre à la France lors du Tournoi des V Nations. Notre défaite (11-0) et la rencontre en elle-même ne prennent qu'une part infime dans cette épopée à hauteur d'hommes, embarquant le lecteur dans un voyage au coeur des Bleus pendant tout un week-end. ‎

Librairie Walden - Orléans
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Phone number : 09 54 22 34 75

EUR400.00 (€400.00 )

‎BERNANOS (Georges)‎

Reference : 47321

‎Lettre aux Anglais‎

‎Rio de Janeiro, Atlantica Editora 1942, in-12 broché, XI-305 p. (très bon exemplaire) Sur bon papier. Peu fréquente édition originale de ce grand cri de protestation contre l'asservissement de l'Europe, son premier livre à avoir été publié dans son exil brésilien.‎


Phone number : 01 47 34 52 80

EUR60.00 (€60.00 )

‎BERNANOS (Georges).‎

Reference : 31434

‎Lettre aux Anglais.‎

‎Paris, Gallimard, 22 juillet 1946. Un volume in-, broché. ‎


‎Première édition parue en France. L'originale a vu le jour à Rio de Janeiro en 1942. Un des 54 exemplaires du tirage de tête n° sur vélin pur fil Lafuma-Navarre. N° XV. Bel exemplaire. Photos sur demande.‎

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Phone number : 09 50 67 82 02

EUR350.00 (€350.00 )

‎Bernanos Georges‎

Reference : R100052991

(1984)

ISBN : 2020085194

‎Lettre aux anglais - Collection Points littérature n°173.‎

‎Gallimard. 1984. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 211 pages.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945‎


‎Collection Points littérature n°173. Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎HEBBELINCK Roger - Leon PESCHERET - Willy Godenne ( éditeur ) :‎

Reference : 57018

‎Procédés d'eau-forte en couleurs de Roger Hebbelinck, peintre graveur. ( avec une lettre en anglais de Leon Pescheret).‎

‎ Bruxelles, Willy Godenne éditeur, numéro spécial de la revue Graphie, (le numéro IV de l'année 1960), in-8°, 12 bi- folium leaves ( folded format 22 x 15 cm, loose as issued in an original blindstamped wrapper. Text in French, letter in English. In this issue of Graphie Godenne publishes a letter from his friend Pescheret in which he pays tribute to his teacher for colour printing Roger Hebbelinck. The 11 remaining leaves, printed on one side only describes the different phases of making a colour print (very technical). rare and interesting but unfortunately in 1960 the cost for publishing this issue in colour were obviously prohibitive, thus published in black/white only .‎


Phone number : 0032 496 381 439

EUR36.00 (€36.00 )

‎HEBBELINCK Roger - Leon PESCHERET - Willy Godenne ( éditeur ) :‎

Reference : 45126

‎Procédés d'eau-forte en couleurs de Roger Hebbelinck, peintre graveur. ( avec une lettre en anglais de Leon Pescheret).‎

‎2. Bruxelles, Willy Godenne éditeur, numéro spécial de la revue Graphie, (le numéro IV de l'année 1960), in-8°, 12 bi- folium leaves ( folded format 22 x 15 cm, loose as issued in an original blindstamped wrapper. Text in French, letter in English. In this issue of Graphie Godenne publishes a letter from his friend Pescheret in which he pays tribute to his teacher for colour printing Roger Hebbelinck. The 11 remaining leaves, printed on one side only describes the different phases of making a colour print (very technical). rare and interesting but unfortunately in 1960 the cost for publishing this issue in colour were obviously prohibitive, thus published in black/white only .‎


Phone number : 0032 496 381 439

EUR40.00 (€40.00 )

‎BERNANOS, Georges.‎

Reference : 41622

‎Lettre aux Anglais.‎

‎Paris, NRF/Gallimard, 22.07.1946. in-8. 207 pp.., broché, couv.‎


‎Tres bon état. [GAL-4] ‎

Phone number : 07 80 01 72 79

EUR19.88 (€19.88 )

‎Bernanos (Georges)‎

Reference : 24178

(1942)

‎Lettre aux Anglais‎

‎Rio de Janeiro, Atlantica éditora 1942 In-4, demi-maroquin cerise à bande, dos à nerfs, couverture sup. conservée, tête dorée, 303 pp. Petits frottements, sinon bon exemplaire.‎


‎Edition originale. Exemplaire du tirage spécial hors-commerce de 220 ex., celui-ci sur papier Bouffant avec la signature de l’auteur. Bon état d’occasion Edition originale‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR209.00 (€209.00 )

‎BERNANOS (Georges).-‎

Reference : 67526

(1946)

‎Lettre aux anglais. 18e édition.‎

‎ 1946 P., NRF, Gallimard, 1946, in 8° broché, 209 pages ; couverture fanée. ‎


‎On joint une douzaine d'articles de journaux de l'époque découpés, sur ou de Bernanos. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR18.00 (€18.00 )

‎Bernanos Georges‎

Reference : RO80251184

(1946)

‎Lettre aux Anglais‎

‎Gallimard. 1946. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Papier jauni. 207 pages. Papier non coupé.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎Bernanos Georges‎

Reference : vk315

(1943)

‎Lettre aux anglais‎

‎Editions Charlot, Atlantica Broché 1943 In-12 (11,8 x 19 cm), broché, 302 pages ; volume bruni, pliures aux plats, mors frottés, quelques annotations au crayon à papier, état moyen. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR10.00 (€10.00 )

‎BERNANOS Georges‎

Reference : ROD0038805

(1944)

‎Lettre aux anglais‎

‎Atlantica Editoria. 1944. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos frotté, Rousseurs. 302 pp.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎BERNANOS GEORGES.‎

Reference : R150084548

‎LETTRE AUX ANGLAIS.‎

‎GALLIMARD.. 1946.. In-8. Broché. Etat passable, 1er plat abîmé, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 207 pages. 1er plat de couverture détaché. Manque la coiffe en tête. 1er plat de couverture déchiré. Ecriture au stylo sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎GOERGES BERNANOS‎

Reference : RO30114842

(1943)

‎LETTRE AUX ANGLAIS‎

‎ATLANTICA EDITORA. 1943. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 325 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎BERNANOS GEORGES‎

Reference : R240142365

(1943)

‎LETTRE AUX ANGLAIS - 3EME EDITION.‎

‎ATLANTICA EDITORA. 1943. In-8. Broché. Etat passable, Plats abîmés, Dos abîmé, Papier jauni. 325 pages - papier jauni - 1er plat tâché - 2ème plat absent - dos abîmé - manque coins en pied sur le 1er plat et les 6 premières pages de l'ouvrage sans réelle conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire‎


‎ Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎BERNANOS Georges‎

Reference : 90099

ISBN : 2020085194

‎Lettre aux Anglais. Collection : Points Littérature, N° 173.‎

‎Paris, Gallimard/Points, 1984. 11 x 18, 213 pp., broché, bon état.‎


Librairie Ausone - Bruxelles

Phone number : 32 (0)2 410 33 27

EUR10.00 (€10.00 )

‎[Cartonnage NRF BONET] - BERNANOS (Georges).-‎

Reference : 77101

(1946)

‎Lettre aux anglais.‎

‎ 1946 Paris, NRF, Gallimard, 1946, in 8°, cartonnage de l'éditeur réalisé d'après la maquette de Paul BONET, 209 pages. ‎


‎Edition Originale, tirée à 1040 exemplaires numérotés sur papier Plumex et reliés d'après la maquette de Paul BONET (Huret, n°65). ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR95.00 (€95.00 )

‎BERNANOS, Georges.‎

Reference : 67693

‎Lettre aux anglais.‎

‎Paris, éd. Gallimard, 22 juillet 1946 (7e édition), date de la première édition chez Gallimard, in-8, demi veau rouge, plats papier marbré peigné dans les vert et gris, fleuron, auteur et titre dorés sur dos à 4 nerfs, reliure d'époque, 212 pp., table, La première édition date de 1942 aux étitions Atlantica Editora à Rio de Janeiro. Notre exemplaire date de la première édition de chez Gallimard. Belle petite reliure d'amateur. Très bon état de la reliure; le papier est jauni comme d'habitude ! ‎


Le Festin de Babette - Montmorillon

Phone number : 05 49 91 99 48

EUR25.00 (€25.00 )

‎BERNANOS Georges‎

Reference : 190841

(1946)

‎Lettre aux Anglais.‎

‎Paris Editions Gallimard. 1946 207p 1 volume IN8 en cartonnage édteur. Exemplaire numéroté N°788/990 sur papier Plumex des papeteries Téka. Cartonnage Bonet. ‎


Phone number : 06 17 92 77 41

EUR100.00 (€100.00 )

‎BERNANOS (Georges).‎

Reference : 31955

(1946)

‎Lettre aux Anglais.‎

‎Paris Gallimard 1946 In-12, cartonnage de l'éditeur orné sur les plats et le dos de compositions en couleurs dessinées par Paul Bonet.Edition originale. Un des 1.040 exemplaires numérotés sur papier plumex et reliés d'après une maquette de Paul Bonet.‎


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Phone number : +33 1 43 59 36 58

EUR180.00 (€180.00 )

‎BERNANOS (Georges)‎

Reference : MBERLET2

(1946)

‎Lettre aux Anglais‎

‎ Paris Nrf Gallimard 1946 Petit in-8 broché, 207 pp. ‎


‎Intérieur jauni.‎

Phone number : 33 0 9 61 34 02 90

EUR6.00 (€6.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

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‎Revue d'Histoire des Sciences - Marcel Florkin - Paul Lawrence Rose sur Federico Commandino - Jean Bernhardt sur John Pell - Louis S. Greenbaum sur Jacques Tenon - Léa Lemercier sur J.-A. Chaptal et le citoyen René‎

Reference : 100987

(1971)

‎Revue d'Histoire des Sciences - Tome 24 (XXIV), n°4 - Octobre-Décembre 1971 , (Des forces-de-vie à la bioénergétique - Plusieurs manuscrits autographes de Federico Commandino à la Bibliothèque Nationale de Paris - Une lettre-programme pour l'avancement des mathématiques au XVIIe siècle : L'Idée générale des mathématiques de John Pell - The Commercial Treaty of Humanity, la tournée des hôpitaux anglais par Jacques Tenon en 1787 - Une lettre peu connue de J.-A. Chaptal, Réponse à une lettre inédite de René)‎

‎Presses Universitaires de France - P.U.F. , Revue d'Histoire des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1971 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur crème et verte grand In-8 1 vol. - 103 pages‎


‎ 1ere édition, 1971 "Contents, Chapitres : 1. Articles : Marcel Florkin : Des forces-de-vie à la bioénergétique - Paul Lawrence Rose : Plusieurs manuscrits autographes de Frederico Commandino à la Bibliothèque Nationale de Paris - Jean Bernhardt : Une lettre-programme pour l' "" avancement des mathématiques "" au XVIIe siècle : L' "" Idée générale des mathématiques "" de John Pell - Louis S. Greenbaum : "" The Commercial Treaty of Humanity ""; La tournée des hôpitaux anglais par Jacques Tenon en 1787 - Léa Lemercier : Une lettre peu connue de Chaptal, Réponse à une lettre inédite de René - 2. Informations, analyses" Couverture propre, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre, papier à peine jauni - paginé 290 à 392‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
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Reference : R110057137

(1788)

‎MERCURE DE FRANCE N°37 - Invocation a Vénus - traduite de Lucrèce, nécrologie - lettre au Rédacteur du Mercure, Essai des essais de Goldsinith, traduite de l'Anglais, lettres de Miladi Craven a son fils, traduites de l'anglais, essai sur la noblesse‎

‎PARIS. 13 SEPTEMBRE 1788. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 49 à 96.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Invocation a Vénus - traduite de Lucrèce, nécrologie - lettre au Rédacteur du Mercure, Essai des essais de Goldsinith, traduite de l'Anglais, lettres de Miladi Craven a son fils, traduites de l'anglais, essai sur la noblesse des basques pour servir d'introduction à l'histoire générale de ces peuples, rédigé sur les Mémoires d'un militaire basque, par un ami de la nation Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R110317023

(1915)

‎L'IMAGE DE LA GUERRE N° 23 - Sur le front anglais, dans les flandres, Lettre d'un officier français a son fils, Sous-marins allemands, marins anglais, L'amiral Sir John R. Jellicoe, Une porte sublime aussi a sa manière, Une vision de soleil, L'Egypte‎

‎BUREAU DE LA REVUE. AVRIL 1915. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire :Sur le front anglais, dans les flandres, Lettre d'un officier français a son fils, Sous-marins allemands, marins anglais, L'amiral Sir John R. Jellicoe, Une porte sublime aussi a sa manière, Une vision de soleil, L'Egypte et ses gardiens, Escadron de chameliers égyptiens au galop Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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